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    L'oasis n'est pas loin

     

     

     

    L'oasis n'est pas loin

     

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

     

    Vous sentez-vous comme marchant sur une terre au sol desséché comme si tout autour de vous n’était que vide et désolation ? Et si ce temps de désert était permis par le Seigneur ? Jésus lui-même a été conduit au désert par le Saint-Esprit. (Lire Luc 4.1-2.)

     

    "Jésus, rempli de l’Esprit Saint, revint du Jourdain et le Saint-Esprit le conduisit dans le désert où il fut tenté par le diable durant quarante jours. Il ne mangea rien durant ces jours-là, et, quand ils furent passés, il eut faim." 

     

    Recevez cette vérité : vous ne vous trouvez pas dans le désert pour y mourir mais pour y être formé(e) par Dieu. Comme Jésus, vous êtes conduit(e) dans ce lieu, cette saison afin que vous puissiez y développer votre relation avec Dieu et être transformé(e) chaque jour un peu plus à son image.

     

    Dans ces temps particuliers, Jésus "imprime" en vous son caractère et ses aptitudes, afin de faire de vous un miracle au milieu des nations, un soutien pour ceux qui vous entourent, un témoignage vivant de la grâce et de la puissance de Dieu au quotidien dans votre vie. Persévérez, Mon ami(e), l’oasis n’est plus loin !

     

    Je vous invite à faire cette prière avec moi : "Père, lors de ma marche dans ce désert, fais-moi la grâce de regarder à ma situation avec tes yeux. Attire-moi près de toi et donne-moi la force de m’accrocher à toi, même quand le désespoir frappe à ma porte. Je te donne toute la gloire… Tu as commencé une œuvre dans ma vie et tu l’achèveras avec excellence selon l’immensité de ton amour. Au nom de Jésus-Christ. Amen."

     

    Merci d'exister,

     

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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    Vous ne manquerez de rien

     

     

     

    Vous ne manquerez de rien

     

     

     

    "L’éternel est mon berger : je ne manquerai de rien." Psaume 23.1

    Combien il est vital et capital de se rappeler que Dieu ne nous laissera manquer de rien, alors que nous lui faisons confiance.

    Plusieurs versets de l’Ecriture viennent corroborer cette merveilleuse promesse, en voici quelques-uns : "J’ai été jeune, j’ai vieilli ; et je n’ai point vu le juste abandonné, ni sa postérité mendiant son pain" (Psaume 37.25). "Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins" (Philippiens 4.19).


    N’oublions jamais que si le projet vient de Dieu, Dieu aura les ressources nécessaires.

    Dans le sermon sur la montagne, Jésus nous invite à ne pas nous inquiéter pour les besoins matériels ; son discours s’achève sur cette promesse : "Toutes ces choses (nourriture, vêtements etc.), vous seront données par-dessus" (Matthieu 6.25/34). Il nous rappelle où doivent être nos priorités.

    Alors que vous êtes saisi par l’angoisse, que vos ressources sont limitées, souvenez-vous de la situation dans laquelle se sont retrouvés les disciples lorsque Jésus leur demande de nourrir une foule de cinq mille hommes (Marc 6.35/44). Ils se sentent tellement dépassés par l’immensité du besoin qu’ils ne voient qu’une seule solution : "Renvoie-les", disent-ils.

    Par rapport à nos propres besoins, ou pour les projets de Dieu, parfois nous sommes face à des défis financiers qui nous dépassent tellement, que nous ne voyons d’autre solution que la fuite, le recul, l’abandon. Dans ces situations, n’oublions jamais que si le projet vient de Dieu, Dieu aura les ressources nécessaires.

    Les disciples mesurent toutes les limites qui sont les leurs : "il n’y a que cinq pains d’orge et deux poissons ; mais qu’est-ce que cela pour tant de gens ?" (Jean 6.9). C’est sur la base de ce qu’ils ont, et qu’ils apportent au Seigneur, que Dieu va pourvoir aux besoins de tous. En offrant ce qu’il avait, ce jeune homme a béni une multitude, et n’a manqué de rien.


    Dieu ne nous demande jamais plus que ce que nous avons. Certains disent : "Si j’étais riche, je donnerai ceci ou cela". Mais, c’est ce que nous pouvons offrir, sans mettre nos vies en péril, que le Seigneur attend. Sur cette base, il s’engage à ne nous laisser manquer de rien.

    Après avoir envoyé ses disciples, Jésus leur demande : "Quand je vous ai envoyés sans bourse, sans sac… avez-vous manqué de quelque chose ? Ils répondirent : De rien" (Luc 22.35).

    Un encouragement pour aujourd’hui:
    Alors que vous êtes entré dans les projets de Dieu pour vous, ayez confiance, il ne vous laissera manquer de rien.

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Mon ami(e), que faites-vous de vos erreurs ?

     

     

    Mon ami(e), que faites-vous de vos erreurs ?

     

     

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

     

    Au cours de mon ministère, Dieu m'a vraiment fait grâce. Il m'a permis de voir des millions de vies touchées et des milliers de vies changées. Je le loue pour les témoignages que je reçois chaque jour avec reconnaissance. Je donne toute la gloire au Seigneur !

     

    Bien sûr, j'ai aussi commis des erreurs, peut-être plus que les autres. Et j'ai appris que l'important, ce sont les décisions que l'on prend, après ces erreurs.

     

    Quelles leçons en tirer ?

     

    Quelles actions poser ?

     

    Quelles demandes de pardon faire ?

     

    Quel changement effectuer ?

     

    Cela me fait penser à Zachée. Cet homme était collecteur d'impôts sous l'occupation romaine. En plus de travailler pour "l'ennemi", il surtaxait les gens quand il collectait leurs impôts. Autant vous dire que Zachée n'était pas du tout apprécié…

     

    Un jour, Jésus traverse la ville de Jéricho et choisit la maison de cet homme pour y loger. Vous pouvez lire l'histoire de leur rencontre dans Luc 19.2-9.

     

    Zachée rencontre Jésus et prend tout de suite conscience de la nécessité d'un changement immédiat. Il s'engage à donner la moitié de ses biens aux pauvres et à rembourser jusqu'à quatre fois plus ceux qu'il a surtaxés ! "Jésus lui dit : Aujourd’hui, le salut est entré dans cette maison, parce que tu es, toi aussi, un descendant d’Abraham." (Lire Luc 19.9.)

     

    Ce qui compte, ce n'est pas la taille de vos erreurs, ce que vous avez pratiqué par le passé. Ce qui compte vraiment, c'est la taille de l'amour de Jésus pour vous. Et Jésus n'a pas changé.

     

    Mon ami(e), si vous vous tournez vers lui avec le désir de changer de vie et d'attitude, il vous accueillera à bras ouverts. Il vous débarrassera de la culpabilité et de la honte. Vous deviendrez une nouvelle personne et serez une source de bénédiction pour les autres.

     

    Merci d'exister,

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

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    Le meilleur est à venir

     

     

    Le meilleur est à venir

     

     

    "Tout le monde commence par offrir le meilleur vin, puis, quand les invités ont beaucoup bu, on sert le moins bon. Mais toi, tu as gardé le meilleur vin jusqu’à maintenant !" Jean 2.10

     

    Il arrive peut-être un moment dans votre vie ou vous vous demandez comment les choses pourraient devenir meilleures. Vous avez un mariage, des enfants, une maison, un travail, ou justement vous n’arrivez pas à accéder à ce à quoi vous aspirez… Comment Dieu peut-il apporter plus de vie à votre vie ?

     

    Tout ce que Dieu vous offrira dépassera vos attentes !

     

    Tout ce que Jésus fait est révélateur de sa nature. Son tout premier miracle annonce la couleur : avec lui, le meilleur est toujours à venir !

     

    Lors des noces de Cana, on vient exposer à Jésus une soudaine pénurie de vin. C’est là que, prenant les choses en main, il transformera plusieurs outres d’eau en vin. Et pas n’importe quel vin : ce devait être le meilleur des vins jamais créé !

     

    Oui, tout ce que nous avons peut s’épuiser. Mais, dans vos manquements, n’ayez pas peur de venir exposer à Dieu vos besoin. Dans son amour, il saura comment y répondre : Il est celui dont les bontés se renouvellent chaque matin.

     

    Mieux, tout ce qu’il vous offrira dépassera vos attentes !

     

    Une action pour aujourd’hui :
    Aujourd’hui, même quand tout semble s’épuiser dans votre vie, confiez-vous à Dieu et laissez-le agir : il sait exactement ce qu'il convient de faire.

     

     

     

     

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Horloges et calendriers

     

     

    Horloges et calendriers

     

     

    Lecture proposée : Psaume 62

      

    En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, répandez vos cœurs en sa présence ! Dieu est notre refuge. (V. 9)

     

    Mon père est mort à 58 ans. Depuis lors, je m’arrête chaque année à la date de sa mort pour évoquer son souvenir et réfléchir à l’influence qu’il a eue dans ma vie. En constatant que j’avais vécu plus longtemps sans mon père qu’avec lui, je me suis mis à méditer sur la brièveté de la vie.

     

    À bien y penser, il se peut que le souvenir d’un événement et les sentiments qu’il suscite en nous nous donnent tous les deux du fil à retordre. Bien que nous mesurions le temps à l’aide d’horloges et de calendriers, nous nous souvenons d’instants précis en raison des événements qui les ont marqués. Il y a des moments dans la vie qui éveillent en nous de profondes émotions : la joie, le deuil, une bénédiction, une douleur, une réussite ou un échec.

     

    Père, nous te sommes reconnaissants de ce que tu nous es et seras toujours fidèle

     

    La Bible nous encourage à faire ceci : « En tout temps, peuples, confiez‑vous en lui, répandez vos cœurs en sa présence ! Dieu est notre refuge » (PS 62.9). Cet énoncé empreint d’assurance n’a pas été émis en période facile, car David l’a écrit alors qu’il était entouré d’ennemis (V. 4,5). Il s’est malgré tout confié en Dieu (V. 2,6), ce qui nous rappelle que l’amour infaillible de Dieu (V. 13) transcende toutes nos épreuves.

     

    En toute situation, nous avons l’assurance que Dieu se tient à nos côtés et qu’il est plus qu’en mesure de nous faire surmonter les moments éprouvants de la vie. Lorsque des temps difficiles menacent de nous jeter au tapis, Dieu vole à notre secours dans le bon temps.

      

    Dieu désire être à nos côtés en toute période de la vie.

     

     

    Bill Crowder

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Maux de coeur (1 et 2)

     

     

    Maux de cœur (1)

     

     

     

    « Un espoir différé rend le cœur malade » Pr 13.12

     

    La dépression peut vous ôter l’envie de vivre. Lorsque la tâche devient trop lourde pour Moïse, il s’adresse à Dieu : « Tue-moi donc, […] et que je n’arrête pas ma vue sur mon malheur » (No 11.15). Certain que Jézabel va mettre ses menaces à exécution et le tuer, Élie demande à Dieu de prendre sa vie. Il paraîtrait que le livre de Job ne couvre qu’une période de neuf mois, mais les pertes de Job sont si dévastatrices qu’il s’exclame : « Mon âme est dégoûtée de la vie ! » (Job 10.1). Salomon a dit : « Un espoir différé rend le cœur malade ». Un chrétien qui porte atteinte à sa propre vie ira-t-il au ciel ? Plutôt que de débattre de cette question, il nous faut demander à Dieu la sagesse de savoir quand des proches sont devenus si désespérés qu’ils ne peuvent endurer un jour de plus. Qui sont-ils ? Des jeunes gens qui s’ouvrent les veines en guise d’appel au secours. Des vétérans de guerre hantés par l’horreur des combats, et incapables d’en parler. Des victimes d’abus sexuels qui se goinfrent, boivent et se droguent à en mourir. Des gens biens qui luttent avec des problèmes sexuels mais ont peur de les avouer. Cinquante-huit millions d’Américains combattent chaque jour la dépression, qu’ils dorment dans des châteaux ou sous les ponts. Quelques-uns sont des chrétiens aux pensées suicidaires, qui redoutent d’entendre qu’ils sont faibles et manquent de foi. Un rapide verset, une courte prière, et une façon de s’en débarrasser avec un « Que Dieu vous bénisse » ne fera que les jeter aux fauves. Jésus a dit : « Je vous envoie », parce que vous avez la Parole, l’Esprit et la puissance de les aider.

     

     

     

    Maux de cœur (2)

     

     

    Esa 40.29

     

    On a beau dire : « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir », en s’imaginant que les choses vont s’arranger. Mais lorsque tout espoir semble perdu, la dépression peut amener certaines personnes à chercher une porte de sortie. Le suicide est-il une erreur ? Oui. C’est une erreur parce qu’il ne tient pas compte de Dieu. Si vous prenez votre vie, il ne peut plus rien faire pour vous. C’est une erreur parce qu’il laisse dans le cœur de vos proches un héritage de chagrin inconsolable. De tout temps les leaders chrétiens débattent et se divisent sur la question du suicide. Mais tous sont d’accord pour croire en cette parole : « Un cœur soucieux déprime un homme » (Pr 12.25, BFC). La dépression non soignée peut aboutir à l’autodestruction. Pas besoin de se tirer une balle dans la tête ou de faire une overdose. Il suffit d’opter pour l’anorexie ou la boulimie, ou de cesser de chercher de l’aide parce que celle qu’on a déjà reçue n’a pas eu d’effet. Au bout du compte le résultat est le même. On estime que les femmes sont deux fois plus sujettes à la dépression que les hommes. Les gens issus de milieux défavorisés auraient apparemment moins de chances d’être traités pour cette affection parce qu’ils n’ont pas les moyens de se faire aider. La Bible a-t-elle une réponse ? Oui : « Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente la vigueur de celui qui est à bout de ressources. Les adolescents se fatiguent et se lassent, et les jeunes hommes trébuchent bel et bien ; mais ceux qui espèrent en l’Éternel renouvellent leur force » (Esa 40.29-31).

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Dieu est présent au sein de votre souffrance

     

     

     

    Dieu est présent au sein de votre souffrance

     

     

     

    "L’Eternel marche dans la tempête, dans le tourbillon." Nahum 1.3

     

    L’une des images que la Bible utilise pour parler de la souffrance, c’est la métaphore de la tempête. Or, dans le verset du jour nous lisons que Dieu marche à nos côtés à l’heure de la tempête.

     

    Alors que vous passez par la souffrance, la maladie, le deuil, l’abandon... entendez la voix du Seigneur qui vous dit :
    "Ne crains rien, je t’aime, je suis toujours avec toi".

     

    Quelle que soit l’origine de la souffrance, ce qu’il est capital de savoir, c’est que lorsque nous sommes dans l’épreuve, Dieu est avec nous. Il nous accompagne, il nous soutient, il ne nous abandonne pas.

     

    J’aime bien ce poème du poète brésilien Ademar De Barros intitulée : Des pas sur le sable.

     

    Une nuit, j’ai eu un songe. J’ai rêvé que je marchais le long d’une plage, en compagnie du Seigneur. Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres, toutes les scènes de ma vie. J’ai regardé en arrière, et j’ai vu qu’à chaque scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable : l’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur. Ainsi nous continuions à marcher, jusqu’à ce que tous les jours de ma vie aient défilé devant moi.
    Alors je me suis arrêté, et j’ai regardé en arrière. J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie, les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur, et aussi de plus grande douleur. Je l’ai donc interrogé : "Seigneur… tu m’as dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie, et j’ai accepté de vivre avec toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas. Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul aux moments où j’avais le plus besoin de toi".

     

    Et le Seigneur répondit : "Mon fils, tu m’es tellement précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné, pas même une seule minute ! Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le sable, ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien : c’était moi qui te portais."

    Non seulement il est présent dans nos souffrances, mais il la partage avec nous. Retenons les paroles du Seigneur qui nous dit : "Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde". Oui, quelles que soient les circonstances de nos vies, Dieu est toujours là ! Il est avec nous dans la tempête.

     

    Un encouragement pour aujourd'hui :
    Alors que vous passez par la souffrance, la maladie, le deuil, l’abandon, et que la tempête vous fait perdre courage, entendez la voix du Seigneur qui vous dit : "Ne crains rien, je t’aime, je suis toujours avec toi".

     

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Assurance bénie

     

     

    Assurance bénie

     

     

     

    HÉBREUX 10.22,23

     

    Comment savoir si notre conversion est authentique ? Pouvons‑nous en être absolument certains ou devons‑nous toujours vivre sans en avoir l’assurance, en craignant de faire ou de dire quelque chose qui nous fasse perdre notre salut ?

     

    L’Écriture est catégorique : nous pouvons être assurés de notre salut. Cependant, beaucoup de chrétiens en doutent constamment. Il arrive qu’un péché leur fasse penser que, cette fois, ils sont allés trop loin. Ou encore, ils s’appuient sur leurs émotions changeantes. Peut‑être se comparent‑ils à d’autres chrétiens qui semblent plus justes qu’eux, et ils en concluent qu’ils ne sont pas eux‑mêmes sauvés. Ils ont possiblement écouté de faux enseignements, selon lesquels on peut perdre son salut.

     

    Nous manquons d’assurance pour deux raisons : nous ne croyons pas la Parole de Dieu, et nous nous jugeons responsables de préserver notre salut. Jésus a affirmé que personne ne peut ravir ses brebis de sa main (Jn 10.27‑29). C’est donc lui qui nous garde, et il a promis de ne perdre aucun des siens (Jn 6.39). Si nous commençons à en douter, nous devons lire l’Écriture de nouveau, car elle nous assure de son amour et de ses soins.

     

    Dieu a promis la vie éternelle à ses rachetés, mais comment savoir si notre conversion est authentique? La persévérance en constitue un indice. Dieu se sert des difficultés pour éprouver notre foi (1 Pi 1.6,7). Quand nous traversons l’épreuve sans abandonner Dieu, notre foi est réelle. De plus, nous lisons dans Romains 8.16 : « L’esprit lui‑même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. »

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

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    Ne craignez rien, Dieu vient à votre secours

     

     

     

    Ne craignez rien, Dieu vient à votre secours

     

     

     

    "Car je suis l'Éternel, ton Dieu, Qui fortifie ta droite, Qui te dis : Ne crains rien, Je viens à ton secours." Esaïe 41.13

     

    Vous souvenez-vous de Joseph ? Dès son plus jeune âge, Dieu l’a appelé à être un leader pour sa génération et une bénédiction pour sa famille. Or Joseph a passé toute une partie de sa vie en prison. Dans ces moments sombres, Dieu avait-il oublié sa promesse ? Non ! C’est justement en prison que Dieu peaufinait la formation de Joseph, afin qu’il soit prêt à devenir vice-roi d’Égypte.

     

    La force de Dieu se révèle davantage dans nos faiblesses.

     

    Votre prison peut devenir la porte par laquelle Dieu vous fait entrer dans votre destinée ! C’est quand nous sommes faibles que Dieu nous rend forts. Au milieu de votre faiblesse, souvenez-vous que Dieu est fort et veut vous rendre fort.

     

    Nos faiblesses sont le creuset dans lequel sa force peut se manifester, et dans lequel notre dépendance envers lui peut grandir. Et nos limites sont souvent une opportunité pour le Seigneur d’étendre sa grandeur. Oui, la force de Dieu se révèle davantage dans nos faiblesses, comme une lampe qui brille dans le noir.

     

    Dieu vous prépare, tout comme il a préparé Joseph. Au milieu de votre faiblesse, laissez-le vous fortifier, afin de devenir une bénédiction pour beaucoup !

     

    Une action pour aujourd’hui :
    La promesse du Seigneur est de vous fortifier. Il veut se manifester au milieu de vos faiblesses. Alors n’oubliez pas de rester ancré dans sa Parole, de vous connecter à lui par la prière, de rester rempli de sa joie qui vous rend fort !

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Mon ami(e), faites "pause"

     

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

     

    Lorsque j'étais enfant, il y avait un jeu qui connaissait son petit succès dans les cours de récréation : le jeu du "chat". Un joueur (le chat) devait attraper une souris qui devenait chat à son tour. Pour y échapper, une seule issue : courir !

     

    Heureusement pour nous, il suffisait de dire "pouce" à n'importe quel moment pour suspendre le jeu, ce qui nous laissait le temps de faire une pause et de reprendre notre souffle.

     

    Et vous Mon ami(e), est-ce que vous vous sentez comme poursuivi(e) par un "animal" ? Une situation qui vous met sous pression ? Comme la peur de ne pas être à la hauteur, une menace de divorce, des difficultés financières ou des problèmes de santé ? Nous avons tous nos "poursuivants" et nos pressions.

     

    Par la grâce de Dieu, vous avez la possibilité d'échapper au stress causé par votre situation. Comment ? En disant "pause" ! En appelant celui qui peut vous permettre de reprendre votre souffle : Jésus. Saviez-vous que le mot "pause" se trouve plus de 70 fois dans les psaumes de la Bible ? De quoi faire "pause" au moins deux fois par jour...

     

    Jésus est le Prince de la paix. (Lire Ésaïe 9.6.) Il est celui qui arrête tous les orages, calme toutes les tempêtes et apaise tous les vents. (Lire Matthieu 14.22-32.)

     

    À n'importe quel moment, vous pouvez lui parler et lui ouvrir votre cœur. Faites-lui part de vos problèmes et recevez sa paix. Sa paix qui surpasse toute intelligence.

     

    Je déclare que "la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que l’on peut imaginer, gardera le cœur et les pensées de Mon ami(e) en communion avec Jésus-Christ." (d'après Philippiens 4.7).

     

    Sa paix est disponible et vous traverserez toute situation avec assurance, car "c'est dans le calme et la confiance que sera votre force". (Lire Ésaïe 30.15.) Mon ami(e), reprenez votre souffle, faites "pause" dans sa présence, et repartez libre de toute pression.

     

    Merci d'exister,

     

     

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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    Christ dans la tempête

     

     

     

    Christ dans la tempête

     

     

    Il se lève alors un grand tourbillon de vent, et les vagues se jetaient dans la barque, au point qu'elle se remplissait déjà. Jésus, à la poupe, dormait sur un oreiller ; ils le réveillent et lui disent: Maître, ne te soucies-tu pas que nous périssions? Marc 4. 37, 38

     

    À l'âge de 27 ans, en 1633, Rembrandt a peint “Christ dans la tempête”. Sur la mer déchaînée, les disciples de Jésus cherchent par tous les moyens à éviter que leur barque ne coule, tandis que leur maître dort à l'arrière du bateau. Les disciples ne maîtrisent plus la situation, leurs visages sont marqués par la peur. Ils se croient abandonnés…

     

    En comptant les personnages du tableau, je découvre un treizième disciple à bord, ressemblant étrangement à Rembrandt lui-même! Le peintre a voulu figurer sur son œuvre, et il est le seul à me regarder droit dans les yeux, comme pour dire: Et si c'était toi?

     

    Revenons au récit. Les disciples réveillent le Maître. Alors, montrant sa puissance de Fils de Dieu, Jésus calme la tempête, reprend le vent et dit à la mer: “Silence, tais-toi!” Le vent tombe et il se fait un grand calme.

     

    Comme les disciples, nous sommes facilement troublés quand les difficultés sont là et que le Seigneur ne semble pas intervenir. Lorsque tout va bien, nous nous berçons facilement de l'illusion de lui avoir laissé les commandes; c'est dans l'adversité que nous vérifions s'il tient vraiment le gouvernail de notre barque.

     

    Quel a été le résultat de cette délivrance pour les disciples? Ils ont dit: “Qui donc est celui-ci, pour que le vent même et la mer lui obéissent?” (v. 41). De même, à travers nos épreuves, nous pouvons apprendre qui est le Seigneur. Il est toujours puissant pour nous délivrer, et il nous aime.

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

     

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