•  

    Affranchis

     

     

    Affranchis

     

     

     

    Lecture proposée : Romains 8.1,2,15-17

    Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. (V. 1)

     

    Quand j’étais enfant et que je vivais dans un village africain, les poulets me fascinaient. Chaque fois que j’en attrapais un, je le retenais par terre, puis je le relâchais doucement. Comme il se croyait encore retenu, le poulet restait accroupi, car, même s’il était libre de s’en aller, il se sentait captif.

     

    Lorsque nous mettons notre foi en Jésus, il nous délivre selon sa grâce du péché et de l’emprise que Satan exerçait sur nous. Par contre, comme il se peut qu’il nous faille du temps pour modifier nos habitudes et nos comportements impies, Satan a le loisir de nous faire croire que nous sommes encore captifs. Reste que l’Esprit de Dieu nous a affranchis, et ce n’est pas pour nous asservir de nouveau. Paul a d’ailleurs dit aux croyants de Rome : « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus‑Christ. En effet, la loi de l’esprit de vie en Jésus‑Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort » (RO 8.1,2).

     

    Seigneur, merci de prendre sur toi mon fardeau et de m'en affranchir
    afin que je me plaise à vivre pour toi

     

    Par notre lecture de la Bible, nos prières et la puissance du Saint‑Esprit, Dieu œuvre à nous purifier et nous aide à vivre pour lui. La Bible nous encourage à marcher d’un pas sûr avec Jésus sans nous sentir encore captifs.

     

    Jésus a dit : « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres » (JN 8.36). Puisse la liberté que nous avons en Christ nous pousser à l’aimer et à le servir.

     

    Mes chaînes tombées, mon cœur libéré, à sa suite je suis allé. Wesley

     

     

     

    Lawrence Darmani
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1 et 2)

     

     

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1)

     

     

     

     

    « Il a été précipité, l'accusateur de nos frères » Ap 12.10

    L’apôtre Jean a écrit : « J’entendis dans le ciel une voix forte qui disait : […] il a été précipité, l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit » (v.10). Satan n’a qu’un but : « voler, tuer et détruire » (Jn10.10). Il va voler votre paix, tuer vos rêves et détruire votre avenir. Pour l’aider, il s’entoure d’une horde de démons beaux parleurs. Il recrute des hommes et des femmes pour distiller son venin. Des amis surgis de votre passé. Des prédicateurs qui proclament la seule culpabilité sans la grâce. Certains parents instillent ce venin 24 h sur 24. Bien longtemps dans votre vie d’adulte, vous entendez encore leur voix : « Pourquoi tu ne peux pas grandir ? » « Quand vais-je pouvoir être fier de toi ? » Alors quelle est la solution ? Jésus ! « Il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! » (
    Ro 8.34). Faites-vous à cette idée. En présence de Dieu, au mépris de Satan, Jésus-Christ prend notre défense. Il joue le rôle d’un grand-prêtre. « Nous avons un grand-prêtre placé à la tête de la maison de Dieu. Approchons-nous donc de Dieu avec un cœur sincère et une entière confiance, le cœur purifié de tout ce qui donne mauvaise conscience » (Hé 10.21-22, BFC). Tout devient pur. Il n’y a plus ni accusation ni condamnation, non seulement pour nos erreurs passées mais aussi pour celles du futur. « C’est pour cela aussi qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (Hé 7.25). Alors croyez votre avocat, non votre accusateur !

     

     

     

     

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (2)

     

     

     

    Ro 8.33 

     

    Et Paul rajoute : « Car c’est Dieu qui les déclare non coupables. Qui peut alors les condamner ? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur » (v.33-34, BFC). Les accusations de Satan s’effondrent. Alors pourquoi, après avoir prié, les entendons-nous encore ? Pourquoi, en notre qualité de chrétiens, nous sentons-nous encore coupables ? Toute culpabilité n’est pas mauvaise. Dieu en utilise la dose adéquate pour nous sensibiliser au péché. Nous savons que c’est Dieu qui la provoque lorsqu’elle produit de l’indignation, de la crainte, un désir ardent de Dieu et un zèle à voir punir le mal (voir 2Co 7.11). La culpabilité venue de Dieu nous incite à changer. Celle qui vient de Satan, au contraire, nous rend esclave. Ne le laissez pas vous passer les menottes ! Rappelez-vous : « Votre vie est cachée avec le Christ en Dieu » (Col 3.3). Lorsque Dieu vous regarde, il voit d’abord Jésus. En caractères chinois, le mot « justice » est une combinaison de deux idéogrammes : la représentation d’un agneau et celle d’une personne. L’agneau est au-dessus et couvre la personne. Chaque fois que Dieu abaisse son regard sur vous, c’est ce qu’il voit : la perfection de l’agneau de Dieu qui vous recouvre. Une seule fois dans la Bible, nous voyons Jésus écrire. Il écrit sur le sable en disant à une femme adultère qu’elle vient juste d’être pardonnée : « Personne ne t’as condamnée. Va et ne pèche plus » (voir Jn 8.10-11). Voici donc votre parole du jour : croyez votre avocat, non votre accusateur !

     

     

    Bob Gass

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1 et 2)

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Apprendre à vaincre vos géants

     

     

     

    Apprendre à vaincre vos géants

     

     

     

    “La bataille appartient au Seigneur...” 1 S 17.47

    Un jour on amena devant Alexandre le Grand un soldat accusé d’avoir fui devant l’ennemi. Alexandre lui demanda : “Quel est ton nom?” Le soldat répondit : “Alexandre.” Alexandre le Grand le prit par les épaules et le secoua en criant : “Soldat, tu dois changer d’attitude ou changer de nom!” Et vous, vous avez été appelé à vivre une vie qui honore la personne dont vous portez désormais le nom !

    Quel que soit le “géant” que vous devez affronter, accoutumance à la drogue ou à l’alcool, amertume, peur, orgueil, attirance charnelle, convoitise ou colère, vous devez comprendre :

    1- que vous n’êtes pas le seul à lutter ! Les tentations qui vous assaillent “ne sont en rien différentes de toutes celles que les autres êtres humains ressentent...” (1 Co 10. 13 TP). Goliath n’était pas né géant : ses parents l’ont nourri et il a grandi peu à peu jusqu’à le devenir. Nos “géants” ont grandi à partir de “péchés véniels” auxquels nous n’avons pas prêté attention et que nous avons “nourris” jusqu’au jour où ils ont exercé une emprise sur nous et ont envahi notre vie.

    2- que vous ne pouvez pas vous en sortir tout seul ! Votre “géant” vous dominera chaque fois que vous essayerez de l’affronter en comptant sur votre propre force. David a dit à Goliath : “Cette bataille est celle du Seigneur, et c’est Lui qui te livrera entre nos mains” (1 S 17. 47 TP). Vous avez besoin de l’aide divine pour surmonter vos mauvaises habitudes et choisir un nouveau comportement. Imitez Paul en vous écriant : “Je suis capable de tout, grâce au Christ qui me rend fort” (Ph 4. 13).

    3- qu’il vous faut affronter votre “géant” de face et sans hésiter. La Bible dit : “David courut à toute vitesse pour affronter le Philistin” (1 S 17. 48). Ne prenez pas la fuite, n’essayez pas de trouver un compromis, refusez toute négociation, forcez votre géant à sortir de l’ombre et ne le laissez pas revenir dans votre vie. Evitez les mauvaises compagnies. Et surtout, n’évaluez jamais la force divine en fonction de celle de votre géant, mais plutôt la force de votre géant, en fonction de celle de Dieu!

     

     Bob Gass

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Cas désespérés

     

     

    Cas désespérés

     

     

     

    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 8, versets 41 à 48.

    Jaïrus se jeta aux pieds de Jésus […] parce qu’il avait une fille unique d’environ douze ans qui se mourait. […] Une femme atteinte d’une perte de sang depuis douze ans toucha le bord du vêtement de Jésus. Luc 8.41-44 


    Voici deux femmes dont les destins vont se croiser. La première, la fille de Jaïrus, n’a que 12 ans. Elle se meurt. La seconde souffre depuis 12 ans d’une perte de sang. Toutes deux sont des cas désespérés.

    En tant que chef de la synagogue, Jaïrus est un juif respectable. Il a très certainement essayé tout ce qui était possible pour sa fille. De même, la deuxième femme a dépensé tout son bien auprès des médecins. Ni l’une ni l’autre n’ont plus aucun espoir. Les deux vont, dans une même démarche très humble, vers Jésus-Christ. Et de manière comparable, les deux seront exaucés, au-delà de leur espérance, par leur foi placée en Jésus.

    Peut-être vous considérez-vous comme un cas désespéré ? Alors prenez courage, il existe un dernier recours ! En effet, Jésus-Christ s’intéresse à vous et vous aime. Quand bien même tout semble perdu, Dieu peut intervenir et vous manifester son aide toute particulière. Si la guérison n’est pas automatique, son secours et son appui quant à eux, sont certains.
    Tournez-vous vers lui avec confiance.

     

    Matthieu Gangloff
    (Source : vivreaujourdhui.com) 

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Des fardeaux trop lourds

     

     

    Des fardeaux trop lourds

     

     


     

    PSAUME 13

     

    Qu’est‑ce qui influence le plus votre moral : vos circonstances ou votre perspective ? Nous aimerions avoir une vie facile, agréable et prospère, mais nous vivons dans un monde déchu. Presque rien n’est comme il devrait l’être, mais notre point de vue déterminera comment nous aborderons nos difficultés et porterons nos fardeaux.

     

    Lorsque nous sommes anéantis, le monde peut nous sembler bien sombre, même si le soleil brille. Les oiseaux peuvent gazouiller, mais nous n’entendons que les pleurs de notre cœur. Nos fardeaux semblent si lourds qu’ils peuvent nous pousser à nous isoler, mais cette tendance ne fait que nous inciter à nous apitoyer sur notre sort et à désespérer davantage.

     

    Quand nous permettons aux paroles des Psaumes de nous pénétrer, elles nous invitent à nous approcher de Dieu et à trouver notre repos auprès de lui. Dans sa grâce, il nous a donné ce livre qui est non seulement merveilleux et réconfortant, mais qui nous présente de bonnes leçons !

     

    Dans le psaume cité en en‑tête, David est accablé. Il demande à l’Éternel : « Jusqu’à quand? » Avez‑vous déjà ressenti la même chose ? Il décrit ses ennuis et supplie Dieu d’intervenir, mais à la fin du psaume, il change de perspective et se rappelle la fidélité divine.

     

    Si vous avez l’impression de porter le poids du monde sur vos épaules, arrêtez‑vous et fixez les yeux sur le Seigneur. Souvenez‑vous d’une occasion où il vous a porté tandis que vous traversiez l’épreuve, et réjouissez‑vous en sa fidélité. Il ne vous a pas abandonné alors, et il ne le fera pas maintenant.

     

     

     

     

    (Source : Lumière du matin / encontact.org)

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Du réconfort pour les corps effrayés

     

     

     

    Du réconfort pour les corps effrayés

     

     

     

    La vie chrétienne n’est pas toujours un fleuve tranquille. Tous les croyants connaissent des mauvais jours, peu importe à quel point ils sont saints. Heureusement, la majorité des chrétiens réalise que Jésus est présent, non seulement quand les choses vont bien, mais aussi pendant les moments difficiles.

     

    Il est fidèle et se soucie de nous en tous temps.

     

    Il est touché par toutes les émotions que nous subissons.

     

    L’apôtre Paul a connu un mauvais jour alors qu’il traversait la Macédoine. “Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : luttes au dehors, craintes au dedans” (2 Corinthiens 7:5). Cet homme saint confesse que son être intérieur était en proie à la peur.

     

    Paul n’était pas un surhomme. Il était soumis aux mêmes émotions humaines que nous. Mais il avait une discipline et ne s’abandonnait jamais à ses émotions, ni aux tentations qui les accompagnent. Il a témoigné : “Je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations” (2 Corinthiens 7:4).

     

    Est-ce que c’est un mauvais jour pour toi, une mauvaise semaine, une longue période d’abattement ? Es-tu abattu, découragé, as-tu envie d’abandonner ?  

     

    Si c’est le cas, est-ce que tu te demandes comment Dieu va réagir à ton épreuve ? Va-t-Il te réprimander ou te punir ? Non, jamais ! Paul te dit que le Seigneur n’est jamais aussi proche de toi, jamais aussi prêt à t’aider que lorsque tu es abattu et que tu souffres.

     

    “Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque affliction !” (2 Corinthiens 1:3-4).

     

    Je crois que nos mauvais jours ont souvent pour but de nous apporter de la maturité. Quand tu poursuis ta marche avec le Seigneur, tu devrais être de plus en plus conscient que tu possèdes toutes les ressources nécessaires pour faire face à l’ennemi.

     

     

    David Wilkerson
    (Source : souffles de vie)

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    La paix soit avec vous

     

     

     

    La paix soit avec vous

     

     

     

     « La paix soit avec vous. » (Jean 20.19 ; 21 ; 26)

     

    A trois reprises, après la résurrection, c’est là le message que le Seigneur adresse à ses disciples.
    Ceux-ci, à cause de la crainte qu’ils avaient des Juifs, s’étaient repliés dans la chambre haute. Jésus se présente à eux, souffle sur eux, et leur demande d’accueillir le Saint-Esprit, afin que la paix qu’il procure, vienne chasser leur crainte, et les remplisse d’assurance.

     

    Alors que les difficultés surgissent de toutes parts, combien cette paix surnaturelle nous est nécessaire !
    Un ancien cantique proclame : « Oh la paix que Jésus donne, je ne la connaissais pas… « . Nous ne pouvons connaître cette paix, que si elle nous est donnée par Christ, par le moyen du Saint-Esprit.
    Alors que certains s’agitent et s’effraient, s’inquiètent et s’écroulent, lorsque cette paix de Dieu nous remplit, nous restons debout et nous avançons.

     

    Le récit du naufrage de Paul, dans le livre des Actes au chapitre vingt, nous montre la différence qu’il y a entre ceux qui n’ont pas cette paix surnaturelle, et celui qui la possède. Paul est serein, il encourage chacun à garder confiance.
    Être en paix quand tout va bien, c’est possible ; être en paix quand on a de l’argent, la santé, un travail, une famille…, c’est envisageable. Mais être en paix quand tout s’écroule, quand vous perdez votre travail, lorsque la santé fait défaut…, là il faut un miracle.

     

    Or, la volonté du Seigneur, c’est de nous accorder cette paix en toutes circonstances. Il est le prince de la paix. Il est le principe de la paix, l’origine de la paix ; voilà pourquoi Paul priait en demandant ceci : « Que le Seigneur de la paix vous donne lui-même la paix en tout temps, de toute manière ! » (2 Thessaloniciens 3.16).
    La paix en tout temps ! Cela signifie la paix dans toutes les circonstances de la vie, qu’elles soient bonnes ou mauvaises.

     

    Alors qu’un incendie s’était déclaré dans un pensionnat, beaucoup d’enfants affolés se blessèrent en se précipitant tous en même temps vers la sortie. La seule petite fille qui ne fut pas blessée fut la petite Sally ; son père était pompier et lui avait recommandé, en cas d’incendie, de rester tranquille en attendant les secours. Elle avait cru les paroles de son père, et cela lui permit de rester en paix !

     

    Un conseil pour ce jour :

    Alors que dans votre vie, la tempête fait rage, alors que les circonstances sont négatives, croyez aux paroles de celui qui a dit : « Je vous donne ma paix… Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point » (Jean 14.27).

     


     

     

    Paul Calzada
    (Source : lueursdumatin.fr)

     

     

     

     

    La paix soit avec vous

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Dieu veut multiplier vos forces

     

     

     

    Dieu veut multiplier vos forces !

     

     

     

    "Il donne de la force à celui qui est fatigué, et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance. Les adolescents se fatiguent et se lassent, et les jeunes hommes chancellent ; mais ceux qui se confient en l'Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles ; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point." Esaïe 40.29-31

     

     

     

    Dieu est le créateur de l’énergie. Et devant le créateur de l’énergie, la fatigue elle-même se fatigue ! Il est celui qui ne dort pas, qui ne ferme pas l’oeil, parce qu’il s’occupe de vous et de vos besoins constamment… même lorsque vous dormez !

     

    Avez-vous vu un aigle voler ? Il ne semble pas faire d'efforts. Un aigle "attrape" les courants ascendants et plane plus qu'il ne vole. Seul le décollage lui demande un réel effort, ensuite l'aigle ajuste sa trajectoire pour trouver puis rester dans le courant qui le porte.

     

    C'est ce que Dieu vous appelle à faire. Voler tel un aigle ! Prendre le courant de l'Esprit Saint et rester connecté à ce vent thermique de l'Esprit. Vous aussi, faites l'effort de venir dans sa présence, de décoller, d'entrer dans ses parvis.

     

    Alors que vous continuerez d’avancer, votre force va augmenter. Vous allez trouver des chemins tous tracés, et transformer la vallée des larmes en un lieu plein de sources et de ressources.

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Aujourd’hui, je choisis de laisser le Dieu de l’impossible prendre tout ce qui vole mon énergie : les conflits, l’inquiétude, le manque de sommeil... et je le laisse multiplier mes ressources. Je crois que parce que je continue d’espérer en son nom, la fatigue et la lassitude n’ont pas de pouvoir sur moi et, même si elles reviennent, je ne dépends plus d’elles. Amen !

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    "Je suis" est pour toi

     

     

    "Je suis" est pour toi

     

     

    "Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ? Il n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous : comment ne nous donnerait-il pas tout avec son Fils ? Qui accusera ceux que Dieu a choisis ? Personne, car c’est Dieu qui les déclare non coupables. Qui peut alors les condamner ? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur." Romains 8.31-34

     

    Vous est-il déjà arrivé de lever les yeux au ciel et de dire : “Seigneur, où étais-tu, quand… ? Où étais-tu quand le malheur a frappé ma famille ? Quand j’ai traversé la maladie, le rejet, l’incompréhension ?”

     

    Si Dieu est pour vous, qui peut se tenir contre vous ?

     

    Dieu vous dit : “Je suis avec toi ! J’ai toujours été avec toi, et je serai toujours avec toi. Dans toutes tes situations, je suis à tes côtés. Je suis Dieu, je suis tout-puissant, je suis “je suis”, de toute éternité. Et je suis pour toi. Je ne me contente pas de t’accompagner : j’intercède pour toi, je te supporte, je te couvre de mon amour, je te comprends, je te garde, je te délivre de toute forme de condamnation, parce que le prix de toute culpabilité a été payé par mon Fils sur la croix.”

     

    Si Dieu est pour vous, qui peut se tenir contre vous ? Quelle circonstance désagréable peut vous arrêter ? Quel problème de santé, quelle injustice, quelle moquerie peut vous stopper ? Aucune arme forgée contre vous ne peut prospérer car vous n’êtes jamais seul(e). Jésus a tout accompli. Oui, "Je suis" est avec vous !

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, mon âme exulte de reconnaissance pour ta présence victorieuse à mes côtés, chaque jour de ma vie, et en toutes circonstances. Merci d’être avec moi, merci pour ta faveur sur ma vie, merci parce que rien ne peut me séparer de ton amour !

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    La vie ne abondance

     

     

     

    La vie en abondance

     

     

     

     

     

    (Jésus dit:) Moi, je suis venu afin que mes brebis aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance. Moi, je suis le bon Berger. Jean 10. 10, 11
    Rejetez sur lui tout votre souci, car il prend soin de vous. 1 Pierre 5. 7

     

    Un gardien de prison trouve toutes les portes de la prison ouvertes. Il est désespéré et sur le point de se tuer, quand un de ses prisonniers, l'apôtre Paul, crie d'une voix forte: “Ne te fais point de mal, car nous sommes tous ici”. L'homme pose alors une question: “Que faut-il que je fasse pour être sauvé?” (Actes 16. 28, 30). Son désespoir de gardien pris en défaut n'a plus de motif, mais il se voit, pécheur, devant Dieu. Il pose alors la question! La réponse brève et simple est immédiate: “Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, toi et ta maison” (Actes 16. 31). D'un côté ce besoin fondamental de vivre, de l'autre cette simple invitation à croire que Dieu veut donner la vie éternelle. La suite du récit montre comment le gardien de prison a répondu à cette offre et s'est converti. Sa vie a été changée dès ce moment-là.

     

    Aujourd'hui encore, combien de personnes “au bout du rouleau” sont tentées d'en finir avec la vie! Les statistiques montrent que le suicide est en France l'une des principales causes de mortalité chez les jeunes. Pour Dieu, il n'y a pas de cas désespéré, il offre à tous une solution pour prendre un nouveau départ, et avoir une vie heureuse avec lui. Cette solution, c'est la foi en Jésus son Fils, qui a donné sa vie pour nous acquérir le pardon de Dieu et la vie éternelle, une vie “en abondance”. Il ne nous promet pas une vie sans soucis, sans épreuves, sans pleurs, mais il nous assure d'être à nos côtés. Il nous demande de lui abandonner tout ce qui nous pèse. Nous pouvons nous laisser porter par lui et savourer son amour indéfectible.

     

     

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Le pardon libérateur

     

     

    Le pardon libérateur

     

     

     

     « Alors Pierre s’approcha de lui, et dit : Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il péchera contre moi ? Sera-ce jusqu’à sept fois ? » (Matthieu 18.21)

     

    En Afrique du Sud, il y a eu une commission « Vérité et Réconciliation » devant laquelle environ quinze-mille victimes de l’apartheid se sont présentées devant leurs bourreaux pour parler des injustices et des tortures qu’elles avaient subies. Plus de cinq mille tortionnaires étaient présents. Ils ont admis leurs crimes et ont été amnistiés. Après le génocide au Rwanda, dans le cadre d’une action de réconciliation, certains de ceux qui avaient participé au génocide ont demandé pardon aux victimes rescapées et aux parents des victimes défuntes, cette démarche a permis d’entreprendre un processus de libération pour ceux qui avaient publiquement demandé pardon.

    Selon certaines études faites par des psychologues, il y aurait deux fois moins de monde en hôpital psychiatrique si les gens savaient pardonner et se savaient pardonnés.

    A Pierre qui lui demandait combien de fois nous devions pardonner, Jésus dira soixante-dix fois sept fois. Ce qui est une métaphore pour dire « Il te faut pardonner sans limite ».

    Le non pardon peut s’exprimer de manière violente : vengeance, ou agression verbale ; il peut se manifester d’une manière larvée et sournoise : ressentiment, critique, victimisation de soi. Quelle que soit la forme prise, le non pardon est destructeur, il aliène les personnes et peut conduire à certaines formes de dépressions. A l’opposé, le pardon libère et restaure.

     

    Quelle que soit la blessure subie ou l’offense qui vous a été faite, si vous ne les traitez pas par le pardon, vous entrerez dans une spirale destructrice.
    Certains ont du mal à pardonner car ils ne savent pas ce qu’est le pardon. Le pardon est à la fois un acte humain, notre volonté y joue un rôle important, mais aussi un acte divin. Dans certaines situations particulièrement douloureuses il est le résultat d’un miracle de grâce.
    Lorsque ce miracle se produit, c’est parvenir à une forme de libération intérieure qui conduit à la paix.
    Ne vous sentez pas culpabilisés si vous n’arrivez pas à pardonner, mais demandez à Dieu qu’il vous accorde cette grâce, il est fidèle pour faire ce miracle en vous.

     

    Ma prière en ce jour :
    Seigneur, tu connais cette situation douloureuse que je traverse. Je sais que le pardon est ce que tu me demandes, alors remplis-moi de ton pardon pour que j’aie la force de pardonner. Amen.

     

     

    Paul Calzada

    (Source : lueursdumatin.fr)

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique