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* RONDE DE MEDITATIONS *
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Par Lilia-Isabelle le 21 Novembre 2024 à 00:12
L’entrave de la peur
Nul besoin de craindre, car le Tout-Puissant nous accompagne et promet de nous aider.
PSAUME 27.1-4
Depuis la chute, la crainte s’est intégrée à nos émotions. Quand Adam et Ève se sont rebellés contre Dieu, ils se sont cachés de lui, car ils le redoutaient (Genèse 3.10). Les choses n’ont pas beaucoup changé. Nous sommes souvent motivés ou influencés par une peur qui nous empêche de nous aventurer en territoire inconnu. Utilisons la vérité pour vaincre la peur. Souvenons-nous que Dieu :
- est tout-puissant. Jésus nous a libérés de l’esclavage du péché; le diable ne domine plus sur notre vie. En outre, nous n’avons plus à redouter une séparation éternelle d’avec Dieu. La mort de Jésus nous ouvre la porte du ciel, où nous vivrons éternellement avec lui.
- est sans cesse avec nous. En envoyant Josué dans la Terre promise, l’Éternel lui a promis de toujours l’accompagner (Josué 1.5,9). Jésus nous procure le même genre d’assurance (Matthieu 28.20). Non seulement Dieu se tient près de nous, mais par son Saint-Esprit, il vit en nous.
- s’implique dans notre vie. Dieu a promis de nous aider, et il tient toujours parole (Nombres 23.19).
Dieu lui-même est la raison pour laquelle nous ne devrions pas craindre. Armés des vérités ci-dessus – sa toute-puissance, sa présence et son implication –, libérons-nous de la peur.
(Source : encontact.org)
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Par Lilia-Isabelle le 20 Novembre 2024 à 00:12
Une porte étanche
Lecture proposée : Genèse 7, versets 1 à 10.
Il en entra (dans l’arche), mâle et femelle, de toute espèce, comme Dieu l’avait ordonné à Noé. Puis l’Éternel ferma la porte sur lui. Genèse 7.16
Sur un navire de guerre, les portes étanches sont une nécessité. Quand l’appel au poste de combat retentit, le service sécurité doit veiller à ce que les portes et panneaux étanches soient tous fermés et verrouillés. J’ai eu ce rôle sur un porte-avions. L’une de nos questions était : « Que ferions-nous si nous recevions l’ordre de fermer l’une de ces portes en sachant qu’il reste encore des hommes dans la partie inondée du navire ? »
Noé n’a pas eu à s’en soucier : il avertit ses contemporains du prochain déluge, sans que personne ne le prenne au sérieux1, puis Dieu ferma la porte sur lui pour le sauver du déluge.
De la même manière, Jésus nous avertit que notre monde va sombrer, et il nous invite à franchir une porte avant qu’il ne soit trop tard. Jésus dit en effet : En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. C’est moi qui suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé.2
Le monde actuel est aussi corrompu que celui du temps de Noé, et Dieu annonce qu’il va mettre fin à tout cela. Il nous invite à entrer dans le royaume des cieux avant la fin de ce monde. La porte de ce royaume est Jésus. Allons à lui, franchissons ce qui nous sépare de lui et entrons dans le salut qu’il nous offre.
Alain Monclair
1 Luc 17.26-27, 2 Pierre 2.5
2 Jean 10.7 et 9
(Source : vivre aujourd’hui / éditions.caef.net)
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Par Lilia-Isabelle le 19 Novembre 2024 à 00:12
A propos de priorités (1)
“Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous généreusement et sans faire de reproche, et elle lui sera donnée”. Jc 1. 5
Tant de choix se présentent à nous chaque jour qu’il est difficile de s’y retrouver. Etablir des priorités s’avère donc essentiel, malgré les difficultés que cela nous pose. Comment choisir lorsque deux activités de la même importance s’offrent à vous ? Un écrivain américain bien connu a confessé qu’un jour il a dû faire un choix très difficile : il a reçu une invitation à accompagner plusieurs leaders chrétiens à la Maison Blanche pour y rencontrer le Président. Mais le même jour son fils devait jouer une finale régionale dans l’équipe de baseball de son école. Pour son fils c’était une occasion d’une très grande importance et il avait demandé à son père d’y assister et de l’encourager. Cet auteur a résolu ce dilemme en choisissant d’accompagner son fils. Il écrivit ensuite dans son blog : “Mon absence à la Maison Blanche n’a pas été remarquée, le Président a continué son travail sans mon aide, les affaires de l’état n’ont pas été affectées par mon absence, mais par contre mon fils était aux anges parce que son papa était dans les gradins et s’époumonait pour l’encourager. En rentrant il m’a assuré que cela avait été le plus beau jour de sa vie et qu’il ne l’oublierait jamais…” Si vous vous trouvez devant ce genre de choix “cornélien” que devez-vous faire ? Les questions suivantes pourraient vous aider à faire le bon choix : 1- Lequel des choix qui se présentent à vous contribue le plus au bien-être de votre famille, ou, si vous êtes célibataire, correspond le mieux aux buts de votre vie. Suivre la volonté de Dieu ne doit pas créer de conflits. Quelle est la plus importante chose dans votre vie à ce moment précis ? 2- Mon choix risque-t-il de causer du mal à ma famille ou à quelqu’un que j’aime ? La personne qui n’écoute que ses intérêts personnels est simplement égoïste. Pasteur ou autrse leaders spirituels, ne sacrifiez pas votre famille et son bien-être à vos responsabilités d’église. Trop d’enfants de missionnaires se sont plaints d’avoir été délaissés par leurs parents. L’un d’eux a dit un jour : “Je sais que mes parents aimaient les indigènes parmi lesquels ils œuvraient, mais je ne suis pas sûr qu’ils m’aimaient.” Voyons demain quelques autres questions vitales.
A propos de priorités (2)
“Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous généreusement et sans faire de reproche, et elle lui sera donnée”. Jc 1. 5
Voyons aujourd’hui trois autres questions que nous devrions nous poser à nous-mêmes avant de faire un choix : 1- Si je choisis de ne pas faire telle ou telle chose, est-ce que cela aura de l’importance, sachant que nous ne pouvons pas tout faire. Jésus n’a pas guéri tous les gens qui étaient près de Lui à un moment donné, mais certains. Par exemple, parmi “une multitude de malades, d’aveugles, d’infirmes et d’estropiés”, Il ne guérit qu’un seul homme allongé près du bassin depuis 38 ans (Jn 5. 2-9). A plusieurs occasions Il renvoya les foules afin de s’isoler, soit avec ses disciples, soit tout seul pour communiquer avec Son Père. Sa priorité alors était d’être au calme, loin des pressions des autres. Si vous faites la même chose, ne vous sentez pas coupable ensuite, puisque vous imitez votre maître ! 2- Quel est le meilleur usage de mon temps et de mon énergie ? Nous ne sommes qu’humains, et nos ressources ne sont pas illimitées. Vous devez faire vos choix en fonction aussi de votre énergie et de vos ressources à un moment donné. 3- Suis-je prêt à mettre quelque tâche de côté afin de poursuivre un but qui m’intéresse davantage ? Devrais-je ensuite payer un coût élevé pour ce choix que j’ai fait ? Nous avons tous des préférences, certaines tâches étant plus excitantes que d’autres. Réfléchissez, avant de faire le moindre choix à ce qu’il vous en coûtera de l’assumer. La vie est faite de beaucoup de routines, concernant votre famille, votre emploi, votre rôle dans l’église. Choisir l’aventure peut s’avérer très amusant et faire battre votre cœur un certain temps, mais ensuite, regretterez-vous ce choix ? 4- Avez-vous prié pour être rempli de sagesse ? Jacques a écrit : “Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu qui donne à tous généreusement.. et elle lui sera donnée.” Paul a écrit : “Rachetez le temps, car les jours sont mauvais” (Ep 5. 16). Les jours ne sont pas meilleurs aujourd’hui !
Bob Gass
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Par Lilia-Isabelle le 18 Novembre 2024 à 00:12
Un berger face au pharaon
L’Ange de l’Éternel apparut [à Moïse] dans une flamme de feu, du milieu d’un buisson à épines ; il regarda : le buisson était tout ardent de feu, mais le buisson n’était pas consumé. Exode 3. 2
Moïse, né en Égypte, adopté par la fille du Pharaon, se retrouve finalement berger pendant de longues années dans le désert, s’occupant du bétail de Jéthro, son beau-père. On peut penser que dans ce désert, ce faible berger n’a plus, aux yeux des hommes, aucune puissance, aucune position dans le monde. Et pourtant, c’est ce berger sans ressources que Dieu va choisir pour mener son troupeau à Lui jusqu’à la terre promise.
À Horeb, la montagne de Dieu, appelée aussi le Sinaï, Dieu se révèle à Moïse en attirant son attention par une “grande vision” (v. 3) : un buisson en flamme qui ne se consume pas. Alors qu’il va le renvoyer en Égypte pour arracher le peuple d’Israël au pouvoir du Pharaon, l’Éternel encourage Moïse par cette vision : le buisson représente Israël, et le feu la persécution que les Israélites subissaient de la part des Égyptiens. Mais Dieu ne permettrait pas qu’Israël soit consumé par l’opposition de ses ennemis. Il permet au feu de brûler, mais il limite son action. Dieu dit alors à Moïse qu’il est là sur une terre sainte : cette vision nous présente aussi la croix de Christ, quand le terrible feu du jugement de Dieu est tombé sur lui à cause de nos péchés. Ce feu ne l’a pas consumé. Le Seigneur Jésus a subi tout le feu du jugement de Dieu, et il en est sorti victorieux par sa résurrection.
Pendant 40 longues années de formation dans le désert de Madian, Dieu avait employé différentes circonstances pour préparer Moïse à ce moment où il l’enverrait en Égypte, pour délivrer les Israélites de leur esclavage (v. 10). Peut-être Moïse, alors âgé de 80 ans, pensait-il qu’il avait dépassé l’âge d’être employé par Dieu ? Mais Dieu savait que, 40 ans plus tôt, Moïse n’était pas prêt, et que désormais il l’était.
Dieu n’emploie pas quelqu’un pour sa force, mais plutôt, sans aucun doute, à cause de sa faiblesse. “Dieu a choisi les choses faibles du monde” (1 Corinthiens 1. 27). “Car lorsque je suis faible, alors je suis fort” (2 Corinthiens 12. 10).
L.M. Grant
(Source : Le Seigneur est proche / editeurbpc.com)
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Par Lilia-Isabelle le 17 Novembre 2024 à 00:12
La force de l’espérance en ses promesses
Gardons les yeux fixés sur Jésus, qui nous a ouvert le chemin de la foi et qui la porte à la perfection. Parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée, il a enduré la mort sur la croix, en méprisant la honte attachée à un tel supplice, et désormais il siège à la droite du trône de Dieu. Hébreux 12.2
Certaines situations sont parfois tellement douloureuses que, sur le coup, nous n’avons aucune solution, comme si nous ne comprenions pas ce qui est en train de nous arriver. La pression peut être si intense que nous ne savons pas quoi faire. Pourtant, quelle que soit la situation, nous devons garder en vue l’espoir. Jésus lui-même n’a jamais abandonné et s’est accroché à l’espoir au moment le plus sombre de sa vie sur terre.
Lorsque nous lisons Hébreux 12.2, nous voyons que son espérance était la "joie qui lui était réservée". Cette joie future était l’espérance sur laquelle il s’appuyait ; elle lui donnait la force suffisante pour traverser les difficultés du moment présent.
Peut-être pleurez-vous aujourd’hui, mais gardez espoir. Comme pour Jésus, une joie vous est réservée.
L’espérance est indispensable à la vie et à notre équilibre intérieur. Le désespoir est un signe de l’incomplétude humaine. J’ai entendu quelqu’un dire que "tous les domaines de notre vie dépourvus d’espérance sont sous l’influence d’un mensonge du diable".
J’aimerais vous rappeler que ses promesses pour vous sont toutes vraies. N’abandonnez pas votre espérance. Gardez espoir en ses promesses, même si elles ne sont pas encore réalisées ; elles vous donneront la force d’endurer l’adversité d’aujourd’hui. Ne laissez pas les circonstances voler votre espérance, mais laissez ses promesses affermir votre espérance.
Jésus-Christ est notre espérance. Cette espérance en lui est comme un refuge qui met votre âme à l’abri dans les tempêtes d’aujourd’hui !
Stève Rivière
(Source : TopChrétien)
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Par Lilia-Isabelle le 16 Novembre 2024 à 00:12
La vue depuis la montagne de la grâce
Je bénirai l’Éternel en tout temps ; sa louange sera continuellement dans ma bouche. Psaume 34. 2
Le Psaume 34 est un témoignage exceptionnel de la profonde relation qu’avait David avec Dieu. Considérez les circonstances concernant ce psaume, telles qu’elles sont données dans le premier verset : “De David, quand il dissimula sa raison devant Abimélec, qui le chassa, et David s’en alla”.
Par crainte de Saül, David avait emmené ses hommes et leurs familles dans le pays des Philistins. À cause de sa fausse position, sa vie était menacée. Alors, pour sauver sa vie et celle de ses hommes, il n’a pas d’autre solution que de se faire passer pour fou !
Mais ce qui est extraordinaire, c’est qu’en repensant à cet incident, il ne voit que la main de Dieu qui le délivre et agit en grâce pour lui. Il ne rappelle pas du tout sa propre folie, mais il célèbre la bonté de Dieu : “Goûtez et voyez que l’Éternel est bon !” (v. 9). Mais de lui-même, il dit simplement : “J’ai cherché l’Éternel et il m’a répondu, il m’a délivré de toutes mes frayeurs” (v. 5). “Cet affligé a crié, et l’Éternel l’a entendu, il l’a sauvé de toutes ses détresses” (v. 7).
Certainement, dans sa confession personnelle devant l’Éternel, David avait dû dire, comme Asaph : “Il s’en est fallu de peu que je ne perde pied, d’un rien que mes pas ne glissent” (Psaume 73. 2) ; mais il a dû aussi comprendre : “Si j’avais dit : Je parlerai ainsi, voici, j’aurais été infidèle à la génération de tes fils” (v. 15).
Il y a “un temps de se lamenter, et un temps de sauter de joie” (Ecclésiaste 3. 4). Et il y a un temps et une manière de parler de chacune de ses expériences de cœur. Mais la bonne nouvelle est qu’avec Dieu, “le soir les pleurs viennent loger avec nous, et le matin il y a un chant de joie” (Psaume 30. 6). Dans ce Psaume 34, David semble danser de joie et en chercher d’autres pour danser avec lui ! “Magnifiez l’Éternel avec moi, et exaltons ensemble son nom” (v. 4).
Au premier verset, lorsque David a regardé la vallée des manquements, il a pleuré. Mais quand sa vision s’ouvre sur la haute montagne, il voit la grâce de Dieu ! C’est cette vue-là qui remplit son cœur. Et c’est depuis là-haut qu’il chante !
L. Reeves
(Source : Le Seigneur est proche / editeurbpc.com)
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Par Lilia-Isabelle le 15 Novembre 2024 à 00:12
Les fardeaux déchargés sur Lui
Décharge-toi de ton fardeau sur l'Éternel, et il te soutiendra; il ne permettra jamais que le juste soit ébranlé Psaumes 55:23
Ce fardeau est lourd: laisse-le au Tout-Puissant. Tant que tu le portes, il t'écrase; mais pour son bras, il ne pèse rien. Si cependant Dieu t'appelle à le porter encore, il te soutiendra. Le fardeau sera sur toi, mais ne t'accablera pas. Tu seras si bien soutenu que ce sera une bénédiction. Appelle le Seigneur à ton secours, et tu pourras te tenir debout sous le poids qui, sans lui te courberait en deux.
Notre plus grande crainte est que notre épreuve ne nous éloigne du sentier du devoir; mais le Seigneur ne permettra pas cela. Si nous sommes sincères devant lui, il ne souffrira pas que notre affliction nous écarte de la droite conduite. En Jésus il nous reçoit comme justes, et en Jésus il nous garde aussi.
Et pour le moment présent? Penses-tu aller seul au-devant des épreuves de ce jour? Veux-tu que tes pauvres épaules soient encore écrasées par la charge qui t'écrase? Abandonne cette folie. Dis toute la peine au Seigneur et remets-la lui. Ne jette pas ton fardeau à terre pour le reprendre aussitôt; mais décharge-t-en sur l'Eternel et le lui laisse une fois pour toutes. Alors tu marcheras à l'aise comme un jeune croyant, déchargé désormais de souci et chantant les louanges du grand Libérateur.
Charles Spurgeon
(Source : Les Trésors de la Foi)
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Par Lilia-Isabelle le 14 Novembre 2024 à 00:12
Lutter contre satan
« Nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les esprits du mal » Éphésiens 6.12
Avant de livrer bataille, Joab dit à son frère : « Si les Syriens sont plus forts que moi, tu viendras à mon secours ; et si les Ammonites sont plus forts que toi, je te porterai secours » (1Ch 19.12). Si l’un était en difficulté, l’autre pouvait intervenir et l’aider. Il en va de même lors des combats spirituels, mais cette fois, on ne lutte pas « contre la chair et le sang, mais contre les principautés, les pouvoirs, les dominateurs des ténèbres, les esprits du mal dans les lieux célestes ». La bataille se fait au corps-à-corps, ce qui implique de s’approcher de l’adversaire, d’aller à sa rencontre.
Quand David a affronté Goliath, le géant était si sûr de lui qu’il a dit à tout Israël : « S’il me tue, nous serons vos esclaves ; mais si je le tue, vous serez nos esclaves » (1S 17.9). Si Goliath l’emportait, le peuple de Dieu passerait sa vie à servir l’ennemi ! Les enjeux étaient élevés pour Israël, et ils le sont aussi pour nous. Satan cherche à nous vaincre, et si on lutte selon les règles de la chair, on perdra. Tout comme les lutteurs ont des règles à suivre lors des combats, il existe des règles spirituelles incontournables. Paul dit : « Les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais puissantes devant Dieu pour renverser des forteresses » (2Co 10.4). Le seul espoir de vaincre Satan réside dans la prière, la communion fraternelle, la Parole de Dieu, le nom de Jésus et le sang de Jésus. Ce sont les cinq plus grandes armes disponibles pour vaincre l’Ennemi. C’est le moment de s’en servir !Bob Gass
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Par Lilia-Isabelle le 13 Novembre 2024 à 00:12
Vaincre ses peurs
« L'amour parfait bannit la crainte » 1 Jean 4.18
Selon les psychiatres, il existerait près de deux mille peurs différentes ! L’être humain n’a que deux craintes innées : les chutes et les bruits trop forts. Toutes les autres craintes sont apprises au cours de l’existence. Mais on peut aussi les désapprendre ! La vie nous façonne à travers quelques expériences déterminantes qui peuvent produire un sentiment soit de confiance soit d’incertitude. Elles peuvent susciter de l’espoir ou nous rendre vulnérables, provoquer la foi ou la peur. Jean exprime l’objectif final de notre relation avec Dieu : « Il n’y a pas de crainte dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte » (v.18). Les mots « amour parfait » ne décrivent pas notre amour pour Dieu, mais plutôt l’amour inconditionnel, immérité et infaillible de Dieu pour nous.
Un pasteur écrit : « Le but de l’amour est justement de ne pas avoir peur ! En grandissant dans une relation d’amour avec Dieu, on désapprend les peurs qui nous paralysent. La foi chasse nos craintes irrationnelles. La seule crainte ordonnée par Dieu est la crainte de Dieu. Et si on craint Dieu, si on l’aime, si on l’honore, on n’a plus à craindre quoi que ce soit. Désapprendre ses peurs, c’est apprendre à faire toujours plus confiance à Dieu. » Voici l’une des plus grandes promesses de Dieu dans la Bible : « Je ne te délaisserai pas ni ne t’abandonnerai. C’est pourquoi nous pouvons dire avec courage : Le Seigneur est mon secours ; je n’aurai pas de crainte. Que peut me faire un homme ? » (Hé 13.5–6).Bob Gass
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Par Lilia-Isabelle le 12 Novembre 2024 à 00:12
Le syndrome de l’imposture (1)
« Notre capacité vient de Dieu » 2 Corinthiens 3.5
Le syndrome de l’imposture pousse à croire que ce que l’on fait de mieux n’est pas assez bien. Il trouve souvent son origine dans l’enfance, lorsque nos parents, nos enseignants ou toute personne que l’on considérait comme importante ne nous appréciaient pas à notre juste valeur, nous rabaissaient tout le temps, ou nous comparaient aux autres. Moïse se sentait incapable d’être le porte-parole et le libérateur des Israélites. Michael Jackson s’efforçait d’atteindre la perfection physique et professionnelle. Qui pourrait mesurer le nombre de rêves abandonnés à cause de ce sentiment paralysant ? Pour s’en débarrasser, il y a deux vérités à prendre en compte. 1) Sans Dieu, on est inadapté, c’est certain. 2) Par la puissance de Dieu, on peut relever tous les défis qu’il met devant nous ! Paul écrit : « Non que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose, mais notre capacité vient de Dieu. Il nous a aussi rendus capables d’être ministres d’une nouvelle alliance » (v.5–6). De nombreux héros de la Bible ont connu la peur de ne jamais y arriver. Moïse disait à Dieu : « Je ne suis pas capable d’aller parler à Pharaon, envoie quelqu’un d’autre ! » (voir Ex 3.11 ; 4.13). Pourtant, tous ont surmonté leurs craintes et dit oui à Dieu. Ils ont fait un pas de foi en déclarant : « Seigneur, je m’en remets à toi pour réussir. » Par nature, notre ego aime se mettre en valeur et s’attribuer tous les mérites. Mais Dieu nous place dans une position de dépendance forcée, de sorte que le mérite revient à lui seul.
Le syndrome de l’imposture (2)
« Ma puissance s'accomplit dans la faiblesse » 2 Corinthiens 12.9
Tout d’abord, reconnaître ses lacunes. Joni Eareckson Tada disait : « Niez votre faiblesse, et vous ne réaliserez jamais la puissance de Dieu en vous ! » Dieu dit à Paul : « Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse ». Tout ce qui permet de s’appuyer sur Dieu est un plus, et non un moins. Ensuite, il faut cesser de se dévaloriser. Dieu n’appelle pas les qualifiés, il qualifie les appelés. Comment ? En les remplissant de son Esprit. Il est dit : « Je répandrai mon Esprit sur toute chair ; vos fils et vos filles prophétiseront, vos anciens auront des songes, et vos jeunes gens des visions » (Joe 3.1–2). Dieu ne regarde pas à l’âge, au sexe ou au statut. La seule limite qu’il connaisse, c’est celle que l’on s’impose à soi-même, ou que l’on permet aux autres d’imposer. Enfin, il est important de ne pas croire à tous ces mensonges ! Les publicitaires dépensent des milliards pour nous persuader que sans leurs produits, il nous manquera toujours quelque chose. Disons plutôt comme David : « Je te célèbre, car je suis une créature merveilleuse » (Ps 139.14). Enfin, vouloir considérer l’excellence ou la performance de l’autre comme une source de motivation, et non d’intimidation. N’oubliez pas que vos talents sont uniques au monde. La Bible dit : « Nous avons des dons différents, selon la grâce qui nous a été accordée » (Ro 12.6). Vos dons n’ont peut-être pas encore été détectés, développés ou utilisés, mais ils sont en vous. Aujourd’hui, débloquez-les et servez-vous-en !
Bob Gass
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Par Lilia-Isabelle le 11 Novembre 2024 à 00:12
Êtes-vous remplis d’espoir ?
La foi est une façon de posséder ce qu’on espère, c’est un moyen d’être sûr des réalités qu’on ne voit pas. Hébreux 11.1
Lorsque vous pensez à l'avenir, êtes-vous remplis d'espoir ou d'appréhension ? Ceux qui ont expérimenté la fidélité de Dieu dans le passé ont tendance à être plus optimistes quant à leur avenir. Ils savent qu'une situation terrible peut évoluer en un témoignage merveilleux en quelques instants.
Au contraire, ceux qui ont perdu tout espoir sont enclins à voir la vie par le filtre de l'appréhension. L'appréhension, cette proche cousine de la crainte, vole la capacité à se réjouir du quotidien et rend les gens anxieux au sujet de leur avenir. L'espoir est le contraire de l'appréhension et un proche parent de la foi. Lorsque notre foi est en Dieu, elle nous mène à l'espoir. Notre vision de la vie et de notre avenir devient alors positive.
L'espoir nous permet d'abandonner nos questions sans réponses entre les mains de Dieu ; Il nous donne la force de rester paisible et nous permet de croire le meilleur pour les jours à venir. Vous aussi, vous pouvez vivre avec cet espoir si vous placez votre confiance en l'amour de Dieu. Il est capable de pourvoir à vos besoins et de vous conduire dans chaque situation.
Ma prière pour aujourd'hui :
Seigneur, je choisis de placer ma foi en toi, sachant qu'elle va se transformer en espoir. Je n'ai pas à appréhender l'avenir, parce que tu peux prendre soin de moi. Aujourd'hui, je place mon espoir en toi.Joyce Meyer
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