• * RONDE DE MEDITATIONS *

     

    *RONDES DE MEDITATIONS*

     

    Sommaire : 

     

    - n° 0001 à 0500 : ici

    - n° 0501 à 1000 : ici

    - n° 1001 à 1500 : ici

     - n° 1501 à 2000 : ici 

     - n° 2001 à 2500 : ici

    - n° 2501 à 3000 : ici

    - n° 3001 à 3500 : ici

     

    - n° 3501 à 4000 :   ici 

     

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    N’ayez pas peur, vous êtes en sécurité dans les mains de Dieu

     

     

     

    N’ayez pas peur,


    vous êtes en sécurité dans les mains de Dieu

     

     

     

    Que votre cœur ne se trouble point; croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père; si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et quand je serai parti, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et vous prendrai avec moi, afin qu’où je serai, vous y soyez aussi. Jean 14.1-3

     

    Certes, les raisons d’être troublés ne manquent pas ici-bas. Néanmoins, le Seigneur Jésus nous engage à garder nos cœurs de cela. Il nous invite à la confiance. Il nous invite à croire en Dieu, et en Lui. Non, ne laissons pas la peur nous remplir d’effroi. Ne la laissons pas neutraliser notre foi. Voici, dans ce monde hostile, nous marchons comme voyant Celui qui est invisible. C’est avec raison que nous proclamons cette parole extraordinaire: « Si Dieu est avec nous, qui sera contre nous? » Ne nous redonne-t-elle pas courage? Nous ne sommes pas seuls, jamais.

     

    Finalement, l’épreuve n’est rien d’autre sinon l’occasion de le constater par expérience. Notre assurance est en l’Éternel, nous n’avons aucune mauvaise nouvelle à craindre. Que nos lecteurs le remarquent bien, nous ne disons pas qu’il n’y en aura pas. Ce serait un mensonge. Par contre, au milieu des afflictions, le bon Berger sera toujours auprès de nous. Telle est notre douce assurance. C’est Son bâton et Sa houlette qui toujours nous rassurent. Ceci nous immunise-t-il contre les larmes? Cela nous rend-il insensible à la souffrance et aux douleurs? Non, le prétendre serait mentir. Personne ne peut y échapper. Par contre, la paix que le Seigneur Jésus donne, nul ne peut nous en priver. Notre foi est dans Son Nom. Quoi qu’il arrive, quoi que nous puissions ressentir, par Sa grâce, il en sera ainsi. Même si tout s’écroule sous nos pieds, même si nos corps dépérissent, nous le savons, ayant tout abandonné entre Ses mains puissantes, nous ne pourrions être nulle part plus en sécurité.

     

    C’est une absolue certitude, ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les principautés, ni les puissances, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature, ne pourra nous séparer de l’Amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.

     

     

     

    (Source : Unmessagedamour.fr)

     

     

     

    N’ayez pas peur, vous êtes en sécurité dans les mains de Dieu

     

     

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    Ce sera toujours le Seigneur qui aura le dernier mot

     

     

     

    Ce sera toujours le Seigneur qui aura le dernier mot

     

     

     

     

     

    Alors une femme, qui avait une perte de sang depuis douze ans, et qui avait dépensé tout son bien en médecins, sans avoir pu être guérie par aucun, S’approchant de lui par-derrière, toucha le bord de son vêtement; et à l’instant, sa perte de sang s’arrêta. Luc 8.43-44

     

    Quelle grande consolation, Dieu nous a donné un puissant Sauveur! Nous pouvons prendre courage et marcher. Celui qui est la résurrection et la vie nous précède. Sans aucun doute, forts de cette assurance, nous avons la liberté de traverser cette vie en toute sérénité. Pourquoi craindrions-nous encore la mort ou la maladie? Si toute la science et la technique des hommes ne suffisent pas à soulager nos maux, céderions-nous au désespoir? Non, bien évidemment!

     

    Si l’homme arrive au bout de ses ressources et qu’il ne nous laisse aucun espoir de guérison, ne baissons pourtant pas les bras! Peut-être son diagnostic, implacable, sonne comme une sentence de mort. Néanmoins, qui connaît le nombre de nos jours sinon Dieu? Non, ne nous laissons pas désarçonner ni démolir par ces paroles destructrices. Réalisons-le, ce ne sont que des paroles d’hommes. C’est un fait, l’action humaine est limitée. Après avoir tout essayé sans résultat, il ne peut que faire le constat de son impuissance. Au contraire, l’action de Dieu ne s’embarrasse d’aucun obstacle! Il envoie Sa Parole qui ne revient jamais à Lui sans avoir accompli ce pour quoi Il l’a envoyée. Notre assurance ne se trouve certes pas dans le bras de la chair! Notre confiance est dans le Seigneur! Véritablement, nous croyons qu’Il peut tout! À bien y réfléchir, serait-il plus difficile pour Lui de soigner un cancer qu’un mal de tête? Non, bien entendu!

     

    C’est une certitude, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et pour l’éternité. Si, par la foi, nous touchons le pan de la robe du Seigneur, qu’est-ce qui empêche que nous soyons guéris nous aussi? Rien, assurément! C’est pourquoi, ne nous agitons pas et ne laissons pas nos cœurs se remplir d’inquiétudes. Ne laissons aucun médecin, même le plus éminent, nous priver de la paix que nous avons dans le Seigneur. Attendons patiemment Son secours. Nous savons que le Seigneur est fidèle. Ce ne sera que lorsque notre temps sera accompli, et pas avant, qu’Il nous rappellera à Lui. Soyons-en persuadés, ce sera toujours le Seigneur qui aura le dernier mot!

     

     

     

    (Source : unmessagedamour.fr)

     

     

     

     

     

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    S’en remettre à Dieu et faire le bien

     

     

     

    S’en remettre à Dieu et faire le bien

     

     

     

     

    « Mets ta confiance dans le Seigneur, fais ce qui est bien. Alors tu resteras dans le pays en toute sécurité » Psaumes 37.3, PDV

     

    Parfois, en cas de soucis, on met sa vie entre parenthèses et on ne s’occupe que de ses problèmes. On ne cesse d’en parler à qui veut bien l’entendre. C’est stérile et empêche de faire le bien. Si on veut expérimenter les bienfaits de la fidélité de Dieu, voici deux choses importantes à réaliser. Il faut : 1) avoir confiance dans le Seigneur, c’est‑à dire s’appuyer sur lui et compter sur lui. 2) faire le bien. En cas de difficultés, il semble paradoxal de vouloir bénir les autres. Au contraire, c’est bienfaisant. On évite de penser à ses propres problèmes. De plus, on sème une bonne graine qui, en fin de compte, donnera une belle récolte.

    M’apitoyer sur mon sort, m’inquiéter et être négatif empêche Dieu de me venir en aide. En revanche, lui faire confiance et persister à faire du bien aux autres lui permet d’agir en ma faveur. Même si on sait qu’il n’est pas bon de s’inquiéter, on continue pourtant à le faire. On doit savoir qu’aucune des promesses de Dieu ne se réalise tant que l’on désobéit à sa Parole. La simple connaissance ne résoudra pas mes problèmes. Je dois agir et obéir, quels que soient mes sentiments. Il se peut que je rechigne à respecter un engagement ou à intervenir pour aider quelqu’un, mais lorsque je le fais, Dieu agit en ma faveur. Ainsi, l’une des clés pour vaincre la peur et l’inquiétude est de faire ce que Dieu me demande, sans tenir compte de mon ressenti.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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    De l’art d’être une brebis (1 et 2)

     

     

     

    De l’art d’être une brebis (1)

     

     

    « L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien » Psaumes 23.1 

     

    Vous avez-sans doute mémorisé le psaume 23 dans votre jeunesse. C’est un psaume qui ne s’oublie pas ! Une auteure déclare : « Nous avons tous besoin de retourner à la crèche, de relire les versets appris enfant avec un œil d’adulte et de les croire avec la foi d’un enfant. » En tant qu’adulte, on est blasé et on perd la joie simple qui serait bien utile dans une vie trépidante. Il y a trois choses à se demander : 1) Qui est mon berger ? C’est « L’Éternel » Il est la source de tout ce dont j’ai besoin, à commencer par le salut. Jésus a dit : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis » (Jn 10.11). 2) Quel est son rôle ? Il protège ses brebis et en prend soin. Il sait comment s’occuper de celles qui sont désobéissantes, têtues et fragiles. Bien avant que Jésus ne vienne comme mon berger, le Père a dit : « Je sauverai mon troupeau, afin qu’il ne soit plus livré au pillage […]. J’établirai sur eux un seul berger, qui les fera paître, mon serviteur David, il les fera paître, il sera leur berger » (Ez 34.22–23, NBS). 3) Quel est le rôle des brebis ? C’est faire entièrement confiance au berger. Si on tente d’effectuer le travail à sa place, on va s’épuiser et se décourager. Il me faut croire avec une foi d’enfant que Jésus est un berger fiable, dévoué et compétent, puis agir en conséquence. Savoir que sa bonté et sa miséricorde m’accompagnent tous les jours de ma vie allège mes soucis actuels et dissipe mes inquiétudes futures.

     

     

     

    De l’art d’être une brebis (2)

     

     

    « L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien » Psaumes 23.1 

     

    Voici deux choses à savoir. 1) Il y a deux types de berger. Jésus distingue les bons bergers des mauvais (voir Jn 10.11–16). Ces derniers sont préoccupés par leurs propres intérêts, non par le bien-être des brebis. Ils ne sont pas fiables ; en cas de danger, ils abandonnent le troupeau. Jésus affirme : « Je suis le bon berger » (v.11). En quoi est-il bon ? La Bible ajoute : « Le bon berger donne sa vie pour ses brebis ». Leurs besoins et leur sécurité passent avant les siens, et il est prêt à mourir pour elles. Jésus dit : « Je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent » (v.14). Jésus connaît chacune de ses brebis et désire entretenir une relation intime avec elle. Il les appelle par leur nom. Elles lui font confiance et le suivent (voir Jn 10.3). Je peux compter sur le berger pour être protégé(e) et guidé(e) ! 2) La santé des brebis est l’affaire du berger. Il n’est pas un bon berger si les besoins de ses brebis ne sont pas satisfaits. Elles ne connaissent pas le chemin vers le pâturage, l’emplacement du point d’eau ou la manière d’assurer leur sécurité. Le berger, si. Ses brebis lui font confiance et le suivent. Croire qu’il me protège, prend soin de moi et est mon appui ne va pas de soi. Je dois le décider. Quels que soient mes sentiments ou les circonstances, je décide de faire confiance au berger pour gérer les choses et assurer ma sécurité. Quand je lui confie mes soucis et mes préoccupations et que je me repose sur sa bonté, il accomplit sa promesse que je ne manquerai de rien.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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    Notre situation peut changer rapidement et sans prévenir

     

     

     

    Notre situation peut changer rapidement et sans prévenir

     

     

     

    Demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. Matthieu 7.7 

     

    Priez-vous depuis longtemps déjà pour un déblocage dans une situation particulière de votre vie ? Vous demandez-vous pourquoi la réponse n'est pas encore arrivée ? Avez-vous la sensation d'être en train de passer à côté de la victoire ? 

     

    Parfois, lorsque nous prions longtemps et avec ferveur, sans pour autant recevoir de réponse, nous nous résignons à accepter notre situation telle quelle. Mais Dieu entend ces prières, et Il œuvre pour y répondre, même si nous ne le voyons pas. Notre situation peut changer soudainement – rapidement et sans prévenir ! 

     

    Mais avant cela, nous pouvons soit attendre passivement, soit attendre activement que Dieu intervienne. Une personne passive abandonne, mais une personne qui s'attend à de bonnes choses, au contraire, est pleine d'espoir. Elle croit que l'exaucement de sa prière est sur le point de se produire, et peut arriver d'une minute à l'autre. Sa foi n'est pas passive. Son cœur est plein d'espérance et s’attend à ce que le problème en question soit résolu d'un instant à l'autre. Cette personne se lève chaque matin en croyant qu'elle va obtenir sa réponse. Elle peut attendre et attendre encore, mais elle continuera à prier jusqu'à ce que soudainement, Dieu intervienne et change le cours des choses.

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

     

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    L’amour de Dieu ne fait jamais défaut

     

     

     

     

    L’amour de Dieu ne fait jamais défaut

     

     

     

     

    Je suis convaincu que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les démons, ni le présent ni l’avenir, ni aucune puissance, ni la hauteur ni la profondeur, ni rien d’autre dans toute la création, ne pourront nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus-Christ notre Seigneur. Romains 8.38-39 

     

    Combien de parents ont été rejetés par leurs enfants ? Combien de personnes ont été exclues de leur famille à cause de leur foi ? Combien d’hommes et de femmes ont été trahis et ont vécu un échec sentimental ?

     

    Votre vie correspond peut-être à l’un de ces exemples et vous êtes dévasté par la déception. Tant que vous regardez à ces faits, ils continueront de vous faire mal. C’est pourquoi Dieu vous encourage à considérer avant tout l’amour qu’il vous porte : "Je t’aime d’un amour éternel" (Jérémie 31.3).

     

    Il vous aime de manière inconditionnelle, vous n’avez rien à faire pour gagner son amour. Alors restez blotti dans ses bras ! Il est pleinement suffisant pour combler les failles que la souffrance a creusées dans votre cœur.

     

    Les hommes peuvent vous tourner le dos, le monde peut vous rejeter, mais Dieu ne vous délaissera jamais. Rien sur la terre et dans les cieux ne pourra vous séparer de lui.

     

     

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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    Dieu, notre soutien

     

     

     

    PSAUME 55 

     

    Vous vous rappelez certainement le soulagement que vous avez ressenti après avoir déposé une lourde charge. En fait, vous l’avez peut-être remise à une personne plus forte que vous. Cependant, tous les fardeaux ne sont pas de nature physique. Les fardeaux émotionnels et spirituels nous paraissent souvent plus pesants et plus difficiles à porter que les concrets. Dans le psaume du jour, David était accablé de chagrins et de préoccupations. Nous pouvons assurément tous nous identifier à son désir de s’envoler et de trouver le repos (v. 7).

     

    Peu importe la forme que revêtent nos ennuis, n’oublions pas que chacun d’entre eux a été pesé par la tendre main de notre Père avant de nous atteindre. Il voit dans les situations qui nous dépassent une occasion pour nous d’apprendre à dépendre de lui. Dieu ne veut pas que nous portions seuls nos fardeaux, mais que nous les lui remettions (v. 23), et il nous promet de nous accompagner au sein de l’orage. Se décharger de son fardeau sur Dieu signifie que nous le lui redonnons entièrement et que nous trouvons alors en Dieu « un sûr abri contre le vent impétueux de la tempête » (v. 9, Bible du Semeur).

     

     

    Dieu nous invite à déposer nos fardeaux à ses pieds et à nous revêtir de sa force.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

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    L’inquiétude est une voleuse de paix

     

     

     

    L’inquiétude est une voleuse de paix

     

     

     

     

    Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. Philippiens 4.6-7 

     

    Ici, l’apôtre oppose l’inquiétude à la paix. Il souligne que l’une chasse l’autre. Corrie ten Boom, qui a connu l’enfer de Ravensburg pour avoir caché des juifs, a dit : "L’inquiétude est un cycle de pensées inefficaces qui tourbillonnent autour d’un centre de crainte. L’inquiétude ne vide pas le lendemain de son chagrin ; elle vide aujourd’hui de sa force". 

     

    Non seulement l’inquiétude n’améliore pas la situation présente, mais elle nous paralyse et nous empêche d’être proactifs. L’inquiétude est une voleuse de paix.

     

    Il existe de nombreuses sources d’inquiétude : la violence des ennemis, l’abandon, la maladie, la solitude, la mort, la guerre, les catastrophes naturelles… Alors comment garder notre cœur en paix ? La réponse se trouve dans ce verset : "Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse" (Psaume 46.2).

     

    Mettre sa confiance en Dieu est la seule clé pour avoir et garder la paix. 

     

    Face aux problèmes actuels, nous pouvons soit nous laisser gagner par l’inquiétude, soit mettre notre foi en action ; donc soit sombrer dans la dépression, soit apprendre à faire confiance à celui qui a promis d’être avec nous tous les jours (Matthieu 28.20). 

     

    Et si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? (Romains 8.31).

     

    La tentation de l’inquiétude vous étreint ? Face à toutes sortes d’événements fâcheux, êtes-vous envahi(e) par la peur et l’angoisse ? S’il en est ainsi, saisissez l’occasion de faire confiance au Seigneur. Croyez en sa Parole qui déclare qu’il reste le maître de toutes ces situations et qu’il les fait concourir pour votre bien (Romains 8.28).

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

    L’inquiétude est une voleuse de paix

     

     

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    Invoquer les promesses de Dieu (1 et 2)

     

     

     

    Invoquer les promesses de Dieu (1)

     

    « Si vous demeurez en moi et que mes paroles demeurent en vous » Jean 15.7, NBS

     

    On a compté que la Bible contenait 3 573 promesses, soit presque dix par jour dans une année. Lorsque vous savez lesquelles s’appliquent à vous et que vous remplissez les conditions, vous pouvez commencer à prier pour que les promesses de Dieu se réalisent (voir Jn 1.7). Vos prières seront-elles exaucées du jour au lendemain ? Certaines oui, d’autres non. La Bible dit : « Suivez l’exemple de ceux qui croient avec persévérance et qui reçoivent ainsi ce que Dieu a promis » (Hé 6.12, BFC). Voici une prière efficace : « Seigneur, tu as promis dans ta Parole que tu le feras, aujourd’hui je prie pour ça et je le crois. » Voici comment prier. 1) Pour être guidé et dirigé : « Je t’instruirai, je te montrerai la voie que tu dois suivre ; je te conseillerai, j’aurai le regard sur toi » (Ps 32.8, NBS). 2) Pour être délivré d’une situation difficile ou d’une mauvaise habitude : « Invoque-moi au jour de la détresse ; je te délivrerai, et tu me glorifieras » (Ps 50.15). 3) Pour avoir la force de tenir bon : « N’aie pas peur, car je suis avec toi ; ne jette pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; je te rends fort, je viens à ton secours, je te soutiens de ma main droite victorieuse » (Esa 41.10, NBS). 4) Pour vos propres besoins : « Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Christ-Jésus » (Ph 4.19). Si vous méditez la Parole de Dieu chaque jour, vous saurez laquelle de ses promesses invoquer dans la prière, dès qu’un besoin se fait sentir (voir 2P 1.4).

     

     

     

     

     

    Invoquer les promesses de Dieu (2)

     

     

    « Invoque-moi, et je te répondrai » Jérémie 33.3 

     

    Si vos prières sont basées sur les Écritures, vous aurez les réponses dont vous avez besoin. Voici pourquoi : la Bible est la Parole de Dieu et il tient toujours ses promesses. Voici comment prier : 1) lorsque vous n’avez pas de réponse : « Invoque-moi, et je te répondrai ; je t’annoncerai de grandes choses que tu ne connaissais pas » (v. 3). 2) lorsque vous êtes dans l’inquiétude : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. Ne soyez pas inquiets et n’ayez pas peur » (Jn 14.27). 3) lorsque vous avez besoin d’un éclairage spirituel : « Quand viendra l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité. Il ne parlera pas en son propre nom, mais il dira tout ce qu’il aura entendu et vous annoncera ce qui doit arriver » (Jn 1.13). 4) lorsque vous avez besoin de forces pour servir : « Celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes, parce que je vais auprès du Père et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils » (Jn 14.12–14). 5) Lorsque vous avez besoin de la bénédiction de Dieu pour vos projets : « Je les laisserai vivre près de ma montagne sainte. Je ferai tomber la pluie au bon moment, et cette eau leur fera du bien » (Ez 34.26, PDV). Une fois que vous aurez vu les résultats lorsque vous invoquez les promesses de Dieu, vous ne prierez plus jamais d’une autre manière.

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

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    Méditation pour les novices

     

     

     

    Méditation pour les novices

     

     

     

    « O Dieu, nous pensons à ta bienveillance » Psaumes 48.9 

     

    On est tous convaincu que le pouvoir qui vient de la méditation de la Parole de Dieu est nécessaire dans la vie. Mais si on est novice en la matière, on a besoin d’un point de départ. Vous dites : « Oui, je sais que je dois passer plus de temps à méditer la Parole de Dieu, mais comment faire ?

    Voici quelques pistes pour vous aider à démarrer.

    1) Méditez sur les bénédictions de Dieu. David proclame : « Mon âme, bénis l’Éternel ! Que tout en moi bénisse son saint nom ! Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits » (
    Ps 103.1–2). La méditation mène à la reconnaissance du cœur.

    2) Méditez sur vos relations avec Dieu. Paul affirme : « Vous avez reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions : Abba ! Père ! L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu » (
    Ro 8.15–16).

    3) Méditez sur l’amour que Dieu vous porte. David a dit : « Ta bienveillance est meilleure que la vie : mes lèvres te glorifieront. Ainsi je te bénirai toute ma vie, j’élèverai mes mains en ton nom. Mon âme sera rassasiée comme de graisse et de moelle. L’acclamation aux lèvres, ma bouche te louera. Lorsque je me souviens de toi sur ma couche, je médite sur toi pendant les veilles de la nuit, Car tu es mon secours, et je crie de joie à l’ombre de tes ailes. Mon âme est attachée à toi ; ta droite me soutient » (
    Ps 63.3–8
    ).

    Dieu a promis de vous protéger, de vous guider, de vous instruire, de vous corriger et de vous bénir. Il vous suffit de faire le premier pas dans la méditation !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    La grâce de vieillir (1 et 2)

     

     

     

    La grâce de vieillir (1)

     

     

    « La crainte de l'Éternel prolonge les jours » Proverbes 10.27

    Êtes-vous anxieux à l’idée de prendre de l’âge ? Dans ce cas, il est temps de revoir votre système de valeur. Pour Dieu, le contenu est plus important que l’emballage. Et pour faire la paix avec vos rides, vous devez vous mettre en accord avec lui. En fin de compte, ce n’est pas le nombre de jours de votre vie qui compte, mais leur qualité. Le premier miracle de Jésus a été de changer l’eau en vin. Notez ce que l’hôte de la réception de mariage a dit : « Tout le monde commence par offrir le meilleur vin […]. Mais toi, tu as gardé le meilleur vin jusqu’à maintenant » (Jn 2.10, BFC). Et ça peut aussi être l’histoire de votre vie. Vous n’avez pas à souffrir de gérontophobie et avoir peur de vieillir. Continuez à vous battre, à grandir, à aller de l’avant. Écoutez les propos de Caleb, tenus alors qu’il était déjà bien âgé : « Je suivis pleinement la voie de l’Éternel, mon Dieu. Et ce jour-là Moïse fit ce serment : assurément, le pays que ton pied a foulé sera ton héritage et celui de tes fils à perpétuité […] Maintenant voici que l’Éternel m’a fait vivre, comme il l’a dit. Il y a quarante-cinq ans que l’Éternel parlait ainsi à Moïse, lorsqu’Israël marchait dans le désert […]. Me voici aujourd’hui, âgé de quatre-vingt-cinq ans. Je suis encore vigoureux comme au jour où Moïse m’envoya […]. Donne-moi donc cette montagne dont l’Éternel a parlé […]. Josué bénit Caleb […] et il lui donna Hébron pour héritage » (Jos 14.8–13). Voilà ce que l’on peut appeler « la grâce de vieillir ».

     

     

     

    La grâce de vieillir (2)

     

     

    « Grâce à mes conseils, tu connaîtras le bien-être et une vie longue et heureuse » Proverbes 3.2, BFC

    En 2030, un humain sur cinq aura plus de soixante-dix ans. Il y aura des millions de centenaires. Le jour où Eisenhower fête ses 80 ans on lui demande ce qu’il ressent à l’idée d’être octogénaire. Il répond : « Je n’ai pas vraiment le choix ! » Anita Bogan est décédée en 2007 à l’âge canonique de 106 ans. Voici sa nécrologie : « Dotée d’une bonne santé et d’un esprit sain, Anita Bogan a passé la majeure partie de sa vieillesse à faire ce qu’elle voulait faire, avec une détermination sans faille. Après ses 80 ans, elle a créé une fondation pour loger les personnes âgées, ouvert une boutique de fleurs, joué au golf tous les jours, fait des croisières pour célébrer ses anniversaires et inspiré bien des gens. Le jour de ses 100 ans, le conseil d’administration du comté de Kern a décidé que cette date porterait désormais son nom. » Par son attitude envers la vie, Anita a changé la façon dont les gens autour d’elle voyaient le vieillissement. La Bible promet non seulement une longue vie mais une vie de qualité dans ces versets de Salomon : « Mon fils, n’oublie pas mon enseignement, garde en ton cœur mes recommandations. Grâce à mes conseils, tu connaîtras le bien-être et une vie longue et heureuse » (v.1–2). « Le début de la sagesse, c’est la crainte de l’Éternel ; et la connaissance des saints, c’est l’intelligence. Car par moi, tes jours se multiplieront, et les années de ta vie s’augmenteront » (Pr 9.10–11). Le secret pour bien vieillir consiste à établir une relation étroite avec Dieu et à vivre selon ses principes.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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