• * ECHOS DU COEUR *

     

    * ECHOS DU COEUR *

     

    Sommaire : ici

     

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    C'est gonflé

     

     

     

    C'est gonflé

     

     

     

     

    Un groupe de 50 personnes participait à un séminaire et tout à coup, le conférencier arrête de parler et commence à donner à chaque personne un ballon de baudruche. Il invite chaque personne à écrire son nom sur le ballon à l'aide d'un marqueur. Ensuite, tous les ballons sont recueillis et mis dans une autre pièce.

     

    Le conférencier demande aux participants d'entrer individuellement dans la pièce et de trouver chacun le ballon sur lequel est inscrit son nom en moins de 5 minutes. Tous se ruent dans la pièce et frénétiquement se mettent à la recherche de leur nom. Les gens se poussent, se piétinent et se bousculent dans un désordre total.

     

    Au bout de 5 minutes et même plus, personne n'a pu trouver son propre ballon.

     

    Alors le conférencier dit : "Maintenant, que chacun recueille au hasard un ballon et le donne à la personne dont le nom y est écrit." En quelques minutes, tout le monde a eu son ballon.

     

    Le conférencier dit alors : "Ce que nous venons de faire est exactement ce qui se passe dans nos vies. Tout le monde est désespérément à la recherche de son propre bonheur tout autour, ne sachant pas où il est. 

     

    Or notre bonheur réside dans le bonheur des autres. Voilà pourquoi, si vous aidez les autres à trouver leur bonheur, vous obtiendrez votre propre bonheur aussi. Et tel est le but de la vie des Hommes.

     

    Apprenez à mettre un sourire sur le visage de quelqu'un et vous aurez également un sourire en son temps."

     

     

    Auteur inconnu.

    (Source : CoopBelsud)

     

     

     

     

     

     

     

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    Le scorpion : la leçon de vie

     

     

     

    Le scorpion : la leçon de vie

     

     

     

     

     

    Un Maître Zen vit un scorpion se noyer et décida de le tirer de l’eau.

     

    Lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.

     

    Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal qui de nouveau tomba à l’eau en train de se noyer. Le maître tenta de le tirer nouvellement et l’animal le piqua encore.

     

    Un jeune disciple qui était en train d’observer se rapprocha du Maître et lui dit :

     

    « Excusez-moi Maître, mais vous êtes têtu! Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l’eau il va vous piquer ? »

     

    Le maître répondit: « La nature du scorpion est de piquer et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. »

     

    Alors, à l’aide d’une feuille, le maître tira le scorpion de l’eau et sauva sa vie, puis s’adressant à son jeune disciple, il continua:

     

    « Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions.

     

    Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent ».

     

    Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation.

     

    Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi… Et ce que les autres pensent de toi… c’est leur problème ! »

     

     

     

    ( Source :https://www.parolesenor.fr )

     

     

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    Saltimbanque

     

     

     

    Saltimbanque

     

     

     

    « Si un ange venait visiter mon jardin intérieur et me demandait quel cadeau je souhaiterais recevoir dans l’instant, je ne lui demanderais ni la fortune ni la réalisation immédiate de mes rêves les plus fous ou de mes vœux les plus chers. Non. Je veux garder intact tout le palpitant de la vie ! 

     

    Ce que je demanderais ce sont des graines. Des graines d’émerveillement. Et qu’il en sème partout en abondance, qu’elles envahissent tout mon jardin intérieur, jusqu’à placer en moi des désirs à ne plus savoir qu’en faire, des attentes de fraternité aiguës comme la soif, des élans de réconciliation d’une folle audace, des paris sur l’avenir que personne n’aura osé faire avant moi. 

     

    Je deviendrais herboriste du bon Dieu, je ferais des décoctions d’émerveillement, je composerais des parfums réenchanteurs, des onguents et baumes réparateurs pour apaiser, guérir et bien cicatriser ; j’introduirais d’irrépressibles poudres de rires pour les cœurs mélancoliques, des lotions spéciales de confiance pour ceux qui n’y croient plus ! 

     

    Je deviendrais saltimbanque de la joie de vivre ! On me prendrait pour un bonimenteur en me voyant disqualifier les plaisirs multiples après lesquels chacun court, pour inviter à célébrer l’Unique, la noble cause ou le grand amour. »

     

     

    François Garagnon

    Extrait du livre « Le maître des liens inaltérables » 

    (Source : CoopBelsud)

     

     

     

     

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    Le caméléon

     

     

     

    Le caméléon

     

     

     

    .. À un homme qui découvrait le sud du Portugal, on lui dit qu'il risquait de surprendre, sur les pierres chaudes ou les murettes ensoleillées, un drôle d'animal aux yeux ronds et à la peau indécise. Un caméléon, véritable petit bijou préhistorique...

     

    Ce qu'il ne savait pas, c'est que les caméléons parlaient. Voici ce que lui dit l'un d'entre eux, sage parmi les sages, occupé à se faire dorer l'écaille sur un rocher :

    " Humain, tu veux vivre heureux? Alors observe-moi : Quand je prends une direction, je ne détourne jamais la tête. Comme moi tu dois avoir un objectif précis dans la vie et rien ne doit pouvoir te faire revenir sur les choix qui te semblent importants. Quand je veux regarder autour de moi, c'est mon oeil qui tourne, pas ma tête. Comme moi, tu dois t'informer où que tu te trouves, examiner sans te précipiter et comprendre que tu n'es pas le seul de ton espèce sur Terre. Quand j'arrive dans un endroit, je prends la couleur des lieux. Comme moi, saches t'adapter aux hommes que tu rencontres, même à ceux qui te paraissent ridicules. C'est une question de tolérance et de savoir-vivre. Quand je lève le pied, je m'assure que là où je vais le poser, c'est le bon endroit. Comme moi, sois prudent dans la marche, tu éviteras bien des problèmes. Quand je me déplace, je prends soin d'accrocher ma queue à quelque chose de solide pour assurer ma route. Comme moi, progresse lentement et sois certain que tu parviendras au but ". 

    Le caméléon disait vrai : si vous voulez vivre en harmonie avec le monde qui vous entoure, les animaux, la nature mais surtout les hommes qui peuplent cette terre, il vous faut adopter un comportement prudent, aimant, tolérant. Rien de grand ne se fait dans la précipitation. Faites ce que prescrit le Caméléon et vous serez surpris du résultat...

     

    Il y a deux façons de gérer les difficultés : les modifier ou s'adapter à elles..

     

     

    (Source : Leçon de vie et belles histoire facebook)

     

     

     

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    La fenêtre de la vie

     

     

     

    La fenêtre de la vie

     

     

     

    Si tu regardes la vie comme une compétition,
    chacune de tes défaites t'apportera une douloureuse déception.
    Si tu regardes la vie en écoutant ce que les autres disent de toi,
    tu n'entendras plus les secrets de tes talents.

    Si tu regardes la vie comme la couleur de tes cheveux ou de ta peau,
    tu seras triste quand le ciel sera gris.
    Si tu regardes la vie comme une popularité à conquérir,
    tu sentiras l'ennui et le vide quand tu te trouveras face à toi-même.

    Ne regarde pas la vie
    comme un compte en banque à garnir,
    une promotion à gagner,
    une maison à payer,
    une auto à réparer,
    des vêtements à acheter.

    Ne perds pas ta vie à la consommer :
    elle n'a pas de prix quand tu sais la goûter.
    Conserve toujours une belle image de toi-même,
    car c'est la fenêtre à travers laquelle tu vois vraiment la vie.

    Elle te paraîtra toujours merveilleuse
    si elle est teintée par la confiance en tes forces,
    par les relations significatives
    tissées de la qualité de ta présence
    et de l'amour donné et reçu...

     

     



    François Gervais
    (Sources : motdujourcoopbelsud)

     

     

     

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    La liberté peut naître d'une fissure

     

     

     

    La liberté peut naître d'une fissure

     

     

    Les murs ne sont pas toujours au dehors …
    Dans tous les murs, il y a une lézarde,
    dans toutes lézarde, très vite,
    il y a un peu de terre,
    dans cette terre, la promesse d’un germe,
    dans ce germe fragile,
    il y a l’espoir d’une fleur,
    et dans cette fleur, la certitude ensoleillée,
    d’un pétale de liberté.

     

    Oui la liberté est un germe
    même dans les murs les plus hostiles.
    La liberté peut naître d’une fissure,
    d’une rupture, d’un abandon.
    Elle peut naître aussi d’une ouverture,
    d’un mouvement.
    la liberté a de multiple visages,
    elle est parfois la caresse d’un regard
    qui a croisé le mien,
    l’élan d’une parole qui a transformé
    la mienne pour en faire un chemin.

     

    les murs les plus cachés
    sont souvent au dedans
    et, dans ces murs, il y a des lézardes …

     

     

    Laisse pousser tes fleurs,
    elle sont aussi les germes de ta vie à venir.

     


    Jacques Salomé
    (Source : atmosphère-citation.com)

     

     

     

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    Conte de Noël : le sapin, roi des forêts

     

     

     

    Conte de Noël : le sapin, roi des forêts

     

     

    Il y a très longtemps... L'hiver était là, et il faisait très froid.

    Dans la forêt tout enneigée, un petit oiseau était tout seul, triste. Il avait une aile brisée et sa famille l'avait abandonné pour s'envoler vers des pays sans hiver. Il voletait péniblement, d'un arbre à l'autre. Il neigeait fort et l'oiseau se réfugia dans les feuilles d'un énorme chêne. Hélàs ! "Va-t-en, vilain, je t'interdis de venir manger mes glands !"

    Les uns après les autres, tous les arbres, tous, le chassèrent. Complètement découragé, il se posa dans la neige, il allait sans doute mourir. Un dernier effort, il entrouvrit ses yeux, un sapin lui faisait signe : "Viens, je ne suis pas méchant, viens, n'aie pas peur. Installe-toi chez moi au chaud, mange mes graines tant que tu voudras." Le soir de Noël, le vent se leva, souffla de plus en plus fort. Tous les arbres perdirent leurs feuilles, tous, sauf le sapin qui avait accueilli le petit oiseau blessé. C'est depuis ce temps-là que le sapin est le seul à garder sa verdure tout l'hiver, le sapin, roi des forêts !

     

    D'après Miss Sarah Cone Bryant

     

     

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    La plus merveilleuse lumière

     

     

     

     

    La plus merveilleuse lumière 

     

     

     

    Un roi devenant trop âgé pour s’occuper de son pays, fait venir ses trois fils pour choisir celui d’entre eux qui lui succèdera. Il leur dit :

     

    -       Mon trône appartiendra à celui qui me ramènera la plus merveilleuse lumière.

     

    Le roi remet alors à chaque fils une bourse d’or. Et voici les trois fils partant à l’aventure.

     

    Le premier, après beaucoup de difficultés, arrive chez un savant qui vient de mettre au point une lampe extraordinaire, brillant d’un éclat tout particulier. Grâce à l’or reçu, il convainc l’inventeur de lui céder cette lampe qu’il ramène aussitôt au roi ravi de cette trouvaille merveilleuse.

     

    Le deuxième, après une longue route, arrive au sommet d’une très haute montagne d’où l’on peut attraper les rayons de soleil.

     

    -       Voilà qui plaira à mon père », se dit-il.

     

    Tout l’or qu’il a reçu suffit à peine pour acheter un des plus beaux rayons au géant, gardien des lieux. Il place aussitôt le cadeau dans un coffre muni d’un gros cadenas. Ensuite, il rentre au palais où sa découverte étonne tout le monde : il suffit qu’il ouvre à peine le couvercle du coffre pour qu’une lumière éclatante éclaire tous les environs.

     

    Le troisième fils, qui est aussi le plus jeune, est accueilli dans la cabane d’une famille très pauvre. Ses hôtes ne possèdent presque rien mais ils partagent leur maigre repas avec lui. Ces gens travaillent dur et se privent beaucoup pour nourrir leurs enfants. Le fils du roi est ému et lorsqu’il quitte ces braves gens, il abandonne discrètement sa bourse pleine d’or, se disant que cette fortune leur est bien plus nécessaire qu’à lui.

     

    Reprenant la route, il aperçoit un groupe de nomades réunis autour d’un feu s’apprêtant à passer la nuit dans la montagne. Il gèle à pierre fendre.

     

    Or, le bois est très rare dans cette région et le feu bien maigre. Le fils voudrait leur demander une torche prélevée dans leur feu et la ramener à son père mais voyant qu’ils n’ont pas beaucoup de bois, il préfère ne pas les priver de cette chaleur dont ils ont vraiment besoin pour survivre.

     

    Le jeune homme est un peu triste, il n’a toujours rien à rapporter…

     

    Tout près d’une clairière, il aperçoit un magnifique point brillant : c’est un ver luisant.

     

    -       Quelle belle lumière ! » pense-t-il, je vais le prendre et le ramener à mon père.

     

    Quand il veut se saisir de la luciole, le petit animal le supplie d’avoir pitié :

     

    -       Laisse-moi la liberté, je dois rentrer chez moi et m’occuper de toute ma famille.

     

      

    Alors le gentil prince décide de le laisser et rentre au palais en se résignant :

     

    -       Je n’ai pas de lumière, le trône ne sera pas pour moi. »

     

    Et il raconte son voyage à son père. Le visage du roi s’illumine au fur et à mesure du récit.

     

    -       Mon fils, je te donne mon royaume, car je vois dans tes yeux, la plus merveilleuse des lumières. C’est toi qui seras mon successeur car je comprends que tu gouverneras mon peuple avec ton cœur. Et c’est certain, tu seras heureux en le rendant heureux !

     

     

     

    (Auteur inconnu)

     

     

     

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    Comme le sel

     

     

     

    Comme le sel

     

     

     

     

     

    Il était une fois un roi qui répondait au doux nom de Henri le Sage.

    Il avait 3 filles. Il les aimait de tout son cœur et il leur demanda un jour :

    - Dites moi un peu toutes les trois combien vous m'aimez

    - Je t'aime comme la terre aime le soleil, dit la première

    - Et moi, comme mes yeux aiment la lumière dit la seconde

    - Et moi comme le sel, répondit la troisième qui était sa bien aimée

    Le roi se fâcha beaucoup, répudia sa plus jeune fille et la chassa même s'il l'avait aimée jusqu'alors plus que les autres

    - C'est inouï, s'écria-t-il. Aimer son père comme le sel !

    Quelque temps après, le roi donna un grand banquet. Le matin de ce jour-là, un jeune page se présenta aux cuisines du palais royal et dit à la cuisinière :

    - Tu ne me reconnais pas ?

    - Non, répondit la cuisinière.

    - Je suis la princesse répudiée.

    La cuisinière qui avait beaucoup regretté le sort malheureux de la fille du roi lui demanda ce qu'elle pouvait bien faire pour elle.

    - Rien qu'une chose, dit la petite princesse. Prépare tous les plats sans sel.

    - Mais que dira le roi ?

    - C'est moi qui m'en occuperai. N'aie pas peur.

    La cuisinière fit ce que la petite princesse lui avait commandé de faire. Vous pouvez imaginer la colère du roi ! Il envoya aussitôt appeler la cuisinière, mais à sa place c'est sa plus jeune fille qui se présenta en lui disant :

    - Père, c'est de ma faute. J'ai voulu vous prouver que ma réponse n'avait été ni injuste ni impolie quand vous m'avez demandé combien je vous aimais. Notre vie a besoin de sel autant que la terre a besoin du soleil et que nos yeux de la lumière.

    Le roi reconnut alors qu'il avait été très cruel avec sa fille et qu'il avait fort mal compris le grand amour qu'elle lui portait. Il la serra dan ses bras, l'embrassa et lui dit :

    - C'est le plus beau jour de ma vie

    Il y eut une grande fête et tous versèrent des larmes de joie qui, bien sûr, étaient toutes…salées.

    « Vous êtes le sel de la terre » (Mat. 5,13)

     

    Graines de Sagesse

     

     

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    Comment reconnaître la nuit du jour ?

     

     

     

    Comment reconnaître la nuit du jour ?

     

     


                  Un professeur demande à ses étudiants :


                  « Comment reconnaître le moment où la nuit s'achève et le jour se lève?


                 -  Lorsque l'on peut distinguer un mouton d'un loup, répondit un étudiant.
                 -  Non, ce n'est pas la réponse, dit le professeur.
                 -  Quand on peut faire la différence entre un figuier et un olivier, suggéra un autre.
                 -  Non, ce n'est pas la réponse, dit le professeur.
                 - Alors comment, demandèrent les étudiants en chœur?


                 - Au moment où, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère,

                   alors  le jour se lève et la nuit prend fin. »

     

     

     

    (Source : catholique-nancy.fr)

     

     

     

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    Voir la beauté cachée

     

     

     

    Voir la beauté cachée

     

     

     

    A moins de regarder une personne et de voir la beauté en elle,
    nous ne pouvons l'aider en rien.

    On n'aide pas une personne en isolant ce qui ne va pas chez elle,
    ce qui est laid, ce qui est déformé.

    Le Christ regardait toutes les personnes qu'il rencontrait, la prostituée, le voleur,
    et voyait la beauté cachée en eux.

    C'était peut-être une beauté déformée, abimée, mais elle était néanmoins beauté,
    et Il faisait en sorte que cette beauté rejaillisse.

    C'est ce que nous devons apprendre à faire envers les autres.

    Mais, pour y parvenir, il nous faut avant tout avoir un cœur pur, des intentions pures, l'esprit ouvert,
    ce qui n'est pas toujours le cas... afin de pouvoir écouter, regarder et voir la beauté cachée.

    Chacun de nous est à l'image de Dieu, et chacun de nous est semblable
    à une icône endommagée.

    Mais si l'on nous donnait une icône endommagée par le temps, par les événements,
    ou profanée par la haine des hommes, nous la traiterions avec tendresse, avec révérence, le cœur brisé.

    C'est à ce qui reste de sa beauté, et non à ce qui en est perdu,
    que nous attacherions de l'importance.

    Ainsi, nous devons apprendre à réagir envers chacun...

     

    Anthony Bloom

     

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