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    Place la bonté comme base de ta vie,

    la justice comme mesure,

    la sagesse comme limite,

    l’amour comme délectation

    et la vérité comme lumière.

    (Peter Deunov)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le conte d'une histoire vraie

     

      Un jour, le soleil se levant me fit un signe de ses rayons.

      Je ne compris pas tout de suite. Mettez-vous à ma place : je ne savais pas ce qu'il me voulait !
      Il m'invitait à le suivre, mais sur le pas de la Porte -des-Habitudes, je n'osais pas bouger.

       Pourtant, après quelques instants d'hésitation, je fis deux pas en avant et.... clac ! La Porte-des-Habitudes se referma !
      Prise de panique, je revins sur mes pas, mais il n'y avait rien à faire, toutes mes tentatives furent vaines.
      La porte refusait obstinément de s'ouvrir.

      Je m'assis, la tête dans les mains, et me mis à pleurer. Le soleil m'envoya un petit rayon câlin, brillant juste
      ce qu'il fallait pour ne pas m'effrayer, il ne me restait plus qu'à le suivre.

      Je me mis lentement en route. Je demandai au soleil de me promettre de ne pas m'abandonner, de rester
      toujours près de moi, mais il ne me répondit pas. Je ne savais que penser. Je n'étais pas très rassurée.

     

      Je regardais souvent en arrière, mais la Maison-du-Passé devenait de plus en plus petite, de plus en plus floue.

      Je n'avais pas eu le temps de faire mes bagages avant de partir, mais j'avais des réserves sur moi : quelques
      bonnes vieilles et énormes peurs, des divers complexes, et aussi beaucoup de manques dont les deux principaux :
      Manque-de-Tendresse et Manque-de-Confiance-en-Moi.

      Je pouvais compter sur eux tous, ils répondaient toujours présents. Au début, cela me rassura un peu, je restais
      en pays de connaissances.

     

      Chemin faisant cependant, une peur me lâcha, une petite, je ne m'en aperçus pas tout de suite.
      Puis une deuxième à son tour s'en alla, une troisième suivit de près. Cela devenait inquiétant.
      Si elles me laissaient toutes tomber, comment me reconnaîtrais-je ?

      Je ne pouvais plus les rattrapper, mais je me promis de veiller sur les autres. Si elles pensaient que j'allais me
      laisser faire, elles se trompaient lourdement. Mes complexes, eux, étaient fidèles, ils ne me
    quitteraient pas de sitôt !
      Et les manques ne risquaient pas d'être comblés trop vite, j'étais vigilante ! 

      Cependant, mon inquiétude se transforma en angoisse le jour où je constatais que le Manque-de-Confiance-en-Moi
      avait les traits tirés. Je tentai aussitôt de le fortifier en lui montrant, en toute lucidité, tous mes défauts.
      Rien n'y fit, au contraire. A peine un défaut s'annonçait-il qu'une qualité que j'ignorais, à qui je n'avais jamais
      adressé la parole, qu'une qualité  nouvelle venait à sa rencontre. Le défaut pâlissait, s'éloignait,
    se recroquevillait
      et bientôt n'occupait plus qu'une toute petite place.
      Malgré tous mes efforts, plus le
    Manque-de-Confiance-en-Moi s'étiolait, dépérissait, plus les peurs filaient.

      Le Manque-de-Tendresse se manifesta, d'abord timidement, puis de plus en plus fort, jusqu'à se faire remarquer.
      Au début, il n'y avait que moi qui l'entendais, mais il réussit à soudoyer ma bouche pour pouvoir s'exprimer
      et demander ainsi à être comblé.

      Je fis des demandes incroyables dont certaines furent entendues.

      Devant cette débâcle, je ne savais plus ni qui j'étais,  ni qui j'aimais, ni où j'allais ! Par moments, je ne voyais
      même plus le soleil, il me fallait alors le chercher et j'avais l'impression qu'il ne reparaîtrait jamais.

      Peu à peu, je remarquai cependant que je pouvais continuer à avancer même s'il n'était pas là. Il avait laissé en moi
      quelques uns de ses rayons ! Mais j'avais encore besoin de recharger mes batteries, il me fallait encore souvent
      m'assurer qu'il n'était pas trop loin.

      Je n'avais pas compris que je pouvais moi aussi devenir soleil, rayonner aussi un jour !

      Il m'a fallu du temps. J'avais eu besoin que le soleil me montre la Voie, qu'il ait beaucoup de patience, beaucoup
      de douceur, pour que je puisse enfin vivre par moi-même. Pour que j'ose partir plus loin, pour que j'accepte aussi
      de le laisser éclairer d'autres personnes, Oh ! Cela ne veut pas dire que je n'aie plus envie de sa présence, mais
      simplement que je le suivais par besoin. Aujourd'hui, je peux m'éloigner de lui par Amour. Le soleil m'a aidé
      à comprendre qu'il n'était pas possible d'aimer sans une autonomie personnelle.

     

      Dans ma vie actuelle, je sais qu'aimer, c'est être heureux pour que l'autre puisse être heureux sans moi !

     

     

    Monique Mello dans "Contes à guérir, Contes à grandir" - Jacques Salomé

     

     

     

     

     

     

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    ETRE

    Pour être ce que tu as envie d'être.

    Il n'y a pas de limite de temps, c'est quand tu veux.

    Tu peux changer ou rester la même.

    Il n'y a pas de règles pour ça.

    On peux en tirer le meilleur ou le pire.

    J'espère que tu en tireras le meilleur, j'espère que tu verras des choses qui te secoueront.

    Que tu ressentiras des choses que tu n'as jamais ressenties.

    Que tu rencontreras des personnes qui ont un point de vue différent.

    J'espère que tu seras fière de ta vie.

    Et que si tu découvres que ça n'est pas le cas, j'espère que tu auras la force de tout recommencer.

     

    (Francis Scott Fitzerald)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Histoire d'amour et de courage

    Histoire d'amour et de courage

     

    Le gérant d'une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte ou l'on pouvait lire :

    "Chiots à vendre".

    Les affiches ont la faculté d'attirer les enfants. Bientôt un petit garcon fut séduit par

    l'annonce, et demanda :

    «À quel prix vendez-vous ces chiots ? »

    Le propriétaire du magasin répondit :

    «Autour de $30-$50».

    Le petit garçon chercha dans sa poche et sorti de la monnaie...

    «J'ai $2.37, est-ce que je peux les regarder ? »

    Le propriétaire du magasin souri et siffla. Sa chienne, nommée Lady, courut hors du
    chenil, vers l'allée de son magasin, suivie par cinq petits chiots. Mais un des chiots
    restait loin derrière... Immédiatement, le petit garçon sélectionna le chiot boiteux qui reste
    en arrière. Il demanda:

    «De quoi souffre ce petit chien ? »

    L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui annonça que le chiot avait
    une malformation de la hanche qui le laisserait boiter pour le restant de sa vie.
    Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit :

    «C'est le chiot que je veux acheter !»

    L'homme répondit

    «Non, vous ne pouvez pas acheter ce petit chien, si vous le voulez vraiment, je vous le
    donne !!!»

    Le petit garçon devint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit :

    «Je ne veux pas que vous me le donniez»

    Il vaut tout autant que les autres chiens, et je vous paierai le prix fort. En fait je vous donnerai $2.37 maintenant et 50 cents chaque mois jusqu'à ce que j'aie fini de le payer.»

    L'homme répondit :

    «Vous ne voulez pas acheter ce chiot ? Vraiment !! Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Aimez d'autres chiots»

    Alors, le petit garçon se pencha, enroula le bas de son pantalon et montra une jambe
    malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal. Il  regarda l'homme et
    dit :

    «Bien, je ne cours pas très bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui comprenne».

    L'homme mordait sa lèvre inférieure maintenant. Des larmes lui piquaient ses yeux...
    Il a souri et a dit

    «Fils, j'espère et prie que chacun de ces chiots aura un propriétaire tel que toi».

    DANS LA VIE, PEU IMPORTE QUI VOUS ÊTES, SI QUELQU'UN VOUS APPRECIE POUR CE
    QUE VOUS ÊTES, VOUS ACCEPTE, ET VOUS AIME INCONDITIONNELLEMENT. UN VRAI
    AMI EST CELUI QUI SE RAPPROCHE QUAND LE RESTE DU MONDE S'ELOIGNE...

    Histoire d'amour et de courage

    «Histoires d'amour et de courage»

    par Jack Canfield et Mark Victor Hansen

     

     

     

     

     

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    Le combat intérieur

     

    Un vieil homme Cherokee apprend la vie à son petit fils.

    Un combat a lieu à l’intérieur de moi, dit-il au garçon. Un combat terrible entre deux loups.

    L’un est mauvais : il est colère, envie, chagrin, regret, avidité, arrogance, apitoiement sur soi-même, culpabilité, ressentiment, infériorité, mensonges, vanité, supériorité et ego.

    L’autre est bon : il est joie, paix, amour, espoir, sérénité, humilité, bonté, bienveillance, empathie, générosité, vérité, compassion et foi.

    Le même combat a lieu en toi-même et à l’intérieur de tout le monde.

     

    Le petit-fils réfléchit pendant une minute puis demanda à son grand père :

    Quel sera le loup qui vaincra ?

     

    Le vieux Cherokee répondit simplement :

    Celui que tu nourris.

     

     

     

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    À chaque jour suffit sa peine...


    Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte ni appréhension.
     

    Le premier jour, c’est hier, qui porte le fardeau de ses contrariétés, ses erreurs, ses souffrances et ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l’or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis ni reprendre les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
     

    L’autre jour qu’il convient de mettre à l’abri des soucis, c’est demain, avec ses promesses, ses imprévus, ses défis. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu’à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n’a pas vu le jour.
     

    Il ne nous reste donc qu’aujourd’hui. Chacun de nous peut mener sa barque pendant une petite journée.
     

    Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d’hier et de demain – ces deux terribles éternités – s’ajoute aux inquiétudes d’aujourd’hui.
    Ce ne sont pas les expériences d’aujourd’hui qui nous désespèrent, c’est l’amertume qu’engendre le remords d’hier, ajoutée à la crainte de demain.
     

    « S’inquiéter n’enlève rien aux soucis de demain,

    mais mine aujourd’hui de sa force. »

     

    Nicole Charest

    http://www.lapetitedouceur.org/

     

     

     

     


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    "La vie est comme un arc-en-ciel :

    il lui faut à la fois de la pluie et du soleil pour que ses couleurs apparaissent."

    A.Ramaiya

     

     

     

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