• En cas d’attaque (1 à 6)

     

    En cas d’attaque (1 à 6)

     

     

    En cas d’attaque (1)

     

     

    « Quand l'adversaire viendra comme un fleuve, l'Esprit de l'Éternel le mettra en fuite » Ésaïe 59.19
    « Quand l'adversaire viendra comme un fleuve, l'Esprit de l'Éternel le mettra en fuite » Ésaïe 59.19

     

    « Quand l'adversaire viendra comme un fleuve, l'Esprit de l'Éternel le mettra en fuite » Ésaïe 59.19 

    C’est au début d’une agression que l’on fait les plus grandes erreurs, car on est pris au dépourvu. La surprise est l’une des armes préférées du diable, alors voici quatre atouts à utiliser en cas d’attaque. 1) Ne pas paniquer. Suivre les propos du Psalmiste : « Arrêtez, et reconnaissez que je suis Dieu » (Ps 46.11). Ça veut dire que Dieu est là, pleinement conscient du problème, et qu’il a la solution. Il suffit d’être sensible et réactif à la voix du Saint-Esprit (voir Jn 16.13). Ne pas oublier que le temps est un allié. La patience est une arme qui fait remonter à la surface la vérité et les motivations. 2) Analyser la situation. Salomon a dit : « Lorsque tout va bien, soyons heureux ; lorsque tout va mal, réfléchissons » (Ec 7.14, BFC). Parfois, ce qui ressemble à une crise n’est qu’un trop plein d’informations. En prenant le temps de l’analyser, on en retire du profit. 3) Demander conseil. Salomon affirme : « Un peuple périt quand il n’est pas dirigé ; un grand nombre de conseillers assure la victoire » (Pr 11.14, BFC). L’ignorance est une ennemie, la connaissance une alliée. Quelqu’un quelque part sait ce qu’il est vital de savoir pour survivre et surmonter un chapitre douloureux. Il faut juste chercher. 4) S’attendre à ce que Dieu agisse. La Bible dit : « Quand l’adversaire viendra comme un fleuve, l’Esprit de l’Éternel le mettra en fuite ». L’Ennemi attaque souvent quand je progresse. Je peux me réjouir de ce que Dieu me regarde aujourd’hui. Il est satisfait de moi, et il va me faire traverser cette épreuve. 

     

     

     

    En cas d’attaque (2)

     

    « Voici la victoire qui triomphe du monde : notre foi » 1 Jean 5.4

    L’Ennemi nous agresse car il cherche à voler les bénédictions que Dieu nous accorde. Dans ce cas, il y a trois choses à faire. 1) Se lever et riposter. On est parfois tenté de battre en retraite, se montrer timide et passif. Mais un animal blessé invite à l’attaque. Satan aime les gens timides et craintifs, mais les vrais combattants l’intimident. Il faut donc être audacieux et revendiquer la promesse : « Résistez au diable, et il fuira loin de vous » (Ja 4.7). 2) Se servir de toutes ses armes. La Bible dit : « Les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais elles sont puissantes devant Dieu, pour renverser des forteresses » (2Co 10.4). La prière est une arme du quotidien. Et plus elle est collective, plus elle est efficace. Une personne seule ne peut pas démultiplier la foi. Celle-ci grandit dès que plusieurs se réunissent. (voir Mt 18.19). Il faut s’entourer de bons intercesseurs, car ils ont de l’influence auprès de Dieu. De même l’Écriture est une arme : « Prenez […] l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu » (Ep 6.17). Découvrez ce que la Parole de Dieu dit de votre situation, puis prenez cette épée pour couper la tête de l’Ennemi. 3) Prendre du recul. Voir au-delà du moment présent. Après l’adversité viennent les bénédictions et les faveurs. Une vue d’ensemble est donc nécessaire. Paul, qui a souffert d’interminables attaques, a dit : « Un moment de légère affliction produit pour nous au-delà de toute mesure un poids éternel de gloire » (2Co 4.17). Bref, aujourd’hui vous pouvez gagner.

     

     

    En cas d’attaque (3)

     

    « Nous sommes pressés de toute manière, mais non écrasés » 2 Corinthiens 4.8

    Satan vous attaque en tout temps, en tout lieu. Pour le vaincre, suivez ces quelques principes bibliques éprouvés. 1) Surveillez vos pensées. Vous ne serez jamais vaincu(e) tant que vous serez victorieux dans votre esprit. Les pensées sont la source de tous les actes. Satan le sait, et il essaiera de les disperser et vous empêcher de vous concentrer sur ce qui est important. Ne le laissez pas faire. Restez vigilant(e). Ésaïe affirme : « Son cœur est ferme. Toi, Seigneur, tu le gardes en paix, car il te fait confiance » (Esa 26.3, BFC). 2) Aimez les gens, mais faites confiance à Dieu. Le Psalmiste dit : « Mieux vaut se réfugier en l’Éternel que se confier à l’homme » (Ps 118.8). Pour vous faire du mal, Satan utilise souvent des gens de votre entourage. Tous ceux qui tentent de contrecarrer la volonté de Dieu dans votre vie sont vos ennemis, alors identifiez ces personnes et évitez-les. Dieu n’a jamais demandé de faire confiance aux gens ; il préconise de les aimer et de lui faire confiance. Comprenez la différence, car votre victoire en dépend. 3) N’abandonnez jamais. Jésus a dit : « Quiconque met la main à la charrue et regarde en arrière, n’est pas bon pour le royaume de Dieu » (Lu 9.62). Vos rêves et vos objectifs valent tous les combats, tous les prix et toutes les périodes d’attente. Votre foi est ce qui vaincra Satan. Pour Joseph, chaque jour d’adversité n’était qu’un pas de plus vers le trône. Alors, continuez à marcher et à croire, car la victoire est devant vous !

     

     

    En cas d’attaque (4)

     

    « Si tu perds courage au jour du péril, ton courage est bien faible » Proverbes 24.10, BFC

    Voici quelques conseils supplémentaires pour parer les attaques de Satan 1) Soyez fort. La vie est une suite de batailles. Arrangez-vous pour en faire une collection de victoires. La Bible dit : « Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde » (1Jn 4.4). Puisez en vous la force de Dieu. Allez‑y, il a hâte de vous montrer ce qu’il peut faire pour vous. Lisez Paul : « Dieu lui-même a dit : je ne te délaisserai pas ni ne t’abandonnerai. C’est pourquoi nous pouvons dire avec courage : le Seigneur est mon secours ; je n’aurai pas de crainte. Que peut me faire un homme ? » (Hé 13.5–6). Si Dieu le dit, on peut l’affirmer d’autant plus avec hardiesse ! Il y a de la puissance dans sa Parole si on la prononce avec foi et on agit en fonction d’elle. 2) Laissez-vous guider par la sagesse de Dieu. Jésus a dit : « Mettez-vous donc dans l’esprit de ne pas préméditer votre défense, car je vous donnerai une bouche et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront résister ou contredire » (Lu 21.14–15). Dieu vous a donné le ticket gagnant : vos lèvres et sa sagesse. Quand vient l’inattendu, le Saint-Esprit en vous parlera par votre bouche. Laissez-le vous guider. 3) Faites confiance à Dieu pour mettre un terme à l’attaque. La Bible dit : « C’est lui qui fait cesser les combats jusqu’au bout de la terre » (Ps 46.10). Dieu est en contrôle. Il est plus grand que tous vos ennemis, et vous êtes dans ses pensées en ce moment même. Il voit vos larmes, vos peurs et votre douleur et il agira en votre faveur.

     

     

     

    En cas d’attaque (5)

     

    « Avec nous l'Éternel, notre Dieu, qui nous aidera et qui soutiendra nos combats » 2 Chroniques 32.8

    La nouvelle naissance crée une bataille entre l’ancienne et la nouvelle nature. Il faut donc apprendre à combattre la première. Voici trois stratégies supplémentaires pour y parvenir. 1) Remplir son esprit de l’Écriture. David a dit : « Sans ta loi, qui me ravit, la misère aurait eu raison de moi » (Ps 119.92, BFC). L’esprit est un terreau dans lequel pousse ce que l’on y sème, le bon comme le mauvais. Si on y plante des paroles prononcées par Dieu, on sème de l’énergie, de la vie et de l’espoir dans le cerveau. La Parole de Dieu est comme un vaccin. Elle dépouille Satan de son pouvoir d’inspirer la peur et l’incrédulité. Le Psalmiste a dit : « La loi de son Dieu est dans son cœur ; ses pas ne chancellent pas » (Ps 37.31). 2) Prendre soin d’autrui. La Bible dit : « Tandis que Job priait pour ses amis, le Seigneur le rétablit. Il doubla même les biens que Job avait possédés » (Job 42.10, BFC). Est-ce si bizarre ? Sans doute dans le monde des hommes, mais pas dans le royaume de Dieu. Chaque personne peut être la solution aux problèmes d’autrui, et si elle s’en occupe, Dieu s’occupera d’elle (voir Ep 6.8). Alors essayez-le. 3) Ne pas oublier que les temps changent. David a dit : « Le soir arrivent les pleurs, et le matin la jubilation » (Ps 30.6). Cette attaque ne va pas durer, demain il fera jour ! Les gens et les situations évoluent. C’est le moment de croire que Dieu va arranger les choses. Il l’a promis et il le fera.

     

     

    En cas d’attaque (6)

     

    « J'ai combattu le bon combat » 2 Timothée 4.7

    Si vous subissez une attaque, voici trois ultimes points à retenir. 1) Vous n’êtes pas un cas unique. Dans une lettre à des croyants persécutés, l’apôtre Pierre a dit à propos de Satan : « Résistez-lui, fermes en la foi, et sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde » (1P 5.9). On est tous sur le même champ de bataille, mais le Diable aimerait vous convaincre que vous êtes la seule personne à avoir vécu une telle expérience. Ainsi, avec un sentiment d’échec, vous vous couperez de la force et du soutien que procure la communion avec d’autres croyants. Ne tombez pas dans le piège qu’il vous tend. 2) Supprimez tous les obstacles du passé. Jean écrit : « Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu » (1Jn 3.21). Nous péchons tous. L’erreur est d’essayer de le cacher, car Salomon l’a dit : « Celui qui dissimule ses fautes ne réussit pas » (Pr 28.13). Si vous luttez en vain, demandez à Dieu de vous montrer votre point faible, faites appel à sa grâce et relevez le défi. 3) N’abandonnez pas. Tout le monde peut commencer un marathon, mais seul un champion le termine. Paul écrit : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi » (2Ti 4.7). On a tous des combats. Mais ce sont ceux qui restent forts jusqu’au bout qui sont récompensés. Alors, à votre rythme, décidez d’aller jusqu’au bout. Étudiez la vie de personnes comme David, Esther, Deborah et Paul. Rappelez-vous que leur Dieu est votre Dieu, et qu’il vous a promis la victoire

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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