• De l’art d’être une brebis (1 et 2)

     

    De l’art d’être une brebis (1 et 2)

     

     

     

    De l’art d’être une brebis (1)

     

     

    « L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien » Psaumes 23.1 

     

    Vous avez-sans doute mémorisé le psaume 23 dans votre jeunesse. C’est un psaume qui ne s’oublie pas ! Une auteure déclare : « Nous avons tous besoin de retourner à la crèche, de relire les versets appris enfant avec un œil d’adulte et de les croire avec la foi d’un enfant. » En tant qu’adulte, on est blasé et on perd la joie simple qui serait bien utile dans une vie trépidante. Il y a trois choses à se demander : 1) Qui est mon berger ? C’est « L’Éternel » Il est la source de tout ce dont j’ai besoin, à commencer par le salut. Jésus a dit : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis » (Jn 10.11). 2) Quel est son rôle ? Il protège ses brebis et en prend soin. Il sait comment s’occuper de celles qui sont désobéissantes, têtues et fragiles. Bien avant que Jésus ne vienne comme mon berger, le Père a dit : « Je sauverai mon troupeau, afin qu’il ne soit plus livré au pillage […]. J’établirai sur eux un seul berger, qui les fera paître, mon serviteur David, il les fera paître, il sera leur berger » (Ez 34.22–23, NBS). 3) Quel est le rôle des brebis ? C’est faire entièrement confiance au berger. Si on tente d’effectuer le travail à sa place, on va s’épuiser et se décourager. Il me faut croire avec une foi d’enfant que Jésus est un berger fiable, dévoué et compétent, puis agir en conséquence. Savoir que sa bonté et sa miséricorde m’accompagnent tous les jours de ma vie allège mes soucis actuels et dissipe mes inquiétudes futures.

     

     

     

    De l’art d’être une brebis (2)

     

     

    « L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien » Psaumes 23.1 

     

    Voici deux choses à savoir. 1) Il y a deux types de berger. Jésus distingue les bons bergers des mauvais (voir Jn 10.11–16). Ces derniers sont préoccupés par leurs propres intérêts, non par le bien-être des brebis. Ils ne sont pas fiables ; en cas de danger, ils abandonnent le troupeau. Jésus affirme : « Je suis le bon berger » (v.11). En quoi est-il bon ? La Bible ajoute : « Le bon berger donne sa vie pour ses brebis ». Leurs besoins et leur sécurité passent avant les siens, et il est prêt à mourir pour elles. Jésus dit : « Je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent » (v.14). Jésus connaît chacune de ses brebis et désire entretenir une relation intime avec elle. Il les appelle par leur nom. Elles lui font confiance et le suivent (voir Jn 10.3). Je peux compter sur le berger pour être protégé(e) et guidé(e) ! 2) La santé des brebis est l’affaire du berger. Il n’est pas un bon berger si les besoins de ses brebis ne sont pas satisfaits. Elles ne connaissent pas le chemin vers le pâturage, l’emplacement du point d’eau ou la manière d’assurer leur sécurité. Le berger, si. Ses brebis lui font confiance et le suivent. Croire qu’il me protège, prend soin de moi et est mon appui ne va pas de soi. Je dois le décider. Quels que soient mes sentiments ou les circonstances, je décide de faire confiance au berger pour gérer les choses et assurer ma sécurité. Quand je lui confie mes soucis et mes préoccupations et que je me repose sur sa bonté, il accomplit sa promesse que je ne manquerai de rien.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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