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Notre divin protecteur
Dieu est notre protecteur, notre appui et notre refuge, même dans les épreuves inévitables de la vie.
PSAUME 62.5‑8
La grande instabilité du monde nous fournit beaucoup de raisons de craindre si nous ne comptons que sur nous‑mêmes ou les autres pour nous tirer d’embarras. Cependant, Dieu nous protège et, quand nous allons à lui, il nous accorde sa paix dans l’incertitude. S’il est notre Roc, nous ne serons pas ébranlés par ce qui se passe dans le monde et notre vie.
Dans le danger, Dieu peut nous garder. Que la difficulté résulte de nos circonstances, de nos actions ou de celles des autres, notre sécurité pourrait être menacée et nous pourrions avoir peur. Heureusement, notre Dieu nous aime et veut nous protéger.
Cela ne signifie pas qu’il va nous libérer de tous nos problèmes, mais qu’il va se tenir près de nous, dans chaque épreuve. Si nous lui ouvrons notre cœur, il renouvellera notre entendement, calmera nos peurs et affermira notre foi au moyen de sa Parole réconfortante.
Devant une situation effrayante, vous appuyez‑vous sur Dieu ou cherchez‑vous à la télévision ou sur Internet l’espoir et la sécurité? Le monde ne peut nous fournir l’aide dont nous avons besoin. Seuls ceux qui font de l’Éternel leur refuge demeurent inébranlables.
(Source : encontact.org)
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Que Dieu s’en charge
« Mes chers amis, ne vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu » Romains 12.19, BFC
Si l’on vous blesse, il est difficile de résister à l’instinct de vengeance, surtout lorsque vous avez l’occasion de régler vos comptes encouragé(e) par vos amis qui vous disent : « Ce n’est que justice. »
Avant de décider, relisez 1 Samuel 24. Le roi Saül, rongé par la jalousie, tente par tous les moyens d’abattre David son successeur choisi par Dieu. Il rassemble trois mille soldats pour partir à sa recherche et le tuer. Pris d’une envie pressante, Saül s’arrête et entre dans une grande caverne où se cachent David et ses hommes. Ces derniers interpellent leur chef : « C’est le bon moment de le tuer et de t’emparer du trône. »
Mais David se contente de couper un pan du manteau de Saül pour ensuite lui montrer et prouver qu’il a épargné sa vie. Ses compagnons considéraient probablement sa stratégie comme ridicule, mais David avait une autre référence : la Parole de Dieu !
Plus tard, il dira à Abichaï : « Ne le fais pas périr ! En effet qui pourrait en toute innocence porter la main sur le messie de l’Éternel ? » (1S 26.9). Dieu n’a pas changé d’avis. La Bible dit de ne pas se venger. C’est l’affaire de Dieu, ne vous en mêlez pas ! (voir Ro 12.17–21)
Alors que faire ? Être prêt à agir à l’opposé de ses instincts ! Paul dit : « Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire […] Ne sois pas vaincu par le mal, mais vainqueur du mal par le bien » (Ro 12.20–21). Votre ennemi en sera-t-il changé ? Possible. En tous cas, c’est votre changement d’attitude que Dieu va bénir.Bob Gass
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Laissez Dieu rebâtir votre vie
Si le Seigneur ne bâtit pas la maison, c’est en vain que les maçons se donnent du mal. Psaume 127.1
"Yannis, veux-tu vivre ?" Le jour où la parole de Dieu a résonné pour la première fois dans mon cœur, ma vie était un tas de gravats. Considéré comme dangereux pour la société, j’étais devenu le matricule 52 964. Pourtant, un soir, dans ma cellule, j’ai pris la décision de remettre ma vie entre les mains de mon créateur. Et savez-vous ce qui s’est passé ? Il a rebâti ma vie qui était en ruines !
Votre vie ressemble à une construction en cours et vous avez le choix entre laisser Dieu la bâtir ou la bâtir vous-même à votre façon. Beaucoup font le choix de suivre leur propre raisonnement pour construire et gérer leur vie. Malheureusement, les fondements basés sur les appuis humains sont fragiles et ne résistent pas aux tempêtes de l’existence : "La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison." (Matthieu 7.27)
Voulez-vous que votre vie soit stable et solide ? Alors, laissez l'architecte divin la prendre en main. Dieu est un sage bâtisseur, il a un plan personnalisé pour la construire avec les matériaux les plus résistants et les mieux adaptés. "C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc." (Matthieu 7.24)
Yannis Gautier
(Source : TopChrétien)votre commentaire
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Vaincre les géants
« Car la bataille appartient à l'Éternel, et il vous livre entre nos mains » 1 Samuel 17.47
Pour vaincre les géants de la dépendance, du ressentiment, de la peur, de la luxure, de l’orgueil, de l’envie ou de la colère, il vous faut méditer ces trois versets :
1) « Les tentations que vous avez connues ont toutes été de celles qui se présentent normalement aux hommes ». (1Co 10.13, BFC) . Goliath a d’abord été bébé avant de devenir géant. Nos géants sont souvent de petits péchés que nous avons négligés et tolérés jusqu’à ce qu’ils grandissent et nous tourmentent. Dire non aux petites pulsions donne la force de repousser les grandes.
2) « David se dépêcha de courir sur le champ de bataille à la rencontre du Philistin » (1S 17.48). David a pris Goliath de front. Votre géant doit donc venir à la lumière et ne plus s’installer dans votre vie. Ne transigez pas ! Si nécessaire, confiez-vous à quelqu’un qui peut vous fortifier et vous encourager. Évitez les mauvaises fréquentations. Ne voyez pas Dieu à la lumière de votre problème, mais votre problème à la lumière de Dieu.
3) « Car la bataille appartient à l’Éternel, et il vous livre entre nos mains ». Vous n’êtes pas seul(e) dans ce combat. Dieu veut vous aider à surmonter vos anciennes habitudes et à établir de nouveaux comportements. Il vous exhorte : « Conduisez-vous d’une façon digne de cet appel » (Ép 4.1, BFC).
Si vous voulez vous repentir, faites volte-face et décidez de marcher avec Dieu, il vous donnera la force de vaincre votre géant du moment. Dieu n’a jamais perdu de bataille. Si vous l’invitez à vos côtés, vous aussi vaincrez.Bob Gass
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Seigneur, libère-moi de la paresse, donne-moi un esprit diligent et que je devienne sage
« Va vers la fourmi, paresseux ; considère ses voies, et deviens sage. Elle n’a ni chef, ni inspecteur, ni maître ; elle prépare en été sa nourriture, elle amasse pendant la moisson de quoi manger. » Proverbes 6.6-8
Vous l’avez certainement déjà remarqué, dans la bible, il existe des passages qui sont très pratiques. D’ailleurs, Jésus notre Seigneur aimait beaucoup utiliser les paraboles pour que ses interlocuteurs se retrouvent dans son discours et comprennent mieux ses propos.Dans le passage ci-dessus, il nous est demandé de faire un exercice très simple : observer comment fonctionnent les fourmis et apprendre de leur organisation ! Ça peut paraître ridicule, mais lorsqu’on porte une attention particulière à ces petits être que sont les fourmis, on se rend compte qu’il y’a beaucoup d’enseignements à en tirer !
La fourmi n’a pas besoin d’un chef, d’un inspecteur ou d’un maître, elle sait s’auto-motiver et ne se laisse pas démotiver par les circonstances. Son secret ? Elle voit à long terme, et connait les lois immuables de la nature… Et ça lui donne de l’espérance et du courage.
La fourmi n’abandonne jamais !
Peut-être avez-vous déjà fait cette expérience ? : Lorsque vous mettez un obstacle sur la route d’une fourmi, devinez ce qu’elle fait ? Elle essaiera par un autre chemin. Au-dessus, en-dessous, à droite, à gauche… Et si vous insistez en la bloquant encore, elle continuera jusqu’à ce qu’elle trouve un passage. Quelle persévérance !
Alors qu’on est encore en hiver, la fourmi pense déjà à l’été…
L’hiver peut représenter les moments difficiles, les saisons dures de notre vie. On le remarque, pendant l’hiver les gens sont froids, crispés et moins chaleureux… Parfois, lorsque nous traversons l’hiver dans notre vie, nous avons tendance à vouloir tout lâcher, nous ne voulons plus rêver. Jacques 5.13 nous dit : « Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance ? Qu’il prie… ». Es-tu dans une saison difficile de ta vie ? Au lieu de t’alarmer et de vouloir tout arrêter, prie et prépare la saison de joie et d’allégresse (été). La fourmi le fait !
Quand c’est vraiment dur, parfois, il n’y a rien d’autre à faire que de tenir le coup…
La nuit ne dure pas 24h, et l’hiver ne dure pas 12 mois…
Et puis, surtout, en été, la fourmi pense à l’hiver !
L’été peut aussi représenter les « bons » et « beaux » moments de la vie… les moments où tout va bien. Généralement, en été, les visages sont radieux n’est-ce pas ?
Ce n’est pas parce que tout est beau maintenant que ça va durer pour toujours ! N’oublions pas, il y a un temps pour tout ! Dieu dans son amour prévoit aussi un temps pour que nous soyons éprouvés !
En été, la fourmi prépare activement la saison d’hiver, car elle se dit : « je ne sais pas combien de temps il nous reste, il va bientôt faire froid, on n’a jamais vus deux étés de suite de toute façon ! »
Proverbes 30.25 « Les fourmis, peuple sans force, préparent en été leur nourriture ».
Arrêtez de construire votre maison sur le sable en vous disant que la tempête ne viendra jamais… Elle viendra.
Alors que vous êtes en « été », profitez-en pour construire sur le ROC, et quand la tempête arrivera, vous direz : « je t’attendais, à nous deux ! » parce que vous vous êtes préparé.
Richard Bayard
(Source : adoredieu.com)votre commentaire
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Comment pardonner (1)
Remets-nous nos dettes comme nous aussi nous remettons à nos débiteurs ; et ne nous expose pas à la tentation, mais délivre-nous du mal.Matthieu 6. 12, 13
Ne vous vengez pas vous-mêmes, bien-aimés… car il est écrit : À moi la vengeance ; moi je rendrai, dit le Seigneur. Romains 12. 19
“Très souvent j’ai dit : “Je te pardonne”, et au moment même où je disais ces paroles, mon cœur restait furieux et plein de ressentiment. J’avais toujours envie d’entendre qu’après tout j’avais raison… Mais le pardon de Dieu est inconditionnel… Il exige de moi que j’oublie la partie meurtrie de mon cœur qui a souffert et a été traitée injustement.” (Henri N.)
“Nous disons : Très bien, si l’autre regrette et me demande pardon, je lui pardonnerai. Nous faisons du pardon une loi de réciprocité. Et ça ne marche jamais parce que nous nous disons tous les deux : “Que l’autre fasse le premier pas”. Alors je surveille avec des yeux de lynx pour voir s’il m’envoie un signal ou si je lis, entre les lignes de sa lettre, la moindre ébauche d’excuses. Je suis toujours sur le point de pardonner mais je ne pardonne jamais.” (Helmutt T.)
Les témoignages de ces deux chrétiens nous montrent ce qui rend souvent le pardon difficile. Nous attendons que celui qui nous a offensés vienne demander pardon. Mais si nous pardonnons de tout notre cœur, comme Dieu nous a pardonnés, notre indignation, notre colère, notre désir de vengeance feront place à des sentiments de grâce, et nous serons davantage en mesure d’aider l’offenseur à reconnaître sa faute.
“Pierre s’approcha et lui dit : Seigneur, combien de fois mon frère péchera-t-il contre moi et lui pardonnerai-je ? Jusqu’à 7 fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas jusqu’à 7 fois, mais jusqu’à 70 fois 7 fois” (Matthieu 18. 21, 22).
Pourquoi pardonner (2)
Mais toi, tu es un Dieu de pardons, faisant grâce, et miséricordieux, lent à la colère, et grand en bonté. Néhémie 9. 17
… Vous pardonnant les uns aux autres, si l’un a un sujet de plainte contre un autre ; comme le Christ vous a pardonné, vous aussi faites de même. Colossiens 3. 13
Pardonner, c’est faire grâce à l’autre sans contrepartie. Un chrétien est un homme pardonné par Dieu. Pardonner signifie abandonner son ressentiment envers un offenseur, lui remettre sa dette. Pardonner, c’est renoncer au désir de se venger.
Pourquoi pardonner ? Parce que Dieu nous le demande. Il nous a pardonné le premier alors que nous l’avions très gravement offensé par nos péchés. Si nous avons fait l’expérience de ce pardon divin, nous désirerons faire connaître ce “Dieu de pardons”, et refléter quelque chose de lui : “Les uns à l’égard des autres, soyez bons, compatissants, vous pardonnant les uns aux autres, comme Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné… Soyez donc imitateurs de Dieu comme de bien-aimés enfants” (Éphésiens 4. 32 ; 5. 1).
Sans pardon, ni un couple, ni deux amis, ni non plus une communauté ne peuvent expérimenter une vraie communion. Lorsqu’on a encore dans le cœur un sentiment négatif envers l’un ou l’autre, il est impossible d’expérimenter ensemble un vrai partage, une amitié sincère.
En contraste, le pardon brise le cycle sans fin de l’accusation et de la souffrance. “La première personne à être guérie par le pardon, est la personne qui pardonne… Quand nous pardonnons sincèrement, nous libérons un prisonnier, et nous découvrons que celui que nous avons libéré, c’est nous.” (Lewis Smedes)
Pardonner… avoir par au don de Dieu (3)
(Jésus a dit :) Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Luc 23. 34
(Pierre dit à Jésus :) Seigneur, combien de fois mon frère péchera-t-il contre moi et lui pardonnerai-je ? Jusqu’à 7 fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas jusqu’à 7 fois, mais jusqu’à 70 fois 7 fois. Matthieu 18. 21, 22
“Un soir, j’étais invité chez des amis libanais avec de nombreux voisins. Quelqu’un proposa de lire dans l’évangile de Matthieu le verset ci-dessus. Cette lecture fut suivie d’un long silence douloureux. Ces hommes et ces femmes étaient là, meurtris par tant d’années de guerre où ils avaient, tous, perdu un ou plusieurs membres de leur famille.Ce texte de l’évangile m’apparut soudain inhumain. Comment peut-on proposer une telle parole à des personnes écrasées par une situation qu’elles n’ont pas voulue et pour laquelle elles ne peuvent rien ? Et j’écoutai, médusé, ces voix brisées par tant de malheurs, reconnaître humblement que ce pardon ne pouvait plus jaillir naturellement de leur cœur. Trop de haine, de sang et de morts les avaient broyés. Après cet aveu sans fard, ils se mirent spontanément à prier, demandant à Dieu de faire naître en eux, par la force de son Esprit, cet impossible pardon.
J’ai compris, ce soir-là, que “pardonner” c’était vraiment “avoir part-au-don” de Dieu, participer à la gratuité de son amour infini. Notre logique humaine, celle de la spirale mortelle de la rancune qui engendre la vengeance, du mal qui engendre le mal est, par le pardon, rompue. Ce qui pouvait apparaître comme une faiblesse, une capitulation, devient soudain une marche à contre-courant, un passage inattendu de l’Esprit de Dieu… Passer de notre logique humaine à celle de Dieu, à la logique de l’amour de celui qui, un jour, sur le Calvaire, alors qu’il allait mourir, a prié : “Père, pardonne-leur” !” (Michel H.)
Un éclat de verre dans le bras (4)
Quand vous vous levez pour prier, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez-lui. Marc 11. 25
Imaginez qu’un jeune se blesse avec du verre. On nettoie sa plaie, mais un petit éclat de verre y reste caché. Avec le temps et les soins, le bras semble guérir, mais bientôt certains mouvements déclenchent de vives douleurs.Quelqu’un qui n’a pas pardonné les torts qui lui ont été faits se trouve dans la même situation. Par exemple, au cours de relations cordiales, tout à coup des réactions anormalement violentes en présence de certaines personnes se montrent. La blessure n’est pas guérie. Comme pour le bras blessé, passer des pommades ne sert à rien, la seule solution efficace, c’est de faire enlever ce corps étranger.
Dans le cas du pardon, comment faire pour que l’amertume soit enlevée de notre cœur ? C’est une démarche difficile qui peut prendre du temps jusqu’à la guérison. Le premier pas est de demander à Jésus son aide en venant au pied de la croix. Dans le sentiment de sa présence, lui dire ce qui nous est arrivé. Ayons le souci de mettre des mots justes sur ce que nous avons subi, mais souvenons-nous dans nos prières de cette première parole de Christ sur la croix : “Père, pardonne-leur”… Alors, en son temps, Jésus nous donnera la paix. Toute trace d’amertume et de vengeance sera effacée. Bien plus, comme Jésus nous l’a demandé, nous aimerons ceux qui nous ont offensés… même si le pardon n’est pas toujours réciproque.
Nous ne pouvons pas oublier certaines expériences de notre vie, telle cette cicatrice toujours visible sur le bras, mais le Seigneur Jésus nous guérira en nous donnant la force de pardonner.
(Source : La Bonne Semence / editeurbpc.com)
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Traverser des épreuves
GENÈSE 39.6‑20
Joseph a été esclave durant 13 années, au cours desquelles sa situation est allée de mal en pis. Il a perdu son poste élevé dans la maison de Potiphar et a été incarcéré quand la femme de son maître a menti à son sujet. Il espérait être libéré de prison, mais le serviteur qui devait parler favorablement de lui au pharaon l’a oublié (Ge 40.14,23). Son avenir semblait bien sombre.
Malgré les apparences, l’Éternel œuvrait à bénir Joseph et sa famille. En réalité, Dieu l’avait choisi pour qu’il sauve les siens de la famine. Auparavant, le jeune homme devait toutefois apprendre la langue et la culture égyptiennes, et acquérir les compétences d’un leader ainsi que de la maturité spirituelle. Dieu a intégré tous ces facteurs dans son plan.
Joseph a appris deux leçons utiles. D’abord, que Dieu nous accompagne dans toutes nos épreuves visant à nous préparer en vue de son œuvre. Ensuite, que l’affliction cesse une fois que les desseins divins sont accomplis. Au moment déterminé par Dieu, Joseph est sorti de prison, il a été promu à un poste élevé par le pharaon et il s’est réconcilié avec ses frères.
La détresse est pénible, mais Dieu s’en sert pour nous outiller et exécuter son plan. Qu’essaie‑t‑il de vous enseigner par votre malheur?
(Source : encontact.org)
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