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    Dissiper les doutes

     

     

    Dissiper les doutes

     

     

     

     

    MATTHIEU 21.20‑22

     

    Quand nous acquérons de la maturité spirituelle, nous croyons plus fermement à la fidélité de Dieu. Il arrive cependant que nous ayons des doutes. Si nous ne voulons pas faire marche arrière, nous devons agir résolument pour les contrer. Voici trois démarches à entreprendre pour ce faire :

     

    1. Nous rappeler les bontés et les promesses de Dieu. Lorsque nous prenons le temps de remercier Dieu pour ses interventions dans le passé, nous nous souvenons de son amour et de ses soins. Méditer les promesses de l’Écriture alimente notre assurance selon laquelle il va continuer de pourvoir à nos besoins. Nous lisons au Psaume 41.13 que les enfants de Dieu sont placés pour toujours en sa présence. De plus, il nous a donné son Esprit, source de force et de direction (Jn 16.13; Ép 3.16).

     

    2. Nourrir notre foi de la Parole. Si nous demandons à Dieu de nous diriger, il nous montrera des passages qui se rapportent à notre situation et qui nous procureront un soutien émotionnel et spirituel. Méditons‑les et considérons, dans la prière, comment les appliquer à notre vie.

     

    3. Choisir de croire les promesses divines. Dieu a été fidèle dès le premier moment de la création jusqu’à maintenant. C’est faire preuve de sagesse que de se confier en lui.

     

    Pour développer une foi robuste, nous devons coopérer avec notre Père. Notre nature nous rend vulnérables aux doutes, mais quand nous choisissons de nous confier en Dieu, nos incertitudes ne peuvent l’emporter sur notre foi.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

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    Du secours quand les eux vous submergent

     

     

     

    Du secours quand les eaux vous submergent

     

     

     

    "Sauve-moi ô Dieu ! Car les eaux me viennent jusqu’à la gorge. J’enfonce dans la fange profonde, sans pouvoir me tenir, je suis parvenu au tréfonds des eaux, un courant me submerge. Je m’épuise à crier, mon gosier se dessèche, mes yeux défaillent dans l’attente de mon Dieu." Psaumes 69.2-4

    Dans ce psaume, David fait part de son sentiment d’avoir de l’eau jusqu’au cou et de s’enfoncer dans la boue. Il essaie de prendre le bon chemin, mais ne trouve aucun sol ferme sous ses pieds. Sa détresse émotionnelle est telle qu’il est épuisé à force de crier. Il cherche des réponses, mais "mes yeux défaillent dans l’attente de mon Dieu". En dépit de ses efforts, d’autres le "haïssent sans cause" (Psaumes 69.13).

    Si vous êtes dans la détresse, ne vous lassez pas de chercher Dieu...

    Si autant d’adversité le décourage, elle ne l’empêche cependant pas de chercher Dieu. Malgré son accablement, il se tourne vers lui et lui demande de sonder son cœur et ses pensées. Et il ne se lasse pas dans sa quête de Dieu : "Car le zèle de ta maison me dévore" (Psaumes 69.10).

    Avez-vous déjà connu des situations où il vous semblait avoir de l’eau jusqu’au cou ? Vous est-il arrivé d’être confronté à des circonstances qui paraissaient sans espoir ou impossibles ? Avez-vous eu le sentiment d’être au bout du rouleau, ou fait l’objet d’accusations injustes ?

    Aujourd’hui, laissez-vous enseigner par David. Si vous êtes dans la détresse, ne vous lassez pas de chercher Dieu et d’implorer son secours. Recherchez-le, sans vous préoccuper de ce que disent les autres ou de ce qui se passe dans le monde. Quelle que soit la hauteur des flots qui vous submergent ou quelque impossible que paraisse la situation, Dieu est prêt à venir à votre secours. Continuez à le chercher, à l’adorer et à le servir.

    Une prière pour aujourd’hui :
    Père, j’implore ton aide. Je regarde à toi. J’ai confiance que tu vas me secourir, me guider et me diriger. Je te remets mon temps, mes talents et mon trésor. Au nom de Jésus. Amen.

     

    John Roos
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    En permettant l'épreuve, Dieu vise un but

     

     

    En permettant l'épreuve, Dieu vise un but

     

     

    ROMAINS 8.29,30

     

    Il est plus facile de supporter l’épreuve quand nous savons qu’elle produira du bien. Cependant, notre définition du bien pourrait différer de celle de Dieu. Comme ses voies et ses pensées sont bien plus élevées que les nôtres (És 55.9), nous devons lui faire confiance, même si l’adversité occasionne souffrance, frustration ou larmes. Le bien que Dieu vise, c’est de nous conformer à l’image de son Fils, et les difficultés font partie des moyens qu’il utilise pour y parvenir.

     

    Nous ne devrions jamais croire que Dieu nous afflige, puis qu’il prend un recul pour voir comment nous nous débrouillerons. Il veille sur chaque étape du processus.

     

    Le Seigneur taille l’épreuve sur mesure. Il y a un but derrière chaque ennui (1 Pi 1.6,7). Dieu nous connaît tous intimement, et il le sait quand nous avons besoin de correction ou de croissance pour ressembler davantage à Christ.

     

    Le Seigneur détermine la durée de l’épreuve. Nous souffrons toujours trop longtemps à notre goût, mais lorsque nous dépendons de Dieu, il nous accorde la grâce et la force de persévérer jusqu’à ce qu’il ait atteint son objectif (Ph 4.13).

     

    Le Seigneur limite l’intensité de l’épreuve. Il sait ce dont nous sommes capables et il ne nous imposera aucun fardeau que nous ne pouvons supporter (1 Co 10.13).

     

    Rien ne nous arrive par hasard. Même si nous ne comprenons pas ce que Dieu tente de faire, nous pouvons croire que notre affliction transformera notre caractère, notre conduite et nos conversations de sorte que nous ressemblerons plus à Jésus.

     

     

     

    (Source : Lumière du matin / encontact.org)

     

     

     

     

     

     

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    Grimpée dans un arbre

     

     

    Grimpée dans un arbre

     

     

     

    Lecture proposée : Jonas 2.2-11

     

    Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Éternel, et il m’a exaucé. (V. 3)

     

    Ma mère a trouvé ma petite chatte Velvet sur le comptoir de la cuisine en train de dévorer un pain fait maison. Avec un soupir de frustration, ma mère l’a flanquée à la porte. Des heures plus tard, nous avons fouillé notre jardin en vain à la recherche du chaton. Puis, en percevant un miaulement à travers le vent, j’ai levé les yeux vers la cime d’un peuplier où une tache noire faisait plier une branche.

     

    Dans son empressement à fuir la frustration de ma mère qu’avait suscitée sa conduite, Velvet avait choisi une situation plus périlleuse encore. Or, se peut‑il que nous en fassions parfois autant, en fuyant nos erreurs et en nous mettant en danger ? Même alors, Dieu vient néanmoins à notre secours.

     

    Dieu précieux, comme ton secours nous est nécessaire aujourd'hui !

     

    Dans sa désobéissance, le prophète Jonas a fui l’appel de Dieu à aller prêcher à Ninive, et s’est fait avaler par un gros poisson. « Jonas, dans le ventre du poisson, pria l’Éternel, son Dieu. Il dit : Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Éternel, et il m’a exaucé » (JON 2.2,3). Accueillant la supplique de Jonas, Dieu « parla au poisson, et le poisson vomit Jonas sur la terre » (V. 10). Puis Dieu a donné à Jonas une autre chance (3.1).

     

    Après avoir tout tenté pour faire redescendre Velvet, nous avons fait venir les pompiers. À l’aide de la plus longue échelle possible, un homme gentil est allé chercher ma petite chatte au sommet de l’arbre pour me la remettre.

     

    Dieu se rend jusqu’aux sommets, et dans les abîmes, pour nous sauver de notre désobéissance par son amour rédempteur !

     

    La mort de Jésus sur la croix nous a sauvés de nos péchés.

     

     

     

    Elisa Morgan
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     

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    Il est le Dieu qui guérit

     

     

    Il est le Dieu qui guérit

     

     

    "Jésus parcourait toute le Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple." Matthieu 4.23

     

    Dieu est un Dieu de compassion ! Il a compassion des malades, c'est pourquoi, dans son amour, il guérit.

     

    Chaque miracle est donc un avant-goût de la résurrection.

     

    Le plan de Dieu ne touche pas seulement l'esprit, il touche aussi l'âme et le corps. D'ailleurs, dans sa première lettre adressée aux chrétiens de Corinthe, l'apôtre Paul consacra tout un chapitre sur le sujet de la résurrection du corps. Il traita du fait qu'au jour de la résurrection, le Seigneur ressuscitera nos corps mortels qui revêtiront l'immortalité et l'incorruptibilité (1 Corinthiens 15.54). Pour les rachetés, cette résurrection sera glorieuse.

    Dieu ne néglige donc pas les besoins de notre corps. Si le corps était à ses yeux quelque chose d'insignifiant, il n'aurait pas prévu de résurrection pour cette demeure physique.

    Chaque miracle est donc un avant-goût de la résurrection ! Le paralytique qui se lève, le boiteux qui marche, le sourd qui entend, l'aveugle qui voit et tous les autres miracles sont des signes qui témoignent du bien que Dieu fera à notre corps au jour de la résurrection glorieuse. Alors, il n'y aura plus aucune souffrance.

    Souvenez-vous de cette merveilleuse promesse : "Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu." (Apocalypse 21.4). Quel avenir glorieux ! La guérison sera totale !

    Une prière pour aujourd'hui :
    Seigneur Jésus, tu as souffert aussi sur la croix pour que je sois guéri. En ton nom, je confesse ma guérison et je te bénis par avance pour ta gloire dans ma vie. Amen.

     

     

    Franck Alexandre
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Il restaure mon âme

     

     

    Il restaure mon âme

     

     

     

    "… Il s’assit sous un genêt, et demanda la mort, en disant : C’est assez ! Maintenant, Éternel, prends mon âme, car je ne suis pas meilleur que mes pères." 1 Rois 19.4

    Après quelques jours de marche dans le désert pour sauver sa vie menacée par Jézabel, Élie s'arrête, complètement épuisé moralement et physiquement. Oubliant ses exploits d'hier sur le mont Carmel, il se laisse vaincre par un profond sentiment d'échec, et sombre dans la dépression. Cette fois il n'est plus question pour lui d'affronter, mais de fuir les réalités qui l'ont conduit jusqu'ici ; il demande la mort !

    Vous est-il déjà arrivé de croire qu'il est plus facile de mourir que de vivre ?

    Élie ne se tient plus devant Dieu, mais face à lui-même. Dans son égarement, il oublie la source de sa force ! Sa vision du monde extérieur est alors totalement faussée, et il commence à percevoir sa situation d'une manière négative. Pour lui, il n'y a aucune issue possible ! Il n'y a plus d'espoir !

    Vous est-il déjà arrivé de laisser une situation qui paraissait insurmontable à vos yeux s'interposer entre Dieu et vous ? De croire qu'il est plus facile de mourir que de vivre ?

    L'accumulation d'événements douloureux peut avoir des conséquences néfastes sur l'état de notre âme. Une âme abattue, c'est un homme qui souffre, qui faiblit moralement et physiquement. Élie se couche et s'endort… tentant peut être d'oublier les pressions qu'il subit ? Heureusement, Dieu, lui, ne sommeille, ni ne dort. Et il envoie un ange réveiller le prophète : "Lève-toi et mange !" (1 Rois 19.5-7).

    Renouvelé et fortifié par cette nourriture miraculeuse, Élie reprend sa marche et va de l'avant avec cette force nouvelle (1 Rois 19.8) !

    N'en est-il pas ainsi de la parole de Dieu ? N'a-t-elle pas le pouvoir de restaurer votre âme et de renouveler vos forces ? Prenez le temps de la méditer et mettez-la en pratique. La simple obéissance à cette Parole fera de vous un vainqueur et non un vaincu !

    Une prière pour aujourd'hui :

    Père, je te demande pardon pour toutes les fois où j'ai remis en cause ta volonté. Ouvre mes yeux sur ta Parole et apprends-moi à y puiser les ressources et la force nécessaires à ma marche quotidienne. Dans le nom de Jésus. Amen.

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    La peine du jour présent

     

     

     

    La peine du jour présent

     

     


     

    Ses compassions ne cessent pas ; elles sont nouvelles chaque matin; grande est ta fidélité! Lamentations de Jérémie 3. 22, 23
    Bienheureux l'homme dont la force est en toi… Ils marchent de force en force. Psaume 84. 5, 7

     

    “Je ne souffre qu'un instant ; c'est parce qu'on pense au passé et à l'avenir qu'on se décourage et qu'on désespère.” Ces paroles de Thérèse de Lisieux sont instructives : comment réagissons-nous devant la souffrance ou les épreuves de la vie ?

     

    On peut regretter la tranquillité des jours passés, la joie et la facilité dans lesquelles on vivait. Mais Dieu nous invite à ne pas regarder en arrière pour regretter. “Ne dis pas : Pourquoi les jours passés étaient-ils meilleurs que ceux-ci? Car ce n'est pas la sagesse qui te ferait poser cette question” (Ecclésiaste 7. 10). En revanche, souvenons-nous que Dieu ne nous a jamais abandonnés.

     

    On peut aussi se faire du souci pour l'avenir : nos forces déclinent, notre société évolue de façon inquiétante… Mais l'apôtre nous dit: “Rejetez sur Dieu tout votre souci, car il prend soin de vous” (1 Pierre 5. 7). Nous ne pouvons rien changer de notre passé, et l'avenir ne nous appartient pas. Tout est entre les mains de Dieu, qui conduit tout à bonne fin pour nous (Psaume 57. 2).

     

    “À chaque jour suffit sa peine”, a dit Jésus Christ (Matthieu 6. 34). La peine du moment présent peut être supportée avec son aide. Il nous aime, il comprend nos souffrances et il a toujours compassion de nous. Il nous donnera les forces un jour après l'autre. Apprenons à les lui demander chaque matin, en comptant sur sa fidélité. Il a promis : “Moi je suis avec vous tous les jours” (Matthieu 28. 20).

     

     

     

    (Source : la bonnesemence.com)

     

     

    La peine du jour présent

     

     

     

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    Le miracle au milieu de la tempête

     

     

    Le miracle au milieu de la tempête

     

     

    "Viens !" répondit Jésus. Pierre sortit de la barque et se mit à marcher sur l’eau pour aller à Jésus. Mais quand il remarqua la violence du vent, il prit peur. Il commença à s’enfoncer dans l’eau et s’écria : "Seigneur, sauve-moi !" Matthieu 14.29-30

     

    La Bible nous parle de cet homme qui, tout comme vous et moi, a douté. 

     

    Au sein de votre tempête, Jésus vous révèle qui il est...

     

    Vous arrive-t-il de douter ? De Dieu, de sa capacité à prendre soin de vous et de votre famille, de son désir de subvenir à vos besoins ?

     

    Voyez-vous ce qu’il se passe ici ? Pierre, qui est en train de marcher vers Jésus sur l’eau en pleine tempête, se met à douter. Il doute, au milieu d’un miracle (marcher sur des vagues déchaînées, cela tient du miraculeux, c’est le moins qu’on puisse dire !)

     

    Comme pour Pierre, il nous suffit de quitter Jésus et son miracle des yeux quelques secondes pour nous focaliser soudain sur la tempête qui nous entoure. On oublie le merveilleux cadeaux qu’est notre famille pour ne voir que ses dysfonctionnements, on subit un travail bien fatiguant qui était pourtant la réponse à nos prières…

     

    Pourtant, quelques versets plus haut, nous voyons que c’est Jésus qui a commandé à ses disciples de monter dans la barque qui les mènerait à la tempête… Cela signifie-t-il que Jésus souhaite nous voir batailler ?

     

    Au contraire, cela nous montre qu’il connaît ce qu’il y a à l’autre bout de la rive, et qu’il est prêt à utiliser les tempêtes que nous traversons pour nous révéler, à chaque miracle, un peu plus de sa nature.

     

    Et puisqu’il est infiniment miséricordieux, il nous tendra sa main à chaque moment de doute !

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, je te remercie parce que même dans ma tempête, tu me révèles qui tu es : un Père aimant qui me tend la main et qui m’appelle en dehors de ma barque. Je crois fermement que même si je ne comprends pas tout, toi tu gardes les yeux fixés sur ma destination ! Je désire te faire confiance. Tout est sous ton contrôle. Amen.  

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Le perfectionnement par la souffrance

     

     

    Le perfectionnement par la souffrance

     

     

     

     « Dieu … a élevé à la perfection par les souffrances le Prince de leur salut. » (Hébreux 2.10)

     

    Ce texte nous dit clairement que Jésus, le Prince de notre salut, a été amené à la perfection par le moyen de la souffrance. Que Christ ait connu la souffrance, cela est une évidence biblique des plus certaines. L’apôtre Pierre écrit : « Christ ayant souffert dans la chair, vous aussi armez-vous de la même pensée » (1 Pierre 4.1). L’auteur de l’épître aux Hébreux écrit : « Jésus a appris, bien qu’il fût Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes » (Hébreux 5.8).
    Nous fuyons la souffrance, à juste raison nous faisons tout pour l’éviter autant que faire se peut, cependant elle demeure une expérience inévitable au cours de notre existence. Si Jésus est passé par le chemin de la souffrance, nous sommes avertis que nous aurons nous aussi à passer par cette voie.
    Là, Jésus a appris l’obéissance ! A l’école de la souffrance, nous pouvons apprendre bien des choses, telles : l’humilité, le pardon, la reconnaissance, l’amour, la fidélité…mais le fait que la Bible nous dise que Jésus a appris l’obéissance, c’est comme si Dieu mettait le doigt sur l’une des leçons des plus difficiles à apprendre : l’obéissance. C’est par l’obéissance de Christ que le salut est offert à tous : « …de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes » (Romains 5.12/19).

     

    Il est impossible d’évoquer le thème de la souffrance sans mentionner le cas exceptionnel de Job. Job était un homme aimant Dieu. Mais Dieu a permis que Job passe par la souffrance pour le perfectionner. Job déclarera à la fin de son épreuve : « Mon oreille avait entendu parler de toi, mais maintenant mon œil t’a vu » (Job 42.5). Ce qui fait la solidité d’un vase d’argile, c’est le fait de passer par le four. Un vase qui ne passe pas par le feu, sera friable et se cassera au moindre petit choc.
    Souvenez-vous de Joseph qui a connu le rejet, la prison, la calomnie, l’oubli et la servitude ; or, tout ce chemin de souffrance contribuait à le perfectionner.

     

    Passez-vous par la souffrance en ce moment ? Perte d’emploi, maladie, séparation, deuil, rejet…sont peut-être votre lot ? Souvenez-vous que Christ a connu lui-même la souffrance et qu’il peut vous secourir dans vos souffrances.

     

    Un conseil pour ce jour :
    Considérez vos souffrances comme des occasions de grandir, de mûrir, de devenir inébranlables, de vous perfectionner. Ce sera la meilleure façon de les affronter. Ce qui aujourd’hui vous semble être une immense montagne, ne sera plus demain qu’une petite colline, lorsque vous aurez acquis cette maturité à laquelle Dieu vous appelle.

     

     

     

    Paul Calzada
    (Source : lueursdumatin.fr)
     

     

     

     

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    Libérez les captifs (1 et 2)

     

     

    Libérez les captifs (1)

     

     

    « Je suis descendu [...] pour le faire monter » Ex 3.8

    Pendant quatre cents ans, les Israélites étaient esclaves de la tyrannie des Égyptiens qui les opprimaient et leur rendaient « la vie amère » (Ex 1.14). Beaucoup d’entre nous pouvons faire le parallèle avec ce sentiment d’impuissance qui nous étreint lorsque nous songeons à nos propres combats. Excès de nourriture, alcool, drogue, sexe, argent, mauvaises fréquentations, nous avons tous connu cette sensation d’impuissance alors que nous tentions vainement de nous en libérer. L’échec peut engendrer un désespoir chronique qui nous fait abandonner toute nouvelle tentative. Brisé et abattu, Israël a crié à l’Éternel et il a répondu : « J’ai bien vu la misère de mon peuple qui est en Égypte, et j’ai entendu son cri à cause de ses oppresseurs, car je connais ses douleurs » (Ex 3.7). Et voici comment Dieu montre sa compassion à leur égard : « Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens et pour le faire monter de ce pays […] dans un pays découlant de lait et de miel » (v.8). Aujourd’hui encore, Dieu peut faire la même chose pour vous. Pour qu’Israël soit délivré, il a fallu sacrifier un agneau pascal immaculé. Ils ont appliqué son sang sur le linteau de leur porte et l’ange de la mort les a épargnés. La Bible dit : « Christ, notre agneau pascal, a été sacrifié » (1Co 5.7). Jésus-Christ, notre agneau sacrificiel, a versé son sang pour nous libérer de tout esclavage. Quels sont vos combats aujourd’hui ? Vous pouvez être délivré(e) de la captivité, non par vos propres efforts qui sont vains, mais en croyant en ce Dieu qui répond aux cris de son peuple.

     

     

     
     

    Libérez les captifs (2)

     

     

    Ps 107.14

    Dieu se charge de rendre les gens libres, corps et âme. Lorsque les Israélites étaient en esclavage : « Dans leur détresse, ils crièrent à l’Éternel, et il les sauva de leurs angoisses » (v.13). Jésus délivre encore, jour après jour : « Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres » (Jn 8.36). Alors suivez ces étapes vers la liberté :

    1) criez à l’Éternel. Il a dit : « Vous me chercherez et vous me trouverez, car vous me chercherez de tout votre cœur » (Jér 29.13). La plainte des Israélites était sincère, et Dieu répond toujours aux cris du cœur. Pour être délivré(e), avouez d’abord que vous dépendez totalement de lui. Ne cherchez pas à tout régler vous-même. La Bible dit : « Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous » (1P 5.7).

    2) nourrissez-vous de l’Esprit. Jésus a dit : « Je suis le pain vivant […]. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement » (Jn 6.51). Si vous vous imprégnez de la Parole et partagez vos sentiments dans la prière, il allégera votre fardeau et nourrira votre âme. Jésus est venu « pour proclamer aux captifs la délivrance, […] pour renvoyer libres les opprimés » (Lu 4.18). Prenez le temps de méditer la Bible jusqu’à ce que vous compreniez comment l’appliquer dans votre vie. La connaissance sans la pratique est vaine. La liberté passe par une nourriture biblique quotidienne, et la mise en pratique de ce que vous avez appris à votre situation présente. « Heureux l’homme […] qui trouve son plaisir dans la loi de l’Éternel, et qui médite sa loi jour et nuit ! » (Psalm 1:1-2 NCV). Faites-le, jour après jour, et soyez libre !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Ne laissez pas vos peurs vous guider

     

     

    Ne laissez pas vos peurs vous guider

     

     

    "N’aie pas peur, je suis avec toi. Ne regarde pas autour de toi avec inquiétude. Oui, ton Dieu, c’est moi. Je te rends fort, je viens à ton secours et je te protège avec ma main puissante et victorieuse." Esaïe 41.10

     

    "N’aie pas peur", nous dit le Créateur de la terre et du ciel. Nous avons parfois tendance à croire que la peur nous protège. Que plus nous entretenons de peurs dans notre vie, plus nous aurons de chances d’éviter le malheur. En fait, c’est tout l’inverse !

     

    L'inquiétude ne rallongera pas votre vie, au contraire !

     

    La peur est un indicateur de danger, comme un signal, qui nous dit "Tiens-toi prêt !" Mais il n’est pas avantageux pour nous de lui laisser plus de place dans nos vies que celui d’un simple signal. Car lorsque nous laissons la peur nous conduire, nous l’autorisons à être non pas une barrière contre le danger, mais une barrière nous empêchant d’entrer dans notre destinée !

     

    L'inquiétude ne rallongera pas votre vie, au contraire ! Faites votre part (le possible ) et laissez à Dieu la sienne (l'impossible). La main de Dieu est assez grande pour vous protéger, pour vous bénir, pour vous consoler, pour vous relever, pour vous ouvrir la porte d’un avenir nouveau.

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, je m’attends à toi. J’ai confiance en ta main puissante et victorieuse. Je me place sous ta protection et je reçois ton abondance divine. Elles sont à moi par la foi, grâce au prix payé par Jésus sur la croix. En toi, je suis un "vaillant héros" !

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

    Ne laissez pas vos peurs vous guider

     

     

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