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    Un sommeil agité

     

     

    Un sommeil agité

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 4

    Je me couche et je m’endors en paix, car toi seul, ô Éternel ! tu me donnes la sécurité dans ma demeure. (V. 9)

    Qu’est‑ce qui vous garde éveillé la nuit ? Dernièrement, j’ai eu du mal à trouver le sommeil à force d’essayer de régler un problème. J’en suis venue à craindre de ne plus pouvoir relever mes défis du lendemain !

     

    Vous vous reconnaissez ? Une relation brouillée, un avenir incertain, quoi que ce soit, nous finissons tous par céder aux inquiétudes un jour ou l’autre.

     

    Précieux Père, merci de m'écouter quand je t'appelle et de toujours veiller à mon bien

     

    Le roi David était manifestement en détresse lorsqu’il a écrit le Psaume 4. On l’accusait faussement (V. 3) et on doutait de son aptitude à régner (V. 7). Cette injustice le mettait probablement en colère. Or, il aurait assurément pu passer des nuits à ruminer tout cela. Pourtant, nous lisons cette parole remarquable : « Je me couche et je m’endors en paix » (V. 9).

     

    Charles Spurgeon explique à merveille le verset 9 : « Se couchant ainsi […] [David] s’est abandonné entre les mains d’un autre ; il l’a fait tout entier, car en l’absence de toute inquiétude, il a dormi ; il y avait ici une confiance totale. » Qu’est‑ce qui lui a inspiré une telle confiance ? Dès le début, David comptait sur Dieu pour exaucer ses prières (V. 4). Et il était certain que, comme Dieu l’avait choisi, celui‑ci comblerait ses besoins avec amour.

     

    Puisse Dieu nous aider à nous reposer dans sa puissance et sa présence lorsque les inquiétudes nous menacent. Dans ses bras souverains et bienveillants, nous pouvons nous coucher et nous endormir en paix nous aussi.

     

     

    On peut confier ses soucis à un Dieu parfaitement digne de confiance.

      

     

    Poh Fang Chia
    (Source : Note Pain Quotidien)

     

     

    Un sommeil agité

     

     

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    Vous avez une destinée particulière à accomplir

     

     

     

    Vous avez une destinée particulière à accomplir

     

     

     

    "Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis ; je vous ai chargés d’aller, de porter des fruits et des fruits durables. Alors, le Père vous donnera tout ce que vous lui demanderez en mon nom." Jean 15.16

     

    En quoi la pensée que Dieu a un plan pour vous changerait-elle votre vie ? De savoir qu’il vous a choisi personnellement ? Ce sont ces mêmes vérités que Jésus enseigna à ces disciples la nuit précédant sa mort. Il leur expliqua que ce n’était pas un hasard s’ils l’avaient suivi. En fait, il les avait choisis !

     

    Il est des missions que Dieu n’a confiées à personne d’autre que vous.

     

    Jésus était en train de leur dire que leurs vies ne devaient rien au hasard. Qu’ils aient été pêcheurs, collecteurs d’impôts ou autre, ils avaient chacun une histoire, des compétences et un vécu spécifiques. Jésus avait choisi et appelé chacun d’entre eux à un moment précis pour lui confier une tâche spécifique. Lorsqu’ils prirent conscience de ces vérités, les disciples purent considérer leurs propres vies et repenser à leur appel. Ils auraient des missions particulières à remplir, ils iraient et porteraient du fruit.

     

    Ce même principe est vrai pour vous. Dieu vous a choisi. Et vous avez été créé pour accomplir une destinée particulière ! Il est des missions qu’il n’a confiées à personne d’autre que vous. Vous avez des dons et des capacités qui vous sont propres. Les situations dans lesquelles vous vous trouvez, c’est lui qui les a voulues pour vous. Il vous a appelé à être son ambassadeur, son représentant.

    Peut-être êtes-vous confronté à des défis et des difficultés, mais Dieu se tient à vos côtés, prêt à vous aider. Continuez à avoir foi en lui, en vous attachant à accomplir votre destinée et à produire du fruit qui demeure. Vous pouvez vous réjouir, être plein d’assurance et vous approcher de lui dans la prière, sachant que "ce que vous demandez au Père" dans le nom de Jésus, "il vous le donne". Souvenez-vous, vous êtes spécial à ses yeux !

    Une prière pour aujourd’hui :
    Père, je te remercie de m’avoir appelé. Aide-moi à être prêt pour ton timing dans ma vie. Je veux semer pour ton royaume. Merci pour le fruit que je récolterai. Au nom de Jésus. Amen.

     

     

     

    John Roos
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

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    Où est Dieu dans la tempête

     

     

     

    Où est Dieu dans la tempête ?

     

     

     

    « La tempête se maintenait si forte que nous avions perdu finalement toute espérance d'être sauvés » Ac 27.20

     

    Il y a des moments où Dieu semble inaccessible. Lorsque vous priez, vous vous sentez seul(e) dans vos problèmes actuels. De plus vous êtes terrifié(e) et même désespéré(e). Paul comprend ce sentiment. Il est impatient de prêcher à Rome, et il est en train de s’y rendre lorsqu’une tempête menace son navire. Paul entrevoit du danger « non seulement pour la cargaison et pour le navire, mais encore pour nos personnes » (v.10). Il tente d’avertir l’équipage de l’imminence du drame, mais les responsables méprisent ses paroles. Bref, Paul et 276 autres passagers sont en danger de mort à cause du mépris de quelques marins bornés, et il ne peut rien faire contre. Désespérés, lui et ses compagnons déclarent avoir « perdu finalement toute espérance d’être sauvés ».

    Puis après deux semaines d’errance en mer, au plus fort de la tempête, Dieu envoie un ange qui lui annonce : « Sois sans crainte, Paul, […] Dieu t’accorde la grâce de tous ceux qui naviguent avec toi » (v.24). Au moment où l’ardent désir de Paul d’aller prêcher à Rome va être contrarié, Dieu le guide fidèlement à travers la tempête vers la destination précise qu’il avait prévue pour lui. Paul ira à Rome pour annoncer la Parole de Dieu devant César ! Êtes-vous pris(e) dans une tempête ? Quelle que soit l’épreuve que vous affrontez aujourd’hui, sachez une chose : vous pouvez faire confiance à Dieu pour vous la faire traverser. Il annonce « longtemps d’avance ce qui n’est pas encore accompli » (Esa 46.10), alors vous en sortirez plus fort(e) et plus sage.

     

     

     

    Bob Gass

     

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    Pardonnez, puis passez à autre chose

     

     

     

    Pardonnez, puis passez à autre chose

     

     

     

    "Pour toi, si tu diriges ton cœur et si tu étends tes mains vers Dieu, si tu éloignes l’injustice de ta main et ne laisses pas demeurer l’iniquité sous tes tentes, alors tu lèveras ton front sans tache, tu seras ferme et sans crainte ; car tu oublieras ta peine, tu t’en souviendras comme des eaux qui se sont écoulées." Job 11.13-16 

    Aussi longtemps que vous n’arrivez pas à détacher vos pensées d’une personne pour laquelle vous éprouvez de la rancune, cette personne exerce un ascendant sur vous. Vous vous tourmentez pour quelque chose qu’il ou elle a déjà oublié.

    Ce que vous avez vécu par le passé importe moins que la vie qui s’ouvre devant vous.

    Bien avant l’avènement de la psychologie, Job a compris que la guérison intérieure suivait trois étapes.

    Mettez votre cœur en ordre. Si vous voulez être guéri émotionnellement d’une blessure, vous devez lâcher prise – que vous en ayez envie ou pas. N’essayez pas de vous venger. Pardonnez à cette personne, puis lâchez prise.

    Demandez l’aide de Dieu. Invitez Christ à venir dans votre vie pour vous remplir de son pardon. Pourquoi ? Parce que votre pardon humain ne suffira jamais pour faire face à toutes les blessures de votre vie, non seulement celles du passé, mais aussi toutes celles à venir.

    Vous souvenez-vous de l’histoire de Corrie Ten Boom ? Elle avait caché des Juifs dans son appartement durant la Seconde Guerre mondiale pour les protéger des nazis. Quand les Allemands le découvrirent, ils envoyèrent non seulement les Juifs dans un camp de concentration, mais également Corrie et sa famille. Tous les siens moururent à l’exception de Corrie, qui subit des tortures et des abus. Par la suite, elle demanda à rencontrer les gardiens qui avaient abusé d’elle, et elle leur pardonna.

    Le pardon humain est impuissant à accomplir une telle chose. Il faut le pouvoir surnaturel de Dieu dans une vie pour lâcher prise et être capable de dire : "C’était très dur à supporter. C’était mal. Mais je crois que Dieu peut faire sortir du bien de ce qui est mal, et d’une certaine manière, le meilleur de ma vie est devant moi."

    Ouvrez-vous à nouveau au monde. Quand nous sommes blessés, nous avons tendance à rentrer dans notre coquille, à dresser un mur de protection et à décider de ne plus jamais laisser personne s’approcher. En fait, une telle attitude ne réussit qu’à vous faire du tort. Laisser une souffrance passée définir votre identité, c’est comme conduire une voiture en regardant dans le rétroviseur. Vous allez droit dans le mur. Il faut faire face à l’avenir et recommencer à vivre. Ce que vous avez vécu par le passé importe moins que la vie qui s’ouvre devant vous.

    Quel souvenir douloureux refusez-vous de lâcher – quelle parole, action ou opinion qui vous a blessé ?

    Une prière pour aujourd'hui :
    "Seigneur, je veux mettre mon cœur en ordre. S’il te plaît, enlève ce ressentiment de ma vie. Je choisis de pardonner à ___. Aide-moi à m’ouvrir à nouveau au monde. Aide-moi à me concentrer sur toi à l’avenir. Remplace ma souffrance par ta paix, ma blessure par ta guérison, mon amertume par ton amour. Au nom de Jésus. Amen."

     

     

    Rick Warren
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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    Surmonter l'adversité

     

     

    Surmonter l'adversité

     

     

    ÉSAÏE 63.9

    Les enfants reçoivent parfois des vaccins lors de leurs rendez‑vous médicaux. Il est possible qu’ils ne comprennent pas qu’on les vaccine afin de les protéger. Tout ce qu’ils savent, c’est qu’ils ont mal et que quelqu’un qui les aime permet qu’on les blesse. Cette expérience nous aide un peu à saisir comment Dieu agit envers les siens. Elle répond à une question que nous nous posons souvent quand les choses vont mal : Où est Dieu?

    La Bible nous apprend que « dans toutes leurs détresses il a été en détresse » (És 63.9, Darby). L’un de vos parents vous retenait peut‑être pendant que le médecin vous injectait le vaccin. Peut‑être vous a‑t‑il dit que cela lui faisait plus mal qu’à vous. C’est exactement le sentiment que notre Père céleste décrit dans ce passage. Un enfant ne peut saisir ce concept, mais quand nous devenons parents, nous le comprenons clairement. Nous commençons alors à voir quel genre de Dieu nous avons. Jésus a vécu notre douleur et a bu jusqu’à la dernière goutte de notre coupe de souffrances.

    Où est Dieu? Là où se trouve la douleur. Ésaïe nous dit encore : « Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui » (53.5).

    Quand nous traversons des moments difficiles, fixons le visage baigné de larmes du Sauveur; nous n’y verrons rien d’autre que de l’amour. Si nous voulons suivre Jésus, nous connaîtrons la communion de ses souffrances. Nous devons marcher sur ses traces, et la croix est l’un des endroits les plus merveilleux où le trouver.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

     

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    Vaincre les géants

     

     

     

    Vaincre les géants

     

     

     

    1 SAMUEL 17.31‑52

    L’histoire bien connue de David et Goliath enseigne aux chrétiens qu’aucun obstacle dans leur vie ne se mesure à Dieu. Que leur Goliath revête la forme d’un conflit ou d’une situation ingérable, ils doivent comprendre que le Seigneur est souverain, qu’il règne sur tout au ciel et sur la terre, et qu’il peut les faire triompher.

    David croyait fermement en l’Éternel parce que ses expériences lui avaient démontré la fidélité de Dieu. À deux reprises, le Tout‑Puissant lui avait accordé la victoire, quand un ours et un lion avaient menacé son troupeau (1 S 17.37).

    De même, notre foi est enhardie quand nous nous souvenons de ce que Dieu a fait dans notre vie, ainsi que dans celle des héros de la Bible. Voilà pourquoi il est utile de noter les circonstances où la fidélité de Dieu a été évidente. Placés devant une épreuve, nous pouvons retourner à ce que nous avons consigné par écrit et en être fortifiés, car nous nous rappelons alors que Dieu a été fiable par le passé.

    La confiance en Dieu nous donne le courage d’affronter nos géants. Armés des trois vérités suivantes, nous pouvons affronter nos difficultés.

    ·       Christ en nous : celui qui nous sauve et qui pourvoit à nos besoins.

    ·       Ce que nous sommes en Christ : des enfants de Dieu, sûrs de leur destination éternelle, et le temple du Saint‑Esprit.

    ·       Ce que nous avons en Christ : l’accès au Tout‑Puissant.

    Plutôt que de nous arrêter à la taille de l’obstacle, considérons la grandeur de Dieu. Si nous lui obéissons et que nous lui faisons confiance, son Esprit nous donnera le nécessaire pour relever le défi, et notre foi le glorifiera.

     

     

    (Source : encontact.org) 

     

     

     

     

     

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    Vous n'êtes pas inconnu de Dieu

     

     

    Vous n'êtes pas inconnu de Dieu

     

     

    "Voyant qu’elle n’était pas passée inaperçue, la femme vint toute tremblante se jeter à ses pieds ; elle déclara devant tout le peuple pourquoi elle l’avait touché et comment elle avait été immédiatement guérie." Luc 8.47

     

    Connaissez-vous ce sentiment-là d’être seul au milieu d’une foule ? Il nous arrive parfois d’avoir désespérément besoin d’aide, mais peu importe le nombre de personnes autour de nous, personne n’y peut rien.

     

    Dieu accueille sans condamnation celui qui s’approche de lui avec foi.

     

    C’est ce qui est arrivé à cette femme qui, depuis douze ans, souffrait de pertes de sang. À cette époque, une femme qui avait des pertes de sang  était considérée comme impure et intouchable pendant toute la période de ses pertes. Elle ne pouvait donc pas sortir de chez elle, et faisait venir toutes sortes de spécialistes qui pourraient peut-être l’aider. Mais comme personne ne pouvait rien pour elle, elle décida, au bout de douze années de tentatives infructueuses, de prendre le risque de sortir de chez elle. Peut-être cachait-elle son visage et baissait-elle les yeux pour éviter d’être vue ? Elle était intouchable mais elle savait que le simple fait de toucher le vêtement de Jésus pourrait la guérir !

     

    Cette femme n’avait sûrement pas prévu d’attirer l’attention sur elle ! L’acte qu’elle venait de faire -toucher une personne en ayant des pertes de sang- était condamné par la loi. Elle est découverte par Jésus en pleine faute, et c’est toute tremblante qu’elle s’approche de lui. Mais lui, plein de compassion, s’adresse à elle avec amour et la guérit.

     

    Dieu accueille sans condamnation celui qui s’approche de lui avec foi. Vous ne passerez jamais inaperçu avec lui, même quand le reste du monde ne vous voit pas ou fait comme si vous n’existiez pas !

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Mon Dieu, je m’approche de toi avec toutes mes limites, mes manquements et mes imperfections. Je veux toucher le bord de ton vêtement, croyant que ton amour est suffisant pour combler tout ce que je suis. Merci d’être cet ami qui m’accueille et m’entoure sans aucune condamnation. J’ai tout pleinement en toi. Amen.

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Choisis et établis par Dieu (1 à 5)

     

     

    Choisis et établis par Dieu (1) 

     

     

    « Je vous ai choisis et je vous ai établis »Jn 15.16 

    Jésus a dit : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais moi, je vous ai choisis et je vous ai établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure ». La façon dont vous entamez une relation est importante. Les différents protagonistes ont besoin de se sentir à l’aise pour que tout se passe bien. Si des personnes vous invitent à dîner chez elles, il est normal d’espérer être bien reçu(e). Vous ne chercherez pas à savoir si elles vous feront bon accueil, s’il y aura assez à manger ou s’il y aura une place pour vous à table. Ces questions se poseraient si vous n’étiez pas invité(e). De la même manière, le fait de savoir que vous êtes « choisi(e) et établi(e) » par Dieu vous met en confiance. Ça veut dire que vous êtes adopté(e) ; vous n’avez pas à faire de campagne électorale. Si vous pensez qu’en vous avançant vers l’autel pour confier votre vie à Christ, c’est vous qui choisissez Dieu, réfléchissez-y à deux fois ! Dieu vous choisit pour deux raisons : vous bénir, et faire de vous une bénédiction pour les autres (voir Ge 12.2). Mais tout ne sera pas forcément agréable au début. La Bible parle de bénédictions « au-delà de toute mesure » (Mal 3.10). Parfois les bénédictions de Dieu sont tellement accablantes qu’en les recevant vous vous dites : « Je ne suis pas sûr(e) de pouvoir gérer tout ça. ». Et vous auriez raison, si vous aviez été à l’origine de la relation ! Mais vous n’avez pas choisi Dieu, c’est lui qui vous a choisi(e). Et tous ceux qu’il choisit, il les équipe. Vous n’avez rien d’autre à faire que de rester ouvert(e) et disponible. « Mettez-vous tout entiers à son service comme instruments de ce qui est juste » (Ro 6.13, BFC).

     

     

     

    Choisis et établis par Dieu (2) 

     

     

    « Vous êtes maintenant pleinement adoptés par lui » Ga 4.5, The Message 

    Lorsque Dieu nous adopte, il programme dans notre vie des choses précises à des moments précis. Parfois les gens doivent s’adapter face à une grossesse imprévue, mais personne n’adopte un enfant par accident. Pensez donc : en connaissant à l’avance toutes vos faiblesses, Dieu vous a choisi(e) malgré tout. Vous n’avez nul besoin de vous demander si Dieu va vous recevoir parce qu’il est toujours prêt à vous souhaiter la bienvenue. Votre place est réservée à sa table. « Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires » (Ps 23.5). Ça veut dire que les obstacles et l’opposition peuvent aussi vous priver des bénédictions de Dieu. Être « choisi(e) et adopté(e) » c’est comme posséder une carte de crédit haut de gamme : vous bénéficiez d’un traitement de faveur ! Mais ça ne vous donne pas le droit de vivre à votre guise. Certains parmi nous sont comme ce petit garçon qui prie : « Seigneur, fais que je sois gentil. Mais si tu ne peux pas, t’en fais pas, je m’amuse très bien comme je suis ! » Non, « car le Seigneur corrige celui qu’il aime » (Hé 12.6). La correction de Dieu n’est pas un rejet, c’est la preuve de son amour ! L’origine, la vertu, le don, le talent, l’apparence ou l’intelligence, Dieu ne se base sur aucun de ces critères pour vous choisir et vous adopter. Il le fait parce qu’il vous aime et qu’il a un plan précis pour votre vie. Le plus beau, c’est qu’il va vous fortifier et vous équiper pour le mener à bien. « Celui qui a commencé en vous une œuvre bonne, en poursuivra l’achèvement » (Ph 1.6).

     

     

    Choisis et établis par Dieu (3) 

     

    « Je me lèverai, j'irai vers mon père » Lu 15.18  

    Le jour où vous comprendrez que Dieu vous a « choisi(e) et adopté(e) » pour accomplir des choses précises, bien des questions encore sans réponses prendront un sens. Pourquoi vous ne voyez pas les choses comme les autres, pourquoi vous vous sentez obligé(e) d’avancer alors qu’eux sont satisfaits de leur sort. Paul dit : « Dieu nous avait choisis par avance, selon son plan » (Ep 1.11, BFC). Vous avez été sélectionné(e) et désigné(e) pour la tâche ! Pourquoi ? Parce que Dieu veut accomplir certaines choses à travers vous. C’est pour ça qu’il vous a mené(e) aussi loin. C’est parce que vous ripostez à chaque fois que Satan tente de vous détruire. Vous devez saisir cette vérité pour deux raisons. 1) Si vous pensez que Dieu vous a choisi(e) pour vos capacités à prier, à lire la Bible pendant des heures, ou pour votre excellente moralité, à la minute où vous faiblissez, le diable va sauter sur l’occasion pour vous dire que vous n’êtes plus adopté(e) par Dieu. 2) Connaître votre statut devant Dieu vous permet de dire : « Même si je lutte, si je trébuche et si tout ne me réussit pas, je peux rencontrer Dieu à tout moment car il m’a choisi(e). » Voilà qui est puissant ! Satan ne veut pas que vous ayez cette information parce qu’elle va changer votre manière de penser, votre point de vue et votre degré de confiance. Malgré la déchéance qui l’a conduit à sentir aussi mauvais que les pourceaux qu’il nourrissait, le fils prodigue a pu dire : « Je me lèverai, j’irai vers mon père ». Réjouissez-vous, Dieu reste votre « Père » même si vous avez tout fait de travers. Repentez-vous, faites demi-tour, rengagez-vous, vous êtes « choisi(e) et adopté(e) ».

     

     

    Choisis et établis par Dieu (4) 

     

     

    « Je vous ai établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit » Jn 15.16 

    Dieu vous établit et vous confie une tâche spécifique. C’est lui qui choisit la direction de votre vie. Il vous a ménagé(e) quand vous étiez dans le doute. Il vous a encouragé(e) quand vous pensiez être à bout de souffle. « Quand la conduite d’un homme lui plaît, le Seigneur lui donne d’avancer avec assurance dans la vie. Si cet homme vient à tomber, il ne reste pas à terre, car le Seigneur le prend par la main » (Ps 37.23-24, BFC). Il veut vous voir gagner. « Toute arme forgée pour te nuire ne te fera aucun mal. […] Voilà la part que je réserve à ceux qui sont mes serviteurs » (Esa 54.17, BFC). Ça veut dire que les attaques dirigées contre vous vont échouer ! Mais être choisi(e) par Dieu ne veut pas dire qu’on peut faire n’importe quoi. Paul dit : « Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Certes non ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? » (Ro 6.1-2). Être choisi(e) et adopté(e) vous donne l’assurance de votre position en Christ, même quand vous êtes en mauvaise posture. C’est aussi pour cela que Dieu permet les épreuves et les tentations. Il sait ce qu’il faut pour vous garder dépendant de lui, et il vous aide à consolider vos fondations. La première chose que Dieu demande à Adam et Ève, c’est d’être « féconds » (Ge 1.28). Il veut que toute votre vie soit productive et réussie. Jésus a dit : « Votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume » (Lu 12.32). Dès que ce concept prendra forme dans votre esprit, il changera votre existence !

     

     

    Choisis et établis par Dieu (5) 

     

      

    « Ce Fils […], soutient toutes choses par sa parole puissante » Hé 1.3

    Êtes-vous submergé(e) par vos problèmes ? Rappelez-vous ce que dit la Parole de Dieu : « Le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie » (Ps 23.6). On connaît les ennuis de Job, mais on oublie qu’ils n’ont duré qu’un temps très court dans une vie par ailleurs riche en bénédictions. Le temps que Joseph a passé en prison n’était rien à côté des années de privilèges qu’il a connues au palais en qualité de bras droit de Pharaon. Avez-vous du mal à apprécier vos bénédictions parce que vous craignez qu’elles ne durent pas ? Les soucis vous sont-ils si familiers que vous vous y complaisez comme si vous étiez dans un bon fauteuil où vous seriez incapable de vous détendre ? Il est temps d’arrêter de vous en faire et de commencer à croire aux promesses de Dieu pour vous ! Il ne vous a pas amené(e) aussi loin pour ensuite vous abandonner . Non, il vous a « établis pour que vous portiez du fruit qui demeure ». Joie et succès durables, voilà le plan de Dieu pour vous ! La Bible dit : « Ce Fils […], soutient toutes choses par sa parole puissante ». Dieu ne s’exprime pas sur votre vie pour ensuite oublier ses propos. Il a dit : « Ma parole […] ne revient pas à moi […] sans avoir atteint le but que je lui avais fixé » (Esa 55.11, BFC). Dieu a dit encore : « Qu’il y ait des astres dans l’étendue céleste, pour séparer le jour et la nuit » (Ge 1.14) Devinez quoi ? Ce même soleil qu’une parole a fait naître brille encore aujourd’hui et brillera toujours demain. Si Dieu est capable de prendre soin du soleil, ne pensez-vous pas qu’il peut aussi prendre soin de vous ? Allez-y, croyez que vous êtes appelé(e) et choisi(e) par Dieu !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Cette épine qui vous fait si mal

     

     

    Cette épine qui vous fait si mal

     

     

    "Ce que le Seigneur m’a fait connaître est extraordinaire. Alors, pour éviter que je me vante de cela, j’ai reçu dans mon corps comme une épine : un envoyé de Satan est chargé de me frapper pour m’empêcher de me vanter. Trois fois, j’ai prié le Seigneur de me délivrer de cette souffrance. Mais le Seigneur m’a dit : "Ma grâce te suffit. Ma puissance se montre vraiment quand tu es faible. Donc je me vanterai surtout parce que je suis faible. Alors la puissance du Christ habitera en moi. C’est pourquoi les faiblesses, les insultes, les difficultés, les souffrances et les soucis que je connais pour le Christ, je les accepte avec joie. Oui, quand je suis faible, c’est à ce moment-là que je suis fort.” 2 Corinthiens 12.7-10
     

    Paul nous parle ici d’un problème qui lui fait l’effet d’une épine dans sa chair. Depuis deux siècles, les théologiens n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur ce que représentait cette épine : Paul était-il malade ? Éprouvé par la tentation ? Par l’opposition ?

     

    En fait, peu importe : vous comprenez sûrement ce que Paul ressentait ! Une épine, c’est cette chose qui semble bien petite, mais qui en réalité vient prendre toute la place dans nos pensées.

     

    Nos épines, ce sont les difficultés financières qui semblent s’acharner, ou la maladie qui nous étrangle, les disputes de couple qui se multiplient, c’est ce pardon que l’on n’arrive pas à donner, cette solitude dont on n’arrive pas à se défaire… Et comme une épine sous le pied, bien cachée, elle nous fait pourtant mal, parfois même très mal.

     

    En tout cas, Paul devait être particulièrement tourmenté : il prie trois fois pour que Dieu le délivre de cette épine.

     

    Vous aussi, vous portez en vous une épine ? Sachez que, même si elle semble insignifiante, même si elle n’est vue de personne d’autre, Jésus comprend votre épine, quelle qu’elle soit.

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, merci. Merci, parce que tu as été couronné de mes épines. Et comme à Paul, même dans mon indicible douleur, tu me murmures : "Ma grâce te suffit. Ma puissance se montre vraiment quand tu es faible." Amen !

     

     

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Il l’avait oublié

     

     

    Il l’avait oublié

     

     

     

    "Je prendrai soin de vous, je vous rendrai féconds et vous multiplierai, et je maintiendrai mon alliance avec vous." La Bible, Lévitique 26:9

     

    En 2007, dans le sud de la France, un enfant de 19 mois est mort de déshydratation dans une voiture. Le père, chargé le matin d’emmener l’enfant à la crèche, s’est arrêté au bureau et l’a oublié dans la voiture. Le soir, lorsque la mère est allée chercher son enfant à la crèche, on lui a dit qu’il était absent. Les secours n’ont pu que constater le décès de l’enfant dans la voiture.

    Un père qui oublie son enfant, cela fait frémir ! Cette situation est heureusement rare. Mais il existe des moments où les enfants peuvent paniquer parce qu’ils ne se sentent pas en sécurité.

    Je me souviens du temps où nos enfants ont commencé à marcher. Ils cherchaient en permanence notre regard afin d’être rassurés. Un enfant conscient que ses parents veillent attentivement sur lui est capable de faire beaucoup de choses. Mais il suffit parfois d’un seul instant où il a l’impression de perdre le regard de son père ou de sa mère pour qu’il éprouve de l’angoisse et qu’il tombe.

    Nous aussi, bien qu’adultes, avons besoin de nous sentir rassurés dans la vie. Savoir que nous pouvons nous appuyer sur quelqu’un de solide nous aide. Dieu dit qu’Il est pour nous un père attentif, qu’Il « veille sur son peuple comme sur la prunelle de ses yeux.» (Deutéronome ch. 32 v. 10). L’oeil est tellement précieux qu’il est l’objet de beaucoup de soin, car on ne peut pas le remplacer. Cette image nous montre de quelle manière Dieu prend soin de nous. Il nous aime infiniment et veille sur nous jour et nuit. Nous pouvons être sûrs que Dieu n’oubliera jamais ses enfants comme ce malheureux père l’a fait.

     

    A. P. 
    (source : dieu-mon-ami.org) 

     

     

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    Oh si j’avais des ailes

     

     

    Oh si j’avais des ailes

     

     

    Oh si j'avais des ailes, je m'envolerais vers d'autres horizons, bien loin de tout ce qui me fait mal dans la vie. Cela en serait fini des infirmités, des contrariétés, des vexations, des trahisons, des incompréhensions, des oppressions et de leurs cortèges de souffrances.

    Oh! Seigneur, si tu pouvais me donner des ailes, je m'envolerais et je trouverais le repos auquel j'aspire tant (Psaume 55:7-8). Je fuirais bien loin pour ne plus revenir. S'il te plaît, Seigneur, je t'en supplie, aide-moi à m'extirper de cette vase dans laquelle je m'enfonce.

    Mais voilà, j'ai beau attendre et regarder, ces ailes tant désirées n'apparaissent pas. Je suis toujours les deux pieds sur terre parce que tu veux m'apprendre que la fuite n'est pas toujours la solution, que je dois être transformé, non pas physiquement par des ailes qui viendraient prendre place dans mon dos, mais intérieurement. C'est en quelque sorte d'autres ailes que tu veux m'offrir, celles de la foi qui donnent de prendre du recul face aux circonstances douloureuses, mais aussi qui rapprochent de toi. Toutefois, elles ne permettent pas que l'on puisse se soustraire à ses conditions car tu veux que tes enfants grandissent dans la confiance à ton égard.

    Je dois donc remettre mon sort entre tes mains et sur ton coeur plein de tendresse, et tu me soutiendras (Psaume 55:23).
    Alors, je pourrais dire : " Jamais, tu ne me laisseras chanceler, car c'est en toi que je me confie. "

     


    S.

    En partenariat avec www.famillejetaime.com
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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