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    Jamais abandonné

     

     

     

    Jamais abandonné

     

     

    Lecture proposée : Psaume 22.1-10 

     

    Jésus s’écria d’une voix forte: [...] Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?
    Matthieu 27.46

     

    L’auteur russe Fiodor Dostoïevski a dit: «Il est possible de juger du degré de civilisation d’une société en en visitant les prisons.» C’est d’ailleurs avec cette citation présente à l’esprit que j’ai lu un article publié sur Internet intitulé «The Top 8 Deadliest Prisons in the World» (Les 8 prisons les plus meurtrières au monde). Dans l’une d’elles, les détenus sont même tous gardés en isolement cellulaire.

     

    Or, nous avons été créés pour vivre en relation et en communauté, et non en isolement. Voilà ce qui fait d’ailleurs de l’isolement cellulaire un châtiment cruel.

     

    L’isolement, c’est précisément l’agonie que Christ a subie lorsque sa relation éternelle avec le Père a été brisée sur la croix. Le cri qu’il a alors poussé en rend d’ailleurs témoignage: «Et vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte: Eli, Eli, lama sabachthani ? c’est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?» (Mt 27.46.) En souffrant et en mourant écrasé par le fardeau de nos péchés, Christ s’est soudain retrouvé seul, abandonné, isolé, séparé d’avec le Père sur le plan relationnel. Les souffrances qu’il a endurées en isolement nous ont toutefois assuré l’accomplissement de la promesse du Père «Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point» (Hé 13.5).

     

    Christ a subi pour nous l’agonie et l’abandon de la croix afin que nous ne soyons jamais seuls ou laissés à nous-mêmes. Jamais.

     

     

     

    Ceux qui connaissent Jésus ne sont jamais seuls.

     

     

     

    Bill Crowder
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Connaître la peur et la foi

     

    Connaître la peur et la foi

     

     

     

    « Fortifiez-vous et prenez courage » De 31.6

     

    Chaque fois que vous tenterez quelque chose de nouveau, ou une chose que vous avez ratée par le passé, ou encore quelque chose qui vous semble trop grand, vous expérimenterez à la fois la peur et la foi. Elles vont de pair. L’une prendra le pas sur l’autre, mais aucune des deux ne disparaîtra.

    Comme les Israélites ne savent rien des épreuves qui les attendent en Terre Promise, Dieu leur dit : « Fortifiez-vous et prenez courage ! […] Car l’Éternel, ton Dieu, marche lui-même avec toi, il ne te délaissera pas, il ne t’abandonnera pas ».

    Aujourd’hui, il vous fait la même promesse ! C’est la peur de l’échec qui nous arrête la plupart du temps. Pourtant, si vous regardez en arrière, vous réalisez qu’en fait aucun de vos échecs ne vous a causé un tort irréparable, mais qu’au contraire vous avez grandi à travers eux.

    Joan Borysenko écrit : « Le jour où j’ai été admise à Harvard, j’étais sûre qu’une erreur informatique avait eu lieu et que je risquais d’être accusée de tricherie. Une amie avocate était paralysée de terreur chaque fois qu’elle plaidait devant un jury.

    Même si vous êtes expert(e), la peur ne disparaît pas pour autant. Pour la vaincre il faut l’accepter comme faisant partie intégrante de votre parcours terrestre plutôt que de la fuir. »

    Pour changer d’endroit, vous devez partir de quelque part, ou vous n’irez nulle part.

    Un essayiste américain a dit : « La question que chaque homme doit se poser n’est pas de savoir ce qu’il aurait pu faire s’il avait eu les moyens, le temps, l’influence et une bonne éducation, mais ce qu’il fera avec ce qu’il possède. »

    Alors affrontez vos peurs, ayez la foi, et comptez sur Dieu pour réussir.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Dans nos tempêtes

     

     

     

    Dans nos tempêtes

     

     

    Lecture proposée : Marc 4.35-41

      

    S’étant réveillé, il menaça le vent, et dit à la mer : Silence ! tais-toi ! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme. (V. 39)

     

    Le vent hurlait, les éclairs zébraient le ciel, les vagues s’écrasaient contre la berge. Je croyais que j’allais mourir. Mes grands‑parents et moi étions en train de pêcher sur un lac, mais nous y étions restés trop longtemps. Au coucher du soleil, une bourrasque soudaine a balayé notre petite embarcation. Mon grand‑père m’a alors demandé de m’asseoir devant pour l’empêcher de chavirer. J’étais terrorisé, mais je me suis mis à prier. J’avais alors 14 ans.

     

    J’ai demandé à Dieu de nous rassurer et de nous protéger. La tempête ne s’est pas apaisée, mais nous sommes parvenus à atteindre la rive. À ce jour, j’ignore s’il m’est arrivé d’éprouver une plus grande certitude de la présence de Dieu qu’en cette soirée de tempête.

     

    Mon Dieu, je veux mettre ma confiance en toi au fil des tempêtes de ma vie

     

    Jésus n’est pas étranger aux tempêtes. Dans Marc 4.35‑41, il a demandé à ses disciples de traverser un lac sur lequel de grands vents se lèveraient sous peu. Cette nuit‑là, la tempête a mis ces robustes pêcheurs à rude épreuve et a fini par avoir raison d’eux. Eux aussi ont cru que leur heure était venue, mais Jésus a calmé les eaux déchaînées, puis a approfondi la foi de ses disciples.

     

    De même, Jésus nous invite à lui faire confiance au cœur de nos tempêtes. Il lui arrive parfois d’apaiser miraculeusement les vents et les vagues. D’autres fois, il accomplit autre chose tout aussi miraculeuse : il apaise notre cœur et nous aide à lui faire confiance. Il nous demande de nous appuyer sur la foi en sa puissance, qui lui permet d’intimer l’ordre aux vagues de se calmer : « Silence ! tais‑toi ! »

      

    Aucun danger ne peut s’approcher de nous autant que Dieu le peut.

     

        

    Adam Holz

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Dieu ne désespérera jamais de vous

     

     

     

    Dieu ne désespérera jamais de vous

     

     

     

     "[…] quelle est la puissance extraordinaire dont il dispose pour nous les croyants. Cette puissance est celle-là même que Dieu a manifestée avec tant de force quand il a ramené le Christ d’entre les morts […]" Éphésiens 1.19-20

    Nous pouvons tirer deux vérités importantes de ce verset d'Ephésiens. 

    Pensez à ce que Dieu a fait dans votre vie au cours de l’année passée.

    La résurrection de Jésus-Christ a montré toute la mesure de la puissance de Dieu. C’est cette même puissance qui est à notre disposition.

    Si Dieu est capable de ramener Jésus d’entre les morts, il peut gérer n’importe quel problème que vous lui confiez. Aucune difficulté n’est trop grande pour lui. Il est spécialisé dans les cas désespérés. Vous dites peut-être : "Si vous voyiez l’état de mes finances", ou "Vous ne connaissez pas mes problèmes de santé" ou encore "Vous n’avez pas idée de la situation de mon couple". Dieu connaît tout cela et il peut mettre la puissance de la résurrection en œuvre pour vous.

    Dieu terminera ce qu’il a commencé en vous. Votre échec n’y changera rien. Vous pouvez avoir confiance en cette promesse de Philippiens 1.6 : "Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne en poursuivra l’achèvement jusqu’au jour du Christ-Jésus".

    Quelle que soit l’œuvre que Dieu a commencée dans votre vie, il la mènera à son terme. Il ne renoncera pas. Vous pouvez désespérer de lui, mais il ne désespérera jamais de vous.

    Voilà une vérité de nature à vous redonner confiance !

    Une action pour aujourd’hui :
    Pensez à ce que Dieu a fait dans votre vie au cours de l’année passée. Quelles que soient les difficultés auxquelles vous êtes confronté, croyez qu’il continue à agir dans votre vie pour votre bien.

     

     

    Rick Warren
    (Source : TopChrétien)

     

    Dieu ne désespérera jamais de vous

     

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    Eviter l'épuisement

     

     

    Eviter l'épuisement

     

     

    Matthieu 11. 28-30

    Quelles émotions vous envahissent quand vous entendez les mots fardeau et épuisement? Dans notre monde au rythme frénétique, beaucoup de gens travaillent trop. D’ailleurs, la plupart d’entre nous en assument trop, inscrivent trop d’activités à leur horaire ou ont trop de préoccupations. Voici trois manières selon lesquelles un chrétien devrait réagir à ces situations.

    Se soumettre à Christ. Jésus nous a invités à venir à lui. En nous déchargeant sur lui de notre fardeau, nous ressentons sa paix. Il est assez grand pour s’occuper de tout ce que nous lui remettons. Si nous tentons de tout diriger et de tout gérer, nous nous épuiserons et abandonnerons la partie.

     

    Dépendre de Christ. Jésus nous demande de prendre son joug et de le laisser porter notre faix. Au départ, nous pourrions être heureux de lui confier tous nos problèmes, mais après un certain temps, nous pourrions essayer de les reprendre et d’y remédier. Ce faisant, nous entraverons l’intervention divine, et nous nous fatiguerons. En réalité, seul Dieu voit les choses du bon angle et détient le pouvoir de tout régler (Ro 8.28).

     

    Faire confiance à Christ. Le Sauveur nous encourage à apprendre de lui. À mesure que nous remplissons notre esprit de ses paroles, nous lui faisons davantage confiance. Son joug devient aisé, et sa volonté fait notre joie. Lorsque nous savons que nous n’aurons jamais plus à porter seuls notre fardeau, il devient plus léger.

     

    Que perdez‑vous en venant à Jésus, en prenant son joug et en apprenant de lui? Rien, sinon votre épuisement, votre stress et votre angoisse.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

    Eviter l'épuisement

     

     

     

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    Le genêt du désert

     

     

    « Elie alla dans le désert où, après une journée de marche, il s’assit sous un genêt, et demanda la mort. » (1 Rois 19.4)

    A trois reprises, il est question de genêt dans la Bible. Il symbolise le désert, la solitude, l’amertume, le découragement.La première fois où cet arbuste est mentionné, c’est lorsque Elie fuyait devant les menaces de mort de Jézabel. C’est à l’ombre d’un genêt qu’il s’assoit, après une journée de marche dans le désert, et réclame la mort.Après une grande victoire, le voici sombrant dans le découragement.
    Combien nous lui ressemblons avec nos hauts et nos bas ; avec nos jours lumineux et nos jours sombres. A quoi bon continuer à se battre, mieux vaut mourir, pense-t-il ! Mais Dieu va lui donner la force de se lever, et de marcher jusqu’à Horeb.

    Peut-être passez-vous par un moment difficile, la solitude du désert vous enveloppe, et vous êtes assis, comme Elie, sous le genêt du découragement. Votre place n’est pas là. Nourri et désaltéré par Dieu, Élie va poursuivre la route. De même, en vous nourrissant de la Parole de Dieu, et en vous désaltérant de l’eau vive de l’Esprit, vous pourrez continuer sur le chemin de la vie.

    Job, fait mention des racines du genêt, misérable nourriture des plus pauvres et des plus misérables, accablés par la famine (Job 30.4). Seuls les chameaux mangeaient les genêts dans le désert, et voici que ceux qui sont sans nourriture en arrivent à manger ce qui est immangeable.Si Dieu n’avait pas apporté du pain et de l’eau à Elie, il en aurait été réduit à se nourrir de cette misérable nourriture, et n’aurait jamais pu atteindre le but fixé par Dieu.
    Alors que vous êtes dans le désert, dans la solitude, dans l’amertume, vous nourrissant de racines d’amertume et de désespoir, Dieu vous invite à laisser cette nourriture qui ne nourrit pas, il vous offre Jésus, le pain qui vient du ciel.

    La dernière mention des genêts se trouve dans le Psaume 120. Le psalmiste compare la langue mensongère et perfide, à la braise des genêts (Psaume 120.4). Le bois du genêt brûle en formant des braises qui s’éteignent difficilement. Le psalmiste témoigne que le Seigneur le délivre des méchants et de leur perfidie. Finalement leur langue se retourne contre eux. Ceci nous fait penser à ces paroles de Paul : « Ne vous vengez pas vous-mêmes… Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger… Surmonte le mal par le bien » (Romains 12.19/21).

    Un encouragement pour ce jour :
    Dieu te voit dans ta solitude, ayant faim et soif de justice ; il te voit découragé, et blessé par certains propos méchants, alors confie-toi dans le Seigneur, il va t’aider à aller jusqu’au bout.

     

     

    Paul Calzada

    (Source : lueursdumatin.fr)

     

     

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    Ne vous pressez pas

     

     

    Lecture proposée : Ésaïe 26.1-4

      

    À celui qui est ferme dans ses sentiments, tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi. (V. 3)

     

     « Éliminez impitoyablement la hâte. » Lorsque deux de mes amis m’ont répété cet adage du sage Dallas Willard, j’ai su que je devais y réfléchir. En quoi est‑ce que je pédalais dans le vide, à perdre mon temps et mon énergie ? Plus important encore, où est‑ce que je me pressais d’aller sans compter sur la direction et l’aide de Dieu ? Au cours des semaines et des mois qui ont suivi, je me suis remémoré cette parole et je me suis réorientée vers le Seigneur et sa sagesse. Je me suis rappelé la nécessité de mettre ma foi en lui, plutôt que de me fier à mes propres voies.

     

    Après tout, courir constamment dans tous les sens me semble être à l’opposé de « la paix » dont parle le prophète Ésaïe. Le Seigneur accorde ce don à « celui qui est ferme dans ses sentiments », car il se confie en Dieu (V. 3). Et il est digne de notre confiance aujourd’hui, demain et pour toujours, car « l’Éternel, l’Éternel est le rocher des siècles » (V. 4). Compter sur Dieu en gardant l’esprit fixé sur lui est l’antidote à l’hyperactivité.

     

    Seigneur Dieu, tu nous procures la paix qui surpasse toute intelligence. Merci à Toi

     

    Qu’en est‑il de nous ? Nous sentons‑nous pressés ou même en état d’urgence ? Il se peut qu’au contraire nous éprouvions souvent un sentiment de paix. Ou encore, sommes‑nous quelque part entre ces deux extrêmes ?

     

    Où que nous nous situions, je prie aujourd’hui que nous parvenions à mettre de côté toute hâte pour nous confier plutôt en Dieu, qui ne nous déçoit jamais et qui nous procure sa paix.

     

     

     

    La paix de Dieu nous aide à ne pas nous presser.

     

     

     

    Amy Boucher

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     

     

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    Dieu, celui qui nous aime le plus

     

     

    Dieu, celui qui nous aime le plus

     

     

     

    JÉRÉMIE 31.3

    L’amour de Dieu ne ressemble pas du tout au nôtre. Pour débuter, le sien est éternel. Il le répand sur nous en tout temps, et rien ne peut en interrompre le cours, car il découle de sa nature et n’est pas assujetti à des sentiments. Par conséquent, il est parfait, immuable et sûr (1 Jn 4.8). L’amour humain, par contre, peut fluctuer au fil des circonstances et des mésententes.

    De plus, l’amour divin est inconditionnel; nous ne pouvons rien dire ou faire pour le mériter ou le perdre. Nous n’avons jamais à nous demander si le Seigneur nous aime encore. Chaque jour, nous sommes protégés par l’ombrelle de son amour, qui ne change pas au gré de notre comportement, qu’il soit bon ou mauvais. Même quand nous désobéissons à Dieu, nous n’avons pas à craindre qu’il nous retire son ombrelle. Puisque nous ne l’avons pas créée, nous ne pouvons la faire disparaître. Dieu puise son amour éternel, parfait et inconditionnel en lui‑même.

    Cela ne veut pas dire que la vie sera toujours facile ou que Dieu fermera les yeux sur nos transgressions. Pour le chrétien, la désobéissance est une offense grave. Pourtant, notre bêtise et nos fautes ne changent pas le fait que Dieu est un Père aimant et fidèle qui corrige ses enfants avec bonté. Rappelons‑nous constamment que le péché n’influence pas du tout l’amour que Dieu nous porte.

    Notre Père nous aime depuis toujours, et il nous aimera éternellement. Abandonnez vos idées fausses au sujet de son amour infini, et vous pourrez vous réjouir de sa protection.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

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    Le réconfort que procure Jésus

     

     

    Le réconfort que procure Jésus

     

     

    HÉBREUX 4.14‑16

    En période difficile, qu’est‑ce qui vous réconforte ? Même si des amis bien intentionnés vous assurent que tout ira bien, le vrai consolateur est celui qui entoure vos épaules de son bras et vous dit : « J’ai vécu une situation semblable, et je sais à quel point c’est douloureux. »

    Jésus est ce genre de consolateur. Il est venu ici‑bas comme homme, a connu la douleur et la souffrance, et a été soumis à la tentation sans jamais y céder. Il nous accompagne en étant :

    notre ami. « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jn 15.13). Jésus ne nous accompagne pas seulement en paroles. Il nous a montré qu’il était le meilleur ami possible en allant de plein gré à la croix pour expier nos péchés. Il s’est offert en sacrifice pour que nous vivions éternellement avec lui.

    notre souverain sacrificateur. En offrant son propre sang comme sacrifice pour nous réconcilier avec le Père, il est devenu le médiateur entre un Dieu saint et une humanité pécheresse. Désormais, nous avons un accès immédiat au Père en temps de besoin.

    notre intercesseur. Se tenant à la droite du Père, Jésus intercède pour nous. Nous ne prions pas toujours comme nous le devrions, mais il est réconfortant de savoir que celui qui est sans défaut plaide pour nous auprès du Père.

    Sur qui vous appuyez‑vous dans les épreuves? Bien que certaines personnes puissent nous décevoir en nous présentant des solutions miracles, Jésus comprend notre douleur et nous offre sa présence continuelle ainsi que son aide quand nous nous approchons de lui.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

     

     

     

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    Perdu, mais retrouvé

     

     

     

    Perdu, mais retrouvé

     

     

    Lecture proposée : Luc 15.1-9

      

    Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue. (V. 6)

     

    Lorsque nous avons découvert que ma belle‑mère avait disparu en faisant des courses avec un proche, ma femme et moi nous sommes affolés. Maman souffrait de pertes de mémoire et de confusion, et nul n’aurait su dire ce qu’elle allait bien pouvoir faire. Allait‑elle errer dans le quartier ou monter à bord d’un autobus en pensant qu’il la ramènerait à la maison ? Les pires possibilités nous trottaient dans la tête tandis que nous nous sommes lancés à sa recherche, en criant à Dieu : « Je t’en prie, trouve‑la ! »

     

    Des heures plus tard, on a repéré ma belle‑mère en train de marcher en trébuchant le long d’une route, à des kilomètres de là. Dieu nous a tellement bénis en nous permettant de la retrouver ! Plusieurs mois après, il l’a bénie à son tour : À l’âge de 80 ans, ma belle‑mère a donné sa vie à Jésus‑Christ.

     

    Seigneur, tu nous cherches et tu nous trouves. Merci de nous adopter dans ta famille

     

    Jésus compare les êtres humains à des brebis perdues : « Quel homme d’entre vous, s’il a cent brebis, et qu’il en perde une, ne laisse les quatre‑vingt‑dix‑neuf autres dans le désert pour aller après celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Lorsqu’il l’a retrouvée […] il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit : Réjouissez‑vous avez moi, car j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue » (LU 15.4‑6).

     

    Le berger compte ses brebis pour veiller à ce qu’il ne lui en manque pas. Jésus, qu’illustre ce berger, accorde du prix à chacun de nous, jeune ou vieux. Si nous nous égarons dans la vie, en quête du sens à y donner, il n’est jamais trop tard pour nous tourner vers Christ, comme il le désire.

     

    Grâce infinie ! […] J’étais perdu, mais il m’a retrouvé.
    John Newton

     

     

     

    Leslie Koh

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     

     

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    Quelles sont vos forces ?

     

     

     

    Quelles sont vos forces ?

     

     

     

    « Nous avons des dons différents, selon la grâce qui nous a été accordée » Ro 12.6

     

    Paul écrit : « Comme nous avons plusieurs membres dans un seul corps, […] nous sommes tous membres les uns des autres. Mais nous avons des dons différents, selon la grâce qui nous a été accordée » (v.4-6).

    John Maxwell conseille de travailler 80 % du temps sur nos points forts, 15% du temps en phase d’apprentissage et les 5 % restants aux tâches où l’on se sent moins à l’aise.


    Alors quels sont vos points forts ? Pour trouver la réponse à cette question, vous devez :

    1)
     être sûr(e) de vous. Si vous laissez le doute vous gagner, vous deviendrez inflexible et résistant(e) au changement. Et si vous ne changez pas, vous ne grandirez pas.

    2) apprendre à vous connaître. Prenez conscience de vos talents, faites-les fructifier, et reconnaissez sincèrement vos lacunes.

    3) faire confiance à votre leader. Si vous doutez de la personne que vous êtes censé(e) suivre, trouvez quelqu’un de fiable, ou changez d’équipe.

    4) voir les choses en grand. Votre place dans un groupe n’a de sens que dans un contexte de vision globale. Si votre seul moteur est d’assurer votre propre zone de confort, vos motivations mal placées vous priveront alors de toute joie, de tout sentiment d’accomplissement et de réussite dont vous pourriez souhaiter remplir votre être.

    5) vous appuyer sur votre expérience. Le seul moyen de savoir que vous êtes sur la bonne voie est de tenter les choses, prendre des risques, tirer des leçons de vos échecs et de vos succès, afin de révéler les capacités dont Dieu vous a doté pour son service.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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