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    Arrêtons de subir notre célibat !

     

    Arrêtons de subir notre célibat !

     

     

    J'ai longtemps subi ma vie affective. J'attendais que l'homme de mes rêves frappe à ma porte avec un bouquet de fleur (j'exagère à peine). Comme cela n'arrivait pas, j'étais frustrée et, au fond, en colère contre Dieu et les hommes. Mon célibat était la faute de Dieu qui tardait à conduire vers moi l'homme qu'il avait spécialement préparé pour moi, et aussi la faute des hommes : ceux qui m'avaient quittés, ceux qui ne s'intéressaient pas à moi, mais surtout « l'élu » qui devait bien être là, quelque part, à ne pas voir que j'étais la princesse à conquérir.

    Mon célibat me travaillait de plus en plus alors que les années passaient. Pourquoi étais-je célibataire ? Les réponses que je m'imaginais étaient bien loin de la pensée de Dieu : « Je ne dois pas être assez bien » ; « Dieu ne s'intéresse pas à ce domaine de ma vie » ; « J'ai encore trop de problèmes à régler » ; « Dieu doit sûrement préférer que je sois célibataire pour que j'ai plus de temps pour la mission »…

    Tout a changé lorsque Dieu m'a interpellée à travers plusieurs versets de la Bible qui montrent que le couple est sur son cœur :

    L'Eternel Dieu dit: « Il n'est pas bon que l'homme soit seul, je lui ferai une aide qui soit son vis-à-vis. » Genèse 2 :18

    "Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde à triple brin n'est pas vite rompue." Ecclésiaste 4 :12

    J'ai compris que Dieu prend plaisir à voir des couples se former. Il n'est pas contre ce désir de mon cœur, il est mon allié ! Cette prise de conscience a changé toute ma perspective sur le célibat.

    Le célibat n'est pas une période de notre vie où nous devrions rester passifs à attendre que l'homme/la femme correspondant à toute notre liste de critères tombe du ciel, mais une période active dans la prière et la rencontre de nos prochains.

    Depuis que j'ai choisi de faire équipe avec Dieu dans ce domaine de ma vie, je peux affirmer que le célibat est devenu une période de ma vie passionnante ! Je ne sais pas encore avec qui je vais me marier, tout est encore possible et j'apprends à aller vers les autres, à les connaître, à donner de mon temps et mon amour, à faire confiance en Dieu, à prendre des risques, à tomber, mais surtout à me relever encore plus forte avec Dieu

    Choisir de devenir responsable de notre vie affective, c'est le début de la victoire !

    Et toi, que choisis-tu ?

     

     

    Pauline Jouvet

    (Source : TopChrétien)





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    Vaincre le découragement

     

    Vaincre le découragement

     

    Lecture proposée : Néhémie 2.1‑8

    Le découragement peut nous dérober notre paix, notre joie et notre contentement. Cependant, pas besoin de nous y enliser!

    J’ai connu des gens aux prises avec des situations apparemment impossibles. Quelques années plus tard, leurs circonstances avaient changé ou ils se sentaient bien dans leur peau. La raison? Ils n’ont jamais baissé les bras. Plutôt que de s’abandonner à l’apitoiement, ils ont choisi de croire Dieu et d’avancer par la foi. C’est ainsi qu’ils ne sont pas restés dans le creux de la vague.

    Néhémie avait toutes les raisons d’être abattu, parce que son peuple se trouvait en difficulté. En apprenant que les murs de Jérusalem étaient en ruines, il en a ressenti beaucoup de déception et de tristesse. Il était toutefois risqué de le laisser paraître, car avoir l’air chagriné en présence du roi était une offense passible de mort. Bien que la douleur ait inondé son âme, Néhémie n’y a pas cédé; il a plutôt supplié Dieu de le diriger. Celui-ci lui a démontré sa puissance en faisant en sorte que le monarque remarque l’expression affligée de son serviteur et lui demande comment il pouvait l’aider. Ce miracle a conduit à la reconstruction de la muraille et à la rédemption du peuple de Dieu.

    Le Seigneur peut utiliser une situation impossible pour agir avec puissance. Vous attendez-vous avec impatience à ce que Dieu va faire? Ou avez-vous choisi de vous complaire dans les profondeurs du désespoir? Faites comme Néhémie : transformez votre déception en requête et demandez l’aide divine. Le Seigneur peut vous redonner espoir et empêcher les émotions négatives de vous dominer. 

     

    (Source : encontact.org)

     

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    Le piège du découragement

     

    Le piège du découragement

     

    Lecture proposée : Habakuk 1.2

    Vous sentez vous parfois coincé dans le découragement? Si oui, vous n’êtes pas seul. Tout le monde est désenchanté à un moment donné. Cette réaction émotionnelle aux attentes déçues est normale. Cependant, si nous lui permettons de s’installer, elle peut se transformer en découragement et prendre l’aspect d’un nuage épais qui assombrit notre vie et nous dérobe notre joie et notre contentement.

    Les circonstances à la source de ces émotions peuvent être inévitables, mais nous pouvons choisir comment nous y réagissons. Soit nous laissons la tristesse nous envahir, soit nous affrontons bravement la situation et la présentons à Dieu qui peut nous aider.

    Le découragement nous empêche de nous concentrer sur autre chose que notre douleur. Puis, quand la colère devient habituelle, nous cherchons un bouc émissaire : Dieu, notre entourage, nous-mêmes.

    Quand nous gérons mal notre frustration, elle évolue en désespoir et nous éloigne des autres, puisque les gens n’aiment pas côtoyer des personnes amères et démoralisées. Or, cet isolement conduit à une piètre estime de soi. Enfin, vaincus par le désillusionnement, nous prenons des décisions mues par nos blessures plutôt que par la vérité. Ce sentier destructeur n’est évidemment pas ce que Dieu souhaite pour nous.

    Bien que nous soyons tous désappointés à l’occasion, nous ne devons pas nous complaire dans cette émotion. Dieu veut que nous lui fassions confiance en tout, même lorsque nos attentes sont déçues et que nous en sommes profondément attristés. Dieu vise un but dans tout ce qui touche à la vie de ses enfants (Ro 8.28).

     

    (Source : encontact.org)




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    Découragement

     

    Découragement

     

     

    Pourquoi es-tu abattue, mon âme, et es-tu agitée au dedans de moi? Attends-toi à Dieu. Psaume 42. 5
    Ainsi dit l'Éternel:… Comme quelqu'un que sa mère console, ainsi moi, je vous consolerai; et vous serez consolés. Ésaïe 66. 12, 13

    Isabelle, veuve pour la seconde fois, avait beaucoup de peine à se consoler de la perte de son mari. Elle ne voyait aucune raison de continuer à vivre. Elle emmena un jour son petit-fils en voiture au parc. Après avoir attaché l'enfant sur son petit siège, elle s'installa au volant et allait démarrer, négligeant de mettre sa ceinture de sécurité. Le petit garçon s'écria: – Grand-maman, tu n'es pas attachée! Elle répondit tristement: – Ah, Luc, ma sécurité n'est pas importante. J'aimerais beaucoup mieux aller au ciel où est grand-papa.

    Indigné, le petit, âgé de cinq ans, s'exclama: – Mais alors, tu me laisserais seul!

    Tout à coup Isabelle prit conscience que sa vie n'était pas vide de sens. Par le moyen de cet enfant, Dieu lui donnait une nouvelle raison de vivre, d'être utile, il lui montrait un service à accomplir pour lui.

    Le prophète Élie, lui aussi, voulait mourir parce que sa mission auprès du peuple de Dieu n'avait pas eu les résultats qu'il espérait (1 Rois 19). Alors Dieu lui fit voir que, dans sa grâce, il ne considérait pas la situation du pays comme étant sans espoir et qu'il avait encore une tâche pour le prophète. Élie avait donc une raison valable de continuer à vivre.

    Ne nous laissons jamais aller au désespoir! Dieu a toujours un projet pour nous, tant qu'il nous laisse sur la terre. Prions-le de nous ouvrir les yeux si nous n'arrivons plus à voir ce qu'il veut pour nous. Alors le découragement fera place à nouveau à la confiance. La grâce et l'amour de notre Père céleste nous accompagneront chaque jour.

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

     

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    Les défis à relever durant le célibat

     

     

    Les défis à relever durant le célibat

     

     

     

    Ne pas être marié (e) reste aujourd'hui mal vécu pour beaucoup de célibataires. Face à l'absence de relation affective lors de vos moments de solitude, il arrive que vous ayez le sentiment de passer à côté de quelque chose. Est-ce que cela est naturel, évidement car en tant qu'êtres humains nous sommes sensibles à nos émotions. La question est comment dépasser vos émotions, quels sont les défis que vous devez relever durant le célibat ?

     

    1- Décomplexez-vous
    Même si nous vivons dans une société où le fait d'être seul peut être stigmatisant, rappelez-vous que le célibat est un statut honorable devant notre Seigneur, il ne doit pas être un sujet de honte ou de gêne. D'ailleurs quand on y pense pourquoi être mal à l'aise ? Le fait d'être concerné (e) par le sujet n'implique pas que vous ayez une quelconque responsabilité, à chacun son cheminement. Ne vous culpabilisez pas, assumez vous tel (le) que vous êtes aujourd'hui et considérez-vous comme un célibataire au Top!
    Philippiens 4:6 « Ne vous inquiétez de rien, mais en toutes choses présentez vos demandes à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. »

    2- Menez une vie équilibrée
    C'est capital, le célibat ne doit pas être synonyme de décès social! Impliquez-vous dans l'église, oeuvrez et servez le Seigneur selon les dons et talents que Dieu vous a donné. Ne négligez pas vos proches, soyez présents pour eux comme vous voudriez qu'il le soient pour vous en retour. Pratiquez des activités extra-professionnelles, (Ex : sports en groupe, cuisine en groupe, sorties culturelles en groupe), évitez de devenir casanier(e) et ne rompez pas tout contact avec le monde civilisé.
    Ecclésiaste 3v1 : « Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux »

    3 - Désensibilisez-vous
    Evoquons maintenant ce que vous redoutez le plus, ce qui a le don de vous agacer; les réflexions de votre entourage proche au sujet de votre période de célibat. Bien intentionnés (ou pas) vos amis et proches ne peuvent s'empêcher de vous questionner, de vous critiquer ou de vous responsabiliser car vous n'êtes pas encore marié (e).
    La pire décision serait d'être vexé (e) à en pleurer et de céder à la panique générale qui anime vos proches puis de faire des choix regrettables par la suite.
    Souriez et ne leur en tenez pas rigueur même si cela est très maladroit. Rappelez leur ce vieil adage qui dit simplement « tant que l'on vit, il y a de l'espoir », vous balayerez ainsi les piques et attaques d'un revers de main et tous seront confus. Face à un sujet aussi important on ne s'attend pas à de la décontraction de la part  du principal concerné.
    Psaume 84:12 à 13 Car l'Eternel Dieu est un soleil et un bouclier, L'Eternel donne la grâce et la gloire, il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité. L'Eternel des armées! Heureux l'homme qui se confie en toi!

    4 - Gardez votre joie
    Les années passent et se ressemblent sentimentalement parlant. Vos ami(e)s, cousin(e)s, frères, soeurs ainé(e)s ou cadet(te)s sont marié(e)s mais pas vous. Et alors ? Conservez votre joie ! Néhemie 8:10 « …, ne vous affligez pas, car la joie de l'Eternel sera votre force »
    Ne laissez pas transparaitre un minois tristounet, Dieu ne vous laisse pas seul(e) alors riez donc de l'avenir comme la femme vertueuse proverbe 31v25 « …Elle est revêtue de force et de gloire, et elle se rit de l'avenir. » C'est un défi majeur qui conditionnera la réalisation des défis déjà énumérés.

    5- Ne pas vivre par procuration
    Nous vivons dans un siècle où le mariage est vulgarisé au point où même certains chrétiens mariés dans l'église divorcent. Cela interpelle bon nombre de célibataires qui se disent « je ne veux pas me retrouver dans cette situation, ces frères et soeurs qui divorcent n'ont sans doute pas assez attendu et ont épousé la mauvaise personne ». Alors se forge une idée dans l'inconscient qui consisterait presque à penser que dans votre situation Dieu devrait vous indiquer le mari ou la femme qui vous convient par l'envoi de « l'archange Gabriel » en personne et désigner votre promis (e) par son nom afin que vous ne vous trompiez point.

    Parce que le mariage est un engagement sérieux, la parole de Dieu recommande de se marier dans le Seigneur cela veut dire qu'il convient de rechercher une personne qui est enfant de Dieu, c'est une démarche personnelle dans laquelle Dieu nous accompagne.

    3 Jean :11 Bien aimé, n'imite pas le mal, mais le bien…

     

    Jacqueline Vikamene

    (Source : TopChrétien)  

     

     

     

     

     

     

     

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    Sois sans crainte, tu es très important pour Dieu !

     

     

    Sois sans crainte, tu es très important pour Dieu !

     

     

     

    Regarde bien attentivement cet oisillon. Manifeste-t-il une quelconque peur ? 

    Non, il reste bien confiant dans cette main douce et aimante, si forte et si protectrice.

    Il sait qu’il ne court aucun danger, ni aucun risque, ni aucune inquiétude dans son regard.

    Il est en sécurité, bien ancré sur ses pattes en appui sur cette main qui le tient et sur laquelle il se repose entièrement.

    Ses yeux se projettent droit devant lui, sans regarder derrière.

    Ni nervosité, ni pression, ni stress, ni angoisse, il reste serein car il a pleinement confiance.
    Si Dieu s’occupe précieusement de ces petits oiseaux, de leur nourriture, de leur bien-être, ne prendrait-Il pas soin de Toi, à plus forte raison ?

    Toi de même, instruis-toi par le message et l’enseignement de cet oisillon.

    Tu es peut-être ce petit oisillon faible et fragile, effrayé sans doute par la vie ou toutes sortes d’épreuves mais dans la Main de ton Maître, tu n’as rien à craindre, tu es fort et puissant.

    C’est Dieu qui te tient fermement et marche avec toi chaque jour. 

    Les paroles de ce merveilleux chant t’invitent à garder, coûte que coûte, ta confiance, ta paix et ta tranquillité en Jésus !

     Parce qu’Il vit, je n’ai rien à craindre.
    Mes lendemains sont assurés.
    Entre Ses mains, Il tient ma vie.
    Pour ce temps et l’éternité,  je sais qu’Il vit !
     

    « Soit sans crainte. Pour Dieu, Tu es bien plus important (e) que beaucoup de petits oiseaux. » Matthieu 10/28-31 

     Geneviève A.

    (Source : sosreconfort.com) 

     

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    Re-prendre courage

     

    Re-prendre courage

     

     

     

    Re – Prendre courage 

    Bien que n’étant pas hautement qualifiée en connaissances grammaticales ! il me semble que lorsqu’on utilise le préfixe  »re »  

    cela veut quelque part dire : faire ou avoir de nouveaurecommencer,essayer, apprendre, refaire, redire, reconduire, etc… –. 

    Prendre courage pour entamer une action, ce n’est déjà pas simple.  

    Mais reprendre courage quand tout nous semble détruit, que nos espoirs sont réduits à néant, n’en parlons même pas !  

    Pourtant, la Bible multiplie les exemples de personnes qui ont pu aller de l’avant 

    prendre courage 

    mais aussi continuer d’avancer – en reprenant courage – grâce à l’intervention de Dieu. 

    Citons Josué : Fortifie toi et prends courage lui dira le Seigneur à plusieurs reprises. 

    Deutéronome 31/23 – Josué 1/6-7-9-18  

    Également Élie : découragé, réclamant la mort, il n’a plus la force d’avancer.  

    Dieu enverra un ange pour le fortifier. 1 Rois 19/4-8 

    Et que dire de Gédéon, ce jeune homme à qui Dieu voulait confier la responsabilité de délivrer le peuple mais qui s’en sentait bien incapable. Juges 6  

    Ce futur héros aura besoin de toute la grâce et la patience de Dieu pour pouvoir avancer !  

    mais parmi tous ces personnages, il y en a un que j’aime particulièrement, c’est David. 

    La Bible nous dit qu’à un moment donné de sa vie, ce roi va voir son village brûler, ses femmes kidnappées, et le peuple qui l’entourait voulait le lapider !  

    Excellent cocktail propice au découragement n’est-ce pas ?  

    Ce qui est bien avec la Bible, c’est que Dieu a voulu que nous connaissions les faiblesses de ces hommes, non pour les diminuer,  

    mais pour nous montrer qu’ils étaient des êtres humains comme vous et moi, et surtout pour témoigner comment Dieu a agit pour les sortir de leur détresse.  

    Et concernant David, il nous est dit qu’ il reprit courage en s’appuyant sur l’Éternel, son Dieu.  1 Rois 30/6 

    Je pense que ce verset est pour chacun d’entre vous qui lisez ce texte en ce moment. 

    Peut-être avez-vous perdu quelque chose de précieux matériellement parlant : votre maison, votre travail, 

    mais (mettez votre nom) reprit courage en s’appuyant sur l’Éternel, son Dieu. 

    Peut-être est-ce une perte qui vous touche en plein cœur : un divorce, la perte de la garde d’un enfant, un décès dans votre famille, une rupture sentimentale, 

    mais ... reprit courage en s’appuyant sur l’Éternel, son Dieu. 

    Ou bien peut-être que vos amis se retournent aujourd’hui contre vous et alors quelle douleur de voir ceux avec qui on riait nous tourner le dos et nous mépriser ! 

    mais … reprit courage en s’appuyant sur l’Éternel, son Dieu.  

    Oui mes amis, il est possible pour ceux qui sont désespérés de reprendre courage en s’appuyant sur le Seigneur. 

    Alors que peut-être que vous essayez de positiver pour aller de l’avant, mais force vous est de constater que vous retombez toujours dans la déprime ! 

    Je n’y arriverai jamais ! est votre leitmotiv quotidien. Mais Dieu veux changer votre manière de voir les choses. 

    Si comme Job vous dites : 

    Si je dis : Je veux oublier mes souffrances, laisser ma tristesse, reprendre courage, je suis effrayé de toutes mes douleurs.  

    Job 9/27 

    Alors laissez Dieu venir apaiser tout ce qui vous fait du mal et alors même au cœur de la détresse, vous verrez Dieu se servir de vous pour accomplir des choses merveilleuses qui vous dépasseront, 

    et comme Paul, vous pourrez dire : Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort. 2 Corinthiens 12/10 

    Et pour finir, à quelqu’un qui douterait que Dieu a pu lui pardonner entièrement son passé et que ce faisant n’ose espérer aller plus loin avec le Seigneur, j’aimerai lui laisser ce verset : 

    Prends courage, mon enfant, tes péchés sont pardonnés. Matthieu 9/2
     

    Rachel A.

    (Source : sosreconfort.com) 

     

     

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    Tiens bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer !

     

     

    Tiens bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer !

     

     

    Ne tremble pas et ne te laisse pas abattre car je suis avec toi partout où tu iras ! 

    Prendre la succession à la suite de Moïse n’était pas simple, ni facile pour Josué, le témoin fidèle, docile et soumis suivant le cheminement de son leader et le comportement de tout ce peuple.

    Josué, homme rempli de doutes et d’incapacités, homme bourré de craintes et de préjugés, homme avec ce regard et cette vue dévalorisés, délabrés de lui-même, homme stressé et découragé par l’ampleur de la responsabilité confiée, homme effrayé et faible en se comparant à Moïse.

    La liste est longue et ne sommes-nous pas semblable à Josué dans certaines situations, dans certains appels reçus, dans certains services demandés ?

    Pourtant, dans l’essence même de son identité  « Dieu Sauve » « L’Éternel est salut  » aucun hasard, ni erreur quant au choix du prénom et de sa destinée rattachée. 

    Après la mort de Moïse, à plusieurs reprises,  Dieu a fortement stimulé et encouragé son serviteur Josué. Il lui a établi et adressé une feuille de route avec des objectifs précis à atteindre et à mettre en œuvre pour réaliser Son plan. Tout d’abord, cet ordre de se lever et de passer le Jourdain. 

    Josué et le peuple ne devait pas rester à se morfondre de la mort de Moïse et à s’apitoyer sur soi-même. Josué avait vécu de nombreuses expériences, la rébellion, la désobéissance, l’insoumission, etc… de ce peuple en compagnie de Moïse. Il était à la bonne école pour apprendre et vivre le comment faire, le comment se conduire et le comment conduire le peuple. La Volonté de Dieu est sans cesse en marche, toujours avancer et progresser et ce, malgré l’épreuve, malgré la rébellion du peuple.

    Marie-Pierre Guilho-Bailly a écrit : « Si tu n’avances pas, tu recules. Si tu recules, tu meurs » Je l’ai traduit ainsi « si tu n’avances pas, tu régresses pour te mettre dans une voie sans issue et stationner dans une impasse. Un jour, il te faudra bien sortir de cette voie d’immobilité, reculer pour sortir de ce passage et reprendre la route en avant et repartir. »

    Plusieurs fois, dans ce chapitre, Dieu invite Josué à se fortifier et à prendre courage. Il insiste et lui rappelle l’importance de méditer la Parole de Dieu, l’importance de la confiance et de l’obéissance envers Lui. Ce message est accompagné et porteur de chacune de Ses promesses qui sont sûres et vraies. Dieu savait jusqu’où Josué pouvait aller et endurer. Il connaissait aussi ses limites, ses capacités et il pouvait compter sur lui. Josué 1/1-9

    Dieu t’encourage et t’ordonne de te lever, de passer ton Jourdain, te fortifier et prendre courage pour accomplir Son œuvre. Il a appelé et choisi Josué. De même pour toi.  

    Il t’appelle à une tâche bien précise malgré tes faiblesses, tes défauts, tes lacunes. Dieu connaît aussi les difficultés, les embûches que tu rencontreras sur ce chemin. N’oublie pas que Dieu a confiance en toi et Il marche avec toi sur cette route. Il sait que tu mèneras à bien, jusqu’à son terme, cette mission parfois périlleuse avec ses vallées dangereuses.

    Dieu a déposé en toi tout un potentiel et c’est Lui qui a « misé » et  « investi » ce qu’Il avait de plus cher en toi. Tu es important et c’est Lui qui donne la vraie valeur à ta vie. Dieu compte fortement sur toi et tu peux compter constamment sur Lui, dans les bons comme dans les mauvais moments. Avec Lui, tu peux Tout !  

    Même si le découragement frappe à ta porte, même si la fatigue freine et retarde  tes élans, même si la tempête fait rage et qu’elle te fait naviguer à contre-courant du monde … Ne te laisse pas abattre, sois ferme, courageux et fort. Dieu te communiquera, en son temps, toute sa stratégie pour être victorieux. Il t’accompagne de Sa Présence et Ses Promesses toujours tenues et accomplies. Dieu n’est pas un homme pour mentir. Il est Dieu et ce qu’Il dit, ce qui est écrit a et aura son plein accomplissement ! 

    « Ne t’ai-je pas donné cet ordre : Fortifie-toi et prends courage ? Ne te laisse point terrifier et ne t’épouvante point, car l’Éternel, ton Dieu, est avec toi dans tout ce que tu entreprendras, où que tu ailles. » Josué 1/9 

    « L’Éternel dit à Josué : N’aie pas peur, ne crains rien ! Emmène avec toi tous les soldats et va attaquer Aï ! Car je livre le roi d’Aï en ton pouvoir ainsi que son peuple, sa ville et tout son territoire. » Josué 8/1 

    « L’ Éternel dit à Josué : N’aie pas peur de ces rois, ne les crains point car je te donne la victoire sur eux ; aucun d’eux ne pourra te résister. » Josué 10/8 

    Dieu peut te surprendre encore aujourd’hui. Oui ! 

     Geneviève A.

    (Source : sosreconfort.com) 

     

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    Comment surmonter l’angoisse (1)

     

     

    « Ne vous faites pas de souci pour votre vie ni pour votre corps » Mt 6.25, PDV

     

    Voici quelques conseils pour surmonter votre angoisse :

    1) Parlez à Dieu. Ne vous plaignez pas si un de vos investissements s’effondre, demandez à Dieu de vous aider. N’arpentez pas la salle d’attente de l’hôpital, priez pour une opération sans complication. « Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous » (1P 5.7).

    2) Ralentissez. « Garde le silence devant l’Éternel, et attends-toi à lui » (Ps 37.7). Jésus a fait son premier miracle lors d’un mariage. Le fait de manquer de vin était à l’époque très mal vu. Marie aurait pu reprocher à l’hôte son manque d’organisation, ou aux invités de trop boire. Mais elle a confié le problème à Jésus et il a trouvé la solution. Vous pouvez faire pareil. Évaluez la situation, puis apportez-la devant Dieu en prière.

    3) Ne laissez pas votre angoisse prendre le meilleur de vous-même. Lorsqu’un moustique se pose sur vous, vous ne dites pas : « Je m’en charge dans une minute ». Non, vous l’écrasez avant qu’il ne vous pique. Soyez aussi décisif pour vos soucis. Dès leur apparition, occupez-vous d’eux. Avant de conclure trop vite que ce grain de beauté est cancéreux, faites-le examiner. Au lieu de penser que vous ne réglerez jamais vos dettes, consultez un expert financier. Soyez acteur, pas spectateur. Horace Bushnell a dit : « L’angoisse est une forme d’incrédulité ou de peur irraisonnée. Nous n’avons pas le droit d’y céder. Une pleine foi en Dieu la met en sommeil ». Les peurs que l’avenir suscite et les fardeaux que l’angoisse crée ne viennent pas de Dieu. Alors confiez-la à Dieu, et laissez-le s’en occuper !

     

    Comment surmonter l’angoisse (2)

     

     

    « Et la paix de Dieu, [...] gardera vos cœurs » Ph 4.7

    Voici trois étapes de plus :

    1) Faites une liste de vos soucis. Pendant une semaine, faites la liste de ce qui vous tracasse le plus. Les enfants ? La santé ? L’argent ? Le mariage ? Le travail ? Ce ne sont pas des petits soucis passagers mais de profondes inquiétudes. C’est donc le moment de les examiner. Demandez-vous combien d’entre elles sont vraiment devenues réalités. Charles Spurgeon a dit : « Nos pires infortunes ne se produisent jamais… Nous sommes souvent misérables par anticipation ».

    2) Analysez-les. Certaines préoccupations récurrentes peuvent devenir obsessionnelles : votre réputation, des antécédents familiaux comme les maladies cardiaques, le cancer, ou Alzheimer, la peur de n’avoir pas assez pour vos vieux jours. Identifiez toutes vos peurs et priez spécialement pour chacune d’elles.

    3) Vivez au présent. Dieu a promis de subvenir à vos besoins chaque jour, non chaque semaine ou chaque année. Il vous donnera ce qu’il vous faut quand il le faut ! « Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, en vue d’un secours opportun » (Hé 4.16). Comme le dit cette ancienne hymne : « Doucement mon cœur ! Aie foi en Dieu, et attends ; bien qu’il prenne son temps, il vient toujours à l’heure ». Lorsque la Bible emploie le verbe « s’inquiéter », il est presque toujours suivi des mots : « de rien ». Qu’il ne figure jamais autrement dans votre vocabulaire. « Ne vous inquiétez de rien ; […] par la prière […], faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu, […] gardera vos cœurs » (Ph 4:6-7).

     

     

    Comment surmonter l’angoisse (3)

     


    « Votre Père céleste sait que vous en avez besoin » Mt 6.32


    Voici deux nouvelles étapes :

    1) Demandez de l’aide. Paul a écrit : « Luttes au dehors, craintes au dedans. Mais Dieu, qui console les humbles, nous a consolés par l’arrivée de Tite » (2Co 7.5-6). Vous n’êtes pas une exception, tout le monde affronte les mêmes peurs. En exprimant vos angoisses, elles commencent à diminuer. Rappelez-vous : « Deux valent mieux qu’un […], s’ils tombent, l’un relève son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever ! » (Ec 4.9-10). Partagez vos sentiments avec une personne de confiance, et demandez-lui de prier avec vous. Les gens sont prêts à vous aider plus que vous ne l’imaginez. Moins de soucis pour vous, c’est souvent plus de bonheur pour eux.

    2) Concentrez-vous sur Dieu, pas sur vous. Jésus conclut en disant : « Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement son royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus » (Mt 6.32-33). Si vous courez après l’argent, vous vous soucierez du moindre centime. Si la santé vous préoccupe, le plus petit bouton va vous effrayer. Si vous voulez être populaire, chaque conflit deviendra une obsession. Si vous cherchez la sécurité, vous allez sursauter au plus petit craquement de brindille. Mais si vous cherchez chaque jour le royaume de Dieu, « tout cela vous sera donné par-dessus ». Un poète anonyme a écrit : « Le merle dit au moineau : “Pourquoi donc les hommes sont-ils si pressés et si anxieux ?” Le moineau dit au merle : “Mon ami, je pense qu’ils n’ont pas, comme nous, un Père céleste qui prend soin d’eux” ».

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Gérer le suicide d'un être cher

     

    Gérer le suicide d’un être cher

     

     

    « Il ne cassera pas le roseau abîmé, il n'éteindra pas la flamme qui faiblit » Mt 12.20, PDV

     

    Lorsqu’un proche meurt de maladie, dans un accident ou de vieillesse, notre chagrin est dit « sans complications » ou « simple ». Cependant, dans le cas d’un suicide, nous avons plus de mal à nous en remettre, assaillis de fréquentes questions sans réponses. On se sent coupable, voire en colère. « N’ai-je pas été là pour elle ou lui ? Aurais-je dû faire davantage ? Aurais-je pu contribuer à l’empêcher ? Comment avoir pu nous faire ça ? Quel égoïsme ! » Ces sentiments ne se dissiperont qu’avec le temps et la grâce de Dieu.

    Pour aider ceux qui vivent un tel drame, voici quelques réponses bibliques aux questions qu’ils se posent si souvent :


    « Le suicide est-il un meurtre ? » Ce n’est indiqué nulle part dans les Écritures. Bibliquement, un meurtre est un acte commis contre un autre.


    « Que pense Dieu des gens qui se suicident ? » Même si on ne peut le soupçonner de les encourager, personne ne comprend mieux que lui le désespoir qui conduit une personne à fuir une souffrance intolérable. Dans nos pires moments, notre Père ne peut renier sa compassion pour nous. « Il ne cassera pas le roseau abîmé, il n’éteindra pas la flamme qui faiblit ».


    « Les suicidés sont-ils sauvés ou perdus ? »
    1) Il n’y a qu’un seul « péché impardonnable » (voir Mt 12.31-32), et ce n’est pas le suicide !
    2) Paul affirme : « Car je suis persuadé que ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les dominations, […] ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu en Christ-Jésus notre Seigneur » (Ro 8.38-39). Même le suicide ne peut éteindre l’amour de Dieu et annuler le salut que cet amour a racheté pour nous !


    Bob Gass

     

     

     

     

     

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    Je ne m'accepte pas et le regard des autres n'arrange rien.

     

    Que faire ?

     

     

    C'est une question centrale dans la vie d'une personne. Chacun d'entre nous, chrétien ou pas, est confronté à cette question. Plus qu'une question, c'est une réelle souffrance.
    Derrière cette question de s'accepter, s'aimer soi-même se cache la question de notre identité. Qui suis-je ? Comment me retrouver dans toutes les contradictions qui sont en moi ?

    Je vous propose un petit rappel : Dieu nous a créés à son image, à sa ressemblance (Genèse 1:26). L'homme et la femme en désobéissant à la directive donnée par leur créateur (Genèse  2:16) se sont coupés de la communion avec Dieu qui les chassa du paradis. Et voilà l'être humain qui n'a plus d'autre vis-à-vis qu'un autre humain qui lui renvoie la même question : " Qui suis-je ? ".
    Heureusement, Dieu notre Père ne nous a pas abandonnés et nous pouvons en Jésus-Christ reprendre contact avec notre identité profonde d'enfant de Dieu.

    S'accepter soi-même n'est pas une chose avec laquelle nous naissons, ce n'est pas inné, cela s'acquiert! Et s'acquiert en Christ qui fait de nous une nouvelle créature à notre conversion. D'abord, " le Christ nous accepte comme nous sommes : celui qui vient à moi, je ne le jetterai pas dehors " (Jean 6:37). Il nous reçoit, oui ! Pas pour nous laisser dans notre misère, dans ce que nous sommes. " L'acceptation n'est que le premier pas de l'amour, elle nous entraîne dans un processus de croissance. Être accepté par l'amour de Dieu, c'est être transformé " (extrait du livre " S'aimer soi-même " de Walter Trobisch).

    Une bonne manière de s'approprier notre nouvelle identité en Christ, est de se rappeler, de se dire à haute voix qui nous sommes en Lui. Durant des années, dans ma salle de bains, j'avais affiché la déclaration suivante :

    Dieu déclare :
    - il n'y a personne au-dessus de lui, personne ne peut détruire ce qu'il dit
    - que j'ai du prix à ses yeux, (Esaïe 43.4)
    - je suis importante pour lui (Jean 3.16) :  Dieu a tant aimé...
    - j'ai quelque chose de valeur à partager avec les autres (Ps 139.13)
    - dans toute la création, i l n'y a personne qui ne soit comme moi ou qui a plus de valeur que moi (Ps 139.13,14)
    - avec l'aide de Dieu, il n'y a rien que je ne puisse faire  (Philippiens 4.13).

    Cette déclaration  est maintenant ancrée en moi ; rien ni personne ne peut me l'enlever. Ce que Dieu déclare est immuable, je peux m'appuyer dessus sans réserve, cela me rend solide !
    J'ai aussi affiché dans ma salle de bain  des déclarations de Dieu sur ma vie et je peux m'y référer quand j'ai besoin d'encouragement, de retrouver confiance :
    - Je suis accepté : Jean1.12 ; Jean 15.15
    - Je suis en sécurité : Je ne peux pas être séparé de l'amour de Dieu Romains 8:35-39, Matthieu 11.28-29
    - J'ai de la valeur : Je suis l'ouvrage de Dieu Ephesiens. 2.10 ; 1 Corinthiens 3:16 ; 2 Corinthiens 6:1 ; Ephésiens .3:12

    C'est Dieu qui vous a créé qui déclare tout cela sur vous. Il n'y a aucune autorité au-dessus de Dieu, rien ni personne ne peut détruire ces déclarations de Dieu sur votre vie.
    J'aimerais vous encourager à copier ces versets, la déclaration, si elle vous parle, à l'afficher (salle de bains ou ailleurs…) et chaque jour à lire à haute voix une ou plusieurs déclarations de Dieu, à la mémoriser, la redire durant la journée pour que cette nouvelle identité prenne chair en vous. Faire cela, c'est déclarer ce qui est vrai sur votre vie.

    Bientôt vous verrez des changements : vous aurez plus confiance en vous, vous aurez plus d'assurance parce que vous saurez toujours mieux qui vous êtes ! Vous allez susciter l'envie autour de vous !

    Un bon livre à lire de Neil Anderson : " Une nouvelle identité pour une nouvelle vie "

    en partenariat avec : www.famillejetaime.com

    (Source : TopChrétien)

     

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    Jésus est victorieux - Corrie Ten Boom

     

    Jésus est victorieux

    Corrie Ten Boom

     

    "Corrie ten Boom (1892-1983) : résistante au nazisme pour motifs de foi" par Gabrielle Desarzens

    A l'âge de 52 ans et pour avoir sauvé des juifs des griffes nazies, la Hollandaise Cornelia ten Boom a été déportée dans un camp de concentration. Elle y a commencé un véritable ministère de consolation, de conseil et d'enseignement chrétien. Et a puisé par la suite sa force dans le pardon qu'elle s'est efforcée de pratiquer.

     

    Que dire de l'horreur des camps de concentration qui ne l'a déjà été ? « Contre le mur d'en face, une douzaine de cadavres nus gisaient côte à côte sur le dos. Certains avaient les yeux ouverts et semblaient fixer le plafond. Je restai là, pétrifiée d'horreur. » C'est ce qu'a écrit Corrie ten Boom concernant son passage en enfer, où elle a connu la terreur, la faim, le froid, l'indignité, comme le deuil de sa soeur. Avec sa foi pour tout bagage, elle y a pourtant aussi découvert tout un champ de partage chrétien. Un champ qu'elle a par la suite étendu à la terre entière.

     

    La foi chrétienne au coeur de la vie familiale 

    La famille ten Boom était membre de l'Eglise réformée néerlandaise. La foi chrétienne y était vécue au quotidien par la lecture de la Bible, de façon pratique et conséquente. A la tête d'une maisonnée toujours ouverte notamment à celles et ceux dans le besoin, Casper, le père de Corrie, n'a pas craint de dénoncer dans les années 30 les persécutions des juifs comme une injustice faite à des êtres humains et un affront à l'autorité divine. A sa suite, Corrie a plusieurs fois exprimé sa conviction que tous les êtres humains sont égaux devant Dieu. Par ses activités religieuses, la famille avait développé des contacts personnels avec des membres de la communauté juive. Le frère de Corrie, Willem, pasteur de l'Eglise réformée, gérait une maison de santé pour personnes âgées, où des gens de toutes religions étaient accueillis. A la fin des années 1930, cette maison devint un refuge pour les juifs fuyant l'Allemagne.

    Après le début de la Seconde Guerre mondiale et sous l'occupation allemande, Corrie s'impliqua personnellement en faveur des juifs. Avec son père et sa soeur Betsie, célibataire comme elle et son aînée de 7 ans, elle décida d'en cacher dans leur maison familiale à Haarlem, aux Pays-Bas. Utilisant comme couverture son travail d'horlogère dans le magasin de son père, elle établit des contacts avec des membres de la résistance, qui l'aidèrent à se procurer des carnets de rationnement et à installer une cachette derrière les parois d'une chambre. Six personnes, des juifs et des membres de la résistance, s'y trouvaient lorsque la gestapo, la police secrète allemande, fit une descente fin février 1944. Elles ne furent pas découvertes.

     

    Tous arrêtés par les nazis 

    Mais les nazis arrêtèrent les membres de la famille ten Boom. Et débuta pour Corrie une véritable descente aux enfers. Les moments les plus durs, elle les connut d'abord au fond d'une cellule en Hollande. Puis dans un premier camp de concentration construit par l'occupant pour les prisonniers politiques à Vught. Et enfin en Allemagne derrière quatre rangs de barbelés électrifiés, dans le camp de concentration réservé aux femmes de Ravensbrück, à 80 kilomètres au nord de Berlin. « A chaque entrée se tenaient des gardes, la mitraillette à la main. Chaque jour, des centaines de femmes mouraient et leur cadavre allait nourrir le feu des fours crématoires. » Au total, quelque 96'000 femmes y ont trouvé la mort. 

    Casper, véritable patriarche, était un homme pieux. Arrêté en même temps que Corrie et Betsie, il a récité les paroles du Psaume 91 en boucles pendant son emprisonnement et juste avant de mourir 10 jours plus tard : « Celui qui demeure sous l'abri du Très-Haut, repose à l'ombre du Tout-Puissant. Je dis à l'Eternel : Mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie ! » Puis il a ajouté à l'adresse de ses gardiens : « Ne sommes nous pas une génération privilégiée ? Ce sera un honneur pour moi de donner ma vie pour le peuple juif. » Suite à son décès, les deux soeurs ont été transférées en juin 44 à Vught, puis à Ravensbrück en septembre. Betsie y est morte en décembre, usée par le travail et les mauvais traitements.

     

    Des moments de culte à Ravensbrück 

    « Ta parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier... Tu es mon refuge et mon bouclier... J'espère en ta parole... » Ces versets, lus par son père à la table familiale, ont résonné dans l'esprit fatigué de Corrie à Ravensbrück, où avec sa soeur elle a initié des moments de culte avec une Bible qu'elles avaient réussi à sauvegarder. Les femmes du camp ont été toujours plus nombreuses à suivre avec avidité ces moments.

    « A Ravensbrück, la vie s'est déroulée sur deux plans distincts, a plus tard témoigné Corrie. D'un côté il y avait la réalité tangible, la vie extérieure dont l'horreur croissait chaque jour. Et de l'autre, la vie cachée en Dieu, celle qui, vérité après vérité, victoire après victoire, progressait sans cesse ». Dans un dortoir pouilleux et nauséabond où les surveillants ne venaient pas par peur d'être infectés, des femmes rendues misérables y ont trouvé, « comme le prophète Esaïe, un abri contre le vent, un refuge contre la tempête, l'ombre d'un grand rocher dans une terre altérée »...

     

    « Jésus peut changer la détresse en bénédiction » 

    Libérée suite à une erreur administrative quelques jours après le décès de sa soeur, Corrie ten Boom voyagea jusqu'à Berlin. Puis rejoignit la Hollande, où elle retrouva les survivants de sa famille. « Après la prison, c'est le monde entier qui est devenu ma salle de classe », dit-elle dans l'une de ses biographies. Pendant une trentaine d'années, elle a en effet continué à puiser dans la Bible comme une énergie nouvelle, sillonnant plus de 60 pays en répétant que « Jésus peut changer la détresse en bénédiction ». Elle l'avait expérimenté dans les camps : le Christ est celui qui amène la paix et l'amour. Et elle s'est appuyée sur les promesses de ces textes millénaires de la Bible pour en dégager que le pardon et la réconciliation entre ennemis sont féconds et libérateurs.

    A plus de 80 ans, elle a pu dire qu'elle voyait que Dieu tissait son existence. Et qu'elle comprenait que les fils sombres de ses expériences les plus pénibles avaient en fin de compte été aussi utiles que les fils d'or ou d'argent. Convaincue que le Créateur a des projets pour chacun, elle a toujours exhorté les gens qu'elle rencontrait à les découvrir. Dans le film « The Hiding Place » (La Cachette), tiré du livre du même nom et qui fait référence à sa vie, on la voit en colère contre une gardienne qui brutalise sa soeur et incapable de prier ou de lire les Ecritures. Puis, avec la maladie de Betsie, elle prend le relais de sa soeur au milieu des prisonnières. Elle lit la Bible à voix haute, témoigne ; et incarne l'Evangile qui deviendra sa raison de vivre.

     

    « Juste parmi les nations » 

    Reconnue par l'institution israélienne Yad Vashem comme « Juste parmi les nations » en 1967, Corrie s'est retirée aux Etat-Unis à l'âge de 85 ans. Après quelques attaques cérébrales, dont elle est sortie infirme et aphasique, elle est décédée le 15 avril 1983, le jour même de son 91e anniversaire.

    « Corrie parlait toujours de mémoire et avait plusieurs ustensiles pour imager ce qu'elle disait », se souviennent des membres de sa famille. Par exemple, elle prenait un bête crayon et montrait qu'il tombait si on ne le tenait pas. Ainsi sommes-nous comme ce crayon, disait-elle : il faut la main de Dieu qui nous tienne fermement afin que nous puissions tenir debout... et être utile. Munie d'une lampe de poche, elle proclamait aussi que le chrétien devait être une lumière dans ce monde. Elle pressait le bouton, mais... rien ne se passait. Avec un peu de malice dans les yeux, elle ouvrait la lampe de poche pour en extirper une seule pile. Et un bout de tissu. Une étoffe qui symbolisait pour elle des sentiments comme la jalousie ou la rébellion... « J'ai une autre pile, disait-elle. Mais si vous n'enlevez pas le tissu, cela ne fonctionnera pas. » Une fois les deux piles mises en place, elle pressait à nouveau le bouton... toujours sans succès. Alors elle dégageait un dollar coincé entre les deux piles et le point de contact. Elle riait : « Il n'y a rien de mal avec ce dollar, il n'est juste pas à la bonne place. » Elle voulait dire que parfois, l'argent nous empêche de remplir notre fonction. Une fois le dollar enlevé, elle pressait le bouton de la lampe de poche qui s'allumait enfin. Et elle encourageait son auditoire : « Ne laissez rien ni personne s'immiscer entre vous et Dieu. »

     

    Le pardon octroyé aux gardiens et aux traîtres 

    A l'issue d'une conférence, Corrie a pu serrer la main d'un des gardiens de Ravensbrück. Puis pardonner à celui qui les avait dénoncés en Hollande. L'amour de ses ennemis qu'elle a réussi à mettre en pratique par sa foi chrétienne est quelque chose d'essentiel et de très fort qu'elle a transmis. Dans l'un des derniers ouvrages écrits sur cette femme, ses propres paroles sont rapportées de la façon suivante : « Nous sommes des canaux de l'amour de Dieu, pas des réservoirs. C'est dans la mesure où nous vivons notre foi que nous sommes en mesure de pardonner. » A un journaliste télévisé qui mettait en avant sa puissante et grande foi, elle rétorqua du tac au tac ne pas en bénéficier du tout. Mais avoir par contre foi en un Dieu qui, lui, est puissant et fort.

    Et sur sa tombe, ces seuls mots : « Jésus est victorieux – Corrie ten Boom, 1892-1983. »

     

     

    Gabrielle Desarzens 

    (Source : lafree.ch)

     

     

     

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