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    Rejetez la fausse culpabilité

     

     

    Rejetez la fausse culpabilité

     

     

     

    "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ." Romains 8.1

    Récemment, une personne m'a dit ceci : "Il y a quelques années, j'ai commis une erreur. Bien que j'aie demandé pardon à Dieu, je me sens toujours indigne et terriblement coupable !"

     

    Qui n'a jamais éprouvé de culpabilité ? Tourments, remords, honte… La culpabilité est l'un des sentiments les plus pénibles à vivre et le diable se fait toujours un plaisir de vous ressortir d'anciens dossiers pour vous rappeler vos fautes d'hier !

     

    Il veut vous faire payer inlassablement la facture alors que Christ l'a déjà réglée pour vous ! "Il a effacé le document de nos dettes qui nous accusait…Et il l'a détruit en le clouant sur la croix !" (Colossiens 2.14).

     

    Pourquoi vous sentir coupable alors que Dieu ne vous condamne pas ? Vos fautes d'hier, il les a déjà oubliées ! "C'est moi, oui c'est moi qui pardonne tes fautes, parce que je le veux bien et je ne m'en souviendrai plus." (Esaie 43.25).

     

    Acceptez cette vérité ! Rejetez les accusations du diable, sachant qu'en fin de compte c'est lui qui sera condamné.

     

    Une action pour aujourd'hui :

    Seigneur, je prends la décision de ne plus jamais me laisser accuser par Satan. Amen. 

     

     

    Yannis Gautier

    (Source : TopChrétien)

     

     

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    2 commentaires
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    Le timing de Dieu

     

     

    Le timing de Dieu

     

     

     

    Avec vous vécu cette semaine votre « kairos » ?

    Pour ceux qui n’étaient pas là dimanche dernier, ils se disent « ça y est, il commence à parler en latin. Non ce n’est pas du latin, c’est du grec. Et nous avons vus la semaine dernière que le « kairos de Dieu » voulait dire en autre : les opportunités divines.  Parce que nous avons tous, à notre disposition, des opportunités divines et nous avons vu la semaine dernière, comment il était important de ne pas les rater et comment nous pouvions faire pour ne pas les rater.


    Le titre de mon message aujourd’hui est le suivant (excusez-moi pour le mot un peu anglais. Tout le monde sait que je suis un anglophone, n’est-ce pas ? J’ai entendu des gens qui ont ri très fort) : le timing divin.

    J’ai cherché de mettre ça en français, mais…. Oui, j’aurais pu, mais j’ai trouvé que c’était beaucoup plus parlant : le timing divin.

    Et en fin de compte, nous sommes dans la continuité du message de dimanche dernier. On revient et on va revenir encore aujourd’hui sur le mot « kairos »

     

    On a vu la semaine dernière, que dans le Nouveau Testament ; il y a essentiellement deux mots pour parler du temps. Y a le mot « chronos » que l’on retrouve 53 fois dans le Nouveau Testament. C’est un mot qui est là pour nous parler du temps linéaire, du temps matériel, qui se déroule heure après heure, jour après jour, année après année. C’est le temps « chronos » qui nous impose à être à l’heure. D’ailleurs, cela a donné le mot chronomètre. Nous sommes tous sous la contrainte de ce temps « chronos » : pour arriver à l’heure au travail, pour arriver à l’heure à l’école. Bref, c’est le temps linéaire.

    Et il y a un second mot dans le Nouveau Testament que l’on retrouve 81 fois qui introduit une notion de moment, une notion de temps et là c’est vraiment le mot « kairos ». Et effectivement on a vu que dans ce mot là il y a des opportunités de Dieu, mais ce mot va beaucoup plus loin et c’est ce que nous allons voir ce matin.

     

    Le mot « kairos » veut dire aussi : avoir le temps juste, être dans le bon timing. Avant, ce n’est pas le bon moment, et après non plus. Il y a un temps juste, un temps parfait ; et c’est de ce temps-là dont on va parler.

     

    Combien sont d’accord pour dire que le bon timing est parfois très important ?

     

    On va mettre une première diapo et vous allez voir que c’est millimétré. Voilà je préfère celle-ci (trapézistes d’un cirque)

    C’est l’affaire d’une demi seconde. Imaginez qu’un seul instant, ils ne soient pas dans le même tempo, qu’ils ne soient pas dans le timing, qu’ils ne soient pas synchronisés. J’espère qu’il y a un filet en-dessous. Mais s’il n’y avait pas de filet, ce serait dramatique.
    Le timing est extrêmement important

     

    On va mettre une seconde diapo (défilé de militaires). C’est millimétré. Parfois on choisit ces images : ils arrivent même à se croiser. Et s’il y a en a un qui n’est pas dans le timing, ça va faire effet domino. Ça peut faire un genre, hein. Mais je pense que c’est pas l’effet recherché.

     

    Et une troisième diapo (planète du système solaire) qui elle bien sûr parle. Et là, on est simplement dans le système solaire, et il faut ajouter à cela des satellites, il faut ajouter à cela des étoiles. C’est un vrai ballet qui se manifeste dans les astres.

    Et encore une fois, heureusement que tout cela se fait dans le bon timing.

     

    On est bien d’accord que dans la vie, en général, parfois, quand nous ne sommes pas dans le bon timing, cela peut être grave. Il peut y avoir des conséquences graves.

    De même, c’est très important pour chacune de nos vies, d’être dans le timing de Dieu, d’être dans le temps de Dieu.

     

    C’est l’ecclésiaste qui insiste là-dessus. Il va dire dans ecclésiaste 3 verset 1 « Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux : un temps pour naître, et un temps pour mourir ; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté ; un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; »

    Vous êtes d’accord avec moi que si on rit pas au bon moment, ça va pas tomber juste. Vous êtes d’accord avec moi que si on pleure pas au bon moment, ça va pas non plus tomber juste.

    « un temps pour se taire, et un temps pour parler »
    Mesdames (l’assistance : « ohhhh ») Mais j’ai encore rien dit. J’ai encore rien dit !
    Vous au moins vous savez quand il faut parler et se taire.

    « un temps pour la guerre, et un temps pour la paix ».
    Bref, pour chaque chose, pour chaque instant, pour chaque moment : il y a un temps.

     

    Et nous sommes là, sans doute, confrontés à l’un des plus grands défis de la vie chrétienne : être en harmonie avec la volonté de Dieu au temps fixé.

    Non seulement être dans le plan de Dieu, non seulement faire ce qu’on doit faire, mais le faire en plus au bon moment, dans le bon timing.

     

     

    Et on va répondre à cette question dans un premier temps « pourquoi il est important d’être dans le timing de Dieu ? »

     

    Première réponse : tout se qui se passe dans le timing de Dieu est parfait. C’est la conclusion de l’ecclésiaste.

    Une fois qu’il a égrené, qu’il y a un temps pour tout ; et il conclut en ces termes au verset 11 « Dieu fait toute chose bonne en son temps »

    C’est pour cela que c’est important d’être dans le timing de Dieu parce que quand nous respectons le timing de Dieu, les choses sont parfaites. Dieu y met son empreinte, Dieu y met son sceau, Dieu y met son onction, Dieu y met sa bénédiction ; parce que c’est dans le temps de Dieu.

     

    Toutes choses sont bonnes à partir du moment où elles se font dans le temps de Dieu.

     

    La mise en application de ce principe d’une façon parfaite, c’est Jésus lui-même.

    Non seulement Jésus a fait la volonté de Dieu d’une façon parfaite (il va le dire lui-même : « Je ne fais que ce que je vois au Père, que ce que le Père me dit de faire ») ; mais en plus, le temps dans lequel il a accompli la volonté de Dieu était aussi parfait

     

    Sur terre Jésus ne s’est jamais affranchi du « kairos » de son Père. Et on le voit notamment par rapport à son entrée dans le ministère. Jésus a commencé à accomplir son ministère uniquement à partir de l’âge de 30 ans

     

    D’ailleurs le premier miracle que Jésus a accompli, il ne l’a accompli qu’à l’âge de 30 ans.

     

    Parfois on imagine Jésus quand il était enfant, dans la cour de récréation, en train d’épater ses petits camarades en faisant des miracles.

    Franchement, si vous êtes dans ce schéma de pensée, il faut tout de suite vous en affranchir également, parce que Jésus n’a pas fait ça. C’est pas ce petit Jésus qui faisait des tours de magie auprès de ses camarades. Jésus a fait son premier miracle uniquement à l’âge de 30 ans. Parce que c’était le temps de Dieu.

     

    J’aime ce qui se passe aux noces de cana. Jésus se trouve à cet endroit et il va commencer son ministère, il va commencer à faire des miracles à l’heure exacte, pour ne pas dire à la seconde exacte.

    Vous vous souvenez, il est invité à des noces.  Il est là comme simple invité, sans doute ami ou connaissance de la famille. Et puis à un moment donné, ils manquent de vin, et la mère de Jésus va aller se déplacer vers son fils et va lui dire, va lui rapporter la nouvelle : « tu sais Jésus, ils manquent de vin pour un mariage »

    Écoutez bien ce que le Seigneur Jésus va répondre : Femme (déjà c’est pas très gentil mais si on comprend le contexte on s’aperçoit que c’est pas du tout du mépris ou un manque de respect, mais ça rentre vraiment dans un contexte). Il va dire « qu’y a-t-il entre moi et toi ? » Et il va dire ceci : « Mon heure n’est pas encore venue » (Jean 2 : 4).

    Jésus est conscient qu’il ne peut rien accomplir en dehors du temps de son Père. Il est conscient qu’il ne peut rien accomplir, même pas un miracle, même pas son ministère, si c’est pas encore le temps ; parce que c’est important qu’il soit dans le temps pour être une bénédiction auprès des autres. Et ça va se jouer à quelques heures ou quelques minutes près.

    Quand on lit le texte, c’est compliqué de savoir combien de temps il s’est passé entre le moment où il a reçu l’information de sa mère, qu’il n’y avait plus de vin, et le moment où il a accompli le miracle. Mais je ne sais pas ce qu’il s’est passé dans le cœur de Jésus, mais à un moment donné il s’est dit « c’est l’instant, c’est le moment ».
    Une heure avant ce n’était pas encore le moment. Mais là il a ressenti dans son cœur, il a dit : « c’est le moment de faire mon premier miracle, c’est le moment de rentrer officiellement dans mon ministère, c’est le moment ! »

     

    Et c’est à l’image de tout ce qui a été le ministère de Jésus. Il a toujours fait les choses au bon moment. Et puisqu’il les a faites au bon moment, ça toujours été une bénédiction. Son ministère a été béni, non seulement parce qu’il a fait la volonté de Dieu, mais parce qu’il l’a fait au bon moment.

     

    Même sa mort a été dans le « kairos » de Dieu.

    Romains 5 : 6 : « Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies »


    Écoutez bien ceci : entrer dans le projet de Dieu au bon moment est une réelle bénédiction, mais en sortir également au bon moment est aussi une réelle bénédiction

     

    Il est sorti de la scène publique, il est sorti du monde physique au bon moment, il est mort au temps marqué

     

    Et là, je parle à quelqu’un ; je sais intérieurement que je parle à quelqu’un : il y a un temps pour entrer dans un projet, il y a un temps pour entrer dans une saison de Dieu, mais il y a aussi un temps pour en sortir, sortir pour entrer dans une autre saison.

     

    Et c’est ma hantise, en tant que pasteur d’une église comme celle-ci, c’est ma hantise. Avec Patricia nous sommes convaincus que Dieu nous a envoyé à cet endroit au bon moment. Mais notre hantise c’est pas de faire une année de trop, même pas une minute de trop ; parce qu’on sortirait du « kairos » de Dieu, et si on sort du « kairos » de Dieu, nous ne serons plus bénis, et nous ne serons plus une bénédiction pour vous.

    Je vous rassure, il n’y a pas de projet de départ. Je vous rassure : peut-être que certains se disent « ah dommage ». Je suis provocateur, vous le savez.

     

     

    Pourquoi est-il important d’être dans le timing de Dieu ?

     

    Deuxièmement : justement pour ne pas faire une bonne chose au mauvais moment, parce que ça rend nos projets mauvais. Je vais raconter l’histoire qui va étayer cette vérité

     

    Je peux faire une bonne chose, mais si je ne la fais pas au bon moment, la chose va être mauvaise.

    Je vais prendre l’exemple de Moïse. Exode 2 verset 11, il est dit ceci : « En ce temps-là »

    (je l’ai souligné, je l’ai fait souligner) « En ce temps-là, Moïse, devenu grand, se rendit vers ses frères, et fut témoin de leurs pénibles travaux. Il vit un égyptien qui frappait un hébreu d’entre ses frères ».

    Et on sait qu’à ce moment-là, Moïse va se jeter sur cet égyptien, il va le tuer et il va être obligé de s’enfuir

     

    Beaucoup de théologiens pensent que quand il est dit qu’il se rendit vers ses frères, il a vécu en lui comme une espèce d’appel, il comprend à ce moment-là, il ressent à ce moment-là, que Dieu va l’appeler à jouer un rôle pour son peuple. Il réalise qu’il n’est pas égyptien comme les autres, il réalise que lui-même est hébreu, certes élevé par une famille égyptienne et pas n’importe laquelle, la famille royale ; mais au fond de lui-même, à un moment donné, au temps marqué, il réalise que Dieu va l’appeler à autre chose.

     

    Sauf que Moïse n’est pas dans le temps de Dieu. Ce qu’il va faire est une bonne chose, parce que Dieu veut vraiment délivrer son peuple. Dieu ne veut pas que le peuple hébreu reste en Égypte plus longtemps que lui-même l’a décidé. C’est une belle œuvre, c’est une belle chose mais il n’est pas dans « kairos »  il n’est pas dans le temps, il n’est pas dans le moment de Dieu. Tout simplement parce que Moïse n’est pas prêt.

     

    Et ça sert à ça le temps de Dieu, ça sert ça le « kairos » de Dieu, c’est pour que toutes les planètes (excusez-moi l’expression) soient alignées. La première planète c’est le cœur de Moïse. Et Moïse n’est pas encore prêt pour accomplir la mission de Dieu. Il a besoin d’être formé encore quarante ans dans le désert. Lui il sort des grandes études, il sort des écoles d’Égypte, il pense que cela a suffi pour le bâtir, pour le construire, il se sent même prêt intellectuellement. Mais Dieu dit : « il y a encore une autre classe à passer ». Et cette classe-là, tu vas la redoubler, parce qu’elle va durer 40 ans

     

    Non seulement, lui n’est pas prêt, mais les personnes que Dieu a désignées pour l’accompagner ne sont pas prêtes. Aaron, qui va jouer un rôle capital, dans le ministère, dans l’œuvre que Moïse va accomplir, n’est pas encore prêt. Lui aussi a besoin d’être prêt, lui aussi a besoin d’être préparé. Même Miriam qui va être aussi un élément important aussi, n’est pas prête.

     

    Les circonstances ne sont pas en place encore.

    C’est pas le bon pharaon qui est sur le trône. Et Dieu sait que tant que ce pharaon sera sur ce trône, il ne pourra rien faire en faveur du peuple hébreux. C’est pas le bon pharaon. Il faut que ce pharaon meurt et laisse la place à un autre.

    C’est pas les bonnes circonstances parce que le peuple hébreu n’a pas les bons mobiles et le bon cœur pour pouvoir se laisser sortir du pays d’Égypte.

    Vous savez, tant qu’il n’a pas connu la souffrance, lui il est bien en Égypte. Il est bien, il a de la nourriture, il a des légumes à volonté, c’est le self-service, c’est le « Flunch », il a tout.

    Mais il faut que le peuple hébreu connaisse la pression, la fatigue et ça devient pénible. C’est à ce moment-là, et uniquement à ce moment-là, qu’ils vont commencer à crier vers Dieu. Et à partir du moment où ils vont crier à Dieu, ils vont être prêts pour vivre eux leur « kairos » le temps de Dieu.

     

     

    Peut-être que vous êtes là impatients, vous direz :  « Pourquoi les choses ne se mettent pas en place ? » Parce que tu n’es peut-être pas prêt pour cela. Parce que les gens que Dieu veut te mettre à côté de toi ne sont pas encore prêts, parce que les circonstances ne sont pas encore prêtes, ne sont pas encore favorables.

     

     

    Troisièmement : Pourquoi est-il important d’être dans le temps de Dieu, de ne pas manquer le timing de Dieu ?

     

    Une dernière chose : parce qu’on se prive d’une voie pour proclamer les bénédictions de Dieu. Et je vais m’expliquer.

     

    Zacharie, Élisabeth : cela vous dit quelque chose ? Les parents de Jean-Baptiste. Ils sont âgés et ils n’ont pas d’enfant. Non seulement âgés, vous allez me dire ; mais en plus qu’Élisabeth est stérile.

    Et alors qu’il est en train, parce qu’il est prêt, il est en train de servir l’Éternel dans le temple, un ange va venir. Et un ange va lui dire, c’est le « kairos » de Dieu, c’est le temps, « tu vas devenir Père. Ta femme va devenir enceinte, vous allez porter un fils ».

     

    Et Zacharie ne croit pas au temps de Dieu. Il ne croit pas au « kairos » de Dieu.

    Luc 1 verset 20  il dit ceci : « Et voici, tu seras muet, et tu ne pourras parler jusqu’au jour où ces choses arriveront, parce que tu n’as pas cru à mes paroles, qui s’accompliront en leurs temps ». Et le mot temps est le mot « kairos ».

     

    Quand on se soucie pas du temps marqué par Dieu, quand on se soucie pas du « kairos » de Dieu, du timing de Dieu, ça nous rend muet.

     

    Quand nous sommes dans le « kairos » de Dieu, nous avons des choses à proclamer. Si nous voulons que l’église continue à proclamer ce que Dieu fait au milieu de nous, il est important d’être dans le « kairos » de Dieu, il est important d’être dans le timing de Dieu.
    Si je ne suis pas dans le timing de Dieu, je vais être comme Zacharie, je vais être muet, je n’aurai pas une parole à proclamer, une parole pour délivrer, une parole pour permettre aux personnes de venir vivre les mêmes choses que nous ; et c’est la même chose pour nos propres vies.

    Si je suis en dehors du temps de Dieu, je n’ai rien à proclamer ou alors du bla bla comme on le disait à l’instant ou des paroles vaines.

    Mais quand je suis dans l’instant de Dieu, quand je suis dans le « kairos de Dieu, et je crois vraiment et je réalise vraiment que je suis dans le « kairos » de Dieu : j’ai des choses formidables à proclamer. Parce que ce type de temps me permet de vivre le surnaturel de Dieu.

     

     

     

    On va se poser cette question : « comment ne pas rater le timing de Dieu ? »

    Et j’ai deux réponses à vous donner.

     

    1ère réponse : attendre le signe de Dieu

    Quand le roi Saül a été oint par le prophète Samuel pour devenir donc roi, Samuel lui a dit d’attendre.

    1 Samuel 10 verset 7 : « Lorsque ces signes auront eu pour toi leur accomplissement, fais ce que tu trouveras à faire, car Dieu est avec toi »

    En d’autres termes il dit : tu as reçu l’onction royale, tu as reçu l’appel de Dieu pour quelque chose de bien précis, mais avant de te lancer lorsque tu as reçu de la part de Dieu, avant de te lancer dans ton appel, il faut que tu attendes le signe de Dieu.

    C’est comme si que Dieu allait se présenter devant Saül et lui dire « viens c’est le moment »

     

     

    Les signes dont Samuel parlent c’est d’abord une propre transformation du cœur de Saül.

    La Bible nous dit que quand Saül a quitté Samuel, il lui donna un cœur nouveau, un autre cœur.

    Deuxième signe : c’est une expérience avec le Saint-Esprit puisque la Bible nous dit que l’Esprit de Dieu le saisit et il prophétisa au milieu de d’autres prophètes.

    Et ces signes-là se sont accomplis le même jour. Mais il y a un autre signe, c’était le signe des circonstances, quand Samuel va dire à Saül : « fais ce qui se présentera » ça signifie : les choses se présenteront à toi et tu connaitras que c’est le temps de Dieu. Et ça, c’est très important.

     

    Et les choses ne vont pas tarder à se présenter. Saül a été oint pour être roi, mais il repart chez lui, il repart à ses activités ; et pendant qu’il repart à ses activités, il y a un événement qui se met en place. Et cet événement c’est que les ammonites (c’’est pas une espèce de champignons ça) vont aller assiéger une ville dans la contrée de Galaad.

    Galaad donc c’est là, c’est en montagne, c’est là où habitent la tribu de Gad et une partie de la tribu de Manassé. Et les ammonites sont autour, siègent. A un moment donné, les gens de Galaad veulent traiter une alliance avec eux et le chef de la tribu ammonite dit « on est d’accord mais on va faire un deal : je vous crève à tous votre œil droit, et après on peut traiter ensemble ; comme ça la honte sera mise sur vous » Il était dur en affaire, hein.

     

    Alors ils vont envoyer des messagers et des messagers pour appeler « au-secours ». Et à ce moment-là, Saül va comprendre que c’est le temps de Dieu, il va comprendre que c’est le « kairos » de Dieu ; c’est Dieu qui est en train de lui faire signe et de lui dire  « c’est bon, tu peux y aller, tu peux enfin agir en tant que roi » Et ça va bien se passer. Il va même vivre quelque chose d’extraordinaire, que le peuple n’avait pas connu depuis longtemps : tout le peuple d’Israël va être uni, toutes les tribus vont être unies pour la même cause ; parce que c’est le temps de Dieu, c’est le « kairos » de Dieu, c’est au bon moment.

    Et pour agir à ce moment, il a fallu qu’il attende le signe de Dieu. C’est très important.

     

     

    Je vais peut-être vous décevoir mais je ne sais pas et ne connais pas quel type de signe le Seigneur va employer pour vous.

    Ce serez facile si je vous disais : le Seigneur va vous appeler à minuit sur votre 06 et il va vous dire « c’est maintenant »

    Je ne connais pas quel type de signe le Seigneur va employer, mais je sais une chose : c’est que vous allez le reconnaitre. C’est ce que j’appelle, moi, le signe de l’évidence. Ca s’explique pas. Ce signe là, je l’ai reçu à plusieurs reprises dans ma vie, au cours de mon ministère. C’était le signe de l’évidence. Ca s’explique pas mais on sent comme l’approbation de Dieu dans nos vies, sur nos vies et on entend la voix de Dieu. Elle n’est pas audible, c’est à l’intérieur. C’est par rapport aux circonstances que l’on vit. On entend la voix de Dieu qui nous dit « c’est le moment, je te fais signe. C’est le moment, c’est le bon moment »

     

    Je ne sais pas quel signe le Seigneur va employer, mais je sais une chose, c’est qu’il vous fera signe quand ça sera le bon moment. Ne partez pas, ne faites rien, n’entrez pas dans une autre saison, ne répondez pas à l’appel de Dieu tant que ce signe, le signe de l’évidence ne se manifestera pas devant vous

     

    Le timing est très important.

    Lorsque je comprends cela, nous sommes alors en mesure de coopérer avec lui.

     

     

     

    Comment ne pas rater le timing de Dieu ?

     

    Une dernière réponse : en abandonnant nos propres échéances.

    Je vais prendre l’exemple de Lazare pour expliquer cela, pour étayer cela.

    Vous connaissez l’histoire. Lazare a deux sœurs Marthe et Marie. Lazare tombe malade et les sœurs vont envoyer des messagers vers Jésus. Et quand les messagers vont arriver vers Jésus, ces messagers vont dire « celui que tu aimes est malade ». Et il y avait vraiment un message derrière ces paroles des sœurs de Lazare c’est de dire « Jésus viens surtout avant que ça s’aggrave » parce que nous on est tributaire du temps. Il y a une échéance, et l’échéance c’est qu’il meurt ou ne meurt pas. C’est ça l’échéance « surtout viens avant que ça s’aggrave » Nous nous avons notre timing, notre échéance. C’est un ami de Jésus, donc on pense que Jésus a compris le message.

    Jean 11 verset 6 : « Lors donc qu’il eut appris que Lazare était malade, il fit ses bagages et couru vite pour aller le guérir » ah non, c’est pas ça. Non, je me suis emballé. Excusez-moi. Je reste dans logique de ce qu’il aurait dû faire

    « il resta deux jours encore dans le lieu où il était » C’est incohérent ça.

    Et vous imaginez un peu, Marthe et Marie, qui elles sont sous la contrainte du « chronos », qui elles sont sous la contrainte du temps linéaire. Je m’imagine facilement Marthe et Marie dire à Lazare « Jésus va bientôt arriver, on est allé l’envoyer, il va arriver. Dès qu’il va apprendre que tu es malade, il va courir, patience, patience. Je suis sûre, Dieu ne peut pas faire autrement, Jésus ne peut pas faire autrement, il va être là à l’heure, il va être là au bon moment, il va être là avant l’échéance fatale, c’est sûr il est là, patience, Lazare patience. Il arrive, ton ami arrive » Boum : Lazare meurt. 

     

    L’échéance est passée

    Écoutez bien ceci : Dieu n’est jamais en retard, même quand l’échéance est passée. Ça parle certainement encore à quelqu’un ce matin, je crois en l’esprit prophétique. Dieu n’est jamais en retard. Dieu n’est pas en retard, même si ton échéance est passée : t’entends cela ?

     

    Dieu ne voulait pas accomplir une guérison. Dieu voulait accomplir ure résurrection pour que sa gloire éclate d’une façon encore beaucoup plus merveilleuse. Non seulement Dieu voulait accomplir une résurrection, mais il voulait le faire d’une façon éclatante aux yeux de tous. C’est pour cela qui est intervenu simplement que 4 jours après. Pourquoi je dis cela ? Parce qu’il y avait une croyance à cette époque-là, où les gens pensaient que quand quelqu’un était mort, son âme vagabondait pendant à peu près 3 jours dans les parages et pouvait éventuellement revenir à l’intérieur du mort. C’est une croyance, c’était une croyance. Je ne dis pas que c’est vrai.

     

    Et si Jésus était intervenu avant ces 3 jours-là, les gens auraient dit « mais c’est normal ». Ils seraient accrochés à leurs croyances et de dire « mais c’est normal, oui c’est comme on le dit, c’est comme nos ancêtres nous le disent depuis un certain temps. L’âme est revenue parce qu’elle n’était pas partie très loin »

    Et Jésus va intervenir après ce délai-là, après cette échéance-là. Et peut-être même que dans les alentours de la famille de Lazare, certains avaient aussi cette foi-là, cette attente-là en disant on va encore attendre ce que disent les ancêtres ; peut-être que l’âme va revenir même au bout de 3 jours. Et peut-être que d’autres dans l’entourage avaient leur propre échéance en fonction de leurs croyances. Les 3 jours sont passés et Lazare est toujours à l’intérieur du tombeau. Et la Bible dit même qu’il est en train de se détruire physiquement puisqu’il commence à sentir.

     

    Dieu n’est jamais en retard, même quand l’échéance est passée.
    Et Jésus arrive. On a fermé boutique. Il n’a même pas assisté à l’inhumation. On a fermé boutique. On a mis la pierre devant le tombeau. C’est fini, c’est terminé. On a mis un point final sur la vie de Lazare, on a mis un point final à cette histoire et Jésus arrive et il crie « Lazare sort »

     

    Saint-Augustin a dit ceci : (J’ai beaucoup aimé ce qu’il a écrit), il a dit « heureusement que Jésus a précisé à ce moment-là qu’il s’adressait à Lazare, parce que tous les morts seraient sortis du tombeau parce qu’il y a une puissance dans la proclamation de Christ, il y a une puissance dans la parole de Jésus.

     

    Peut-être qu’il y a quelque chose qui est mort pour toi. Peut-être que tu as mis un point final sur une situation. Peut-être que quelqu’un d’autre a mis un point final sur ta situation parce que l’échéance est passée. Si c’est dans la volonté de Dieu, quelles que soient les échéances que les hommes ont pu mettre ou que tu as pu mettre, Dieu n’est jamais en retard : il interviendra dans ta situation.

     

    Je vais terminer avec cela. Et c’est ma conclusion. Je vais conclure avec cela.

    Ce qui est formidable c’est l’attitude de Marthe et Marie pendant ce temps-là, et c’est l’attitude que nous devrions avoir. Le temps est passé, l’échéance est passée. Rien n’a abouti et quand Jésus arrive, il arrive en retard. Et c’est vrai que quand il arrive en retard, Marthe et Marie ne sont pas bien.  Et même une espèce de reproche « si tu avais été là, on n’en serait pas là aujourd’hui ».

     

    Mais j’aime ce qu’il dit

    Jean 11 verset 28 : Ayant ainsi parlé, elle s’en alla. (donc c’est Marthe) Puis elle appela secrètement Marie, sa sœur, et lui dit : le maître est ici, et il te demande » Et j’ai fait souligner le maître.  Marthe ne comprend pas ce qu’il s’est passé. Elle est un peu perturbée dans son esprit, elle est un peu bousculée parce qu’elle avait mis tellement sa confiance dans son Dieu, elle avait mis tellement sa foi en Jésus. Elle avait une échéance. Et l’échéance était que Lazare reste en vie. L’échéance est passée et elle est complètement perturbée, déboussolée et on le serait au moins. Mais elle continue à proclamer que Jésus reste souverain. Le maître est là.

     

    Et même si vous ne comprenez pas, pourquoi les choses ne se passent pas comme elles devraient se passer, même si vous ne comprenez pas que Dieu attend et ou ne fait pas les choses en votre temps : continuez à proclamer que le maître est là. Le maître est toujours là.  Il est maître des temps et des circonstances.

     

    On en a parlé la semaine dernière.  On a cité Daniel 2 verset 21 : « c’est lui qui change les temps et les circonstances, qui renverse et qui établit les rois, qui donne la sagesse aux sages et la science à ceux qui ont de l’intelligence. » Le maître est toujours là. Même si tu n’arrives pas à expliquer pourquoi Dieu tarde dans l’accomplissement d’une promesse : le maître est toujours là. Même si devant toi les éléments sont là pour te dire : mais je ne suis plus en âge d’être enceinte : le maître est toujours là. Peut-être que les choses sont dégradées à un point où tu t’es dit « c’est impossible de revenir de cette situation » : le maître est toujours là. Et proclamer que le maître est toujours à sa place, que le maître est toujours assis sur son trône et que le maître règne encore toujours sur les temps et les circonstances : c’est une victoire glorieuse.

     

    Le maître est toujours là !

     

    Je sais et je ressens au fond de mon cœur ce matin que cette parole a été prophétique pour plusieurs d’entre vous. Le maître est toujours là.

     

    Je vais vous inviter à vous lever à votre place et on va rester quelque instant ensemble. Je vais revenir sur quelques éléments de ce que nous avons partagé pour les appuyer fortement dans votre cœur, sur votre cœur.

     

    Dieu fait toute chose bonne en son temps

    Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose et c’est important d’être à l’heure, c’est important d’être dans le temps de Dieu, dans la saison de Dieu, au moment dans le « kairos » de Dieu parce que la vraie bénédiction, la vraie manifestation de notre appel : c’est vivre dans le « kairos » de Dieu. Les vraies solutions se trouvent dans le « kairos » de Dieu, dans le temps de Dieu.

     

    Je veux vivre ce matin cette réalité-là. C’est un grand défi pour moi. Mais je ne veux pas entrer dans le temps, une heure ou une minute avant le « kairos » de Dieu.

     

    Peut-être que quelqu’un attend un signe, le signe de l’évidence : Dieu va vous le donner.

    N’attendez pas après moi pour vous dire quel  type de signe, mais vous le comprendrez tellement, ce sera tellement évident pour vous, ce sera tellement criant pour vous que vous comprendrez que c’est le temps, c’est le signe pour entrer dans votre saison. Je sais que ceci s’adresse à quelqu’un : non seulement il est important d’entrer au bon moment dans la saison de Dieu, mais il est important aussi d’en sortir au bon moment. Christ est mort au temps marqué.

    Et je sais que certaines personnes dans ce lieu s’interrogent sur le fait de continuer ou ne pas continuer dans une voie. Au temps marqué Christ a quitté la scène. Au temps marqué il est rentré dans une autre saison, il est monté au ciel pour vivre autre chose. Au temps marqué.

     

    Peut-être que des personnes ont mis un ultimatum au Seigneur, a mis devant le calendrier une échéance : abandonne ça. Au temps voulu, au temps marqué Dieu interviendra.

    Et si l’échéance est dépassée, ça ne veut pas dire que Dieu est en retard dans l’application de sa promesse. Ca ne veut pas dire que la promesse ne va pas s’accomplir. Ça ne veut pas dire qu’il ne va pas intervenir dans ta situation. C’est simplement que ton temps à toi, que ton échéance est dépassée. Tu es là et tu attends, mais tu comprends pas que tant ton travail ou le travail ne se fera pas dans ton cœur ou dans le cœur de ceux et celles que le Seigneur a prévu pour t’entourer, tant que ce travail ne sera pas fait : le « kairos » de Dieu ne sera pas pour toi.

    Alors même si je ne comprends pas, je veux proclamer que le maître est là. Il est en place. Il est assis sur le trône et il règne. Maître des temps, maître des circonstances : il règne.

     

    Je ne ferai pas d’appel ce matin. Je ne vais pas vous inviter à venir sur le devant ; mais je sais que là où vous êtes, à vos places, et je m’adresse aussi aux internautes, là où vous êtes ; vous pouvez recevoir une parole prophétique (peut-être que vous l’avez déjà reçue) de la part du Seigneur par rapport à votre propre situation. Je suis sûr que Dieu a répondu à vos interrogations, je suis sûr que Dieu a ouvert pour vous des perspectives nouvelles.

     

    On va chanter ce chant, et pendant ce chant ; laissez le Saint-Esprit continuer son œuvre. Je m’arrête de prêcher mais le Saint-Esprit va continuer de prêcher aussi. Il va continuer à vous parler au fond de votre cœur. Laissez-vous interpeller par ce chant et par le Saint-Esprit.

     



    Daniel Pottier
    Retranscription culte à l’église de Lille Metropole du 04.02.2018

    Pour voir la vidéo : http://www.egliselillemetropole.com/enseignements/

     

     

     

     

    Oui Je Crois (Le Credo)
    Hillsong Worship

     

    Notre Père Éternel
    Toi qui as tout crée
    Dieu tout puissant
    C'est par ton Saint-Esprit
    Que Jésus fut conçu
    Christ notre sauveur

    Oui je crois en Dieu notre Père
    Oui je crois en Christ son fils
    Oui je crois en ton Saint-Esprit
    O trinité divine
    Oui je crois à la résurrection
    Que nous vivrons à jamais
    Car oui je crois dans le nom de Jésus

    Notre juge et défenseur
    Tu souffris à la croix
    Le pardon est en toi
    Descendu jusqu'aux ténèbres
    Tu es ressuscité
    A jamais élevé

    Oui je crois en Dieu notre Père
    Oui je crois en Christ son fils
    Oui je crois en ton Saint-Esprit
    O trinité divine
    Oui je crois à la résurrection
    Que nous vivrons à jamais
    Car oui je crois dans le nom de Jésus

    Oui je crois en Lui
    Oui je crois qu'Il est vivant
    Oui je crois que Jésus est seigneur
    [x2]

    Oui je crois à la vie éternelle
    Je crois que d'une vierge il est né
    Je crois à la communion des saints
    Et en ta Sainte église
    Oui je crois à la résurrection
    Quand Jésus reviendra
    Car Oui je crois dans le nom de Jésus

    Oui je crois en Dieu notre Père
    Oui je crois en Christ son fils
    Oui je crois en ton Saint-Esprit
    O trinité divine
    Oui je crois à la résurrection
    Que nous vivrons à jamais
    Car oui je crois dans le nom de Jésus
    [x2]

    Car oui je crois dans le nom de Jésus

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    La prospérité de l'être intérieur : le pardon

     

     

    La prospérité de l'être intérieur : le pardon

     

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    (Le document a deux pages. Il suffit de cliquer sur le document et d'y faire glisser la souris pour lire la suite)

     

     

    Source : Appel Espérance - Res. l'Ile Verte, Bât. A - 2 allée des Amandiers - 13090 Aix en Provence - Tél : 09 51 76 83 45

    Copyright ©  Appel Espérance - Tous droits réservés -

     

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    Gérer le stress (1 à 5)

     

     

    Gérer le stress (1)

     

     

    “Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres.” Jn 8. 32

    Afirmer que la parole de Dieu apporte la réponse à toutes les questions de la vie ne vous apportera pas beaucoup de réconfort si vous ne la mettez pas en pratique. On trouve beaucoup de biographies d’hommes et de femmes dans la Bible. Dieu veut nous montrer ainsi comment Ses principes de vie se traduisent dans la vie d’êtres humains comme chacun d’entre nous (Jc 5. 17). DL Moody a dit un jour : “La Bible ne nous a pas été donnée pour accroître notre connaissance, mais pour changer notre vie.” Comment la Bible peut-elle nous aider à gérer le stress de notre quotidien ? En nous donnant un exemple à suivre : Jésus Lui-même. Pendant trois ans Il vécut chaque jour sous la pression des autres. Mais Il décida toujours de Son emploi du temps, sans jamais se presser. Il prit le temps de faire une halte près d’un puits de Samarie pour engager conversation avec une femme, puis resta plusieurs jours dans cette ville pour toucher ses habitants. Il savait s’éloigner des foules au moment opportun, et choisir Ses priorités. Il s’arrêta pour interpeller Zachée et s’inviter chez lui. Quel était Son secret ? Quelques principes que nous ferions bien de suivre nous aussi. Tout d’abord, aucune question d’identité ne Le rongeait. Il savait qui Il était et quelle était Sa mission. Notez toutes les fois où Il s’écria “Je suis”. Par exemple : “Je suis la lumière du monde” (Jn 8. 12) ; “Je suis la porte” (Jn 10. 9) ; “Je suis le bon berger” (Jn 10. 11) ; “Je suis le chemin, la vérité et la vie” (JN 14. 6). Savoir qui vous êtes vraiment est le premier principe. Ne vous laissez pas dicter quoi que ce soit par personne. Vous êtes important parce que vous êtes “en Christ” car “celui qui s’unit au Seigneur devient spirituellement un avec Lui” (1 Co 6. 15). Sa Parole pour vous est : Reconnaissez que votre identité est celle de Christ, vous êtes enfant de Dieu !

     

     

    Gérer le stress (2)

     

     

    “Je ne cherche pas Ma volonté, mais la volonté de Celui qui M’a envoyé.” Jn 5. 30 

    Jésus savait aussi à qui Il voulait plaire. Il déclare : “ Je juge d’après ce que Dieu Me dit, et Mon jugement est juste parce que Je ne cherche pas à faire ce que Je veux, mais ce que veut Celui qui M’a envoyé”. Il ne cherchait à plaire ni aux foules, ni aux chefs religieux, ni à Ses disciples. Essayer de plaire à tout le monde est une folie. Si Jésus n’essayait pas de le faire, croyez-vous en être capable ? Jésus avait fait un choix très simple : plaire à Dieu qui L’avait envoyé et qui Lui répondit ainsi : “ Celui-ci est Mon Fils bien-aimé ; c’est en Lui que J’ai pris plaisir” (Mt 3. 17). Sage est celui qui suit son exemple ! Sachez à qui vous voulez plaire. Plaire à Dieu devrait être votre seule obligation. Si vous tergiversez, vous demandant à qui plaire en priorité, vous devenez sensible aux critiques, vous avez peur de l’opinion des autres, vous êtes tenté de vous comparer aux eux, vous avez peur que d’autres réussissent mieux que vous ou encore vous risquez d’entrer en conflit avec eux car vous vous sentez menacé par leur désaveu. Jésus donne la vraie solution : “Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus” (Mt 6. 33). Si vous voulez simplifier votre vie et vous libérer du stress qui vous limite, adoptez ce deuxième principe : choisissez de plaire à Dieu seul et ne vous préoccupez plus des autres. Après tout vous n’avez aucune obligation envers quiconque, excepté Dieu et votre famille. Ne rejetez pas le blâme de vos choix sur les autres. Quand vous dites : “Je suis obligé de faire ceci ou cela”, en réalité vous devriez dire : “C’est mon choix de faire ceci ou cela…” Vous n’êtes la victime de personne, sauf de vous-même ! Cessez de vous sentir “obligés” de suivre un chemin que vous n’avez pas choisi. Si vous choisissez de suivre celui que Dieu a prévu pour vous, tout le reste est de peu d’importance. 

     

     

     

     

     

    Gérer le stress (3)

     

     

    “Je sais d’où Je suis venu et où Je vais.” Jn 8. 14 

     

    Jésus savait aussi quelle était Sa mission et le but de Sa venue ici-bas. Ecoutez-Le lire la vision que Lui avait octroyée le prophète Esaïe : “L’Esprit du Seigneur est sur Moi, il M’a consacré pour apporter la Bonne Nouvelle aux pauvres. Il M’a envoyé pour proclamer la délivrance aux prisonniers et le don de la vue aux aveugles, pour libérer les opprimés, pour annoncer l’année où le Seigneur manifestera Sa faveur” (Lc 4. 18). Connaître votre rôle ici-bas vous donnera une vision claire de votre avenir. Vous n’existez pas pour errer à travers les saisons de votre vie, sans le moindre but à l’horizon. Votre vie a un sens, Dieu l’a défini bien avant votre naissance. Il a prévu pour vous un rôle bien précis. Avec Son aide vous le découvrirez et choisirez de le jouer le mieux possible. Jésus ne gaspilla jamais Son temps à poursuivre d’autres buts que celui que Dieu Lui avait confié. Son ministère a été ponctué par les moments de prière qui Lui permettaient de découvrir auprès de Son Père quelle serait Sa prochaine étape. Avant de choisir Ses disciples, que fit-Il ? Il passa “toute la nuit à prier Dieu. Quand le jour parut, Il appela ses disciples et en choisit douze, à qui Il donna aussi le nom d’apôtres” (Lc 6.12). Aucun de Ses choix n’était fait au hasard. Imitez-Le. Priez avant de prendre votre décision. Etablissez vos buts et préparez-vous avec soin. Etre efficace n’est pas l’équivalent d’être super-actif ! Focalisez seulement votre esprit sur la mission que Dieu vous a confiée et sachez mettre de côté les choses moins importantes. Ne vous laissez pas distraire de votre but. Beaucoup de personnes tentèrent de détourner Jésus de Sa mission (Lc 4. 42). Comment leur répondit-Il ? En leur disant : “Je dois annoncer la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu aux autres villes aussi, car c’est pour cela que Dieu M’a envoyé” (v. 43). Le troisième principe : connaître votre mission et concentrer vos efforts pour l’accomplir vous épargneront bien du stress ! 

     

     

     

     

    Gérer le stress (4)

     

     

    “Il en choisit douze, à qui Il donna aussi le nom d’apôtres…” Mc 3. 14 

    Jésus évita le piège dans lequel Moïse tomba, alors qu’il conduisait le peuple à travers le désert (Lisez Ex 18. 13-27). Le vieux prophète essayait de tout gérer dans le camp des Israélites, au point de risquer le “burn-out” ! Jethro lui suggéra de déléguer à d’autres certains de ses devoirs. Jésus décida au début de Son ministère de former un groupe d’hommes fidèles qui L’accompagneraient et prêcheraient aussi la Bonne Nouvelle. Jésus n’était-Il pas capable d’assumer seul Sa mission ? Jusqu’à la croix, peut-être, mais Il savait qu’ensuite ce serait leur responsabilité de poursuivre l’expansion du Royaume de Dieu ici-bas. Aussi choisit-Il dès le début de les associer à Son travail. Et nous ferions tous bien de suivre Son exemple. Encore faudrait-il que nous acceptions les défaillances des autres. Jésus était conscient des manquements de Ses disciples. Malgré tout Il les envoya, prêcher et chasser les démons, sachant qu’ils échoueraient parfois ! (Mt 17. 19). Une leçon importante pour chacun d’entre nous : ne soyons pas perfectionnistes au point d’empêcher les autres de faire leurs propres expériences. Ils apprendront de leurs erreurs tout comme nous. Souvenez-vous de l’apôtre Pierre et de son reniement. Après son retour à Jésus, comme Celui-ci le lui avait annoncé, il fut à même d’encourager ses frères en la foi (Lc 22. 32). Apprenez à vous détendre et à accepter avec le sourire les erreurs de ceux à qui vous avez confié un rôle à vos côtés. Ne les considérez pas comme des rivaux, mais comme des ouvriers engagés dans la même mission que vous. Le quatrième principe : Savoir contrôler votre stress passe par une saine gestion de vos collaborateurs et de votre entourage. 

     

     

     

    Gérer le stress (5)

     

     

    “Il s’en alla hors de la ville, dans un endroit isolé ; là, Il se mit à prier.“ Mc 1. 35 

    Jésus avait l’habitude de prier seul à seul avec Son Père : “Très tôt le lendemain, alors qu’il faisait encore nuit noire, Jésus se leva et sortit de la maison. Il s’en alla hors de la ville, dans un endroit isolé ; là, Il se mit à prier.” Au-delà des réponses à Ses questions, Jésus appréciait la possibilité d’exprimer Ses sentiments à Son Père. Vous aussi disposez du même privilège. Nous avons la Parole de Dieu pour trouver les réponses à nos questions, mais cela ne remplace pas le plaisir de venir quotidiennement dans la présence de notre Père pour épancher devant Lui notre coeur. Lui dire nos peurs et nos doutes, abandonner au pied de Son trône nos soucis sont un puissant catalyseur pour rejeter le stresse de notre vie. Beaucoup d’entre nous trouvent difficile de rester tranquilles ne serait-ce que quelques minutes. Aussi devons-nous nous discipliner afin de demeurer calmes devant Dieu pour Lui dévoiler avec lucidité ce que nous avons sur le coeur. Dieu a affirmé : “Demeurez tranquille et reconnaissez que Je suis Dieu” (Ps 46. 10). Ne soyez jamais trop affairé au point de négliger de passer du temps seul avec Dieu. Trop de gens traversent la vie à une vitesse effrénée sans savoir où ils vont. Ce cinquième principe est : prenez le temps de prier chaque matin. Et cela nous amène au principe suivant : prenez également le temps de vous reposer ! Jésus savait s’isoler des foules pour apprécier la compagnie de Ses disciples. Il leur dit un jour : “ Venez avec Moi dans un endroit isolé pour vous reposer un moment” (Mc 6. 31). Avez-vous remarqué que le dixième commandement, concernant le Sabbat, est le plus long, comme si Dieu voulait nous faire comprendre combien importante est la valeur du repos hebdomadaire (Dt 5. 12-15). Jésus savait gérer le stress de Sa vie, aussi, non seulement nous a-t-Il laissé Son exemple, mais aussi une invitation : “Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués de porter un lourd fardeau et Je vous donnerai le repos…” (Mt 11. 28-30). N’hésitez pas à l’accepter !

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

    Gérer le stress (1 à 5)

     

     

     

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    Ma vie n’est pas en soldes

     

     

    Ma vie n’est pas en soldes

     

     

     

    Notre vie est-elle en soldes ? 

     

    Ta vie est-elle soldée ? A-t-elle perdu de sa valeur ? Son prix est-il déprécié ?

     

    Que de questions et quelle est la réponse la plus appropriée ?

     

    Les soldes d’hiver 2018, c’est maintenant. La valse des étiquettes et des rabais incroyables allant de -30%  à -75 % même jusqu’à 100%  se déroulent du 10 janvier au 20 février. Les six semaines  des bonnes affaires, le vrai du faux,  dirons-nous, mais est-ce vraiment des soldes ?


    Le premier jour acté du lancement des soldes, c’est de la folie, semblable à une ruée « vers l’or » une foule immense, pleine de frénésies, se bousculent aux portes des grands magasins. Certains attendent pendant des heures, dès le matin très tôt. D’autres préfèrent dormir sur place, devant leur enseigne favorite  pour être les premiers à entrer et acheter l’objet de leur convoitise.

    Le stress, l’angoisse, parfois la colère, la méchanceté, montent et grondent dans cette file d’attente. Cette pensée de ne pas pouvoir acheter, posséder, faute d’un stock insuffisant, devient insupportable et aigrit les cœurs par divers sentiments. Beaucoup veulent avoir la même chose et bien peu obtiennent et sont contentés, enchantés. La pression et le climat de tension ambiant animent au plus fort ce public en effervescence qui court, se rue dans les rayons, parfois arrachant à l’autre, l’article de leur libido.

    Que de conflits !  Que de mécontentements !  Que d’animosités ! Que de rancœur !

    Ils n’ont pas eu, ils sont déçus, ils ont dû faire un autre choix et ils font grise mine, étant dépités.

    Il est vrai qu’après cette période de fêtes abondantes ou le trop, c’est trop en tout, des excès de dépenses, la carte bancaire a bien chauffé… Les  uns ont tout dépensé, même au-delà et se trouvent dans les problèmes financiers. Donc, les poches sont bien vides, voire trouées. Ah quoi bon faire les magasins, c’est perdre son temps avec des si et des mais… et la déprime peut pointer le bout de « son nez ».


    D’autres, prévoyants et vigilants, bons gestionnaires, attendent avec patience pour dépenser leurs réserves, amassées dans « leurs bas de laine ». Quel plaisir d’acheter  ce qui me plaît avec mes économies et en bonus, une importante remise sur le prix.

    En référence à cette période, je paraphraserai ce mot « soldes » en  parallèle à notre vie et  celle de la Parole de Dieu.

    Non, notre vie n’est pas en soldes, ni en liquidation. Elle est trop précieuse pour en être le terrain et le jouet favori de notre ennemi, le diable, celui qui voudrait la détruire, l’anéantir et la salir à tout jamais.

    Non, notre vie n’est pas une marchandise à « bazarder », à jeter au détritus, à la poubelle. Hélas, bien souvent, nous nous comportons comme tel et nous infligeons à nos familles, à nos semblables la même chose. N’oublions pas que nous avons de la valeur et du prix aux yeux de Dieu.

    Non, la Parole de Dieu n’est pas à vivre en soldes, au rabais, avec des fluctuations de prix montants et descendants, selon nos humeurs, nos circonstances.

    Non, la Parole de Dieu ne se brade pas, ne se prend pas à la légère, ni ne se « brocante » par nos actions, nos comportements « ras les pâquerettes ». Dieu n’est pas à solder, ni à rabaisser.

    Dieu nous a crée et donné la vie. Et bien plus, Il nous a offert gratuitement le salut en Jésus pour que nous menions une vie équilibrée et épanouie en Sa compagnie. Par Sa Parole, Dieu nous a communiqué  une marche à suivre, un mode d’emploi pour vivre heureux.

    Faut-il prendre le risque de solder sa vie en faisant n’importe quoi ?

    Non, notre cœur n’est pas en soldes, ni à vendre, ni à brader et nous devons veiller sur lui. Laisse Dieu le changer, le transformer et de multitudes couleurs à l’intérieur se refléteront vers l’extérieur.

    « Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui jaillissent les sources de la vie. » Proverbes 4/23

     

    Des problèmes, des difficultés, des conflits se sont accumulés, jour après jour,  tu voudrais t’en sortir et tu ne sais comment faire ?

    Le sentiment d’avoir raté ou gâché ta vie est-il devenu un sujet récurrent pour toi ?

    Dépose, abandonne ta vie et ta situation à Dieu qui va recycler, trier et y apporter une touche spéciale de beauté, de repos et de renouveau avec Ses solutions pratiques et Ses promesses accomplies envers toi.

    Avec Dieu, tout peut devenir nouveau pour toi, dès cet instant et c’est maintenant.

    « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées. Voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » 2 Corinthiens 5/17

     

    Avec Jésus pour ami, il y aura toujours en abondance pour toi. Aucune rupture de stock, la provision est sans cesse renouvelée.


    « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ.» Ephésiens 1/3

     

    Versets à méditer :

    1 Jean 2/6 – 1 Jean 3 – 2 Corinthiens 7/1 – Malachie 3/18 – Ezéchiel 11/19 – 36/25-27 – Apocalypse 3/18 – Proverbes 2 – Romains 8/1-9-10 – 1 Corinthiens 1/30 – Colossiens 3/1-10 

     



    Geneviève

    (Source : vitalradio.fr , reconfort.vitalradio.fr)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Espère envers et contre tout !

     

     

     

    Espère envers et contre tout !

     

     

     

    Aurai-je raison d’espérer contre toute désespérance ?

    Ai-je le droit de continuer d’espérer quand tout va mal ?

    Oui, tu as raison d’espérer, espère toujours, envers et contre tout

    Oui, tu as le droit d’espérer quand tout est noir car Dieu t’en donne le pouvoir et le droit 

    Espère en l’Éternel avec férocité et détermination

    Espère en l’Éternel dans les bons comme dans les mauvais jours

    Espère en l’Éternel quand la tempête souffle avec violence

    Espère en l’Éternel quand tout fait rage

    Jésus est dans le bateau avec toi et tu n’as rien à craindre

    Espère en l’Éternel même s’il n’y a aucun espoir

    Espère en l’Éternel car c’est Lui toute ton espérance

     

    Quand bien même tout semblerait noir, perdu, fini et sans espoir, 
    Dieu se lèverait de Son trône pour imposer silence à ces flots
    et te dire avec puissance et majesté : tu as raison d’espérer en Moi

    Regarde et soit émerveillé. Ne t’arrête pas d’espérer en l’Éternel. 
    Ne stoppe pas de mettre toute ta confiance en Lui. 
    N’ôte pas ta faible main de Sa forte Main. C’est Lui le Maître de TOUT

    Alors courage, continue d’espérer en l’Éternel 

    Regarde l’œuvre qu’Il est en train d’accomplir pour toi, ta famille et tout autour de toi. 
    Sa gloire se manifeste. Lève tes yeux et contemple ses merveilles. 
    Lève tes yeux et adore-Le.  Regarde et soit émerveillé

    Rien n’est étonnant de Sa Part 

    A Dieu TOUT est possible 

    Oui, tu as raison et le droit d’espérer  

    Espère toujours, envers et contre tout  

    Espère contre toute espérance ! 

     

     

    « Lorsque je t’ai appelé, tu m’as répondu, tu m’as encouragé, tu m’as fortifié. »
    Psaume 138/3
     

     

    « J’espère en l’Eternel de toute mon âme et je m’attends à sa promesse. 
    Je compte sur le Seigneur plus que les gardes n’attendent le matin,
    oui, plus que les gardes n’attendent le matin. »  
    Psaume 130/5-6
     

     

    «  Oui, nous plaçons notre attente en toi, Eternel, sur le sentier de tes jugements.
    Faire appel à ton nom et parler de toi, voilà ce que nous désirons. »
    Esaie 26/8
     

     

     

    Genèse 18/14 –  Matthieu 19/26 – Jérémie 17/7 – Lamentation 3/18-26  

    Psaumes 25/5  –  27/14 – 39/8 – 40/2 – 42/6 – 71/5 –  Proverbes 23/18 

     

     

    Geneviève
    (Source : vitalradio.fr
      , reconfort.vitalradio.fr)

     

     

    Espère envers et contre tout !

     

     

     

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    Surmontez vos peurs (1 à 3)

     

     

     

    Surmontez vos peurs (1)

     

    « Tu reprendras espoir, tu reprendras confiance : voyant que tout va bien, tu dormiras tranquille » Job 11.18, BFC

    De grandes figures de l’histoire ont souffert de phobies. Napoléon avait une peur irrationnelle des chats appelée ailurophobie. La reine Elizabeth I souffrait d’anthophobie, une peur panique des fleurs, en particulier des roses pour elle. Le milliardaire Howard Hughes était fortement handicapé par la mysophobie, une peur pathologique des germes. Edgar Poe, Houdini, et Hitler étaient claustrophobes. Même Freud, le père de la psychanalyse, luttait contre l’agoraphobie, la peur de la foule et des lieux publics. L’ennui c’est que nous sommes nombreux à nier une quelconque phobie, et rarement la considérer comme un problème sérieux. Il reste que nos peurs freinent notre développement, et tant que nous ne les affrontons pas, nous n’atteindrons jamais le potentiel que Dieu nous a donné. Peut-être ne voyez-vous pas du tout que la chose qui vous embête est une peur. C’est parfois un sentiment, une action que vous cherchez à éviter ou que vous confiez aux autres. Quoi que ce soit, la seule façon de vous en sortir est de l’appeler par son nom, l’affronter, faire appel à la puissance de Dieu, et décider de changer. Aujourd’hui il vous offre sa puissance pour le faire. Vous pouvez compter sur cette promesse : « Tu reprendras espoir, tu reprendras confiance : voyant que tout va bien, tu dormiras tranquille ». Cette promesse vient de la Bible, Parole infaillible de Dieu ! Et en voici une autre : « Sois sans crainte, car je suis avec toi ; n’ouvre pas des yeux inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite victorieuse » (Esa 41.10). 

     

     

     

    Surmontez vos peurs (2) 

     

     

    « Il ne craint pas de mauvaise nouvelle ; son cœur est ferme, confiant en l'Éternel » Ps 112.7 

    Considérons quelques peurs ordinaires et voyons comment les vaincre. La peur de l’échec. C’est la plus courante de toutes, et elle vous empêche de réaliser toute vision que Dieu pourrait vous donner. Si vous regardez attentivement les réelles conséquences d’un échec, vous allez sans doute en rire. Non seulement vous survivez à vos erreurs, mais elles vous donnent les moyens de progresser et de vous rendre meilleur(e). Vous vous trompez lors de votre exposé ? Vous oubliez un détail du projet ou faites une erreur de calcul ? Et alors ? Personne ne va vous abattre, n’est-ce pas ? Tout le monde veut être parfait, mais en fait personne n’est infaillible. En réalité, la peur irrationnelle de l’échec et le refus d’assumer ses fautes produit bien plus d’erreurs à long terme. Lorsque les gens refusent d’accepter la possibilité de commettre des erreurs, ils acceptent souvent à contrecœur que quelqu’un vérifie leur travail ou se penche sur leur projet en cours. Résultat, ils font davantage d’erreurs et de mauvais choix, ce qui les plonge encore plus dans le doute. Le chemin du succès passe par de nombreux échecs. Vous avez perdu, non pas sur un échec, mais lorsque vous laissez tomber, vous n’en tirez pas de leçon, ou refusez de vous relever après une chute. Le Psalmiste dit : « Il ne craint pas de mauvaise nouvelle ; son cœur est ferme, confiant en l’Éternel ». Servez-vous des dons que Dieu vous a donnés, avancez et prenez un risque basé sur la foi, assuré(e) que Dieu vous mènera au succès. Si vous le faites, Dieu vous dit : « C’est alors que tu réussiras » (Jos 1.8). 

     

     

     

    Surmontez vos peurs (3) 

     

     

     

    « Le Seigneur est mon secours ; je n'aurai pas de crainte » Hé 13.6

    Considérons deux autres peurs ordinaires.

    1) La peur de ne pas être assez bon. Ne cherchez pas à égaler les autres, soyez vous-même ! Arrêtez de vous comparer aux gens et passez plutôt du temps à découvrir les forces que Dieu vous a données. Vous êtes né(e) dans un but précis, et ce but est peut-être différent de tout ce que vous avez jamais rencontré.

    2) La peur de ne pas être accepté(e). C’est l’une des plus grandes sources de solitude dans la société d’aujourd’hui. Et Internet n’a pas résolu le problème parce qu’au fond de nous-mêmes nous recherchons l’intimité, non l’information. Vous seriez surpris du nombre de gens qui rentrent chez eux dans un appartement désert, dînent, regardent la télé et vont se coucher en solitaires. Même entourés par la foule, nous nous sentons encore isolés, comme une île au milieu de l’océan. En réalité, ça ne devrait pas se passer ainsi, surtout si vous êtes un membre de la famille de Dieu. Pour être accepté(e), vous devez d’abord accueillir les autres membres de cette famille. Laissez-les entrer dans votre jardin secret et vous verrez qu’ils vous ouvriront le leur. Observez votre vie présente. Personne ne s’y intéresse, et pourtant c’est vous qui en tireriez le meilleur profit ! Les gens peu sûrs d’eux peuvent être les plus difficiles à atteindre car ils sont prêts à tout pour cacher ce qu’ils perçoivent comme des insuffisances et des faiblesses. Si vous avez besoin de l’aide d’un psy, d’un médecin ou d’un pasteur, faites le nécessaire ! Vous vous le devez à vous-même ! Levez-vous aujourd’hui et dites : « Le Seigneur est mon secours ; je n’aurai pas de crainte ».
     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

    Surmontez vos peurs (1 à 3)

     

     

     

     

     

     

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    Si vous vous sentez rejeté

     

     

    Si vous vous sentez rejeté

     

     

    “Le jour de ta naissance, on a eu horreur de toi. Je passais près de toi, je t’aperçus.” Ez 16. 5-6

    Si vous avez été bafoué ou abusé, non seulement vous portez en vous les déchirures du souvenir, mais aussi des graines de colère en raison du fait que personne n’est intervenu pour vous aider. Ecoutez : “Nul n’a porté sur toi un regard de pitié… mais tu as été jeté dans le champ…” (Ez 16. 5).

    Etre rejeté, méprisé par un proche et en privé est déjà difficile à supporter, mais lorsque l’humiliation a été publique, vous vous sentez encore davantage vulnérable et inutile.

    Vous pensez en vous-même : “Si eux pensent tous que je ne vaux rien, alors c’est peut-être vrai.” Faux ! Ne permettez jamais à l’opinion des autres de façonner l’opinion que vous avez de vous-même ! C’est donner bien trop de pouvoir aux autres. Si personne n’apprécie votre valeur, c’est le problème des autres, et leur perte, à moins que vous ne souscriviez à leur opinion!

    Etre rejeté et méprisé signifie que les autres n’ont pas la capacité de voir à l’intérieur de vous, ni de comprendre la signification réelle de vos paroles, ni d’apprécier la douceur avec laquelle vous auriez aimé les toucher. Ils ont cru à un mensonge vous concernant ; veillez à ne pas y croire vous aussi !

     

    Avant de pouvoir entourer et aider les autres, il vous faut apprendre à vous occuper de vous-même. Si vous manquez totalement de confiance en vous-même, comment pourrez-vous instiller de l’assurance aux autres ?


    La plupart des gens qui abusent physiquement leurs proches, ne détestent pas leur famille, mais se détestent eux-mêmes. Le malheur, c’est que leurs sentiments débordent sur leurs proches. Paul a dit : “Celui qui aime sa femme s’aime lui-même” (Ep 5. 28). Mais s’il ne s’aime pas lui-même, comment peut-il aimer sa femme ? Quelle est la seule solution ? “Je passais près de toi et j’ai vu…” Dieu vous voit, Il vous aime et Il a un plan merveilleux pour votre vie. Acceptez cela et votre guérison ne sera qu’une affaire de temps !

     

     

    Bob Gass 

     

     

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    Le célibat… et si c’était pour la vie ?

     

     

    Le célibat… et si c’était pour la vie ?

     

     

     

    Je me souviens d’un jour, je devais avoir à peu près la trentaine, où l’idée que je pourrais, dans dix ou vingt ans, me retrouver seule, m’a fait verser d’abondantes larmes. Et pourtant ! Trente ans plus tard, je suis toujours célibataire. Je n’ai jamais vu arriver le prince Charmant sur son cheval blanc – en fait, peut-être qu’il n’a jamais su monter à cheval ! – mais mon regard sur le célibat a complètement changé, et je voudrais partager avec vous les réflexions et les expériences qui m’ont fait changer d’avis.

    La vie est dure sans confiture

     

    Le premier pas vers la libération de cette tyrannie qu’est le désir de mariage, je l’ai fait il y a pas mal de temps. À l’époque, je répétais souvent : « La vie est dure, sans confiture. ». C’était une façon pour moi d’exprimer au Seigneur que, non mariée, je me sentais comme « privée de dessert », punie en quelque sorte. Jusqu’au jour où j’ai eu une sorte de vision : je me suis vue enfermée dans une pièce obscure, au pain et à l’eau, alors que dans la pièce à côté, brillamment éclairée, des enfants faisaient la fête autour d’une table couverte de gros gâteaux et de friandises. Soudain, dans cette salle de fête, le Seigneur est entré par la porte la plus éloignée de ma « prison », a traversé la salle sans rien dire à personne et s’est dirigé vers mon cagibi tout sombre. Il est entré, a fermé la porte derrière lui pour étouffer le bruit de la fête, et il s’est mis à manger mon pain sec et à boire mon eau.


    J’avais compris ! Mieux valait être au pain et à l’eau avec la présence de Jésus dans ma vie, plutôt que de me « gaver » de bonnes choses, sans lui. Du coup, je n’ai plus jamais dit : « La vie est dure, sans confiture ».

     

    « Gardée » du mariage ?

     

    Mais c’est bien plus récemment que j’ai déclaré en riant à des amis : « Je remercie le Seigneur de m’avoir gardée de toutes les grandes épreuves de la vie, parmi lesquelles le mariage ! » Ce n’était qu’une boutade, mais ça a déclenché en moi une chaîne de réflexions qui a abouti à la conclusion que ce n’était pas vraiment une plaisanterie, mais qu’en me « gardant » du mariage, Dieu m’avait épargné par la même occasion bien des désagréments. Quand on se marie, c’est « pour le meilleur et pour le pire », et je suis contente de savoir que bien des couples ne donneraient pas leur place pour un boulet de canon. Mais pour quelques mariages heureux, combien y en a-t-il qui finissent mal ? Aujourd’hui, même les couples chrétiens ne sont pas à l’abri du divorce, malheureusement ! En se mariant, personne n’a de garantie contre le divorce, le veuvage, la naissance d’un enfant handicapé ou la désaffection des enfants qui ne veulent plus voir leurs parents, et j’en passe…


    L’apôtre Paul le disait déjà dans le Nouveau Testament (1 Corinthiens 7.28) : Cependant, les personnes mariées connaîtront des souffrances dans leur vie, et je voudrais vous les épargner. Que de douleurs (souvent cachées) dans les familles, dont le célibat m’a préservée !

    Le don du célibat ?

    Un autre aspect sur lequel a porté ma réflexion est la fameuse expression « le don du célibat ». À mon avis, on fait un énorme contre-sens quand on l’emploie. Jusqu’à récemment, moi-même je voyais le « don du célibat » comme un talent particulier dont on pouvait (ou pas) être doté, de même qu’on dit : « Il a un don pour la musique, pour l’enseignement, etc.. » Or, en parlant avec d’autres « solibataires », je n’en ai rencontré aucun(e) qui affirmât : « J’ai le don du célibat ! » Au contraire, nous disions tous : « Le don du célibat, je ne l’ai pas ! » Sous-entendu : « Si je l’avais, je n’en souffrirai pas autant, je n’aspirerai pas autant à me marier… ».


    J’ai réalisé récemment qu’on pouvait prendre l’expression dans un tout autre sens et considérer le célibat comme un don de Dieu, au même titre qu’un conjoint ou un enfant sont des dons de Dieu.


    Ainsi, le fait de vivre seule m’a permis de découvrir un côté beaucoup plus contemplatif et introverti de ma personnalité que je ne connaissais pas et qui me convient tout à fait.


    Sans parler de tous les avantages que présente au quotidien une vie où on n’a besoin de tenir compte que de ses propres besoins ou envies, pas de renoncer tout le temps à soi-même pour les autres. Je connais des mères de famille qui m’envient cet aspect-là.


    On peut être très heureux seul : j’en suis une preuve vivante. J’ai aussi rencontré, lors d’un bref séjour dans une structure qui accueillait des retraités chrétiens, un frère qui me semblait différent des autres pensionnaires : alors que plusieurs causaient parfois des difficultés au personnel, lui était toujours rayonnant de paix et de joie. Un jour où il avait eu des visites, je lui ai dit : « C’est bien, vos enfants sont venus vous voir aujourd’hui ! » Il m’a expliqué : « Ce ne sont pas mes enfants, je n’en ai jamais eu, j’ai toujours été célibataire. C’est une famille de mon église. » Le témoignage vécu de ce frère a été un grand encouragement pour moi.


    Cependant, je mentirais si je disais que je n’ai jamais de regrets. Il m’arrive d’en avoir, de regretter par exemple de n’avoir jamais connu d’amour partagé, ou de m’inquiéter du fait qu’il n’y aura personne pour prendre soin de moi dans ma vieillesse, mais quand ça m’arrive, je me dis que ces moments sont un prix léger à payer en comparaison de la joie que le Seigneur me donne le reste du temps.


    Le célibat, une vallée de larmes ?

    Ceci n’est qu’un témoignage personnel. Je n’ai pas l’intention d’inciter qui que ce soit à suivre la même démarche que la mienne, mais je voudrais encourager les célibataires qui se désolent à l’idée de finir leur vie seul(e)s en leur disant que si le célibat est pour eux une vallée de larmes, il leur faut creuser pour la transformer en un lieu plein de sources, et la pluie (de Dieu) la couvrira ensuite de bénédictions (Psaume 84.6 ou 84.7 selon les versions). 

     

     

    Chantal Tresbarats

    (Source : Topchrétien) 

     

     

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    Perception de Dieu, et nos blessures

     

     

    Perception de Dieu, et nos blessures

     

     

    « Mon père et ma mère m’abandonnent, mais l’Eternel me recueillera » (Psaumes 27.10).

    Notre connaissance de Dieu est souvent influencée par les souffrances que nous avons subies. Nous voyons Dieu au travers du prisme de nos expériences douloureuses. C’est pourquoi nous avons besoin, pour guérir de nos blessures intérieures, de redécouvrir qui est Dieu, quelles sont ses intentions à notre égard, et ne plus le voir au travers des drames de nos vies.

    Nous avons besoin de découvrir la bienveillance de Dieu, alors que nous avons connu l’abandon de la part de nos parents, le rejet de notre mère ou de notre père. Le psalmiste nous enseigne qu’il a appris à connaître le cœur de Dieu, et à trouver la guérison de la blessure causée par l’abandon.
    Avez-vous été délaissé(e) par votre mère (votre père), alors découvrez ce que Dieu dit : « Quand bien même une femme oublierait son enfant, moi je ne t’oublierai point » (Esaïe 49.15). Alors que vous avez vécu le rejet, entendez les paroles de Job, cet homme qui connut tant de souffrances et de drames : « Dieu est puissant, mais il ne rejette personne » (Job 36.5).

    Avez-vous subi des maltraitances, des paroles blessantes ont-elles transpercé votre cœur, portez-vous le poids de multiples injustices ? Alors vous pouvez découvrir celui qui : « …injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement » (1 Pierre 2.23). Jésus faisait pleinement confiance à Dieu son Père. Il ne voyait pas Dieu au travers des hommes religieux, il savait que Dieu n’avait rien à voir avec l’hypocrisie des religieux.
    Vos blessures sont d’autant plus profondes que ceux qui vous ont blessé, parents ou religieux, passaient pour de formidables croyants aux yeux de tous. Leur comportement double, et hypocrite vous a amené à vous éloigner de Dieu. Redécouvrez Dieu au travers de son amour manifesté en Jésus.

    A quatre reprises, dans sa deuxième épître à Timothée, l’apôtre Paul parle de l’abandon dont il a été l’objet : « ceux qui sont en Asie m’ont abandonné » (2 Timothée 1.15). Voir aussi (2 Timothée 4.9/10 et 16). Mais où a-t-il puisé son réconfort, sa force ? Dans sa connaissance de celui qui est fidèle et qui l’a assisté : « Le Seigneur m’a assisté et m’a fortifié » (2 Timothée 4.17). Aucune trahison, aucun comportement décevant de la part de ses frères, n’ont altéré sa confiance en Dieu, car sa connaissance de Dieu reposait sur une relation personnelle et intime avec le Seigneur : « Je regarde toutes choses comme une perte à cause de l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur…  » (Philippiens 3.8).

    Un conseil pour ce jour :
    Avez-vous été blessé par des personnes qui se disant croyantes, et très proches de vous, ont défiguré Dieu à vos yeux ? Redécouvrez Dieu d’une manière personnelle, dites-lui que vous voulez apprendre à connaître son amour, manifesté en Jésus.

     

    Paul Calzada
    (Source : lueursdumatin.fr)

     

     

     

     

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    Sortez de votre passé

     

     


     

    Jerry Lewis s’amusait à dire que son plus beau cadeau de mariage était le film de la cérémonie. Lorsque son couple était au plus mal, il pouvait s’isoler dans une pièce, se passer le film à l’envers et ressortir en homme libre ! C’est drôle, mais vous ne pouvez pas revenir en arrière et réécrire l’histoire. Autant vouloir remettre un œuf brouillé dans sa coquille. Rester bloqué sur le passé est toujours au détriment du futur, mais apprendre du passé vous donne les moyens de rendre ce futur meilleur. Dès que vous vous dites : « Si j’avais su alors ce que je sais aujourd’hui », n’oubliez pas qu’à moins d’évoluer, vous allez dire la même chose dans dix ou vingt ans. Vous dites : « Si seulement j’avais pu pardonner à mon conjoint au lieu de le (ou la) blâmer, j’aurais sans doute pu sauver notre mariage. Peut-être que le souvenir d’un avortement vous torture. Vous pensez à cet enfant qui aurait pu être là et vous apporter tant de joie. Peut-être que malgré vos bonnes intentions, vous avez fait du mal, jusqu’à commettre un crime. Aujourd’hui vous dites : « Si seulement… »

    Eh bien voici ce que Dieu dit :
    1) « Vos péchés sont pardonnés grâce au nom de Jésus-Christ » (1Jn 2.12, BFC).
    2) « Je prends sur moi de pardonner tes révoltes et de ne plus garder le souvenir de tes fautes » (Esa 43.25, BFC).
    3) « Ne vous souvenez pas des premiers événements, et ne considérez plus ce qui est ancien. Voici que je fais une chose nouvelle, elle est maintenant en germe, ne la reconnaîtrez-vous pas ? Je mettrai un chemin dans le désert » (Esa 43.18-19). Voici votre parole du jour : sortez de votre passé.

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

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    Ne vous garez pas dans le passé

     

     

    Ne vous garez pas dans le passé

     

     

    Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées…” 2 Co 5. 17

     

    Le passé est derrière vous. Vous ne pouvez rien en modifier. Vous ne pouvez que tirer les leçons de vos erreurs et aller de l’avant. Cessez de vous garer dans le parking du passé. Le meilleur moyen d’enterrer votre passé est de concentrer vos regards seulement sur l’avenir. C’est ce que Paul faisait (Ph 3. 13-14). Ce qui est mort doit être enterré une fois pour toutes. Mais certains d’entre nous sont devenus tellement habitués aux tactiques de Satan et à ses mensonges qu’ils sont prêts à monter dans son véhicule qui les ramène vers les lieux familiers de leur passé. Ils écoutent ses allusions et ses suggestions et en viennent même à douter de leur salut, comme si leurs péchés passés avaient fait fuir Dieu loin d’eux. Pierre, qui était au fait des ruses de Satan, écrit : “Veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer ; opposez-vous à lui…” (1 P 5. 8). Rappelez-vous les paroles de David : “Le Seigneur est compatissant et clément, patient et grand par la fidélité ; Il n’accuse pas sans cesse, Il ne garde pas rancune pour toujours ; Il ne nous traite pas selon nos péchés… autant l’orient est éloigné de l’occident, autant Il éloigne de nous nos transgressions” (Ps 103. 8-12). Remarquez qu’il n’a pas dit “autant le nord est éloigné du sud”, mais “autant l’orient (l’est) est éloigné de l’occident (l’ouest)…” Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ce choix ? Le nord et le sud ont des pôles, des points précis qui délimitent un début et une fin. Mais l’est et l’ouest n’ont pas de points précis qui les limitent. Ils n’ont ni commencement ni fin. Si vous voyagez vers l’est vous ferez le tour de la terre. Pour aller vers l’ouest, vous devez faire demi-tour. L’est et l’ouest ne se rencontrent jamais. Vos péchés sont dans le passé et Dieu a établi un espace infini entre vous et eux ! Sa parole pour vous aujourd’hui est : ne stationnez plus jamais dans le passé !

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

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