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    Ne vous garez pas dans le passé

     

     

    Ne vous garez pas dans le passé

     

     

    Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées…” 2 Co 5. 17

     

    Le passé est derrière vous. Vous ne pouvez rien en modifier. Vous ne pouvez que tirer les leçons de vos erreurs et aller de l’avant. Cessez de vous garer dans le parking du passé. Le meilleur moyen d’enterrer votre passé est de concentrer vos regards seulement sur l’avenir. C’est ce que Paul faisait (Ph 3. 13-14). Ce qui est mort doit être enterré une fois pour toutes. Mais certains d’entre nous sont devenus tellement habitués aux tactiques de Satan et à ses mensonges qu’ils sont prêts à monter dans son véhicule qui les ramène vers les lieux familiers de leur passé. Ils écoutent ses allusions et ses suggestions et en viennent même à douter de leur salut, comme si leurs péchés passés avaient fait fuir Dieu loin d’eux. Pierre, qui était au fait des ruses de Satan, écrit : “Veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer ; opposez-vous à lui…” (1 P 5. 8). Rappelez-vous les paroles de David : “Le Seigneur est compatissant et clément, patient et grand par la fidélité ; Il n’accuse pas sans cesse, Il ne garde pas rancune pour toujours ; Il ne nous traite pas selon nos péchés… autant l’orient est éloigné de l’occident, autant Il éloigne de nous nos transgressions” (Ps 103. 8-12). Remarquez qu’il n’a pas dit “autant le nord est éloigné du sud”, mais “autant l’orient (l’est) est éloigné de l’occident (l’ouest)…” Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ce choix ? Le nord et le sud ont des pôles, des points précis qui délimitent un début et une fin. Mais l’est et l’ouest n’ont pas de points précis qui les limitent. Ils n’ont ni commencement ni fin. Si vous voyagez vers l’est vous ferez le tour de la terre. Pour aller vers l’ouest, vous devez faire demi-tour. L’est et l’ouest ne se rencontrent jamais. Vos péchés sont dans le passé et Dieu a établi un espace infini entre vous et eux ! Sa parole pour vous aujourd’hui est : ne stationnez plus jamais dans le passé !

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

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    Trouvez un sens à votre vie

     

     

    Trouvez un sens à votre vie

     

     

     

    "Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité." Jean 18.37 

     

    Jésus savait pourquoi il était né. Alors que Pilate lui demande : "Es-tu roi ?", Jésus, dans sa réponse, donne une indication capitale au sujet de la réussite. Il laisse entendre qu’il ne saurait y avoir de vie réussie sans que l’on sache quel est le sens de notre vie. Aussi longtemps que nous restons sans réponse aux questions fondamentales de notre existence : Qui suis-je ? Pourquoi suis-je sur terre ? Où vais-je ? Nous vivons avec un profond sentiment de vide. Jésus veut nous aider à trouver un sens à notre vie.   

     

    Dans sa réponse, Jésus nous indique quels sont les éléments d’une vie réussie : Il savait qui il était, pourquoi il était né, et il savait ce qu’il devait accomplir. Il savait qu’il n’était pas là par hasard, il savait qu’il était né par la volonté de Dieu, pour accomplir un projet magnifique, celui de sauver l’humanité.

     

    Dieu désire vous aider à prendre conscience de cette vérité centrale :
    "Je sais que je ne suis pas sur terre par hasard, j’existe pour un but, ma vie a un sens".

     

    Alors que vous passez par une crise profonde, vous en êtes peut-être arrivé à regretter le jour de votre naissance ? C’est ce qui est arrivé à Job, et il s’est écrié : "Pourquoi ne suis-je pas mort dans le ventre de ma mère ? Pourquoi n’ai-je pas expiré au sortir de ses entrailles ?" (Job 3.11).

    Rester continuellement dans cette position, ne pourra que vous conduire à la dépréciation de vous-même, et vous enfoncera toujours plus dans un sentiment d’échec.

     

    Job a relevé sa tête lorsqu’il s’est écrié avec foi : "Je sais que mon rédempteur est vivant" (Job 19.25). Il n’était plus centré sur son drame, mais sur la grandeur de Dieu.

     

     Dieu désire vous aider à prendre conscience de cette vérité centrale : "Je sais que je ne suis pas sur terre par hasard, j’existe pour un but, ma vie a un sens".

     

    Pour réussir sa vie, il faut, à un moment donné, se laisser convaincre par le Saint-Esprit que nous ne sommes pas nés par accident mais que Dieu a voulu notre naissance, qu’il nous a voulus tels que nous sommes, pour un projet particulier.

     

    Si vous souhaitez être quelqu’un d’autre, cela bloque votre épanouissement. Le psalmiste ayant découvert qu’il était une créature voulue par Dieu s’est écrié : "C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse... quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient ; et sur ton livre étaient inscrits les jours qui m’étaient destinés... » (Psaumes 139.13/16).

     

    Un conseil pour ce jour :
    Confessez que vous existez parce que Dieu l’a voulu, acceptez ce que vous êtes, qui vous êtes, faites confiance à celui qui va vous révéler le sens de votre vie.

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    La gestion de la colère

     

     

    La gestion de la colère

     

     

     

    Lecture proposée : Éphésiens 4.15,26-32

    Si vous vous mettez en colère, ne péchez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colère. V. 26 


    En dînant avec moi, une amie m’a indiqué à quel point elle en avait assez de l’un de ses proches, mais qu’elle hésitait à soulever la fâcheuse habitude qu’il avait de ne faire aucun cas d’elle ou de se moquer d’elle. Lorsqu’elle avait voulu lui signaler le problème, il s’était montré sarcastique. Elle lui avait alors explosé au visage. Résultat : les deux s’étaient campés dans leurs positions et le fossé s’était creusé encore davantage au sein de leur famille.

     

    Je peux m’identifier à elle, car je gère ma colère de la même façon. J’ai aussi beaucoup de mal à affronter les gens. Si un ami ou un proche me dit quelque chose de méchant, je réprime généralement mes émotions jusqu’à ce que cette même personne ou une autre use de méchanceté envers moi en parole ou en action. Au bout d’un certain temps, j’explose.

    Père céleste, préserve-nous d’une colère incontrôlée. Que nos paroles d’honorent

     

    C’est peut-être la raison pour laquelle l’apôtre Paul a dit : « Si vous vous mettez en colère, ne péchez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colère » (ÉP 4.26). Imposer un temps limite aux problèmes irrésolus a pour effet de maîtriser la colère. Au lieu de ruminer un tort subi, ce qui nourrit l’amertume, nous pouvons demander à Dieu de nous aider à « [professer] la vérité dans l’amour » (V. 15).

    Avez‑vous des problèmes avec quelqu’un ? Au lieu de les garder pour vous‑même, offrez‑les d’abord à Dieu. Il est en mesure de combattre le feu de la colère par la puissance de son pardon et de son amour.

     

    Éteignez le feu de la colère avant qu’il devienne incontrôlable.

     

     

     

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    Surmontez vos dépendances

     

     

    Surmontez vos dépendances

     

     

     

    “Le Seigneur est la force de ma vie.” Ps 27. 1 

    Quelle est votre drogue ? Attention à votre réponse ! Qu’est-ce qui contrôle réellement vos réactions ? Y a-t-il quelque chose dont vous ne pouvez absolument pas vous défaire? Quelque chose qui vous aide à surmonter votre souffrance, votre solitude ou les frustrations de tous les jours ?

    Une attitude de dépendance n’est souvent qu’une tentative de fuite devant la réalité, ou ne sert qu’à remettre à plus tard l’heure où nous devrons faire face à nos blessures, nos colères ou nos peurs.

    Joyce Meyer a écrit un jour : “Hormis les cigarettes, je n’aurais pas qualifié de drogues, les choses qui contrôlaient en fait ma vie. J’avais besoin sans cesse de me perdre en discussions, de m’inquiéter de tout, de critiquer et de juger les autres, de recevoir souvent des compliments, de m’apitoyer sur mon propre sort, de bouder à propos d’un rien, d’exercer un contrôle sur mon entourage. J’étais même esclave de mon travail ! Lorsque je me suis rendu compte que j’étais dépendante de ces choses, j’ai décidé que, par la force de Dieu, je deviendrais libre et vivrais une vie disciplinée et productive. Tout s’est très bien passé, jusqu’au jour où la douleur du manque s’est installée. Si je n’avais pas eu la force intérieure nécessaire pour surmonter la douleur, j’aurais abandonné, ce qui m’aurait momentanément soulagée, mais aurait remis tout en question.”

    Aujourd’hui, Dieu ne désire pas seulement vous donner la force de vaincre, Il désire être votre force. Comprenez-vous ? Par la puissance qu’Il vous confère et qui habite en vous, Il veut que vous sachiez que vous pouvez briser toute dépendance capable de contrôler votre vie !

    Joyce Meyer a ajouté : “Prenez la décision de dépendre seulement de Jésus et de Ses préceptes, et vous verrez disparaître, une à une, chacune de vos drogues !”

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Gérer la dépression (1 à 5)

     

     

    Gérer la dépression (1)

     


    « Élie était un homme de même nature que nous » Ja 5.17
     

     

    Elie, qui depuis trois ans ne connaît pas la peur, s’effraie soudain lorsque Jézabel le menace de mort. Alors il s’enfuit dans le désert, sombre dans la déprime, et dit : « C’en est trop ! Maintenant, Éternel, prends ma vie » (1R 19.4). Fatigué physiquement, épuisé moralement, et se sentant menacé, Élie est devenu un candidat sérieux à la dépression. Il a accumulé les soucis : peur, rancune, culpabilité, colère, isolement et inquiétude. Et la Bible dit : « Élie était un homme de même nature que nous ». Il avait les mêmes problèmes que nous. Il était si déprimé qu’il voulait mourir ! Pourquoi nous mettons-nous dans un tel état ? Parfois c’est à cause des circonstances difficiles que nous traversons. Mais plus souvent c’est dû à nos pensées mauvaises. En fait, nos pensées génèrent nos émotions, et lorsqu’elles sont négatives, nous sommes prêts à déprimer. Nos sentiments naissent de notre façon d’interpréter la vie. Voir constamment les choses d’un point de vue négatif ne peut que nous tirer vers le bas. Pour se débarrasser des pensées nocives, il faut apprendre à voir le monde autrement. La Bible parle d’être « transformés par le renouvellement de l’intelligence » (Ro 12.2). Pour surmonter la dépression vous devez apprendre à corriger vos pensées et votre attitude pessimistes face à la vie. Pour Jésus, lorsque vous connaîtrez la vérité, « la vérité vous rendra libres » (Jn 8.32). Voir les choses d’un bon point de vue, celui de Dieu, voilà la clé pour surmonter la dépression.

     

     

     

     

    Gérer la dépression (2)

     

     

    1Rois 19.4 

     

    La Bible rapporte : « Élie, voyant cela se leva et s’en alla, pour sauver sa vie. Il arriva à Beér-Chéba, qui appartient à Juda, et y laissa son jeune serviteur. Quant à lui, il alla dans le désert, à une journée de marche ; il s’assit sous un genêt et demanda la mort » (v.3-4). Quelle a été l’erreur d’Élie ? La même que nous faisons parfois lorsque nous sommes déprimés : nous nous focalisons sur nos sentiments plutôt que sur les faits réels. C’est ce qui arrive quand nous perdons le moral. Pour un seul incident qui l’avait secoué, il avait ressenti comme un échec. Il se disait en lui-même : « Je suis un vrai lâche. Pourquoi courir ? » La sensation d’avoir échoué l’avait persuadé que lui-même était un échec. Les sentiments sont souvent trompeurs. Lorsque nous y portons attention au lieu de voir la réalité des faits, nous nous créons des problèmes. S’il nous arrive de commettre une erreur dans un domaine, nous avons tendance à généraliser et à croire que toute notre vie est un échec. C’est une fausse idée. Tout le monde a droit à l’erreur. Une erreur commise ne fait pas de vous une erreur. Les experts en santé mentale nous encouragent à déballer et exprimer nos sentiments. Insuffisant, parce que les sentiments sont notoirement peu fiables. Dieu nous invite à connaître la vérité de sa Parole qui au bout du compte nous rendra libres (voir Jn 8.32). Pour surmonter la dépression, vous devez étudier la Parole de Dieu et vous entraîner à mettre vos sentiments en phase avec ce qu’il dit

     

     

     

     

    Gérer la dépression (3)

     

    1R 19.4 

     

    Se comparer aux autres est aussi une cause de déprime. Nous pensons : « Si seulement je pouvais être comme telle ou telle personne, je serais heureux(se). » Les ennuis nous guettent lorsque nous nous comparons aux autres (voir 2Co 10.12). La seule personne que vous devez chercher à être, c’est vous-même. Lorsque vous voulez en imiter une autre et agir comme elle, vous finissez invariablement dans la dépression. Soyez honnête avec vous-même, restez qui vous êtes. C’est tout ce que Dieu désire. C’est tout ce qu’il attend. Un autre piège nous attend lorsque nous nous comparons aux autres gens : comparer nos faiblesses avec leurs forces. Nous oublions qu’ils peuvent être faibles là où nous sommes forts. De plus, nous tentons de nous motiver à travers l’autocritique et la condamnation. « Je devrais être capable d’imiter cette personne. Je devrais pouvoir mieux agir. Je devrais y arriver. Je devrais être capable d’arrêter », comme si le fait de nous secouer verbalement allait nous changer ! Que vous les fassiez aux autres ou à vous-même, les critiques ne marchent pas. Alors quelle est la solution ? Commencez par reprogrammer votre esprit avec la Parole de Dieu. « Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu. Par elles les promesses les plus précieuses et les plus grandes nous ont été données, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise » (2P 1.3-4)

     

     

     

     

    Gérer la dépression (4)

     

    1R 19.10 

     

    Elie fuit dans le désert et se cache dans une grotte. Alors Dieu lui demande : « Que fais-tu ici, Élie ? » (v.9). Sur quoi Élie répond : « J’ai déployé mon zèle pour l’Éternel, […] car les Israélites ont abandonné ton alliance, ils ont renversé tes autels, ils ont tué par l’épée tes prophètes ; je suis resté, moi seul, et ils cherchent à prendre ma vie » (v.14). La mauvaise conscience peut aussi devenir source de dépression. Lorsque nous endossons une responsabilité que Dieu ne nous a pas donnée, elle devient un fardeau trop lourd à supporter. Si vous avez coutume d’aider les gens, vous réalisez vite qu’ils ne réagissent jamais comme vous le voudriez. Et c’est le cas pour vos enfants, vos amis, votre conjoint ou vos collègues. Chacun(e) répond à sa manière et vous ne pouvez pas vous croire responsable de leurs réactions. Dieu a donné à tous un libre arbitre. Prendre sur vous les décisions des autres est un trop grand poids qui vous mène à la dépression. Au mieux vous pouvez les influencer mais ne jamais les contrôler. La décision finale leur appartient, alors ne vous laissez pas abattre par ce que vous ne pouvez maîtriser. Quand vous savez avoir fait ce que Dieu vous demande, faites-lui confiance pour s’occuper du reste. Vous vous ferez du mal à vouloir enfermer, convaincre, convertir, contrôler, changer l’autre. La Bible dit : « C’est Dieu qui opère en vous le vouloir et le faire selon son dessein bienveillant » (Ph 2.13). Quand vous avez fait votre part, retirez-vous et laissez Dieu faire la sienne.

     

     

    Gérer la dépression (5)

    1R 19.10 

     

    Voici une autre erreur qui amène Élie à déprimer : il noircit le tableau. C’est toujours et encore cette vieille pensée du « Tout le monde m’en veut ! ». En fait, presque personne n’en voulait à Élie. Une seule femme s’opposait à lui, sans réelle menace. La reine Jézabel n’allait pas prendre le risque de tuer Élie. Réfléchissez : si elle avait vraiment voulu le tuer, elle n’aurait pas envoyé un messager pour l’avertir mais un tueur à gages ! Jézabel craignait l’influence d’Élie. S’il avait fini en martyr, sa notoriété aurait grandi et probablement causé une révolution. Tout juste témoin de ce que Dieu avait réservé aux prophètes de Baal, Jézabel avait sans doute peur de ce que Dieu lui ferait si elle touchait à son prophète. Ses propos étaient donc dépourvus de menaces. Mais au lieu de s’en tenir à une évaluation réaliste de la situation, Élie s’était enfui. Lorsque nous déprimons, nous avons tendance à noircir le tableau. En réalité, Élie n’était pas le seul à être encore fidèle à Dieu. Sept mille autres hommes n’avaient pas encore succombé au paganisme (voir v.18), Mais à force d’exagérer le problème, Élie s’est retrouvé au plus bas. Si aujourd’hui vous vous sentez déprimé(e), mettez votre confiance en Dieu. Relevez-vous et dites : « Ça aussi va passer. Ce qui ne me tue pas me rend plus fort » Voici une promesse sur laquelle vous appuyer les yeux fermés : « Oh ! Combien est grande ta bonté, que tu tiens en réserve pour ceux qui te craignent, que tu exerces envers ceux qui se réfugient en toi, en face des humains ! » (Ps 31.20).

     

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    La culpabilité

     

    La culpabilité

     

     

    1 JEAN 1.5‑9

    Certains ressentent toujours de la culpabilité. Ils portent le fardeau des erreurs du passé et de la crainte de mal agir à l’avenir et, même quand ils essaient de s’en débarrasser, ils n’y parviennent pas.

    Il arrive que la culpabilité soit légitime et qu’elle résulte d’avoir enfreint une loi biblique ou civile. Quand nous péchons, le Saint‑Esprit nous montre en quoi nous avons mal agi et comment réparer notre faute. Puis à la suite de notre confession, Dieu nous pardonne et nous lave, chaque fois (Ps 32.5).

    D’où vient la fausse culpabilité ? Satan s’en sert pour harceler les croyants. Au moyen de mensonges et d’accusations, il cherche à remplacer leur paix intérieure par le désarroi et leur joie par le découragement.

    Le légalisme, qui oblige à se conformer à une certaine norme, contribue aussi à la culpabilité. La Bible nous apprend comment vivre, mais certains chrétiens et Églises y ajoutent des règles. Lorsqu’on ne s’y soumet pas, on se sent honteux.

    Les souvenirs d’enfance peuvent également engendrer la culpabilité. Qu’il s’agisse d’événements traumatisants ou de l’impression de ne jamais satisfaire aux exigences parentales, ces évocations peuvent nous inciter à nous juger durement à l’âge adulte. La critique continuelle produit aussi cet effet, de même que nos tendances perfectionnistes, qui nous laissent croire qu’il faut toujours faire plus et mieux.

    La culpabilité s’enracine profondément dans le légalisme, les souvenirs d’enfance, le perfectionnisme et les commentaires désobligeants. Si vous vous condamnez constamment, cherchez à découvrir pourquoi il en est ainsi.

     

     

    (Source : en contact.org)

     

     

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    Comment surmonter les mauvais souvenirs

     

     

    Comment surmonter les mauvais souvenirs

     

     

     

    « Ne considérez plus ce qui est ancien » Esaïe 43.18 

     

    Pour surmonter les mauvais souvenirs, vous devez :

    1) les remettre dans leur contexte. Avec le recul, Joseph a dit : « Vous aviez formé le projet de me faire du mal, Dieu l’a transformé en bien » (
    Ge 50.20).

    2) les rejeter. La prochaine fois que l’un d’eux refait surface, refusez de l’entretenir. « Ne considérez plus ce qui est ancien ».

    3) réorienter vos pensées. « Oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant » (
    Ph 3.13). Vous dites : « Je ne peux m’empêcher d’y penser. » Si la mémoire retient le mal, elle peut aussi retenir le bien. Pour combattre un mauvais souvenir, rien de mieux que de le remplacer par un bon ! Grande nouvelle, chaque promesse que Dieu vous fait contient la puissance de l’accomplir. Alors méditez ces versets et faites-les vôtres : « Sois sans crainte, […] tu oublieras la honte de ta jeunesse » (Esa 54.4). « On ne se rappellera plus les événements du début […]. Réjouissez-vous plutôt […], à cause de ce que je crée » (Esa 65.17-18). Dieu peut créer la beauté d’un tas de cendres et l’ordre du chaos, mais ça n’arrive pas du jour au lendemain. Il vous faudra beaucoup grandir et pardonner en chemin. Tantôt vous devrez pardonner aux autres, tantôt à vous-même. Vous allez dire : « Mais toutes ces promesses sont dans l’Ancien Testament ! » D’accord, mais la Bible dit aussi : «  Jésus, est le “oui” à tout ce que Dieu a promis » (2Co 1:20, PDV).

    Alors apportez vos mauvais souvenirs à Dieu et laissez-lui l’opportunité de vous en guérir.

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

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    Le remède de Dieu contre le stress

     

     

    Le remède de Dieu contre le stress

     

     

     

    « Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous » 1P 5.7 

     

    Si vous êtes préoccupé(e), de nature inquiète, alors Dieu veut vous libérer de votre stress.

    Lisez avec attention et piété les versets suivants :

    « Je me réfugie à l’ombre de tes ailes, jusqu’à ce que les calamités soient passées » (
    Ps 57.2).

    « Tu as été un refuge pour le faible, un refuge pour le pauvre dans la détresse, un abri contre la pluie battante » (Esa 25.4).

    « Je te garderai partout où tu iras […]. Je ne t’abandonnerai pas, avant d’avoir accompli ce que je te dis » (Ge 28.15).

    « Le Dieu d’éternité est un refuge, sous toi se trouvent des bras éternels » (De 33.27).

    « Sois sans crainte, car je suis avec toi ; n’ouvre pas des yeux inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite victorieuse » (Esa 41.10).

    « Jusqu’à votre âge avancé je vous soutiendrai ; je l’ai fait et je veux encore porter, soutenir et libérer » (Esa 46.4).


    Voici donc ce que Dieu prescrit pour guérir de votre stress :

    1) croyez que Dieu prend réellement « soin de vous ».

    2) décidez-vous et « déchargez-vous sur lui de tous vos soucis ».

    Si vous êtes débordé(e), demandez à Dieu la sagesse de changer votre planning.

    Lorsque le problème que vous affrontez est trop grand pour vous, confiez-le à Dieu sans retour.

    Qu’il pense à travers vous, et vous accorde sa paix, sa force et sa patience pour dominer votre esprit.

     

    Faites cet exercice chaque matin, et autant de fois que nécessaire dans la journée. C’est le remède de Dieu contre le stress !

     

     

    Bob Gass

     

     

    Le remède de Dieu contre le stress

     

     

     

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    Avez-vous vraiment accepté son pardon ?

     

     

    Avez-vous vraiment accepté son pardon ?

     

     

     

    “Je ne me souviendrai plus de tes péchés.” Es 43. 25 

    Trouvez-vous difficile d’accepter qu’Il vous ait vraiment pardonné ?

    Peut-être pensez-vous: “D’accord, Dieu m’a pardonné, mais je n’arrive pas à me pardonner moi-même”? Si tel est le cas, vous risquez de vivre dans un état de perpétuelle défaite : chaque péché que vous commettrez vous plongera à nouveau dans le désespoir.

    Il est important que vous cessiez de vous sentir coupable afin de pouvoir aller de l’avant avec Dieu. Voici quelques conseils pour vous aider :

    1- Acceptez la promesse divine de pardonner tous vos péchés, passés, présents et futurs. Mémorisez des versets comme : “Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice” (
    1 Jn 1. 9) ou “C’est Moi qui efface tes crimes pour l’amour de Moi, Et Je ne me souviendrai plus de tes péchés” (Es 43. 25). Comprenez que Dieu vous a pardonné seulement parce qu’Il l’avait promis et qu’Il ne peut pas mentir. Cela n’a rien à voir avec ce que vous pouvez faire ou ne pas faire. Il continuera de pardonner vos péchés en ne vous demandant qu’une chose : de les lui confesser. Notez que cette confession est pour votre bénéfice, pas pour Le sien, puisqu’Il connaissait à l’avance vos péchés futurs.

    2- Confessez votre péché, quand vous en êtes conscient, mais une seule fois suffit. Ne répétez pas jour après jour votre confession du même péché. Ce serait dire à Dieu soit qu’Il ne vous a pas écouté la première fois, soit qu’Il prend plaisir à vous entendre répéter la même chose. Dans les deux cas c’est l’équivalent d’une insulte envers Lui.

    3- Exprimez-Lui votre reconnaissance pour Son pardon. Que votre coeur soit rempli d’émotion ou non, cela n’a aucune importance, car Son pardon ne dépend pas de votre état d’esprit, de vos sentiments ou de votre confession. Ses promesses sont inaltérables, simplement parce qu’elles reposent sur le caractère éternel de Dieu.

    Vous n’avez pas besoin de “sentir” que Dieu vous a pardonné. Acceptez simplement Sa parole !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Les dangers de la colère

     

     

    Les dangers de la colère

     

     

     

    ÉPHÉSIENS 4.26,27

    Hier, nous avons appris comment gérer la colère. Aujourd’hui, nous découvrirons ce que Dieu préconise pour nous garder de devenir amers : nous occuper immédiatement de cette émotion.

    Les chrétiens peuvent se fâcher tout en gardant une bonne relation avec Dieu. Par contre, en couvant la colère, on ouvre la porte à Satan. Celui‑ci nous portera sans tarder à nous justifier : Il méritait que je lui fasse la leçon! Personne ne devrait me traiter ainsi! Dieu comprend ma frustration. En utilisant des excuses pour entretenir la colère d’une personne, Satan renforce son emprise sur celle‑ci. Il est insensé d’alimenter ce sentiment (Ec 7.9).

    Nous ne devrions jamais fournir d’occasion favorable au diable. Dieu invite plutôt les chrétiens à réagir à la provocation en pardonnant aux autres. La miséricorde divine est inconditionnelle; Dieu pardonne tous les torts. Les croyants ne peuvent justifier leur rancune. Ils doivent donc y renoncer sur‑le‑champ en pardonnant.

    De plus, nous pouvons nous protéger de la colère en reconnaissant ce qui nous irrite en général. Placés devant ces situations (ou personnes), nous devrions prier pour que Dieu nous rende prompts à écouter, lents à parler, lents à nous mettre en colère (Ja 1.19). Il s’agit de la maîtrise de soi, une manifestation du fruit de l’Esprit.

    La colère ne produit qu’un fruit gâté : des relations tendues et un mauvais témoignage. Le chrétien sage se sert d’une approche à deux volets pour la gérer. Il écoute d’abord les exhortations bibliques à ce sujet et se tient sur ses gardes. Ensuite, il renonce à la colère et pardonne.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

    Les dangers de la colère

     

     

     

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    Renoncer à la colère

     

     

    Renoncer à la colère

     

     

    ÉPHÉSIENS 4.30‑32

    Le juste ne devrait pas alimenter dans son cœur une colère latente, qu’elle se manifeste par la rage ou l’amertume. L’irritation endurcit le cœur et en ouvre la porte à Satan.

    La méthode charnelle pour s’occuper de la colère consiste à la supprimer ou à l’exprimer. Ni l’une ni l’autre ne résout le problème. Cependant, l’approche divine à la gestion de cette émotion malsaine permet d’y mettre fin et de s’en libérer. Le passage du jour nous exhorte ainsi : « Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute clameur, toute calomnie […] disparaissent du milieu de vous » (v. 31).

    Que nous nous fâchions contre nous‑mêmes, une autre personne ou Dieu, nous devons le reconnaître. Il ne sert à rien de prétendre que tout va bien ou que nous avons vaincu notre agacement. Si nous sommes en colère, admettons‑le et découvrons‑en la source. En sachant ce qui déclenche notre aigreur, nous ne nous en défoulerons pas sur un innocent.

    Voici quelques questions utiles à se poser :

    Pourquoi et contre qui suis‑je fâché?
    Qu’est‑ce qui me fait agir ou me sentir ainsi?
    À quel événement puis‑je rattacher mon irritation?
    Suis‑je en colère depuis longtemps?

    Après avoir déterminé quelle est la source de notre colère, nous devons pardonner. L’irritation et la rancune vont souvent de pair, et les deux nous nuisent. Dieu nous appelle à les abandonner et à choisir plutôt d’aimer et d’être bons. Quand nous renonçons à la colère, nous marchons sur le sentier de Dieu avec un cœur léger.

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

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    Penser sous l’influence de la honte (1 à 2)

     

     

    Penser sous l’influence de la honte (1)

     

    « Laissez Dieu vous transformer et vous donner une intelligence nouvelle » Ro 12.2, BFC

    Quand vous avez subi une agression physique, morale ou sexuelle, votre estime de vous-même se réduit. Vous pensez : « Si quelqu’un m’a fait ça, c’est que peut-être je le mérite. » Votre âme est souillée, vous vous prenez pour un « fruit véreux ». Mais vous ne l’êtes pas ! Les deux versets qui suivent iront de la bouche de Dieu jusqu’à votre cœur : « Je t’aime d’un amour éternel ; c’est pourquoi je te conserve ma bienveillance. Je te rebâtirai, et tu seras rebâtie » (Jér 31.3-4). « Ne vous souvenez pas des premiers événements, et ne considérez plus ce qui est ancien. Voici que je fais une chose nouvelle, elle est maintenant en germe, ne la reconnaîtrez-vous pas ? Je mettrai un chemin dans le désert et des fleuves dans la terre aride » (Esa 43.18-19). Le mal que vous avez subi ne fait pas de vous un être mauvais ! Aujourd’hui Dieu dit : « Sois sans crainte, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom : tu es à moi ! Si tu traverses les eaux, je serai avec toi, et les fleuves, ils ne te submergeront pas ; si tu marches dans le feu, tu ne brûleras pas […]. Car je suis l’Éternel, ton Dieu » (Esa 43.1-3). Honte et dépression vont de pair. Mais si la dépression se soigne sur ordonnance du médecin, il n’y a pas de remède contre la honte, hormis la médecine de la Parole de Dieu. Ne vous laissez plus abuser par vos pensées et vos émotions, appuyer-vous sur la Bible quoi que vous ressentiez. Avoir honte de qui vous êtes est une punition perpétuelle que vous vous infligez tout(e) seul(e). Quelle est la solution ? Laissez Dieu changer votre façon de penser.

     

     

    Penser sous l’influence de la honte (2)

     

    Ja 1.22 

    La honte grandit dans l’obscurité, mais une fois exposée à la lumière de la Parole de Dieu, elle perd de son emprise. Rien n’est plus capricieux que les sentiments. Ils sont souvent provoqués au quotidien, par un air familier, la mention de celui ou celle qui vous a blessé(e), un anniversaire, une fête comme Noël ou la St Valentin. C’est pourquoi Jacques nous exhorte : « Pratiquez la parole et ne l’écoutez pas seulement ». Un psychologue écrit : « La honte peut nous retenir, nous écraser, et nous garder tête basse… Bien des systèmes et des individus sont contrôlés par elle et veulent nous faire entrer dans leur jeu… Troubles compulsifs, addiction sexuelle, boulimie, abus de médicaments ou de drogues, addiction au jeu, ce sont tous des comportements qualifiés d’honteux… Nos expériences passées et nos éventuels lavages de cerveau subis nous inspirent la honte. “Ne pense pas…ne ressens rien…arrête de grandir ou de changer…oublie de vivre…honte à toi !” La honte, ça suffit ! Attaquez-la. Déclarez-lui la guerre. Apprenez à la reconnaître et à l’éviter comme la peste. » La Bible dit : « Qui accusera les élus de Dieu ? » (Ro 8.33). Que nous soyons l’offenseur ou l’offensé : « Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché » (1Jn 1.7). Notez bien le mot « tout ». Au lieu de parler de vos états d’âme, commencez à dire ce dont vous êtes sûr(e) ! La Bible, qui reflète l’opinion de Dieu sur vous, est la plus grande force de guérison sur terre. Alors lisez-la, croyez-la, parlez-en, et appuyez-vous sur elle. Faites-le et vous verrez que la honte disparaîtra bientôt de vos pensées. 

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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