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    Vaincre les pensées négatives

     

     

    "Car moi je connais les projets que j’ai conçus en votre faveur, déclare l'Éternel : ce sont des projets de paix et non de malheur, afin de vous assurer un avenir plein d'espérance."  Jérémie 29.11 

     

    J'ai grandi dans un climat malsain, marqué par l'alcoolisme, la peur, les cris et les injures, et au milieu de gens négatifs. J'avais donc pris l'habitude de ne rien attendre de bien de la vie, plutôt que d'espérer et d'être déçue. Je me demandais souvent : "Qu'est-ce qui va encore me tomber dessus ?"

     

    Ce n'est qu'à l'âge adulte que je compris que je vivais continuellement dans l'appréhension d'un malheur.

    Un jour, Dieu me parla à ce sujet. Il me montra que je redoutais qu'il m'arrive du mal, alors qu'il voulait au contraire que j'attende de bonnes choses de l'avenir. Jérémie 29.11 nous dit que Dieu n'a pas pour nous "des projets de malheur, mais des projets de bonheur" et qu'il veut nous donner "un avenir à espérer". Dieu voulait que je dise : "Du bon va m'arriver."

    Le fait est que Dieu n'agit pas en nous au travers d'attitudes négatives comme l'apitoiement sur soi, la paresse, la passivité ou la pensée que tout nous est dû. Dieu agit au travers de la foi ! Mais avant de pouvoir avoir la foi, nous devons être remplis d'espérance.

    L'espérance est une attente positive et confiante ; espérer, c'est croire qu'il va arriver quelque chose de bon et que les choses vont s'arranger, quelle que soit la situation.

    Lorsque vous êtes accablé ou déçu, l'espérance vous pousse à relever la tête et à dire avec foi : "Seigneur, je te loue et je crois que tu es à l'œuvre dans cette situation et en moi. Ma foi, ma confiance et mon espérance sont en toi."

    L'espérance est déterminée et ne baisse pas les bras. Dieu veut que nous soyons "enfermés" dans l'espérance, confiants qu'il peut changer ce qui doit l'être, que nous pouvons faire ce qu'il veut que nous fassions et que toutes choses sont possibles avec lui. Si nous restons fermes dans notre espérance, la défaite est impossible – nous serons forcément des gagnants dans la vie.

    Quand Dieu m'appela au ministère, tout ne se fit pas du jour au lendemain. Il fallut des années de préparation et de travail pour bâtir ce qui est aujourd'hui une œuvre d'envergure mondiale. Durant ces années, je fus plus d'une fois tentée d'abandonner. Mais je suis toujours là ! Si vous ne renoncez pas, vous aurez la victoire, vous aussi. 

     

    Une action pour aujourd'hui :
    Soyez résolu à faire ce que Dieu veut que vous fassiez et refusez de vivre avec des attentes négatives. Demandez à Dieu de vous remplir d'espérance et déclarez par la foi : "Il va m'arriver quelque chose de bon."

     

     

     

    Joyce Meyer

     

     

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    Faites face à votre peur !

     

    Faites face à votre peur !

     

     

    "Mais l'Éternel est ma retraite, mon Dieu est le rocher de mon refuge."  Psaumes 94.22  

     

     J'ai entendu un jour l'histoire d'un village où l'on interdisait à tous les enfants de monter au sommet de la montagne, où vivait un monstre terrible. Comme cette interdiction durait depuis des générations, tout le monde croyait que c'était vrai et craignait par conséquent d'escalader la montagne.

    Un jour, plusieurs jeunes gens courageux décidèrent de ne plus avoir peur de ce monstre et de monter sur la montagne pour l'affronter. Ils chargèrent donc leurs sacs à dos et se mirent en route. À mi-chemin, ils entendirent un puissant rugissement. Le bruit était si fort que la moitié des jeunes gens, saisis d'effroi, rebroussèrent chemin en courant. Les autres poursuivirent leur ascension. Peu de temps après, ils aperçurent le fameux monstre et constatèrent qu'il était beaucoup plus petit que ce qu'ils s'étaient imaginé. Mais lorsqu'il rugit, beaucoup furent néanmoins pris de peur et dévalèrent la pente, à l'exception d'un seul.

    Celui-ci se dit : "Je vais attraper ce monstre coûte que coûte." Il fit un nouveau pas dans sa direction. Le monstre rétrécit. À présent, sa taille ne dépassait plus celle du jeune homme. Et plus celui-ci s'approchait, plus le monstre rapetissait. Bientôt il fut si près que le monstre aurait pu tenir dans la paume de sa main. Le jeune homme le regarda en face et lui demanda : "Qui es-tu ?" Le monstre répondit d'une toute petite voix aiguë : "Mon nom est Peur."

    Cette histoire illustre bien le fonctionnement de la peur. L'objet de votre peur paraît monstrueux et horrible, jusqu'au jour où vous décidez de l'affronter. Et plus vous le regardez en face, plus il perd d'importance.

    Si vous suivez le plan de Dieu pour vaincre la peur, vous découvrirez que ce qui vous a le plus effrayé n'était en réalité pas si terrible que cela. Rappelez-vous, si vous faites face à vos peurs, vous pouvez les surmonter. 

     

    Une action pour aujourd'hui :
    Ne vous laissez plus tromper par vos peurs. Affrontez-les en vous appuyant sur la Bible et en croyant que Dieu est pleinement capable de vous aider à les vaincre.

     

    Joyce Meyer

     

    Faites face à votre peur !

     

     

     

     

     

     

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    Cessez de vous inquiéter !

     

    "Ne vous inquiétez de rien ; mais, en toutes choses, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu […] gardera vos cœurs et vos pensées en Christ-Jésus." Philippiens 4.6-8 

     

    L'inquiétude – un sentiment de malaise ou de trouble – est un fléau qui semble toucher des milliers de personnes aujourd'hui. Il est dans la nature humaine de se faire du souci face à des situations difficiles dans le monde ou dans sa vie personnelle, mais si nous n'y prenons pas garde, le diable fera tout pour nous amener à nous inquiéter plus que de raison. L'inquiétude est comme un rocking-chair – toujours en mouvement mais sans jamais nous mener nulle part. Alors pourquoi y cédons-nous… et quel bien en retirons-nous ?

    L'inquiétude nous épuise physiquement et pourtant nombreuses sont les personnes qui persistent à se faire du souci au lieu de se tourner vers Dieu dans la prière. La prière est une force puissante et une de nos meilleures armes contre l'inquiétude. Elle nous fait entrer dans la présence même du Dieu tout-puissant.

    Lorsque vous êtes inquiet et tendu, il est toujours préférable de prier au sujet de ce qui vous préoccupe plutôt que d'en parler à autrui. Jésus a passé beaucoup de temps dans la prière durant sa vie sur terre, nous montrant l'exemple d'une vie réussie.

    Nous lisons dans Luc 5.15-16 : "… les foules nombreuses se rassemblaient pour l'entendre et pour être guéries de leurs maladies. Mais lui se retirait dans les déserts et priait." Si Jésus avait besoin de passer du temps dans la prière pour accomplir sa vocation, je pense pouvoir affirmer que c'est également le cas pour nous.

    Jésus avait tout remis à Dieu, jusqu'à sa réputation et sa vie. Et parce que nous savons que Dieu nous aime et ne veut que le meilleur pour nous, nous pouvons sans crainte lui confier nos vies. Nous n'avons pas besoin de lui expliquer tous nos problèmes – nous pouvons simplement les lui remettre et lui demander de s'occuper de toutes choses.

    Trop souvent, nous compliquons nos prières – et diminuons leur efficacité. Il est temps que cela change ! Lorsque nous nous inquiétons et nous tourmentons pour trouver une meilleure solution, il nous faut savoir que seul Dieu sait ce qui est le meilleur pour nous.

    Dans Matthieu 11.29, Jésus lance cette invitation : "Acceptez de vous laisser diriger par moi et mettez-vous à mon école […] Ainsi, votre vie trouvera son épanouissement dans le repos." (Parole vivante) Quelle promesse merveilleuse ! Le Maître de l'univers aspire à passer du temps avec vous et à vous libérer de l'habitude destructrice de l'inquiétude.

      

    Cessez de vous inquiéter !

     

    Une action pour aujourd'hui :
    Si vous avez pris l'habitude de vous inquiéter pour pratiquement tout – votre santé, vos finances, votre couple, vos enfants, votre travail, vos beaux-parents, vos voisins – il est temps de changer. Vous n'avez pas besoin de vous tracasser une minute de plus. Tout ce que vous avez à faire, c'est renoncer à vous faire du souci et avoir foi en la prière simple, confiante – elle est un remède infaillible à l'inquiétude !

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

     

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    L'ancre de l'espérance

     

    L’ancre de l’espérance

     

    "Cette espérance, nous l’avons comme une ancre solide et ferme, pour notre âme." Hébreux 6.19

    De même que l’ancre d’un bateau empêche ce dernier de dériver, l’espérance en Christ enracine fermement notre âme – esprit, volonté et émotions – dans la foi, particulièrement lorsque nous traversons des moments difficiles.

    Ce que Dieu promet, il le fera. C’est lui notre espérance !


    L'espérance est l'ancre de l'âme. Tout le monde a besoin d'espérance, parce que les épreuves n'épargnent personne. Et parfois, quand les problèmes n'en finissent plus et qu'il nous semble que tous les autres sont bénis, quand nous sommes fatigués et prêts à renoncer, c'est l'espérance qui soutient notre cœur et nous permet de croire en la promesse de Dieu.

    L'espérance est une attente heureuse et confiante. C'est une disposition positive et l'anticipation bienheureuse de quelque chose de bon. La véritable espérance n'est pas une attitude fataliste et résignée, mais la certitude que ce que Dieu a promis, il le fera. Dieu cherche simplement des occasions de manifester sa bonté à ses enfants et il veut que nous attendions son intervention avec joie.

    Malheureusement, beaucoup d'enfants de Dieu semblent n'avoir d'autre objectif que de survivre à chaque journée. Arrêtez-vous une minute et demandez-vous ce que vous attendez, ce que vous espérez. L'espérance suppose une attitude positive. Dans 1 Thessaloniciens 5.8, Paul la compare à un casque. Aussi, ce que nous pensons doit avoir une grande importance.

    Pensez à Abraham, qui avait 99 ans lorsque l'Éternel lui promit un fils. Il y eut probablement des jours où Sarah et lui doutèrent de cette promesse, vu leur âge avancé. Qui n'aurait pas été sceptique ? À vue humaine, rien ne portait à croire qu'ils pourraient avoir un enfant – mais l'espérance d'Abraham en Dieu et en sa promesse était plus forte que ce que laissaient penser les circonstances.

    Tirons une leçon de l'expérience d'Abraham et sortons de nos "tentes" mentales, où nous pouvons uniquement voir les problèmes, souffrir et nous plaindre des circonstances de nos vies. Sortons, levons les yeux et comptons les étoiles ! Elles nous rappellent que ce que Dieu promet, il le fera. C'est lui notre espérance !

    Que se passe-t-il dans votre vie en ce moment ? Attendez-vous depuis longtemps qu'une promesse se réalise ? Quand la situation paraît sans espoir, surtout si cela fait longtemps que vous attendez une intervention divine, c'est là que vous devez jeter votre ancre de l'espérance et tenir bon ! Peut-être vous débattez-vous en pleine tempête et êtes-vous sur le point de chavirer, mais je vous invite vivement à ancrer votre espérance en Dieu, parce que ce jour pourrait bien être celui de votre délivrance !

    Une action pour aujourd'hui :
    Je vous encourage à prendre le contrôle de vos pensées dès le réveil. Quand vous ouvrez les yeux chaque matin, ne vous dites pas : "Je vais essayer d'arriver à ce soir". Anticipez plutôt de bonnes choses de la part de Dieu et déclarez : "Merci Seigneur pour cette journée ! Je sais que tu m'aimes et que tu as un bon plan pour moi aujourd'hui. Sans toi, je ne peux rien faire, mais en Christ, je peux faire face à toutes mes obligations. Et avec ton aide, je vais avoir une bonne attitude et des pensées positives." Puis attendez votre délivrance en disant : "Et si c'était pour aujourd'hui ?"

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

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    Dis-moi papa, pourquoi les gens s'envoient-ils des voeux ?

     

    Dis-moi papa, pourquoi les gens s'envoient-ils des voeux ?

     

     

    Tu entends les voeux de ceux qui souffrent, ô Éternel ! Tu affermis leur coeur ; tu prêtes l'oreille. Psaumes 10 v.17

     

    Dialogue entre un père et son fils, à l'occasion de la nouvelle année :

    - Dis-moi papa, pourquoi les gens s'envoient-ils des voeux, pour la nouvelle année?

    - Quelle question Jérémie ! Mais tout simplement, parce qu'ils souhaitent que leurs parents, leurs amis, leurs relations, leurs collègues… aient vraiment une bonne et heureuse année!

    - Et une bonne santé aussi?

    - Evidemment, mais pourquoi cette question?

    - Mais à quoi ça sert papa d'envoyer des voeux comme ça, puisque de toute façon ça n'empêchera pas les gens d'avoir des problèmes et des soucis de santé, d'argent, des accidents, bref, tout un tas de pépins plus ou moins graves!

    - C'est vrai, tu as raison… C'est pour cela que moi je n'envoie à mes amis chrétiens que des voeux qui se réaliseront à coup sûr!

    - Mais ce n'est pas possible papa!

    - Mais si, Jérémie c'est possible… Tiens, si je leur souhaite par exemple, "Que Dieu vous bénisse", eh bien je peux être certain qu'ils seront bénis, parce que notre Dieu se plaît à bénir ses enfants!

    - Mais papa, ça ne les empêchera pas d'avoir quand même des problèmes et même peut-être, des problèmes graves!

    - Tu as raison Jérémie. Mais même si le Seigneur permet qu'ils en aient, comme nous en avons eu nous-mêmes cette année, ce sera quand même une bénédiction pour eux!

    - Alors là, j'y comprends plus rien…

    - Ecoute-moi Jérémie : d'après toi, qu'est-ce que le plus important, pour un chrétien qui veut suivre Jésus?

    - Je pense que c'est que chaque jour, il connaisse mieux le Seigneur et soit transformé toujours plus à sa ressemblance!

    - C'est ce que tu voudrais pour toi cette année?

    - Oh! que oui!

    - C'est ce que je désire ardemment moi aussi. Dis-moi, Jésus n'a-t-il pas promis qu'il serait tous les jours avec nous, jusqu'à la fin du monde?

    - Oui, il l'a promis!

    - N'a-t-il pas promis de nous donner la paix, de nous laisser sa Paix chaque jour, et ce, quelles que soient les circonstances que nous traversons?

    - Oui, c'est vrai.

    - N'est-il pas écrit dans le Psaume 121 que "l'Eternel est celui qui te garde, qu'il est ton ombre à ta main droite… Qu'il te gardera de tout mal, qu'il gardera ton âme, qu'il gardera ton départ et ton arrivée, dès maintenant et à toujours?"

    - Si, bien sûr, mais quand même…

    - Quand même quoi, Jérémie?

    - Ça n'empêchera pas les chrétiens d'avoir des "tuiles" comme les autres, non?

    - Des "tuiles", oui, sans doute, mais pas comme les autres!

    - Comment ça?

    - Le Seigneur n'a jamais promis que ses enfants ne connaîtraient pas d'épreuves. Mais la grande différence, tu vois, c'est que celui qui ne connaît pas personnellement Jésus ne peut détacher ses yeux et ses pensées de la "tuile" qui lui arrive. Il n'a aucune espérance réelle pour s'en sortir. Le chrétien, au contraire, sait que toutes choses (même les "tuiles") concourent à son bien, parce qu'il aime Dieu, qu'il se sait aimé inconditionnellement par lui, qu'il sait que tout est sous le contrôle souverain de Dieu et qu'il se sait appelé selon le dessein spécifique que le Seigneur a formé pour sa vie. Il peut alors remercier Dieu par la foi pour toutes choses, même s'il ne les comprend pas, même s'il en souffre, tu saisis?

    - Ah oui je comprends… C'est pour cela que dans le "sermon sur la montagne" en Matthieu 5, Jésus a pu dire, à neuf reprises: "Heureux..."

    - Oui, sans compter de nombreux autres passages dans la Bible.

    - Alors, bonne et heureuse année papa!

    - Bonne et heureuse année Jérémie… dans et avec le Seigneur Jésus. Et bonne et heureuse année à tous ceux et celles qui ne connaissent pas encore le Seigneur et qui voudront cette année se réconcilier avec lui et recevoir le pardon de leurs péchés, car il est écrit au Psaume 32: "Heureux celui dont la transgression est enlevée, dont le péché est pardonné! Heureux l'homme à qui l'Éternel ne tient plus compte de sa faute…"

     

     

    Eric Célérier

    (Source : TopChrétien)

     

     

    Dis-moi papa, pourquoi les gens s'envoient-ils des voeux ?

     

     

     

     

     

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    Nouvelle année, nouvelle chance !

     

    Nouvelle année, nouvelle chance !

     

    “J'ai mis devant toi une porte ouverte.” Apocalypse 3.8

     

    Aujourd’hui, Dieu vous donne une nouvelle chance de vivre votre vie : Saisissez-la ! Lorsque Dieu dit : “J'ai mis devant toi une porte ouverte”, Il est en train de vous expliquer : “Ton avenir commence dès maintenant !” Les opportunités de la vie arrivent comme la lumière, à 300.000 km/h et passeront à côté de vous avant même que vous ayez pu comprendre où elles ont disparu. Voilà ce que la Bible appelle “Le lever de l’aurore”. Ecoutez : “Jacob demeura seul. Alors un homme lutta avec lui jusqu'au lever de l'aurore” (Genèse 32.24). Lorsque le soleil se leva audessus de sa tente, Jacob découvrit que Dieu lui offrait un nouveau départ, une nouvelle identité et une nouvelle manière de vivre. Il n’avait pas à revenir sur le passé. Vous non plus. “ Les bontés du Seigneur ne sont pas épuisées... Sa bonté se renouvelle chaque matin...” (Lamentations 3.22-23).

    Aujourd’hui, Dieu vous donne une nouvelle chance de rectifier vos erreurs, de surmonter vos obstacles et d’assumer votre destinée. Attrapez-la, comme un joueur de pelote basque attrape la balle au vol. Mettez vos gants et soyez prêt, car elle n’attendra pas : si vous n’êtes pas au bon endroit, vous la raterez. Quoi qu’il arrive par la suite, rappelez-vous que vous avez eu votre chance. Vous avez eu votre chance de dire : “Je t’aime” ou “Je te pardonne” ou “Je suis prêt, Seigneur”. Alors saisissez votre chance, choisissez de vivre au maximum cette journée de cette nouvelle année ! Puis, ce soir, regardez-vous dans le miroir et dites : “C’était un merveilleux jour de ma vie et par la grâce de Dieu, je l’ai vécu pleinement.” Chaque jour où vous pourrez le faire, sera une journée réussie !

     

     

    Bob Gass

    Nouvelle année, nouvelle chance !

     

     

     

     

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    A l'aube de la nouvelle année

     

    À l’aube de la nouvelle année

      

    Jésus dit : « Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura au contraire la lumière de la vie. » Jean 8.12

    Avez-vous jamais assisté au lever du soleil au sommet d’une montagne ? La nuit en quelques instants s’estompe quand la boule de feu émerge à l’horizon, derrière la silhouette noire déchiquetée des crêtes. Dans les vallées, les ténèbres luttent encore avec l’aurore, mais elles sont déjà vaincues…
    Parce que Jésus est le soleil de justice, il transforme la nuit en un jour lumineux pour tous ceux qui s’attendent à lui.
    2014 est devant nous, tel le matin encore sombre d’un jour nouveau. Tout nous en est caché. Peut-être croyons-nous en percevoir quelques contours plus ou moins réjouissants, ou bien craignons-nous des lendemains inquiétants ? Comment l’abordons-nous ?
    Adolphe Monod – pasteur et prédicateur remarquable du 19ème siècle – a écrit à sa sœur : « Comme il y a un abîme de misère à ne compter que sur soi-même, il y a un abîme de consolation et d’espérance à ne compter que sur Dieu. »1
    Voulez-vous que cette année se remplisse de joie et d’espérance ? Alors, en ce début de 2014, nous vous invitons à placer votre confiance en Jésus-Christ : il illuminera votre vie.

     

     

    Albert Lentz 

     

     

    1 extrait des « Adieux »

     www.vivreaujourdhui.com

     

     

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    Regardons l'année à venir

     

    Regardons l'année à venir

    « Il attend désormais que ses ennemis lui soient donnés pour marchepied » Hé 10.13, NBS 

    Hier, nous avons lu dans la Bible : « Jusqu'ici l'Éternel nous a secourus » (1Sa 7.12). Aujourd’hui, la Parole nous dit : « Il attend désormais que ses ennemis lui soient donnés pour marchepied ». Notez les mots « jusqu’ici » et « désormais ». Le premier se réfère au passé, le second au futur. Si vous êtes inquiet pour l’avenir, rappelez-vous la fidélité de Dieu durant l’année passée. Vous direz comme pour le peuple d’Israël : « De toutes les bonnes paroles que l'Éternel avait dites […] aucune ne resta sans effet : toutes s'accomplirent » (Jos 21.45). Qui d’autre que Dieu présente un tel bilan ?

     

    Paul s’est souvenu du temps où il manquait de ressources et avait dû travailler pour financer son ministère. Il s’est rappelé les flagellations, les lapidations et les trahisons. Écoutez-le en parler : « Dieu m'a accordé sa protection jusqu'à ce jour » (Ac 26.22, BFC).

    Regardons l'année à venir

    Jérémie était du même avis : « La bienveillance de l'Éternel n'est pas épuisée, et ses compassions ne sont pas à leur terme ; elles se renouvellent chaque matin. Grande est ta fidélité ! » (La 3.22-23). Vous avez sans doute été infidèle à Dieu l’année dernière, mais, lui, l’a-t-il été avec vous ?

     

    Non, et cette année encore, il sera fidèle de la même façon. A.B. Simpson, pasteur et théologien, a écrit : « Nous faisons confiance à des hommes faillibles mais nous nous méfions de sa Parole. Nos journées seraient remplies de gloire et de lumière, si nous nous rappelions que Dieu pense toujours ce qu’il dit ».

     

    Bob Gass 

     

    Regardons l'année à venir

     

     

     

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    Attendez-vous à de grandes choses de la part de Dieu

     

     

    Attendez-vous à de grandes choses de la part de Dieu

    « Jusqu'ici l'Éternel nous a secourus » 1S 7.12 

    La Bible dit : « Samuel prit une pierre [...], et l’appela du nom de Ében-Ézer, en disant : Jusqu’ici l’Éternel nous a secourus ».

     

    En regardant l’année qui vient de s’écouler, que voyez-vous ? De grands échecs ? Des opportunités gâchées ? Concernant vos échecs, Dieu dit : « Oui c’est moi qui pardonne tes fautes, parce que je le veux bien. Et je ne m’en souviendrai plus » (Esa 43.25, PDV). Concernant les opportunités gâchées, Dieu dit : « Je vous restituerai les années qu’ont dévorées la sauterelle, le grillon, le criquet et la chenille » (Joe 2.25).

     

    Un sage a dit : « Si nous n’apprenons pas de notre passé, nous sommes condamnés à recommencer ». Oui, mais si vous conduisez en regardant toujours dans le rétroviseur, vous finirez dans le fossé. Ne restez pas englué dans votre passé, bon ou mauvais. « Ne dis pas : D’où vient que les jours d’autrefois étaient meilleurs que ceux-ci ? Car ta question ne proviendrait pas de la sagesse » (Ec 7.10). En vieillissant, le danger est de s’intéresser plus au passé qu’à l’avenir. Une lectrice a écrit au directeur d’un quotidien : « Votre journal n’est plus aussi bon qu’autrefois ». Le directeur a répondu : « Mais il ne l’a jamais été ! » Dieu dit : « Je connais les projets que je forme pour vous. Je le déclare : ce ne sont pas des projets de malheur mais des projets de bonheur » (Jé 29.11, PDV).

     

    Dieu a un plan pour vous en cette nouvelle année. Aussi, respectons le passé et préparons-nous pour l’avenir. Relevons nos manches pour travailler en nous attendant à de grandes choses de la part de Dieu.

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

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    Que vais-je garder de cette année écoulée ?

     

    Que vais-je garder de cette année écoulée ?

     

    Je me souviens d'attentes non comblées, de soupirs de lassitude, de paresses égocentriques, de colères étouffées, de paroles trop vite dites et aussitôt regrettées, de nuits rongées d'inquiétude ou de souffrance, de larmes de regrets …


    Tu étais là, Seigneur !


    Je revois ces moments de sérénité, ces temps de rencontres qui gonflent le cœur, ces satisfactions d'un travail bien fait, ces larmes de joie d'un cœur à cœur avec autrui, ce bonheur d'être pardonnée, ces moments de rire et de légèreté, ces instants d'émerveillement…


    Tu étais là, Seigneur !


    J'ai été touchée par des paroles justes au bon moment, par une écoute attentive de mes doutes et mes chagrins, par des regards bienveillants et aimants, par des gestes, des attentions qui me disaient que je comptais, par des paroles de pardon et de grâce après que j'ai blessé, par une présence accueillante, un sourire, un clin d'œil de complicité…


    Tu étais là, Seigneur !


    Ces gestes, ces paroles, ces regards, ces sourires n'étaient autres que les tiens, manifestés par mes frères et mes sœurs.


    Chaque jour de cette année écoulée était habitée par ta présence.
     


    - Présence d'un Dieu qui ne cesse de se révéler, de manifester sa bonté.
    - Dieu source de vie, Dieu de tous les possibles.
    - Dieu grand et saint, qui se fait proche de nous.
    - Dieu qui pose sur nous un regard d'espoir et qui nous redit son amour…
    - Emerveillement… devant ce Dieu toujours prêt à accueillir, à aimer, à bénir…

    Reçois, Seigneur, toute ma reconnaissance et mon amour ! 

     

     

    En partenariat avec www.famillejetaime.com

    Evelyne Frère Datcharry

     

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

     

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    Libéré de votre passé

     

    Libéré de votre passé

     

    "Si donc c'est le Fils (Jésus) qui vous donne la liberté, alors vous serez réellement libres." Jean 8.36

     

    Nous vivons une époque vraiment intéressante ! Je ne pense pas avoir jamais connu un temps où les gens refusaient d'assumer la responsabilité personnelle de leur vie comme ils le font aujourd'hui. Il semble que la plupart d'entre eux n'aient pas la force de caractère nécessaire pour assumer leur comportement. S'ils ont un problème de quelque ordre que ce soit, il leur est plus facile de rejeter la faute sur une enfance difficile, un parent indigne, une école inappropriée, le manque d'argent, et la liste est longue.

    Refusant d'endosser la responsabilité de leurs attitudes et de leurs comportements mauvais, ils se sentent autorisés à continuer à mal se conduire ! Ils disent en substance : "Si je suis comme ça, c'est à cause de la façon dont j'ai été élevé et je ne peux rien y changer !" Ce raisonnement justifie un comportement où l'on est prisonnier d'événements du passé. Quelle terrible façon de vivre !

    La vérité est que Jésus est mort sur la croix pour que nous parvenions à "gérer" les problèmes comme les dépendances diverses, les effets des relations malsaines et les troubles émotionnels. Il est venu pour nous libérer, quelle que soit l'origine du problème. Il n'est pas nécessaire que nous traînions notre passé comme un boulet tout au long de notre existence.

    Le premier pas vers la liberté consiste à comprendre que ce qu'un autre vous a fait ou ce qui se passe autour de vous ne justifie en aucun cas un comportement malsain. C'est vous, et personne d'autre, qui êtes responsable de vos actes.

    Vous n'êtes pas dans cette situation par hasard. Ce sont vos choix – bons et mauvais – qui vous y ont conduit. Si vous ne menez pas la vie que vous souhaitez, c'est aujourd'hui qu'il faut commencer à y remédier. Dieu ne vous laissera pas dans une situation où vous n'avez d'autre choix que de souffrir suite à des événements de votre passé.


    Une action pour aujourd'hui 
    :
    Ne laissez pas votre passé dominer votre avenir. Comprenez que, lorsque vous acceptez la responsabilité de vos problèmes, vous avez la puissance, en Christ, de faire avancer les choses. Par la grâce de Dieu, vous pouvez commencer aujourd'hui à faire des choix positifs, qui vous libéreront de votre passé.



    Joyce Meyer

     

     

    Libéré de votre passé

     

     

     

     

     

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