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    Il prend soin de nos pieds

     

     

     

    Il prend soin de nos pieds

     

     

     

     

    Il gardera les pieds de ses bien-aimés. 1 Samuel 2:9

     

     

    Le chemin est glissant et nos pieds sont faibles; mais le Seigneur les affermira. Si, nous, ses bien-aimés, nous nous abandonnons à lui par un acte d'obéissance et de foi, il sera lui même notre gardien. Non seulement "il donnera charge à ses anges de nous porter, de peur que notre pied ne heurte," mais il gardera lui-même nos pas. "

    Il gardera nos pieds de toute chute," en sorte que notre robe reste sans tache et sans dommage et que notre âme ne subisse aucune blessure, "de peur que nous ne donnions à l'adversaire l'occasion de médire."

    Il gardera nos pieds de s'égarer et les préservera de suivre les sentiers de l'erreur, les voies de la folie, ou le chemin large du monde.

    Il les gardera des contusions et de l'enflure causées par l'aridité ou la longueur de la route.

    Il les préservera des blessures, les armant de chaussures telles qu'ils puissent "fouler le lionceau et le dragon" et "marcher sur les serpents et sur toutes les forces de l'ennemi," et que "rien ne puisse nous nuire."
     

     

     

    Charles Spurgeon

    (Source : « Les trésors de la foi » / chretien.news)

     

     

     

     

     

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    Compter sur Dieu

     

     

     

    Compter sur Dieu

     

     

     

     

     

    Je vous dis donc ceci : laissez le Saint-Esprit diriger votre vie, et vous n’obéirez pas aux désirs qui animent l’homme livré à lui-même. Galates 5.16

     

    Je crois qu'à chaque fois que nous ressentons de la frustration, cela signifie que nous avons arrêté de compter réellement sur Dieu. Un tel propos peut sembler exagéré, mais réfléchissez-y un peu : Dieu nous a donné, à vous et moi, Son Saint-Esprit et Sa grâce pour nous aider à traverser tout ce qui vient sur notre chemin. La frustration intervient lorsque nous arrêtons de dépendre de Lui et que nous essayons de déclencher les choses par nous-même. Comprendre cette vérité m'a vraiment aidée. A chaque fois que je commençais à être frustrée, je me souvenais que ce que j'étais en train de faire n'était ni plus ni moins que d'essayer de prendre la place du Saint-Esprit. J'essayais de devenir Saint-Esprit Junior !

     

    Luttez-vous avec un esprit d'indépendance ? Lorsque vous refusez fondamentalement de dépendre de Dieu vous êtes en train de dire : "OK Dieu, j'apprécie que Tu sois dans le coin, mais contente-Toi de regarder de loin ce que je fais." Dépendre de Dieu pour toutes choses peut être difficile, mais c'est la clef de la victoire dont nous avons besoin chaque jour de notre vie. Lorsque Dieu nous a sauvés, Il ne nous a pas aidés pour nous dire ensuite : "Bon, on arrête là. Tu dois te débrouiller seul maintenant !" Il nous a sauvés pour l'éternité, ce qui signifie que si nous dépendons de Lui, Il nous conduira et nous dirigera.

     

    Galates 5.16 nous presse : "Marchez par l'Esprit, et vous n'accomplirez point les désirs de la chair." Remarquez qu'il n'est pas dit : "Combattez la chair par vous-même et vous n'accomplirez pas les désirs de la chair." Non, il est dit de vivre et de marcher par le Saint-Esprit. Décidez d'arrêter de vivre de manière indépendante et de vous appuyer sur le Saint-Esprit. Je vous promets que vous ne le regretterez jamais !

     

    Ma prière pour aujourd'hui : Dieu, Tu es tout ce dont j'ai besoin. Aide-moi à ne pas placer ma confiance en moi-même, mais à la placer en Toi, à compter et à m'appuyer sur Toi.

     

     

     

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

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    Les sentiers de la vie

     

     

     

    Les sentiers de la vie

     


    Il n’y a pas de certitude dans la vie, mais écoutons la voix du Seigneur, et il nous dirigera.

     

     

    PSAUME 25 

     

    Sur le sentier de l’avenir, il y a beaucoup de tournants. Nous pourrions nous laisser détourner du Seigneur par des activités intéressantes, et des philosophies séduisantes pourraient nous désorienter. Le soleil ne brille pas constamment même sur les meilleurs sentiers, et ceux-ci ne longent pas toujours des ruisseaux chantants. Il arrive que nous devions parcourir des terrains accidentés ou traverser de sombres vallées. Nous nous y retrouverons uniquement en suivant celui qui connaît le chemin à emprunter.

     

    Dieu est le guide parfait, pour toujours. Dans son amour, il nous a créés et placés au bon endroit et à la bonne époque. Il veille sur nos pas et nous enseigne ses voies au moyen de sa Parole. De plus, le Consolateur a promis de nous accompagner en tout temps, pour que nous n’affrontions jamais seuls les difficultés de la vie.

     

    Le Seigneur a tracé le sentier et, si nous demeurons humbles devant lui, il nous y conduira. Comme il voit toutes les sources de découragement et chaque tentation, il veut nous garder de trébucher. Faisons-lui confiance et cherchons à respecter sa volonté plutôt que de céder à la nôtre. Il pourra alors nous bénir.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

     

     

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    La grandeur de Dieu console

     

     

     

     

    La grandeur de Dieu console

     

     

    Dieu surpasse tous nos problèmes.

     

     

     


    PSAUME 145

     

    Ne tenons jamais pour acquis à quel point Dieu est grand, car cette vérité réconforte tous ceux qui se réfugient en lui. Bien que Dieu nous surpasse infiniment en tout, il dit : « J’habite dans les lieux élevés et dans la sainteté; mais je suis avec l’homme contrit et humilié » (Ésaïe 57.15). Dieu est le refuge et le protecteur du chrétien, celui qui le soutient.

     

    Songer aux traits merveilleux de Dieu affermit la foi et console.

     

    Il est omniprésent (Psaume 139.7-12). Même si nous nous sentons esseulés, nous ne sommes pas seuls. Ceux qui ont cru en Jésus n’ont jamais été séparés de lui depuis leur conversion.

     

    Il est incomparablement sage (Psaume 147.5). Il sait tout et connaît même nos besoins et nos sentiments. Nous ne comprenons peut-être pas ce qui nous arrive, mais Dieu le sait et nous accorde la force et la direction dont nous avons besoin.

     

    Il est immuable (Malachie 3.6). Comme il ne change pas, nous sommes assurés qu’il demeure fidèle, miséricordieux et plein de grâce, dans toutes les situations.

     

    Quand nous songeons à la suprématie et aux attributs de Dieu, nos problèmes s’atténuent, le Seigneur prend une plus grande importance à nos yeux, et nous goûtons son réconfort.

     

     

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

     

     

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    Seigneur, que ta volonté soit faite dans ma vie

     

     

    Seigneur, que ta volonté soit faite dans ma vie

     

     

     

    "Nous avons dit : Que la volonté du Seigneur se fasse !" Actes 21.14. Ne vous laissez pas décourager par ces chrétiens qui paraissent toujours connaître la volonté de Dieu. Peut-être leur foi est-elle aussi solide que le granit, peut-être ni la peur ni le doute n'ont la moindre prise sur leur esprit, ou peut-être sont-ils passés maîtres dans l'art de dissimuler leurs véritables émotions ! Admettez-le humblement à Dieu : parfois vous ne comprenez pas ce qu'Il veut. Le chemin que vous croyiez tout tracé débouche sur un cul-de-sac.

    Vous vous demandez alors dans quelle direction le Seigneur est en train de vous pousser. Reprenez courage : d'autres ont ressenti la même étreinte de cœur, y compris Paul, le grand apôtre-missionnaire. Ecoutez : "Un prophète nommé Agabus... vint à nous, prit la ceinture de Paul, s'en servit pour se ligoter les pieds et les mains et dit : Voici ce que déclare le Saint-Esprit : L'homme à qui appartient cette ceinture sera ligoté... par les Juifs... Après avoir entendu ces mots, nous... avons supplié Paul de ne pas se rendre à Jérusalem. Mais il répondit : ... Je suis prêt, moi, non seulement à être ligoté, mais encore à mourir à Jérusalem pour la cause du Seigneur Jésus. Comme nous ne parvenions pas à le convaincre, nous n'avons pas insisté et nous avons dit : Que la volonté du Seigneur se fasse !" (Actes 21.11-14).

    Paul n'aurait donc pas dû se rendre à Jérusalem : Le Saint-Esprit l'avertissait que son ministère risquait de se terminer de façon abrupte. Notre vue des circonstances se résume ainsi : Paul était un grand missionnaire, pourquoi risquer de voir son travail réduit à néant en allant à Jérusalem ? L'entourage de Paul, des chrétiens pourtant affermis dans leur foi lui conseillaient d'éviter ce voyage. Mais Dieu voyait les choses différemment : oui, Paul ne pourrait continuer sa mission, mais une autre l'attendait, ô combien plus fructueuse ! Au lieu de toucher quelques centaines de personnes ici et là, Dieu avait prévu de lui permettre de toucher des millions de personnes qui liraient plus tard ses nombreuses lettres. Prenez exemple sur lui : ce que Dieu a prévu pour vous dépassera souvent votre compréhension.

    Sachez Lui faire confiance car Ses plans pour vous n'ont pas changé (Lisez Jérémie 29.11). Si votre entourage essaie de vous décourager en vous faisant croire que Dieu vous délaisse, ne les écoutez pas ! Rien, absolument rien ne peut vous séparer de Son amour, et de plus, "toutes choses coopèrent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon Son dessein" (Romains 8. 28). Quand vous ne comprenez pas, faites-Lui simplement confiance : laissez-Le interpréter vos circonstances selon Ses plans. 

     

     

    Bob Gass
    (Source : adoredieu.com)

     

     

     

     

     

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    Gérer l’adversité

     

     

     

    Gérer l’adversité

     

     

     

     

     

    “Je peux tout en Celui qui me rend puissant.” Ph 4. 13 

     

    Une jeune femme découragée par les épreuves de sa vie vient demander l’aide de sa mère. Celle-ci l’emmène dans la cuisine où elle remplit 3 casseroles d’eau. Dans la première elle place des carottes, dans la deuxième des œufs et dans la troisième du café moulu. Elle les fait bouillir un quart d’heure. Puis elle sort les carottes et les œufs et verse le café dans une tasse. Elle demande alors à sa fille de toucher les carottes. Celle-ci déclare qu’elle sont molles. Puis elle casse un œuf, il est devenu dur. Enfin sa mère lui demande de goûter le café qu’elle affirme être excellent. “A quoi veux-tu en venir ?” demande la jeune femme à sa mère. Cette dernière lui explique que chacun des 3 ingrédients a dû subir la même épreuve, mais ils ont réagi de manière différente. La carotte était ferme au début, mais s’est ramollie, elle est devenue faible. L’œuf était fragile au départ, mais il s’est endurci au contact de “l’épreuve”. Cependant le café était unique dans sa réaction : il a transformé l’eau dans lequel il avait été plongé.

    Sa mère continue : “Quelle est ta réaction quand tu traverses une épreuve ? Ressembles-tu à la carotte qui apparaît toujours ferme, mais qui s’est ramollie. Est-ce que tu perds toute ta force à cause de l’adversité ? Ou ressembles-tu à l’œuf ? Tu es fragile au départ, mais à travers l’épreuve, comme la perte d’êtres chers, le divorce, le cancer, tu deviens amère et incapable de compassion . Ta coquille est intacte, mais ton cœur s’est endurci. Ou ressembles-tu au café ? Les graines de café moulu ont transformé l’eau qui était à l’origine de leurs souffrances. Quand l’eau a atteint une certaine température, le café s’est mis à exhaler son arôme qui a rempli l’air des alentours. Si je ressemble au café, quand la chaleur de l’épreuve se fait sentir, je deviens meilleure et je transforme la situation autour de moi, parce que je suis devenue un peu plus comme Christ.” Et vous, comment gérez-vous l’adversité ? Quand l’épreuve est à son comble et que les heures sont les plus sombres, votre cœur s’élève-t-il au-dessus de votre situation pour imiter davantage l’attitude du Christ, votre Maître ?

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

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    Quel est votre niveau de confiance ?

     

     

     

    Quel est votre niveau de confiance ?

     

     

     

    “Je suis capable de tout cela grâce au Christ qui me rend fort.” Ph 4. 13 

     

    Pour réussir dans n’importe quel domaine faire preuve de confiance est essentiel. Si vous doutez du succès final vous n’arriverez à rien. Mais l’important est de savoir où placer sa confiance. Avoir confiance en soi-même, ses propres capacités, son propre jugement, sa propre intelligence est la recette de l’échec. Jésus a dit clairement : “ Sans Moi, vous ne pouvez rien faire” (Jn 15. 5).

    C’est un péché de croire que nous pourrons, en nous appuyant sur nos propres forces, réussir à accomplir quoi que ce soit de valable. Aussi Paul a-t-il pu écrire : “Ne mettons pas notre confiance dans la chair” (Ph 3. 3). Notez l’expression assez vague de “la chair”. Cela inclut non pas seulement nous-mêmes mais aussi nos parents, nos amis, tous ceux qui nous dispensent leurs conseils. Bien sûr nous ne sommes pas appelés à nous méfier de tout le monde ni à rejeter les suggestions des autres, surtout venant de ceux qui nous aiment.

    Mais au final notre confiance doit être avant tout placée en Jésus, notre avocat et dans le Saint- Esprit, notre conseiller. Dieu ne nous a pas créés pour échouer, même si parfois nous devons connaître des revers temporaires afin d’apprendre de ces “échecs” spécifiques. Une erreur de parcours n’est pas un échec définitif.

    On dit qu’Edison fit plus de 10000 expériences sur différents matériaux avant de créer le filament de la première ampoule électrique. II ne considéra jamais ces expériences comme des échecs. La victoire finale était la seule chose qui comptait à ses yeux. Ne croyez pas que vous réussirez parce que vous avez ce désir mis en vous, mais plutôt parce que Dieu a placé en vous une vision qui exige un engagement de votre part, tout en dépendant de Sa grâce pour s’accomplir.

    Si Dieu vous a confié une mission, croyez qu’Il vous permettra de réussir. Le niveau de votre confiance en Lui sera le facteur dominant de votre progression. Soyez persuadé que le Saint-Esprit vous dirige et suivez Ses conseils et encouragements. Si le doute s’installe un jour en vous, faites comme David quand il souffrit d’une“grande angoisse, car les gens parlaient de le lapider… Mais David reprit courage, grâce au Seigneur, son Dieu” (1 S 30. 6). Ou, selon une autre version : “Il s’encouragea lui-même dans le Seigneur.”

     

     

    Bob Gass

     

     

    Quel est votre niveau de confiance ?

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    Que faire ?

     

     

     

    Que faire ?

     

     

     

    Faisons le bien sans nous laisser gagner par le découragement. Car si nous ne relâchons pas nos efforts, nous récolterons au bon moment. Galates 6.9

     

    Dans le monde dans lequel nous vivons, nous aurons inévitablement toutes sortes de problèmes, de frustrations et de difficultés. C'est la vie. Sachant cela, que faire ? Nous devons tenir ferme et persévérer. En d'autres termes, la réponse est « N'abandonne jamais ! » Peu importe ce qui se passe dans notre vie, la victoire se trouve dans le fait de refuser d'abandonner. Souvenez-vous que c'est au cœur de la bataille que le Saint-Esprit accomplit Ses plus grandes œuvres en nous. Il n'est pas perturbé par les circonstances. Si vous et moi lui faisons vraiment confiance, nous ne devrions pas l'être non plus !

     

    Il n'est pas dans nos vies pour les bons moments seulement mais aussi pour les temps difficiles. Il nous conduira à travers toutes circonstances si seulement nous restons prés de Lui et nous Le suivons. Cela signifie être sérieux dans la prière, constants dans nos résolutions, imperturbables dans la foi et déterminés à tenir fermement sur la Parole de Dieu et Ses promesses pour nous.

     

    Tellement souvent nous pouvons être décontenancés par la lenteur à laquelle les choses semblent se dérouler. En réalité, l'ennemi aime appuyer sur ce point ! Mais souvenez-vous que c'est dans ces moments précis que Dieu accomplit Ses plus grandes œuvres. Vous savez, il ne s'agit pas que de vous et moi. L'oeuvre que Dieu fait en nous est en préparation de l'oeuvre qu'Il veut faire au travers de nous ! Je sais que la vie peut être dure parfois. Mais je sais également que Dieu va nous aider si nous tenons ferme. Appuyons-nous sur Galates 6.9 : « Ne nous lassons pas de faire le bien ; car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas. » Donc permettez-moi de vous poser à nouveau cette question : Que faire ? Ma réponse est : « N'abandonne jamais ! » Quelle est la vôtre ?

     

    Ma prière pour aujourd'hui : Dieu, je crois que Tu es à l'oeuvre dans ma vie, même dans les temps difficiles. Je choisis aujourd'hui de tenir ferme et de ne jamais abandonner, en obéissance à Ta Parole.

     

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

     

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    Attaquez de front votre Goliath (1 et 2)

     

     

     

    Attaquez de front votre Goliath (1)

     

     

     

    “Moi, j’irai me battre contre lui…” 1 S. 17. 32

    Les Goliath ne manquent pas autour de nous. Au cours de notre vie nous devons en affronter certains. Ils ont nom dépression, cancer, dettes, divorce, chômage, solitude et bien d’autres. Ils sont plus ou moins impressionnants, mais ils veulent tous nous décourager, ronger notre paix intérieure, faire disparaître notre joie en Dieu. La seule échappatoire consiste à les attaquer de front comme le fit David. Le premier pas est de prendre la décision de vous battre, quelle que soit la nature de votre géant. David prit la décision d’aller se battre, et ce premier pas était important, car il envoyait un signal fort à Dieu : persuadé que Ce dernier ne l’abandonnerait pas aux mains du Philistin, David s’engageait à devenir acteur de l’Histoire, et non pas simple spectateur, comme l’étaient ses frères ou les soldats du roi Saül (v. 32). Ensuite rejetant les armes que lui offrent les hommes et s’en remettant à Dieu pour sa protection, il prend un second décision, toute aussi importante : se préparer à l’assaut en prenant 5 “pierres bien lisses” dans un torrent voisin (v. 40). Ces cailloux lui serviront à abattre Goliath et, si nécessaire ses frères venus le soutenir. Que signifient ces 5 pierres et quelles leçons peut-on en tirer pour nous aujourd’hui. Max Lucado suggère qu’elles pourraient représenter : la pierre du passé, celle de la prière, celle de la priorité, celle de la passion et enfin celle de la persévérance. Autant d’étapes sur le chemin de la victoire sur nos Goliath contemporains. Examinons-les une à une : 1- la pierre du passé. David s’est souvenu de la manière dont Dieu l’avait sauvé des griffes des lions ou des ours venus attaquer son troupeau lorsqu’il était jeune berger, tout seul avec ses bêtes (v. 34-37).“Souvenez-vous des choses étonnantes qu’Il a faites, de Ses prodiges…” s’écria David plus tard lors des réjouissances consécutives à l’arrivée de l’arche de l’alliance à Jérusalem ( (1 Ch 16. 12). Quand vous êtes découragé, passez en revue les miracles qu’Il a accomplis dans votre vie, Ses bienfaits et Sa protection. Lucado conclut : “Une bonne mémoire forge les héros !” Cultivez votre mémoire !

     

     

     

    Attaquez de front votre Goliath (2)

     

     

    “Tu es ma force, je regarde vers Toi. Oui, Dieu me protège avec puissance.” Ps 59. 10

     

    2- La pierre de la prière. David s’encouragea certes en pensant aux victoires passées, accomplies grâce à l’aide de Dieu, mais cela ne suffit pas à gagner les batailles futures. Que penser d’un officier qui, une fois sur le champ de bataille cesserait tout contact avec son état-major, sous prétexte qu’il n’a plus besoin de recevoir d’information de ses supérieurs ? Paul écrit : “Priez en tout temps par l’Esprit, avec toutes sortes de prières et de supplications…” (Ep 6. 18). N’affrontez pas votre géant en vous confiant en vos propres forces. Priez régulièrement et fidèlement. Mettez de côté un moment de votre journée pour vous approcher de Dieu. Ne prenez pas de décision importante sans Lui en parler. La vie de David est ponctuée de temps de prière et de louange, comme il l’explique lui-même :“Sept fois par jour, je chante Ta louange à cause de Tes justes décisions” (Ps 119. 164). Et il ajoute : “Entrez par Ses portes avec reconnaissance, entrez dans les cours de Son temple avec des louanges ! Célébrez-Le, bénissez Son nom!” (Ps 100. 4). Tel était le secret de la force de David. Cela pourrait être aussi le secret de la vôtre ! 3- La pierre de la priorité. “De quelle priorité parle-t-on ?” allez-vous dire sans doute ! Celle qui consiste à mettre en priorité la réputation, la gloire de Dieu. David déclare à Goliath : “je viens à toi au nom du Seigneur des Armées, le Dieu des troupes d’Israël, que tu as défié. En ce jour, le Seigneur te livrera à moi, je te frapperai…  et ainsi toute la terre saura qu’il y a un Dieu pour Israël.” (1 S 17.45-46). David ne pouvait pas accepter que le nom de Dieu soit bafoué. Il se devait de le défendre, même au prix de sa vie. Question : êtes-vous prêt à défendre le nom de votre Père devant vos voisins, votre entourage, vos collègues de travail ? Souvenez-vous des paroles de Dieu : “J’honore ceux qui M’honorent, mais ceux qui Me dédaignent tombent dans le mépris”(1 S 2. 30).Votre géant peut s’avérer un moyen d’honorer votre Seigneur. Au lieu de vous plaindre d’avoir à l’affronter, considérez-le plutôt comme un tremplin vous permettant d’afficher la puissance divine qui est derrière vous. Dieu est jaloux de Son nom. Le mépriser, s’en moquer, ou simplement l’ignorer n’est pas sans conséquences graves. “Célébrez-Le, bénissez Son nom” devrait être notre leitmotiv à chacun !

     

     

     

    Attaquez de front votre Goliath (3)

     

     

    “La passion que j’ai pour Ta maison me consume. Les insultes qui Te sont destinées retombent sur moi.” Ps 69.10

     

    4- La pierre de la passion. David ne s’approcha pas de Goliath en marchant sur la pointe des pieds ou en marchant doucement, il courut, s’élança vers son ennemi : “David courut à toute vitesse pour se placer et affronter le Philistin” (1 S 17. 48). Son impatience à en découdre s’explique par l’indignation qu’il ressent au plus profond de lui-même envers ces ennemis qui se moquent de Dieu. Une passion furieuse l’anime qui fait écho à celle de Jésus le jour où Il chassa les marchands qui envahissaient le parvis du temple de Jérusalem (Mt 21. 12). Question : une passion pour les intérêts divins nous anime-t-elle aussi ? Ou sommes-nous devenus un peu trop blasés pour réagir comme David ou Jésus ? Peut-être quand vous étiez plus jeune étiez-vous passionné à l’idée de passer du temps en compagnie de Jésus chaque jour, puis avec le temps cet enthousiasme s’est un peu émoussé. Vous reconnaissez-vous dans les paroles de Jésus adressées à l’église d’Ephèse : “ J’ai un reproche à te faire : tu ne M’aimes plus comme au début. Souviens-toi : tu avais bien commencé et puis tu es tombé. Change ta vie et agis comme tu agissais au début…” (Ap 2. 4-5). 5- La pierre de la persévérance. David avait appris que Goliath avaient des frères du même calibre que lui. Une fois Goliath tombé allaient-ils se jeter sur lui ? Au cas où il devrait affronter d’autres géants, il ne s’était pas contenté de ramasser une seule pierre. Il était prêt à continuer à se battre, contre d’autres géants s’il le fallait. Une leçon pour nous aujourd’hui : préparez-vous à affronter d’autres géants au cours de votre existence. Ne vous rendez jamais, même si une ou deux épreuves vous ont forcé à mettre un genou à terre. “Le juste pourra tomber sept fois, il se relèvera…” (Pr 24. 16). Jacques explique : “considérez vous comme très heureux quand vous avez à passer par toutes sortes d’épreuves ; car, vous le savez, si votre foi résiste à l’épreuve, celle-ci produit la persévérance. Mais veillez à ce que votre persévérance tienne bon jusqu’au bout…” (Jc 1. 2-4). Et vous verrez votre Goliath s’effondrer !

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Jésus dormait dans la tempête

     

     

    Jésus dormait dans la tempête

     

     

     

    "Il s'éleva sur la mer une grande tempête... et Lui, Il dormait." Matthieu 8:24

     

    Le Seigneur vient de conduire Ses disciples dans la barque; ils sont sous Sa direction et sous Sa protection. Mais voici que Jésus S'est endormi au milieu de la tempête. Nous venons de lire que le Fils de l'homme "n'a pas où reposer Sa tête", et maintenant Il dort "à la poupe, sur le coussin". Quel tableau de la divinité, de l'humiliation volontaire et de l'humanité parfaite de Celui qui est le Même hier, aujourd'hui et éternellement!

     

    Si la tempête s'élève pour nous, qui sommes sous la direction d'une telle main et qui avons été si clairement conduits jusqu'ici, ne nous effrayons pas! N'ayons pas peur même s'Il semble dormir, s'Il n'intervient pas tout de suite, si la barque, où Il a pourtant pris place, est menacée par le vent et les vagues qui augmentent en furie. Pourrions-nous douter, nous qui avons reçu tant de preuves de Sa présence et de Sa fidélité? La pensée qu'Il ne S'inquiète pas que nous périssions, nous a-t-elle effleurés? Avons-nous donc oublié que c'est Lui qui nous a conduits dans cette situation? Elle a été permise par notre Dieu. Oh! ne doutons pas! Il met notre foi à l'épreuve, I1 est là. N'est-il pas écrit: "Il monta dans la barque, et Ses disciples Le suivirent"?

     

    Notre foi Lui est plus précieuse que l'or périssable. Nous nous sommes donnés à Lui et Il S'est donné à nous. De cette union de Son appel et de notre réponse est née notre vocation. C'est elle qui est mise à l'épreuve. Il ne dort pas, Il attend le moment d'intervenir. Il est sur le point de Se lever, pour menacer les vents et les vagues... et il y aura délivrance. Les vents et les vagues Lui obéissent, Il est dans la barque, ou plutôt, nous y sommes avec Lui. Jamais Il ne nous laissera périr. "Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi?" nous dit-Il.

     

    Au moment même où Il verra que la tempête a rempli son but éducateur, Il interviendra et il se fera un grand calme.

     

     

     

    H.E.Alexander
    (Source : manne du matin / bible-ouverte.ch)

     

     

     

     

     

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    Rien ne peut nous séparer de son amour

     

     

     

    Rien ne peut nous séparer de son amour

     

     

     

     

    Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.  Romains 8.38-39 

     

    Je suis sûr que vous connaissez l’histoire du péché de David. Il eut de la convoitise pour la femme d’un autre homme et cette femme tomba enceinte. Alors il essaya de couvrir son péché en faisant boire son mari jusqu’à le rendre ivre, espérant qu’il coucherait avec sa femme déjà enceinte. Lorsqu’il vit que son subterfuge ne fonctionnait pas, David commit un meurtre. Il décida d’envoyer cet homme au plus fort d’une bataille, sachant qu’il mourrait.

     

    L’écriture nous dit en 2 Samuel 11.27 que ce que David fit déplut à Dieu. Dieu qualifia cette action de grand mal ; et il envoya le prophète Nathan pour lui dire : "Tu as fait blasphémer les ennemis de l’Éternel." (2 Samuel 12.14)

     

    David pria toute la journée pour la naissance de cet enfant, mais le bébé mourut, et David eut beaucoup de chagrin à cause de ces choses terribles qu’il avait provoquées. Cependant, en dépit de son péché, Dieu continua de l’aimer. Pendant que le monde se moquait de la foi de cet homme qui était tombé, Dieu donna à David un exemple de son amour inconditionnel.

     

    Bath-Schéba était maintenant la femme de David, et elle donna naissance à un autre enfant. David l’appela Salomon et il fut aimé de l’Éternel. La naissance et la vie de Salomon étaient une bénédiction totalement imméritée. Car l’amour de Dieu pour David ne faillit jamais, même à l’heure de la plus grande honte. C’est cela qui l’amena à la repentance.

     

    Dieu nous aime même lorsque nous péchons. Il n’approuve pas notre péché, mais son amour demeure. Il cherchera toujours à nous ramener à lui.

     

    Cessons de penser et de dire "Dieu a arrêté de m’aimer parce que j’ai failli". Au contraire, soyons fermement convaincus de l’amour inconditionnel de Dieu pour nous.

     

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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