Je ne ressens rien

La foi est l’assurance de ce qu’on espère, et la conviction de réalités qu’on ne voit pas. Hébreux 11 : 1
Nous marchons par la foi, non par la vue. 2 Corinthiens 5 : 7

Victor est un jeune chrétien. Il a cru au Seigneur Jésus. Mais depuis quelque temps il est troublé; il en parle à un ami.

– Il y a des jours où je suis heureux; je sens que je suis sauvé et j’ai la paix. Je prie et il me semble que Jésus m’écoute vraiment et qu’il est là près de moi. Mais parfois aussi je ne ressens absolument rien. Et quand je prie, j’ai l’impression qu’il n’est pas là, que ma prière n’est pas entendue. Ces jours-là, je me demande si je suis vraiment sauvé.

– Victor, si tu fermes les yeux très fort, penses-tu que le soleil cesse de briller ?

– Non, heureusement !

– Tu as raison : le fait de fermer les yeux n’a aucun effet sur le soleil. C’est toi qui te prives de sa clarté. Et si, par mauvais temps, les nuages et la pluie te le cachent, ils ne l’éteignent pas non plus. Il brille bien au-dessus d’eux, dans le ciel.

Victor, la Parole de Dieu est « établie à toujours dans les cieux » (Psaume 119 : 89). Elle reste vraie tous les jours de ta vie, que tu le ressentes ou non, car elle ne dépend pas de toi. Tu es sauvé par la foi parce que tu as cru au Seigneur Jésus. Dieu l’affirme (Actes 16 : 31). Tes sentiments n’y changent rien. Dieu ne te demande pas de sentir, il t’invite à croire sa Parole. Si tu as des doutes, apporte-les au Seigneur. Il est le Berger de ton âme et veut te donner la paix. Tu ne la trouveras pas en regardant à toi-même. Il te faut tourner les regards vers Jésus et son œuvre accomplie une fois pour toutes.

(Source : La Bonne Semence /  chretien.news)

Cailloux ou grains de sable ?

L’inquiétude dans le cœur de l’homme l’abat, mais une bonne parole le réjouit. Proverbes 12 : 25
Rejetez sur lui tout votre souci, car il prend soin de vous. 1 Pierre 5 : 7

L’autre jour, je saluais un ami en lui disant : « ça va ? ». Sa réponse m’a intrigué : « Oh, j’irais bien si je n’avais pas ces cailloux dans mes chaussures. – Que veux-tu dire par là ? . – Eh bien, répondit-il avec un soupir, j’ai des soucis qui me paraissent énormes, mais quand j’y réfléchis, je me rends compte qu’ils sont souvent insignifiants. Ils ressemblent à ces grains de sable qui me font l’effet de cailloux jusqu’à ce que je retire mes chaussures, les secoue et que je m’étonne qu’un si petit grain ait pu me sembler si gros ».

Avons-nous des grains de sable dans notre vie ? Ils nous donnent l’impression d’être de gros problèmes jusqu’à ce que nous les examinions. Ce sont des fardeaux qui nous chargent et nous freinent. Cela peut être une personne difficile, un travail trop prenant, un choix délicat...

Il ne s’agit pas de sous-estimer les difficultés que nous pouvons rencontrer, mais plutôt de nous encourager chacun à ne pas nous y enfermer. Parlons-en à d’autres. Parlons-en aussi à Dieu. Nous ferons l’expérience qu’il répond à la prière. Recherchons aussi dans la Bible comment des hommes et des femmes de foi ont réagi devant des difficultés : Abraham (Genèse 13), Anne (1 Samuel 1), Daniel (Daniel 1)et bien d’autres. Ces exemples nous aideront à trouver des réponses à nos problèmes.

Que nous soyons croyants ou encore à la recherche de la vérité, les épreuves peuvent être un chemin vers Dieu. En les traversant avec lui, nous ferons l’expérience de sa sagesse, de son amour et de ses soins

(Source : La Bonne Semence / chretien.news)

Renversons les murs de séparation

Mais maintenant, en Jésus-Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ. Car il est notre paix, lui qui des deux groupes n’en a fait qu’un et qui a renversé le mur de séparation, l’inimitié. Éphésiens 2.13-14 

Les bâtisseurs de murs, les dresseurs de barrières ont toujours existé. Pour se protéger des Mongols, les Chinois ont bâti la Grande Muraille. Pendant le long conflit entre les protestants et les catholiques d’Irlande du Nord, des murailles de briques séparaient les deux communautés. Aujourd’hui, des murs en béton séparent les communautés juives et palestiniennes en Cisjordanie… mais ces murailles sont-elles suffisantes pour garantir la paix ? Ces murs de séparation, qui servent à garantir la sécurité, ne contribuent-ils pas à entretenir un climat d’inimitié ?

Heureusement, il y a aussi des renverseurs de murs, des bâtisseurs de ponts. Le mur de l’Apartheid ne faisait que creuser un fossé toujours plus profond entre les noirs et les blancs en Afrique du Sud. La séparation, la ségrégation faisait s’éloigner de plus en plus les perspectives de paix au sein de cette nation. Mais un jour, le président Frederik de Klerk et Nelson Mandela ont décidé de renverser ce mur et de construire un pont entre les deux communautés.

De même, deux femmes irlandaises, Betty Williams et Mairead Corrigan, organisèrent des marches de protestation dans les rues de Belfast, rassemblant des milliers de familles catholiques et protestantes. Elles avaient décidé de construire des ponts, et ainsi renverser les murs de séparation.

Jésus nous invite, à notre tour, à être des bâtisseurs de ponts, à être des artisans de paix  ! Dieu déclare que ceux qui procurent la paix seront appelés fils de Dieu  ! (Matthieu 5.9)

Paul Calzada
(Source : TopChrétien)

Reprendre courage

L’Éternel soutient tous ceux qui tombent, et relève tous ceux qui sont courbés. Psaume 145. 14

Au milieu de nos épreuves les plus amères, nous avons le grand Dieu pour nous soutenir et nous relever. Pensée bien apaisante, sur laquelle peut se reposer la tête fatiguée ! Il semble que le Seigneur nous dise : Sèche tes larmes, je t’aime, je suis à ton côté. Moi je suis Dieu, infini en sagesse, en connaissance et en amour ; je connais exactement ton problème, et pour toi je veux être le meilleur et le plus tendre des amis.

Est-ce la maladie qui vous a atteint pendant des semaines, des mois, ou peut-être des années ? Dieu promet : “Je ne vous laisserai pas orphelins ; je viens à vous” (Jean 14. 18). – Est-ce votre richesse matérielle que “la mite” et “la rouille” ont corrompue (voir Matthieu 6. 19) ? Dieu vous assure : Je vous donnerai en compensation des richesses qui ne pourront pas être atteintes par le vol et les caprices de la vie terrestre. – Est-ce le deuil qui a marqué votre front de tristesse, qui laisse des chaises vides dans votre maison, et vous donne un sentiment de dépouillement et de désespoir ? Dieu vous dit : Tenez-vous tranquille ; je viendrai remplir ces vides douloureux par ma propre présence et par mon amour. – Est-ce le péché qui rend votre visage triste ? Êtes-vous fatigué(e) d’avoir récolté tant de misères après avoir puisé dans de mauvaises sources, à la recherche de satisfaction et de bonheur ? Tournez-vous vers moi, dit le Dieu vivant, et vous trouverez la paix et le pardon. “C’est moi, c’est moi qui efface tes transgressions à cause de moi-même ; et je ne me souviendrai pas de tes péchés” (Ésaïe 43. 25).

Ne doutez pas de la puissance ni de la volonté de Dieu de vous apporter du réconfort : il est “le Dieu de toute consolation” (2 Corinthiens 1. 3). Et notre Seigneur Jésus, de par la sensibilité extrême de sa nature humaine, a toutes les qualités pour aider à surmonter chacune de vos peines. d’après J.R. MacDuff

La vie est-elle sombre Quelquefois à mes yeux ?

Tu dissipes toute ombre, Ô Sauveur glorieux !

Au-dessus du nuage Je peux voir ta splendeur :

Ton regard m’encourage, Me comble de bonheur.

A. Ladrierre

(Source : Le Seigneur est proche / editeurbpc.com)

La délivrance divine

Au lieu de céder à la peur, remettons nos craintes à Dieu et croyons qu’il va nous accorder sa paix.

PSAUME 34.1-8 

Lorsque nous sommes éprouvés, l’inquiétude peut nous envahir. Le passage du jour éclaire toutefois nos ténèbres : « J’ai cherché l’Éternel, et il m’a répondu; il m’arrache à toutes mes frayeurs » (v. 5). Quand nous sommes envahis par le doute et que nous nous sentons vulnérables, Dieu veut nous servir de guide et chasser nos ténèbres pour nous amener dans sa présence et nous faire goûter son réconfort et son amour.

Comme la lumière du phare perce la nuit, la présence de Dieu nous rassure. Quand nous le cherchons de tout notre cœur et que nous lui faisons part de nos inquiétudes, il nous manifeste un amour qui transcende notre compréhension. La chaleur de sa compassion nous donne la force d’affronter vaillamment nos circonstances, car nous savons que nous ne sommes pas seuls. Dieu ne transformera pas nécessairement notre situation, mais il nous accordera paix et stabilité, car notre foi en lui surpassera nos craintes.

Consolons-nous en sachant que, même quand nous avons peur, Dieu est toujours avec nous et nous guide au moyen de sa lumière. Dans nos moments les plus sombres, il fait briller son amour sur nous et éclaire notre sentier. Il devient alors notre rocher, notre refuge et notre source de courage.

(Source : encontact.org)

Un pas seulement

(Jésus dit :) Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie. Jean 5. 24

Un groupe de jeunes anime l’arrière du bus. Voilà qu’un voyageur vient s’asseoir près d’eux… peut-être intentionnellement. Là, il se met à lire sa Bible. Cela ne passe pas inaperçu, et pour faire rire les autres, l’un de ces jeunes lui demande d’un air grave :

– Bonjour. Est-ce que vous pouvez me renseigner ? C’est loin d’ici, le paradis ?

Le voyageur regarde ce jeune dans les yeux et, à la fois bienveillant et sérieux, lui répond :

– Le paradis, mon cher, il n’est qu’à un pas de toi, mais veux-tu faire ce pas maintenant ?

Ces simples mots, et la manière dont ils ont été prononcés, font leur chemin dans le cœur et la conscience de ce jeune. Il n’a trouvé de repos dans son esprit qu’après avoir fait “ce pas” vers Jésus Christ, le Sauveur.

Est-ce que chacun de nos lecteurs a fait ce pas de la foi ? Il est nécessaire pour “passer de la mort à la vie”. La mort, c’est rester dans l’ignorance de l’amour de Dieu ; la vie, c’est connaître celui qui est venu nous le révéler, Jésus son Fils. Personne ne peut le faire à votre place. Peut-être avez-vous des parents ou des amis croyants ? Leur foi ne peut rien pour vous, il faut la vôtre. Peut-être faites-vous confiance à des intermédiaires entre vous et Dieu, pour tout ce qui concerne “la religion” ? Eux non plus ne peuvent pas vous aider autrement qu’en vous invitant à chercher vous-même la présence de Dieu, et c’est cela le paradis. Vous n’avez rien à lui offrir. Il n’attend de vous qu’une chose : le repentir produit par la foi. N’hésitez pas plus longtemps : faites le pas, venez à lui tel que vous êtes !

(Source : La Bonne Semence / editeurbpc.com)

Ne crains rien

Étant donné que notre Dieu aimant, fidèle et puissant ne nous quittera jamais, ne succombons pas à la crainte.

ÉSAIE 41.9,10 

Dans la Bible, les messagers et les prophètes de Dieu exhortent les gens à résister à la peur. Des recommandations comme : « Ne crains pas » ou : « Ne vous inquiétez de rien » abondent. Nous serions donc portés à croire que le monde est l’endroit sécuritaire dont nous avons toujours rêvé. Grâce à tous ces encouragements à ne pas avoir peur, ainsi qu’à la promesse de Dieu de toujours être avec nous, nous pourrions nous sentir invincibles.

En y regardant de plus près, nous voyons toutefois une autre histoire. À qui Dieu a-t-il adressé ces paroles?

• À Agar, la servante maltraitée, seule avec son jeune fils, sur le point de périr dans le désert. Sa vie était en danger, mais Dieu l’a vue.
• Aux esclaves hébreux, tourmentés depuis plusieurs générations, faisant face à la terrible réalité de passer toute leur vie dans le désert.
• Aux Israélites exilés qui ont vu la destruction de leurs villes, puis ont été amenés dans le pays du conquérant. Dieu leur a promis qu’ils reviendraient dans leur terre, mais pas avant 70 ans.

Aucune de ces personnes n’était en sécurité. Mais Dieu leur a dit : « Soyez sans crainte. » Il répète la même chose à tous ceux qui souffrent, de nos jours. Même si la souffrance persiste, Dieu ne nous abandonnera jamais.

(Source : encontact.org)

Dans les moments les plus sombres, je serai là !

Ne craignez point, je suis avec vous tous les jours. Matthieu 28.20

 

Voici l'histoire d'un homme qui devait se faire opérer. Nous sommes dans un service de chirurgie cardiaque, à la veille de l'opération. Tandis qu’on prépare l'intervention, l’homme se prépare moralement. En effet, ce n'est pas une mince affaire que de confier son cœur aux mains de chirurgiens inconnus. Voici son histoire et voici ce dont il se souvient : la veille, régime très léger et tout le matériel prêt pour le jour J. 

Une infirmière rentre dans sa chambre et lui explique : “C'est moi qui vais vous prendre en charge, avant et après l'opération. Il ne faut pas que vous ayez peur. Prenez ma main, serrez là fort. Voilà, c'est ainsi que je vous accompagnerai jusqu'à la salle d'opération. Lorsque vous arriverez, le chirurgien sera prêt et pour ma part, je resterai à vos côtés pendant tout le déroulement en vous tenant la main”. 

Cette perspective le rassura pleinement car son infirmière, d'une gentillesse exemplaire, savait vraiment trouver les mots pour le rassurer : “Après l'opération, on vous transférera en salle de réveil pour une surveillance plus étroite et un réveil en douceur : je serai là et je vous tiendrai la main de la même façon que maintenant. Ne craignez rien, je ne vous abandonnerai pas et tout se passera très bien, vous verrez !”

Cet homme raconte : “Lorsque je me suis réveillé, avec des appareils tout autour de moi, des tuyaux partout, la première chose que je constatai, c'était la présence de mon infirmière qui me tenait la main comme elle me l'avait promis ! Quel réconfort”

Jésus, lorsqu'il a quitté ses disciples leur a dit : “Je vous enverrai le consolateur, le Saint-Esprit, il sera à vos côtés et vous soutiendra”.

Dans les moments les plus sombres de votre vie, le Saint-Esprit sera comme un ami, comme cette infirmière qui tient la main du malade. Il sera là et viendra à votre secours.

Jean-Louis Gaillard

(Source : TopChrétien)

Compter sur Dieu

Confie-toi de tout ton cœur à l’Éternel, et ne t’appuie pas sur ton intelligence. Proverbes 3. 5

Rejetez sur lui tout votre souci, car il prend soin de vous.1 Pierre 5. 7

L’inquiétude ne nous gagne-t-elle pas souvent ? Difficultés qui s’amoncellent, lendemains incertains, et l’anxiété ronge…

Le Seigneur Jésus a pourtant prononcé ces paroles si bienfaisantes : “Ne soyez pas en souci pour votre vie… Observez les oiseaux du ciel : ils ne sèment, ni ne moissonnent… et votre Père céleste les nourrit… Ne soyez donc pas en souci pour le lendemain, car le lendemain sera en souci de lui-même : à chaque jour suffit sa peine” (Matthieu 6. 25, 26, 34).

Ces textes sont clairs, mais nous avons tant de mal à les appliquer dans notre vie ! Pourtant Dieu nous connaît, avec nos faiblesses, nos doutes, notre manque de foi, et il désire que nous lui fassions entièrement confiance, pour aujourd’hui et pour demain. Il nous donne même un ordre très fort : “Ne vous inquiétez de rien”. “De rien !” Petits soucis ou angoisses sévères, rien n’échappe à l’attention bienveillante de notre Père céleste ! Il veut simplement que nous lui disions notre désarroi, que nous lui parlions par la prière : “mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces ; et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus” (Philippiens 4. 6, 7).

Même si les difficultés ne disparaissent pas, nous savons que Dieu entend notre prière, et il remplira nos cœurs de sa paix. Il est ce Père tout-puissant qui nous aime et qui a le contrôle sur tout. Confions-nous en lui en nous appuyant sur son amour et sa fidélité.

(Source : La Bonne Semence / editeurbpc.com)

Notre cœur est ce qui compte le plus pour Dieu

Lorsqu’ils entrèrent, il se dit, en voyant Éliab : « Certainement, celui que l’Éternel désigne par onction est ici devant lui. » Mais l’Éternel dit à Samuel : « Ne prête pas attention à son apparence et à sa grande taille, car je l’ai rejeté. En effet, l’Éternel n’a pas le même regard que l’homme : l’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Éternel regarde au cœur. » 1 Samuel 16.6-7

 

Lorsque Samuel est venu à la maison de Jessé pour oindre le prochain roi d’Israël, nous voyons les critères que Dieu utilise pour choisir les personnes qui seront à son service.

Cette histoire fascinante contient une leçon très importante que je veux que vous compreniez. Juste après ces versets, Jessé fait défiler chacun de ses fils devant Samuel… sauf David. Jessé sait pourquoi Samuel est là, mais il ne se donne même pas la peine d’aller chercher David.

Le père de David l’avait exclu. Il ne voyait pas assez de potentiel en son fils pour l’appeler devant Samuel. David a tout de même été oint roi ce jour-là. Non pas en fonction de ce que Jessé jugeait important, mais en fonction de ce que Dieu jugeait important : le cœur de David.

Votre père vous a peut-être rejeté. Vos parents vous ont peut-être dit que vous n’arriveriez jamais à rien. Votre professeur vous a peut-être dit : "Tu ne deviendras pas grand-chose. Tu ferais mieux de te trouver un emploi au salaire minimum."

Seul Dieu peut voir dans votre cœur des choses que votre père ne peut pas voir, que votre mère ne peut pas voir, que vos professeurs n’ont pas vu, que votre famille ne voit pas, que les gens autour de vous ne voient pas.

Dieu tient aussi compte de nos capacités, de nos talents ou de notre formation. Toutes ces choses sont importantes, mais Dieu regarde d’abord la qualité la plus importante pour le service, et c’est notre cœur.

Ne laissez pas quelqu’un d’autre écrire votre histoire avant qu’elle ne se produise.

Bayless Conley
(Source : TopChrétien)

Abandonner ses soucis à Dieu

« La paix de Dieu gardera vos cœurs et vos pensées » Philippiens 4.7 

Quand l’angoisse devient trop forte, il y a deux choses à faire.

1) Trouver un ami chrétien. Pour briser la spirale de l’inquiétude, mieux vaut en parler à un croyant proche et fidèle. Lorsqu’Israël part conquérir la Terre promise, Dieu dit : « Qui a peur et manque de courage ? Qu’il s’en aille et retourne dans sa maison, afin que ses frères ne se découragent pas comme lui » (De 20.8). Le pessimisme, la peur et le découragement sont contagieux. Mais le courage l’est tout autant !

2) Agir et affronter ses peurs. Il est vrai que Dieu prend soin de chacun, mais les beaux sermons ne suffisent pas à réduire le stress. Il faut de la pratique, de la foi et de l’audace. Pour que la paix de Dieu devienne une réalité, il convient de lui faire confiance et d’aller au-devant de ce qui effraie.

Dans cette optique, voici quelques suggestions.

a) Méditer sur des passages tels que le Psaume 23, et s’imaginer guidé par le Seigneur dans de verts pâturages et au bord d’eaux calmes.

b) Parler à son ami chrétien avant que l’inquiétude ne s’installe.

c) Prier dans un soupir : « Dieu, je me décharge sur toi de tous mes soucis. »

d) Faire de l’exercice physique. C’est idéal pour réguler l’adrénaline, cette hormone des sensations fortes.

e) Identifier ses craintes et faire ne serait-ce qu’un petit pas pour les affronter.

f) Se reposer suffisamment. David a dit : « Aussitôt couché, je m’endors en paix, car toi seul, ô Éternel ! Tu me fais habiter en sécurité » (Ps 4.8).

Aujourd’hui, abandonnez vos soucis à Dieu !

Bob Gass