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    De l’espoir pour ceux qui souffrent

     

     

     

    De l’espoir pour ceux qui souffrent

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 6 

     

    Mon âme est toute troublée ; et toi, Éternel ! jusqu’à quand ? Psaume 6.4

     

    « La plupart des gens portent des cicatrices que les autres ne peuvent ni voir ni comprendre. » Ces paroles sortent de la bouche du joueur de la Ligue majeure de baseball Andrelton Simmons, qui n’a pas fini la saison régulière de 2020 du fait de problèmes de santé mentale. En réfléchissant à sa décision, Andrelton a ressenti le besoin de raconter son histoire, pour aider ceux qui auraient des défis comparables à les surmonter, et rappeler aux autres d’user de compassion envers eux.

     

    Les cicatrices invisibles témoignent de blessures que l’on ne peut voir, mais qui font encore souffrir. Dans le Psaume 6, David a décrit son propre combat intérieur en tenant des propos douloureux et honnêtes. Il était « sans force » (V. 3) et avait l’âme « troublée » (V. 4). Il s’était « [épuisé] à force de gémir », et sa couche était « baignée de larmes » (V. 7). Bien que David ne précise pas la cause de sa souffrance, nous sommes nombreux à pouvoir nous identifier à elle.

     

    Nous pouvons être encouragés par la façon dont David a réagi à sa douleur. Au cœur de sa terrible souffrance, il a crié à Dieu. En déversant son cœur avec honnêteté, il a prié pour obtenir guérison (V. 3), délivrance (V. 5) et miséricorde (V. 10). Même quand il a questionné « jusqu’à quand ? » (V. 4), il est resté certain que Dieu entendait ses prières (V. 10) et agirait en son temps (V. 11). Parce que Dieu est fidèle à lui-même, il y a toujours de l’espoir.

     

    Comment exprimer votre combat à Dieu lorsque vous avez l’âme troublée ? Comment avez-vous vécu la guérison, la miséricorde et le secours de Dieu ?

     

     

    Père, donne-moi le courage d’exprimer mes plus grandes souffrances
    et d’accueillir ta présence et ta guérison, dans ma situation.

     

     

    Lisa M. Samra
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    La joie dans l’épreuve

     

     

     

    La joie dans l’épreuve

     

     

     

    Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l’épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son œuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien. Jacques 1.2-4

    Personne n’est épargné par l’épreuve. Chacun de nous doit essuyer des tempêtes et connaît des « traversées du désert » : décès, problème de santé, dépendance, dépression, chômage, perte financière, accident, trahison, rejet ou encore persécution.

    L’épreuve n’est pas nécessairement la conséquence d’un péché récurrent, une punition, mais elle peut être permise (et non induite) par notre Dieu souverain et bienveillant qui connaît le début et la fin de toutes choses. Aussi insupportable peut-elle paraître à première vue et même si Dieu ne se réjouit pas de notre souffrance, l’épreuve peut faire partie de Son plan préparé d’avance afin de nous faire entrer dans nos promesses et nous amener à Sa parfaite ressemblance par Son Esprit (cf. Romains 8.29). Nous devons différencier le châtiment qui nous vient de Dieu et l’épreuve qu’Il permet puisque nous sommes dans Sa main et que TOUT ce qui nous concerne est constamment sous Son regard. Ainsi, nous devrions voir l’épreuve comme un sujet de joie et demeurer dans la paix, soumis à la volonté bonne et parfaite de notre Seigneur. Notre « divin potier » souhaite par elle nous façonner et retirer nos aspérités (orgueil, impulsivité, impatience, peur, avidité...) afin de faire de nous des vases utiles pour Son Royaume... (cf. 1 Pierre 1.6, 5.10 ; Philippiens 3.10).

    Oui, le Seigneur fait de nos infortunes des tremplins pour croître en sagesse et nous faire quitter notre état de bébé spirituel ! Il les consent car Il ne veut pas que nous restions à l’état de petits enfants chétifs, mais plutôt que nous grandissions en force et en beauté ! La croissance spirituelle, comme la croissance physique pour un enfant, peut s’avérer douloureuse mais elle est passagère. Et ce n’est pas une étape facultative : elle est essentielle pour être éveillé aux révélations divines, mais aussi pour être plus efficace dans les différentes activités comme le service pour le Royaume. En dehors de cela, il est également important de comprendre que lorsque Jésus reviendra, Il ne prendra pas comme Épouse un bébé ou un enfant spirituel...

    Parfois, le Seigneur nous demande juste d’être confiants et de garder le silence au cœur de la tourmente. C’est pourquoi, avec discernement et par l’écoute du Saint-Esprit, cessons de systématiquement vouloir batailler quand le combat appartient à Jésus qui a déjà TOUT remporté au calvaire, et proclamons qu’en Lui nous sommes PLUS QUE VAINQUEURS ! Le Seigneur est aux commandes et Il nous donnera toujours un moyen de sortir de l’épreuve ! (cf. Deutéronome 1.29-30 ; Exode 14.14 ; Matthieu 28.20 ; Luc 10.19 ; Romains 8.37). 


     

    (Source : 365 jours pour ranimer la flamme / chretien.news)

     

     

     

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    Creuser la Bible (1 et 2)

     

     

     

    Creuser la Bible (1)

     

     

    « Si tu la recherches avec soin comme des trésors » Proverbes 2.4 


    Étudier la Bible, c’est un peu comme chercher de l’or ou de l’argent. En conséquence, il faut : 1) chercher. Salomon écrit : « Si tu cherches [la sagesse de Dieu] comme l’argent, si tu la recherches avec soin comme des trésors, alors tu comprendras et tu trouveras la connaissance de Dieu » (v.4–5). Il ne suffit pas d’entrer dans une mine et de jeter un coup d’œil autour de soi. Pour trouver de l’or ou de l’argent, il faut minutieusement examiner les lieux. Les mineurs disent que l’or ne se révèle pas, ce sont eux qui le révèlent en frappant la roche. Le but de ces méditations quotidiennes n’est pas de remplacer la lecture régulière de la Bible, mais d’aiguiser l’appétit spirituel. Selon une étude, à peine 9 % des chrétiens lisent la Bible tous les jours ! En faites-vous partie ? 2) creuser. L’Esprit de Dieu qui est en moi me parle quand je lis sa Parole. C’est l’histoire d’un homme qui aimait étudier la Bible. À chaque fois qu’il ne comprenait pas un texte, il sollicitait son ami Charlie, un spécialiste de la Bible chevronné plein de sagesse. Notre homme s’adressait à lui dès qu’il avait une question sur le sens d’un verset ou sur ce que Dieu voulait lui dire. Un beau jour, pendant sa lecture, le Saint-Esprit lui a parlé et lui a dit : « Pourquoi ne pas me demander à moi ? C’est moi qui enseigne Charlie. » Ainsi, attendez-vous à ce que Dieu vous parle aujourd’hui pendant que vous lisez sa Parole, il le fera !

     

     

     

    Creuser la Bible (2)

     

     

    « Quand on découvre ta parole, on reçoit la lumière » Psaumes 119.130, PDV

     

    Le Président Woodrow Wilson a déclaré : « Je suis bien triste pour ceux qui ne lisent pas la Bible tous les jours. Pourquoi se priver de cette force et de ce plaisir ? C’est un livre unique au monde. Chaque fois que vous l’ouvrez, un texte déjà lu une vingtaine de fois prend soudain un sens nouveau. Je ne connais aucun autre livre qui produise cet effet, qui révèle ce que ses mots signifient d’une manière si personnelle, et qui semble s’adapter de façon si intime à l’esprit qui cherche son conseil. » Pour tirer le meilleur parti de la Bible, il faut se poser les sept questions suivantes. 1) Y a‑t-il un avertissement dont il faut tenir compte ? 2) Y a‑t-il une promesse à réclamer ? 3) Y a‑t-il un péché auquel renoncer ? 4) Y a‑t-il un commandement à garder ? 5) Y a‑t-il une leçon à retenir ? 6) Y a‑t-il un principe à appliquer ? 7) Y a‑t-il un exemple à suivre ? Mettez par écrit les réponses que Dieu vous donne. Vous serez alors étonné(e) de la sagesse que vous en tirerez et des principes de réussite que vous découvrirez. Vos angoisses commenceront à se dissiper, votre esprit s’éclairera, et vous connaîtrez la paix. Jean écrit : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu » (Je 1.1). Il est dit « la Parole était Dieu ». En effet, plus vous lisez votre Bible, plus vous vivrez la présence et la puissance de Dieu. Vous pourriez adopter le slogan d’une célèbre carte de crédit : « Ne partez pas sans elle ! »

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

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    Comment allez-vous ?

     

     

     

    Comment allez-vous ?

     

     

     

     

    [Joseph, vendu par ses frères,] leur demanda s’ils allaient bien. Genèse 43. 27

     (Jésus dit :) Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. Matthieu 11. 28

     

    Cette formule de politesse banale attire souvent une réponse tout aussi banale : “Très bien, merci”. On ne s’étend pas, on passe vite à autre chose. Peu de personnes en effet sont disposées à sympathiser sincèrement avec leurs semblables. Dans la Bible, David, pourchassé par son beau-père qui voulait le tuer, a dit : “Il n’y a personne qui s’enquière de mon âme” (Psaume 142. 5).

     

    Vous vous sentez peut-être isolé, sans soutien et entouré d’indifférence. Pourtant, quelqu’un s’intéresse à chacun de nous, nous suit du regard et veut notre bien. Il nous demande aujourd’hui : “Tout va-t-il bien pour toi ?” Sa question n’est pas de pure forme ; elle porte sur ma vie familiale, professionnelle, mais surtout sur l’état de ma conscience : es-tu heureux, satisfait de ton existence, sans crainte de l’avenir, sans peur en pensant à la mort et à ce qui suit ?

     

    Dieu nous interroge, et attend une réponse personnelle. Il sait ce qu’est notre vie, depuis le moment de notre naissance jusqu’à aujourd’hui. Et parce qu’il nous aime et nous veut dans son ciel, il nous offre le salut par son Fils, le pardon de nos péchés, la paix avec lui, et la vie éternelle. Acceptez-vous ce cadeau ?

     

    David avait mis sa confiance en Dieu, et malgré de grandes difficultés, il ne lui manquait rien (Psaumes 143 et 23). Le croyant n’est pas exempt d’épreuves, mais il peut néanmoins rester paisible, car il a un Père céleste qui l’aime et s’occupe de lui. Il peut alors répondre : “Oui, je vais bien”.

     

     

    (Source : La Bonne Semence / editeurbpc.com)

     

     

     

     

     

     

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    Faire confiance

     

     

     

    Faire confiance

     

     

     

     

    Lecture proposée : Ésaïe 26.1-4 

     

    Confiez-vous en l’Éternel à perpétuité. Ésaïe 26.4

     

    En ouvrant les stores un matin d’hiver, je me suis retrouvée devant un mur de brouillard. « Un brouillard glacial », selon le météorologue. Phénomène rare chez nous, cette brume épaisse s’accompagnait d’une surprise encore plus grande : une prévision annonçant un ciel bleu et le soleil – « dans une heure ». J’ai alors dit à mon mari : « Impossible ! On peut à peine voir un mètre devant soi. » N’empêche que, moins d’une heure plus tard, le brouillard s’était dissipé, le ciel s’était éclairci et le soleil brillait.

     

    Debout devant la fenêtre, j’ai réfléchi à mon degré de confiance face aux brouillards de ma vie. J’ai demandé à mon mari : « Est-ce que je ne fais confiance à Dieu que pour ce que je peux déjà voir ? »

     

    Quand le roi Ozias est mort et que des souverains corrompus ont accédé au pouvoir en Juda, Ésaïe s’est posé une question similaire. À qui puis-je faire confiance ? Dieu lui a répondu par un songe si remarquable qu’il a convaincu le prophète que Dieu est digne de confiance dans le présent, en vue de jours meilleurs. Ésaïe l’a loué ainsi : « À celui qui est ferme dans ses sentiments tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi » (ÉS 26.3). Le prophète a ajouté : « Confiez-vous en l’Éternel à perpétuité, car l’Éternel, l’Éternel est le rocher des siècles » (V. 4).

     

    En période de brouillard, gardons les yeux fixés sur Dieu, qui mérite notre confiance et qui vient à notre secours.

     

    Comment pouvez-vous détourner le regard de vos problèmes actuels pour le reporter sur notre Dieu éternel ?

     

    Mon Dieu, dans ce monde embrumé et déconcertant, aide-moi à fixer le regard sur toi.

     

     

    Patricia Raybon
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     

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    Passez de la mort à la vie

     

     

     

    Passez de la mort à la vie

     

     

     

    Il dit : « Jeune homme, je te le dis, lève-toi ! » Et le mort s’assit et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère. Luc 7.14-15 

     

    La Bible nous invite à plusieurs reprises à intercéder et à faire connaître nos besoins. Aujourd’hui, je vous parle d’un miracle qui a eu lieu sans que personne ne demande quoi que ce soit… Petit tour dans la ville de Naïn !

    "Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici qu’on portait en terre un mort, fils unique de sa mère qui était veuve ; beaucoup d’habitants de la ville l’accompagnaient. En voyant la femme, le Seigneur fut rempli de compassion pour elle et lui dit : « Ne pleure pas ! » Il s’approcha et toucha le cercueil ; ceux qui le portaient s’arrêtèrent. Il dit : « Jeune homme, je te le dis, lève-toi ! » Et le mort s’assit et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère." (Luc 7.12-15)

     

    La femme n’a rien demandé à Jésus, et pourtant le MIRACLE A BIEN LIEU. Pourquoi ? La Bible dit que Jésus est ému de compassion… La définition du mot en grec, "splagchnizomai", tel qu’il est écrit dans le texte original, est la suivante : "être remué dans ses intestins ; en d’autres termes, être ému de compassion, avoir compassion" (car les entrailles sont censées être le siège de l’amour et de la pitié).

     

    C’est un niveau extrêmement profond de compassion qui pousse le Seigneur à l’action. Sa motivation, c’est l’amour.

     

    C’est pourquoi, ce jour-là, à Naïn, le cortège funéraire a rencontré le cortège de vie du Christ. Retenez ceci : là où Jésus passe, sa vie passe aussi. Quelle que soit la gravité de la situation, Jésus peut rappeler à la vie ce qui était perdu.

     

    Il a autorité sur chacune de vos circonstances, peu importe ce que vous vivez actuellement, RIEN n’est trop grand pour lui ! Il est votre Sauveur et ultime défenseur !

     

    Vous n’êtes pas oublié aujourd’hui. C’est un nouveau jour, une nouvelle journée accompagnée de nouvelles opportunités, qui se lève !

     

     

     

    Audrey Salafranque
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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    Quand vient la colère (1 et  2)

     

     

     

    Quand vient la colère (1) 

     

     

     

    « Que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à la colère » Jacques 1.19  

     

    La Bible nous donne trois clés pour bien gérer la colère. Voyons ce que chacune peut nous apprendre. 1) Être « prompt à écouter ». Ne pas réagir et se précipiter pour juger. Retrouver son calme et chercher à comprendre les faits, puis réfléchir dans la prière à la manière dont Dieu veut que l’on réponde. 2) Être « lent à parler ». Dans l’incertitude ou l’ignorance, il faut simplement se taire. Un vieux proverbe chinois dit : « Il vaut mieux ne rien dire et passer pour un imbécile que d’ouvrir la bouche et de le confirmer. » Vouloir tout contrôler, me donner l’air d’avoir toutes les réponses peut se retourner contre moi. Ce que je ne dis pas, je n’aurai pas à l’expliquer ou à m’en excuser plus tard. 3) Être « lent à la colère ». Attention, la Bible ne dit pas de ne jamais se mettre en colère. Elle conseille de se fâcher pour les bons motifs, au bon endroit et au bon moment. Salomon dit : « Il ne faut pas s’irriter trop vite ; seuls les sots s’irritent facilement » (Ec 7.9, BFC). Il est donc important de bien gérer ses blessures. Une plaie mal soignée est douloureuse et peut engendrer de la colère. Hélas on la garde en soi et on finit par la reporter sur les autres. En conséquence, ils s’éloignent, ou se méfient, ou refusent l’intimité et la proximité que l’on désire avec eux. La Bible dit : « L’homme qui a du discernement est lent à la colère, et il met son honneur à passer sur une offense » (Pr 19.11). Faire preuve de patience, d’amour et de retenue est la clé du développement chrétien. 

     

     

      

     

    Quand vient la colère (2) 

     

     

     

    « Ne t'irrite pas, ce serait mal faire » Psaumes 37.8 

     

    La colère peut ou non blesser la personne vers laquelle elle est dirigée, mais elle peut certainement blesser son auteur. À la longue, elle libère des toxines dans le corps qui élèvent la tension artérielle, créent du cholestérol et augmentent le risque d’accident cardiaque. Chaque minute concédée à la colère est une minute volée à la joie. C’est valable à la maison comme au travail. Tout le monde s’énerve de temps en temps. Mais quand la colère devient récurrente, les gens ont tendance à nous fuir. De plus, on donne à quiconque nous met en colère le pouvoir sur notre attitude et nos réponses. C’est trop pour qui que ce soit ! Dieu veut que l’on vive en paix. Voici comment se débarrasser de la colère. 1) Reconnaître que c’est souvent la fierté qui est à l’origine de la colère. 2) Se rendre compte que la colère mène parfois au blasphème. 3) Limiter l’effet de la colère sur le corps en respirant profondément et en ajoutant « Merci, Père » ou « Je reçois ta paix maintenant. » Surveiller son ton de voix envers tout le monde, pas seulement envers ceux qui ont provoqué cette colère. Demander plutôt que commander. L’entourage sera plus enclin à coopérer. 4) Décider de pardonner. On aura pardonné quand on voudra renoncer à punir notre agresseur. Ça ne remet pas en cause la réalité de la blessure subie. Les sentiments suivent le comportement. Si on ne cesse de rouvrir la plaie en en parlant constamment, elle ne guérira jamais. Il suffit de marcher dans l’amour et tout ira bien. 

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

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    La crainte, un indice

     

     

     

     

    La crainte, un indice

     

     

     

     

     

    De quoi avez-vous peur ? Dieu vous invite à lui parler de vos craintes et à recevoir de lui paix et courage.

     

     

    Lecture proposée : Nombres  13 – 14 

     

    Savez-vous pourquoi les Israélites ont erré dans le désert durant 40 ans? Parce qu’ils ont douté de Dieu en raison de leur crainte. L’Éternel désirait qu’ils habitent la Terre promise, mais quand Moïse y a envoyé des espions, dix d’entre eux lui ont présenté le rapport suivant : « Mais le peuple qui habite ce pays est puissant, les villes sont fortifiées, très grandes; nous y avons vu des enfants d’Anak » (Nombres 13.28). Par conséquent, les Israélites ont tremblé devant ces géants et ont douté de la Parole de Dieu. Ils n’ont donc jamais vécu dans le pays où coulaient le lait et le miel.

     

    Comme pour les Hébreux, l’une des raisons pour laquelle nous remettons en question ce que Dieu nous a dit, c’est que nous craignons l’échec. Bien que normale, cette inquiétude indique qu’il est temps de faire deux choses :

     

    1. Effectuer un examen de conscience. Qu’est-ce qui nous effraie? Comment Dieu voit-il la situation? Comment va-t-il réagir à nos sentiments?

     

    2. Communier avec Dieu. On peut toujours avouer ses craintes à Dieu; il veut nous en entendre parler.

     

    Dieu désire que nous avancions dans la vie avec assurance (2 Timothée 1.7). Quand nous sommes tentés de céder à la peur plutôt que de lui obéir, arrêtons-nous, examinons-nous et parlons à Dieu.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

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    Usez de votre autorité

     

     

     

    Usez de votre autorité

     

     

     

    Ecoutez bien ceci : il est vrai que je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et d'écraser toutes les forces de l'Ennemi, sans que rien ne puisse vous faire du mal. Luc 10.19

     

    Jésus n’a jamais promis que nous n’aurions pas à affronter des situations stressantes. Dans Jean 16.33, il a dit : "Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j'ai vaincu le monde.", et il poursuit en disant que nous pouvons être rassurés car Il a vaincu le monde. Ce verset nous montre que nous n’avons pas à nous inquiéter du monde dans lequel nous sommes parce que Jésus a désarmé le monde. Il ne peut rien faire contre nous et nous pouvons affronter les défis de la vie dans le calme et la confiance.

     

    Luc 10.19 dit : Il est vrai que je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et d'écraser toutes les forces de l'Ennemi, sans que rien ne puisse vous faire du mal." Ici, Jésus nous dit qu’Il nous a équipé pour être vainqueurs sur le monde tout comme lui est vainqueur. Bien que nous vivions des situations stressantes qui ne sont pas toujours faciles à traverser Jésus nous assure qu’aucune d’elles ne peut avoir le dessus sur nous si nous nous comportons de la bonne manière, la manière de faire de Jésus ! Emparez-vous de l’autorité que vous avez en Christ et surmontez tous les obstacles !

     

    Ma prière pour aujourd’hui : Seigneur, je reçois l’autorité et la puissance que tu m’as données. Montre-moi comment marcher avec ton autorité et surmonter les défis et les challenges de ce monde comme Christ.

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

     

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    Un chemin inconnu

     

     

     

    Un chemin inconnu

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 142 

     

    Quand mon esprit est abattu au-dedans de moi, toi, tu connais mon sentier. Psaume 142.4

     

    Peut-être n’aurais-je pas dû accepter d’aller courir avec Brian. J’étais à l’étranger et je n’avais pas la moindre idée d’où on irait, ni de la distance que l’on parcourrait, ni sur quel genre de terrain. Sans compter que Brian était un coureur rapide. Allais-je me tordre une cheville en essayant de rester à sa hauteur ? Que pouvais-je faire, sinon faire confiance à Brian ? Quand nous nous sommes lancés, mon anxiété s’est accrue. Le terrain était accidenté et serpentait dans une forêt dense. Heureusement, Brian se retournait souvent pour voir comment j’allais et me prévenir des embûches.

     

    Peut-être que certains se sentaient comme moi dans les temps bibliques, en entrant dans un territoire inconnu – Abraham en Canaan, les Israélites dans le désert et les disciples de Jésus en mission pour annoncer la Bonne Nouvelle. Ils n’avaient pas la moindre idée de ce à quoi leur voyage ressemblerait, sinon qu’il serait assurément difficile. Mais Quelqu’un connaissant le chemin les dirigeait. Ils devaient compter sur Dieu pour leur donner la force d’aller jusqu’au bout et savoir qu’il prendrait soin d’eux.

     

    Cette assurance a réconforté David qui était en fuite. Malgré une grande incertitude, il a dit à Dieu : « Quand mon esprit est abattu au-dedans de moi, toi, tu connais mon sentier » (PS 142.4). Il nous arrivera de redouter ce qui nous attend. Mais nous savons une chose : notre Dieu, qui marche avec nous, connaît le chemin.

     

    Qu’est-ce qui vous inquiète le plus dans la vie ? Comment pouvez-vous vous rappeler que Dieu marche avec vous et connaît le chemin ?

     

    Père, même si je ne sais peut-être pas ce qui m’attend, je ne doute pas que tu prendras soin de moi et que tu guideras mes pas.

     

     

     

    Leslie Koh
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     

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    Le plus grand réconfort

     

     

     

    Le plus grand réconfort

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Josué 1.1-9 

     

    L’Éternel, ton Dieu, est avec toi dans tout ce que tu entreprendras. Josué 1.9

     

    Il y a longtemps, notre famille a visité Four Corners, le seul endroit aux États-Unis où quatre États sont limitrophes. Mon mari s’est tenu dans la section marquée Arizona. Notre fils aîné, A. J., a sauté en Utah. Notre fils cadet, Xavier, m’a tenu la main alors que nous entrions au Colorado. Quand j’ai filé au Nouveau-Mexique, Xavier m’a dit : « Maman, je n’arrive pas à croire que tu m’aies laissé au Colorado ! » Nous étions ensemble et en même temps séparés quand nos rires ont retenti dans quatre États différents. Maintenant que nos fils adultes ont quitté le nid, j’apprécie plus encore la promesse divine de rester près de tous où qu’ils soient.

     

    Après la mort de Moïse, Dieu a appelé Josué à diriger le peuple et lui a garanti qu’il serait avec lui durant la conquête du territoire par les Israélites (JOS 1.1-4). Le Seigneur a dit : « Je serai avec toi, comme j’ai été avec Moïse ; je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point » (V. 5). Sachant que Josué aurait des doutes et des craintes, Dieu lui a procuré un espoir fondé sur ces paroles : « Ne t’ai-je pas donné cet ordre : Fortifie-toi et prends courage ? Ne t’effraie pas et ne t’épouvante pas, car l’Éternel, ton Dieu, est avec toi partout où tu iras » (V. 9 ; Colombe).

     

    Où que Dieu nous conduise, nous ou nos êtres chers, même dans les moments difficiles, il nous assure qu’il est toujours là.

     

    Comment Dieu vous a-t-il réconforté dernièrement pas sa présence constante ? En quoi son engagement à être là vous vient-il en aide lorsque vos êtres chers sont au loin ?

     

     

    Dieu omniprésent, merci de me réconforter par la promesse de ta présence constante.

     

     

    Xochitl Dixon
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     

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