Nous remporterons des batailles dans la louange

“Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu… toutes les portes s’ouvrirent…” Ac 16. 25-26

Pour remporter les batailles contre l’ennemi, rien ne vaut la stratégie de la louange à Dieu. Au lieu de pleurer et se lamenter sur leurs difficultés, les deux hommes chantaient les louanges de Dieu et les portes s’ouvrirent ensuite. Quand une vaste armée ennemie s’avança contre l’armée de Josaphat, celui-ci plaça devant les soldats des musiciens et des chanteurs chargés de chanter : “Célébrez le Seigneur, car Sa bienveillance dure à toujours” (2 Ch 20. 20-30).

Les soldats ennemis finirent par s’entretuer et les troupes de Josaphat revinrent à Jérusalem en continuant à célébrer Dieu ! Dieu avait fait savoir au peuple d’Israël, dès sa sortie d’Egypte qu’il devait voyager selon une formation bien établie (Nb 10. 11-28). La tribu qui ouvrait la marche était toujours la tribu de Juda dont le nom signifie “Que Dieu soit loué”. Ce choix était déterminé à l’avance. Ce n’est pas à la minute où l’ennemi vous attaque que vous devez prendre cette décision, mais bien avant. Tout soldat qui s’engage dans une bataille a suivi un entrainement au combat, a endossé des habits adéquats et a pris les armes qui lui sont familières. La stratégie n’est pas sa responsabilité, il fait seulement confiance à son chef. Dieu ne vous demande pas davantage.

Laissez-Le gérer la bataille, contentez-vous de Lui faire confiance et par la foi, de Le célébrer pour la victoire qu’Il va vous permettre de remporter. Souvenez-vous de Ses promesses d’être toujours à vos côtés et priez en les Lui rappelant. Rien ne Lui plaît davantage que d’entendre Ses enfants Le louer et se souvenir qu’Il est leur Père en qui ils peuvent vraiment se fier. “Louez le Seigneur ! Car Il est bon de chanter notre Dieu, il est doux et beau de Le louer” (Ps 147. 1)

Bob Gass

Avez-vous des projets ?

“Car Je connais les projets que J’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance” Jr. 29. 11 

Debbie Bruwer eut durant 15 ans, une carrière internationale d’aviron au cours de laquelle elle remporta deux médailles d’argent olympiques et trois titres mondiaux. Sa carrière sportive finie, elle a travaillé comme officier de prison pendant 12 ans et aide aujourd’hui deux associations chrétiennes. Elevée dans un milieu chrétien, elle réalise à l’adolescence qu’elle n’a pas de relation personnelle avec Jésus Christ. Elle décide à ce moment-là de vraiment chercher Dieu et d’accepter Jésus comme son Seigneur.

Passionnée de sport, elle rêvait depuis longtemps de représenter son pays aux Jeux Olympiques mais elle savait qu’elle n’était pas assez bonne dans le sport qu’elle pratiquait à ce moment là. Or l’aviron faisait partie intégrale de son entrainement sportif et un jour quelqu’un étudia ses performances et lui dit de songer à adopter ce sport. Elle décida donc de tenter sa chance dans cette discipline. Trois mois plus tard un entraîneur britannique vint la voir et lui proposa de prendre en main son entraînement. Par deux fois, Dieu utilisa des personnes qu’elle ne connaissait pas pour ouvrir les bonnes portes dans sa vie et Debbie sut obéir bien qu’elle n’eût pas de prétentions dans cette direction.

Une carrière sportive est souvent courte et comme dans d’autres domaines de la vie nous avons parfois besoin de préparer la suite des événements. Les plans de Dieu sont peut-être différents des nôtres mais ils sont toujours meilleurs. Avant de prendre sa retraite sportive, Dieu avait déjà préparé le cœur de Debbie. Elle rencontra des jeunes gens en difficulté et s’intéressa à eux avant de suivre une formation pour devenir officier de prison.

Peut-être aujourd’hui ne savez-vous pas dans quelle direction vous orienter concernant vos études, votre carrière, votre service dans l’église. Sachez écouter votre cœur : “qu’est-ce qui vous passionne ?” Sachez être disponible et courageux pour accepter les propositions qui vous sont faites. Nous lisons : “A l’homme les projets, au Seigneur la réponse. Toutes les voies de l’homme sont pures à ses yeux, mais c’est le Seigneur qui pèse les cœurs. Recommande ton activité au Seigneur et tes projets seront affermis” (Pr 16. 1-3).

Bob Gass

Que nous apprend l’histoire de Lazare (1)

“Mais maintenant je sais…” Jn 11. 22

Après la mort de Lazare, Jésus arriva à Béthanie. Marthe vint à sa rencontre et “dit à Jésus : Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort ! Mais maintenant même, je sais que tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te le donnera’ (Jn 11. 21-22). Que nous apprend cette histoire ? 1- Jésus sait ce que vous ressentez. Aux funérailles de Lazare on vit Jésus pleurer. Puis les Juifs s’écrièrent : “Voyez combien Il l’aimait !” (Jn 11. 35-36). Cela prouve que notre Dieu est capable, non seulement de ressusciter un mort, mais aussi d’éprouver de la sympathie à notre égard (Relisez He 4. 15). Si vous êtes dans le deuil aujourd’hui, tournez-vous vers Dieu et laissez-Le vous réconforter. 2- Jésus est capable de vous rendre ce que la vie vous a pris. Il peut restaurer les années que la vie vous a volées (Jl 2. 25). Appuyez-vous sur cette promesse : appliquez-la aux situations où vous avez tout perdu puis demandez à Dieu de remplacer le temps gâché et de renouveler ce que vous avez perdu. Marthe a dit : “Seigneur, si Tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même je sais que tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera” (Jn 11. 21-22). Au lieu de prier : “Oh si seulement…” osez prier : “Mais maintenant je sais…” Il n’est jamais trop tard. Dieu est capable d’agir à tout moment pour votre bien. 3- Jésus peut vous libérer. “Il cria d’une voix forte : Lazare, sors ! Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bande… Jésus leur dit : Déliez-le et laissez-le aller” (Jn 11. 43-44). La parole de Dieu est plus puissante que tout ce qui a pu vous lier auparavant ou vous maintenir en esclavage. Même si votre intelligence n’arrive pas à le comprendre, laissez votre esprit répondre à l’appel divin. Priez, comme le psalmiste : “Donne-moi l’intelligence pour que je garde Ta loi et que je l’observe de tout mon cœur ! Conduis-moi dans le sentier de Tes commandements car j’y prends grand plaisir !” (Ps 119. 34-35 TP). En priant ainsi vous permettez à votre foi de se développer, et les circonstances qui vous semblent encore impossibles à gérer, soudain s’aplaniront sous la main de Dieu.

Que nous apprend l’histoire de Lazare (2)

“Afin que la gloire du Fils de Dieu soit manifestée à travers elle…” Jn 11. 4

Voici trois leçons supplémentaires que nous offre l’histoire de Lazare : 1- Dieu a prévu un meilleur plan, un plan de plus grande envergure aussi ! Lazare était depuis 4 jours dans la tombe lorsque Jésus arriva. Quand le Seigneur prend Son temps, il y a deux bonnes raisons pour cela: la première est qu’Il tient à ce que Sa gloire soit manifestée aux yeux de tous. Les Pharisiens pensaient que l’esprit d’un mort ne quittait le corps que le quatrième jour après le décès. Si Jésus était intervenu plus tôt, ils auraient fait remarquer que Lazare n’était pas vraiment mort ! Voilà pourquoi Jésus affirma à Ses disciples : “Cette maladie est… pour la gloire de Dieu” (Jn 11. 4). C’est seulement avec un peu de recul que nous découvrons l’étendue de l’intervention divine ! La deuxième raison est que notre foi a besoin d’être encouragée et affermie. Jésus a dit : “Je Me réjouis pour vous de ce que Je n’étais pas là, afin que vous soyez à même de croire” (Jn 11. 15 TP). Dans la vie les crises se suivent et ne se ressemblent pas, mais ce qui doit rester constant, c’est notre foi. 2- Dieu vous demandera de vous débarrasser des obstacles et de gérer la mauvaise odeur ! “Jésus dit : Otez la pierre. Marthe s’écria : Seigneur, il sent déjà. Voilà quatre jours qu’il est là” (Jn 11. 38-39). Etes-vous en train de prier pour la résolution d’un problème alors que Dieu vous demande de vous débarrasser d’une “pierre” et de gérer la “mauvaise odeur” enfouie à un autre endroit ? Abandonnez-vous à Sa volonté ! Vous n’avez aucune chance de vous en sortir tout seul ! Lorsque votre cœur est en paix avec Dieu, Il répond à vos prières ! 3- Dieu veut que vous deveniez un témoignage vivant. Partout où se rendit ensuite Lazare, sa vie prouvait, même sans qu’il ouvre la bouche, que Jésus était le Seigneur Tout Puissant ! Et ce devrait être la même chose avec chacun d’entre nous. Si Dieu vous a sauvé et “ressuscité de la mort” c’est afin que vous deveniez un témoignage vivant de Sa grâce et de Sa bonté infinies.

Bob Gass

Un nouveau départ

En raison de la grâce incommensurable de Dieu,
il n’est jamais trop tard pour recommencer à neuf.

2 CORINTHIENS 5.16-18 

Après un long hiver, les cerisiers qui renaissent et s’ornent de fleurs signalent l’arrivée du printemps. Les touristes parcourent de grandes distances pour voir des cerisiers en fleur dans des villes comme Tokyo et Washington D.C.

Comme les cerisiers en fleur annoncent un renouveau, la grâce de Dieu permet de prendre un nouveau départ en vertu de la foi en Jésus (Éphésiens 2.8). Grâce au don du salut, notre passé ne définit pas notre avenir. Dans sa sagesse et sa bonté infinies, Dieu nous encourage à lui remettre les fardeaux d’hier et à accueillir les promesses de demain.

Durant cette saison, Dieu nous invite à regarder vers l’avant, car même s’il ne change pas, il accomplit toujours de nouvelles choses. Comme le cerisier annonce l’arrivée du printemps, le prophète Ésaïe nous rappelle que Dieu veut sans cesse renouveler notre vie. « Ne pensez plus aux événements passés, et ne considérez plus ce qui est ancien. Voici, je vais faire une chose nouvelle […] Je mettrai un chemin dans le désert, et des fleuves dans la solitude » (43.18,19).

Vous êtes-vous ouvert à l’œuvre transformatrice de Dieu? Il peut ranimer votre espoir et vous aménager des sentiers dans des lieux où vous vous sentez perdu. Il est un guide sûr; suivez-le.

(Source : encontact.org)

Aimé par un Père qui nous écoute

“Seigneur, je fais appel à Toi, viens vite près de moi ! Écoute-moi : je T’appelle !” Ps 141. 1 

Holley Gerth raconte : “Je viens de m’endormir quand soudain le téléphone sur ma table de chevet se met à sonner. Je réponds d’une voix embuée de sommeil. C’est ma fille de 22 ans qui vient de vivre une journée difficile et qui souhaite me parler. Je fais tout mon possible pour l’écouter. Je prie très vite que Dieu me donne les paroles adéquates pour répondre à ses interrogations. Mais cela n’est pas nécessaire. Au bout de quelques minutes elle me dit qu’elle se sent déjà mieux, et je me rends compte qu’en fait elle n’avait pas besoin de conseils, seulement d’entendre ma voix et de savoir que je l’écoutais.”

L’exemple de la fille d’Holley nous donne une leçon d’importance. Combien de fois, au soir d’une journée pénible et déprimante, ne nous sommes-nous pas recroquevillés dans notre déprime au lieu d’appeler notre Père qui est toujours prêt à nous écouter ? David avait l’assurance de pouvoir appeler son Père spirituel dès qu’il se sentait seul, perdu, en manque de réconfort. Il se savait aimé de Dieu, malgré ses fautes. Sa foi était celle d’un enfant qui ne doute pas que le rôle de son père est de répondre à ses appels à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit. Souvenez-vous qu’il est écrit à propos de Dieu, “Celui qui te garde ne sommeille pas. Non, Il ne sommeille ni ne dort, Celui qui garde Israël” (Ps 121. 3-4).

L’auteur de la lettre aux Hébreux écrit : “Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, pour obtenir compassion et trouver grâce, en vue d’un secours opportun” (He 4. 16). Il est prêt à répondre à nos appels à l’aide, prêt à nous rappeler combien Il nous aime. Imitons David et appelons-Le simplement, dès que nous sentons que nous per- dons pied, que nous sommes effrayés ou que nous sommes submergés de pensées négatives.

Bob Gass

Vos difficultés sont-elles voulues par Dieu ?

Dieu est fidèle, et il ne permettra pas non plus à l’avenir que l’épreuve dépasse vos forces. Au moment de la tentation, il vous donnera la force d’y résister et il préparera une issue pour que vous en sortiez vainqueurs. 1 Corinthiens 10.13 

Les difficultés sont-elles voulues par Dieu ? Nous pouvons plus facilement admettre que les difficultés et les épreuves sont permises par Dieu. Mais qu’en est-il vraiment ?

C’est une question importante, parce que tant de gens abandonnent la foi pensant que Dieu les a abandonnés alors qu’ils étaient au cœur d’une épreuve douloureuse. 

Jésus lui-même semblait envoyer les disciples au-devant d’épreuves ou de problèmes. Par exemple, il leur demande de les retrouver de l’autre côté du lac. La tempête éclate. Jésus marche sur les eaux ainsi que Pierre, puis le temps se calme. Mon opinion c'est que Jésus savait que la tempête allait avoir lieu, et que c’était une occasion pour lui de manifester sa gloire et sa puissance, afin de faire grandir les disciples dans leur foi.

Joseph a passé de nombreuses années en prison. Aurait-il été prêt à gouverner l’Égypte sans ces années d’emprisonnement ? Je ne pense pas. C’est en prison qu’il a sûrement dû développer une relation intime et profonde avec son Seigneur, et appris la patience et la maîtrise de soi. C'est la même chose pour David dans les montagnes et pour Moïse dans le désert.

Parfois, nous devons réussir les tests que Dieu permet ; parfois, nous devons résister et refuser les épreuves et tentations que le diable nous envoie. 

Gunnar Olson a dit : "Il n’y a que deux raisons aux difficultés rencontrées par ceux que Dieu a appelés : ou bien ils sont dans le péché et la désobéissance, ou bien ils sont au centre de sa volonté ! La première voie mène à la mort, mais la seconde mène, par la mort, à la vie de la résurrection en Christ. Quelle différence !"

Oui, c’est au sein des épreuves que nous pouvons expérimenter la pleine présence de Dieu. C’est au sein des épreuves que le Seigneur façonne notre caractère pour accomplir sa volonté parfaite.

David Nolent
(Source : TopChrétien)

Il vous a confié une mission

“Je vous ai donné une mission afin que vous alliez, que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure.”
Jn 15. 16 

Si Dieu vous a choisi afin de bénir les autres à travers vous, Il doit donc avoir une mission à vous confier. Jésus affirme : “Je vous ai donné une mission afin que vous… portiez du fruit…” Dieu a un plan unique pour votre vie, élaboré avec soin par Lui-même, afin que vous portiez du fruit jusque dans l’Eternité. Imaginez : le Dieu Créateur de l’univers a choisi de vous associer à Son œuvre. Il vous élève de simple créature à la position de co-héritier avec Jésus-Christ de Son Royaume. Parce que l’amour fait partie de Son essence, quoi de plus normal qu’Il souhaite vous voir exprimer envers les autres le même amour infini ? `

Votre vie ne sera pas toujours facile et vous souffrirez des déboires, mais jamais de chutes inexorables. Il vous relèvera et vous procurera la force d’aller de l’avant pour accomplir votre mission, jusqu’à la récompense finale dont parlait l’apôtre Paul (2 Tm 4. 7-8), car Il a trop investi en vous pour vous abandonner. Si vous avez traversé des difficultés et en êtes sorti victorieux, c’est parce qu’Il vous a permis de les surmonter afin que vous accomplissiez votre destinée. Pierre en est l’exemple le plus frappant. Il renia Jésus trois fois, et pourtant Jésus ne le rejeta pas, au contraire lui confia une mission importante.

Si vous défaillez et manquez de foi, ne vous découragez pas mais approchez-vous du Seigneur pour implorer Son aide. Parce que vous avez été choisi vous avez libre accès au trône de la grâce et vous devriez faire bon usage de cette liberté. Et si vous vous sentez inadéquat pour la mission qu’Il veut vous confier, souvenez-vous que cela n’a aucune importance, car Lui seul peut vous équiper et vous rendre capable d’accomplir cette mission. Pierre et Jean n’étaient que des pêcheurs de poissons, mais Jésus en a fait des pêcheurs d’hommes (Mt 4. 19) !

Satan fera son possible pour vous éloigner de votre mission en sapant votre assurance, en vous rappelant vos péchés passés et vos défaillances. Le fils prodigue s’était retrouvé à manger dans les auges des cochons, mais quand il se décida à retourner vers son père, il fut accueilli comme le fils qu’il n’avait jamais cessé d’être. Même si vous tombez aussi bas, le chemin vers votre Père est encore ouvert. Reprenez donc confiance !

Bob Gass

Le miroir de la Parole

En nous soumettant à la correction de la Parole, nous nous ouvrons à la bénédiction.

JACQUES 1.23-25 

Le Salar d’Uyuni, un désert de sel de la Bolivie, couvre plus de 10 500 kilomètres carrés. Durant la saison des pluies, une fine couche d’eau à sa surface fait de lui le plus grand miroir du monde, si vaste, en réalité, qu’on le voit de l’espace. Il reflète le ciel et les montagnes, créant des images spectaculaires, bien qu’imparfaites.

Un miroir fidèle nous permet d’obtenir une image juste de nous-mêmes. Pour nous voir comme Dieu nous voit, Jacques affirme que nous devons plonger « les regards dans la loi parfaite » (v. 25), l’Écriture. Ce reflet de nous-mêmes est parfait en ce sens que l’image qu’il fournit est complète; la Bible n’oublie rien d’important. Les perles de vérité que nous y trouvons peuvent nous aider à être plus fidèles.

Du fait que connaître la Bible n’est pas notre but ultime, nous devons faire plus que simplement la lire. De la même manière que notre miroir nous montre que nous devons nous peigner ou nous brosser les dents, le miroir de la Parole nous rappelle de quoi nous devrions avoir l’air, en nous révélant nos lacunes. Si nous les corrigeons, en nous soumettant à Jésus et à ses instructions, nous mettrons la Parole en pratique et, par conséquent, Dieu bénira notre obéissance.

(Source : en contact.org)

Les richesses du croyant

Dieu nous offre ses richesses au quotidien ; nul besoin de vivre dans la pauvreté spirituelle.

PHILIPPIENS 4.19,20 

Vous économisez depuis longtemps en vue d’une croisière. Vous montez enfin à bord. Le premier soir, lorsqu’on annonce que le repas est servi, vous vous installez dans votre petite cabine pour grignoter vos biscottes tartinées de beurre d’arachides. Chaque jour à l’heure des repas, vous répétez le même rituel. C’est que vous ignorez que le prix des repas est inclus dans celui du billet. Pendant deux semaines, vous admirez le paysage, mais vous mangez vos biscottes dans votre cabine.

Cette histoire me rappelle la manière dont certains vivent la vie chrétienne. Dieu a promis de répondre à tous les besoins des siens; « la richesse de la gloire de son héritage » (Éphésiens 1.18) est incluse dans le prix que Christ a payé pour les racheter. Pourtant, bien des chrétiens ignorent que l’amour, la puissance et la générosité de Dieu sont au menu.

Le chrétien est parfaitement uni à Jésus. Christ est notre vie, et son Esprit vit en nous. Par conséquent, ce qui est à lui nous appartient aussi : son pouvoir, sa force et sa persévérance. Lisons la Parole pour y découvrir les richesses que nous procure la foi. Dieu offre aux croyants tout le nécessaire pour qu’ils vivent bien et sagement. Confions-nous en lui pour tous nos besoins.

(Source : encontact.org)

Précieux aux yeux de Dieu

Lecture proposée : Ésaïe 43.1-7

Tu as du prix à mes yeux. Ésaïe 43.4

 

Enfant, Ming trouvait son père dur et distant. Même quand il est tombé malade et a dû consulter un pédiatre, son père s’est plaint du dérangement. Un jour, il a entendu son père reprocher à sa mère de ne pas s’être fait avorter. Le sentiment de n’avoir pas été désiré l’a suivi jusqu’à l’âge adulte. Quand Ming a mis sa foi en Jésus, il a eu du mal à voir en Dieu un père, même s’il le connaissait comme le Seigneur de sa vie.

Si, comme Ming, nous n’avons pas le sentiment d’être aimés par notre père terrestre, il se peut que nous doutions nous aussi de Dieu : Suis-je un fardeau pour lui ? Se soucie-t-il de moi ? Toutefois, même si notre père terrestre a pu se montrer silencieux et distant, Dieu notre Père céleste nous dit : « Je t’aime » (ÉS 43.4).

Dans Ésaïe 43, Dieu s’adresse à nous comme notre Créateur et Père. Si vous doutez que vous comptez pour lui et qu’il veut vous avoir dans sa famille, sachez qu’il a déclaré à son peuple : « Fais venir mes fils des pays lointains, et mes filles de l’extrémité de la terre » (V. 6) et « Tu as du prix à mes yeux » (V. 4).

Dieu a tant aimé le monde qu’il a envoyé Jésus payer le prix de nos péchés, de sorte que ceux qui croient en lui puissent passer l’éternité avec lui (JN 3.16). En raison de ce qu’il dit et de ce qu’il a accompli pour nous, nous pouvons avoir l’assurance qu’il nous veut et nous aime.

Comment décririez-vous votre relation avec Dieu le Père ? Comment pourriez-vous vous rappeler que vous avez du prix à ses yeux ?

Père, je veux vivre chaque jour comme ton enfant, ayant du prix à tes yeux.

(Source : Notre Pain Quotidien)

Un abri

Il y aura un homme qui sera comme une protection contre le vent et un abri contre l’orage, comme des ruisseaux d’eau dans un lieu sec, comme l’ombre d’un grand rocher dans un pays aride. Ésaïe 32. 2

Un abri est le lieu que tu recherches quand tu marches depuis plusieurs heures et que la nuit commence à tomber. Dans cet abri, tu sais que tu seras protégé de la pluie et du vent. C’est là que tu pourras poser ton sac et libérer tes épaules endolories. Là, tu pourras reprendre des forces, manger un peu et te reposer.

Jésus est pour nous un abri, un refuge ! “Dieu est notre refuge et notre force, un secours dans les détresses, toujours facile à trouver” (Psaume 46. 1). Près de lui, on peut se reposer, déposer son sac : “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28). On trouve en lui la nourriture dont notre âme a besoin pour continuer : “Venez, mangez”, a-t-il dit aux disciples au bord de la mer de Galilée. Puis on lit : “Jésus vient, prend le pain et le leur donne ; de même le poisson” (Jean 21. 12, 13).

En montagne, la carte IGN ou notre GPS peut nous indiquer où trouver un abri proche de notre position. Mais aussi précise que soit la carte, il reste des incertitudes. Va-t-on pouvoir aller jusqu’à cet abri et le trouver ? Sera-t-il bien ouvert à cette période de l’année ? La source d’eau indiquée sur la carte ne sera-t-elle pas tarie ? Est-ce que l’abri sera encore en état pour me protéger de l’orage ? Y aura-t-il encore assez de place pour moi ?

Jésus est un abri sûr, “toujours facile à trouver”. Il est une source qui ne tarit pas : “Le ruisseau de Dieu est plein d’eau” (Psaume 65. 9). Quels que soient la météo, ou le terrain que tu traverses en ce moment, Jésus est Celui qui t’apporte ce qui te manque et ce dont tu as besoin !

Mon seul abri, c’est toi, Toujours mon cœur te chantera,

Car tu me délivres Et chaque fois que j’ai peur,

Je m’appuie sur toi.

Je m’appuie sur toi, Et dans ma faiblesse,

Le Seigneur me rend fort. Mon seul abri, c’est toi,

Toujours mon cœur te chantera !

M. Ledner

(Source :Le Seigneur est proche / editeurbpc.com)