Dieu notre refuge

Lecture proposée : Proverbes 18.10-12

Le nom de l’Éternel est une tour fortifiée : le juste s’y réfugie et se trouve en sécurité. Proverbes 18. 10

Le remarquable film Les filles du docteur March, sorti en 2019, m’a poussée à relire mon exemplaire écorné du roman, surtout les paroles réconfortantes de Marmee, la mère sage et douce. L’expression de sa foi inébranlable m’interpelle dans ce roman qui souligne les nombreuses paroles d’encouragement qu’elle adresse à ses filles. En voici une : « Il se peut que les ennuis et les tentations abondent, mais vous pouvez les surmonter en apprenant à ressentir la force et la tendresse de votre Père céleste. »

Cette parole de Marmee fait écho à une vérité dans les Proverbes : « Le nom de l’Éternel est une tour fortifiée : le juste s’y réfugie et se trouve en sécurité » (18.10). Dans les villes antiques, on bâtissait des tours pour que la population puisse s’y réfugier et peut-être échapper à ses ennemis. De même, c’est en courant à Dieu que les croyants en Jésus peuvent connaître la paix auprès de celui qui est « pour nous un refuge et un appui » (PS 46.2).

Le Proverbe 18.10 nous indique que notre protection nous vient du « nom » de Dieu, qui désigne tout ce qu’il est. La Bible décrit Dieu comme « un Dieu de grâce et de compassion, lent à la colère, riche en bonté et en vérité » (EX 34.6). La protection de Dieu vient de sa toute-puissance, ainsi que de sa tendresse et de son amour, qui le poussent ardemment à désirer procurer un refuge aux affligés. À tous ceux qui souffrent, notre Père céleste offre un refuge dans sa force et sa tendresse.

Quand avez-vous fait l’expérience de la force de Dieu en situation difficile ? En quoi avez-vous vu sa consolation?

Père céleste, aide-moi à courir vers toi dans les bons comme dans les mauvais moments.

Lisa M.Samra

(Source : Notre Pain Quotidien)

Libérez-vous des mauvaises habitudes

“Certains disent : “Tout m’est permis.” Oui, mais tout n’est pas bon pour vous. “Tout m’est permis”, c’est vrai, mais je ne veux pas être esclave de quoi que ce soit”. 1 Co 6. 12 

Salomon a écrit très justement : “Saisissez pour nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes…” (C des C 2. 15). Que sont “ces petits renards” ? Toutes ces mauvaises habitudes aux-quelles nous prêtons peu attention, parce qu’elles nous paraissent sans grande importance. Mais ce sont elles qui sapent notre caractère et notre réputation. C’est justement ces habitudes qui risquent de nous entraîner à accepter plus tard des péchés plus évidents.

Considérez la résolution que prirent Daniel et ses amis, de ne pas manger des mets trop riches du roi. Quelle importance ? Après tout ils étaient loin de Jérusalem. Pourtant ils décidèrent d’adopter de bonnes habitudes dès le départ. Ce qui leur permit plus tard d’affronter des défis bien plus importants comme refuser d’adorer la statue de Nabuchodonosor ou continuer à prier trois fois par jour le vrai Dieu malgré l’ordre du roi. En fait Paul donne le ton lorsqu’il affirme que tous est permis, mais que tout n’est pas bon pour nous. Si vous voulez éviter de devenir obèse, mieux vaut ne pas manger trop de nourriture riche ou de burgers, même si vous avez le droit de manger ce que vous voulez.

Un pasteur américain dont le fils mourut d’un arrêt cardiaque alors qu’il n’avait que trente ans a dit : “ce n’est pas Dieu qui a permis que mon fils meure aussi jeune, c’est son abus de frites et de burgers.” Si vous voulez progresser dans votre maturité spirituelle mieux vaut que vous passiez davantage de temps à lire de “bons” livres pour vous aider à comprendre les Ecritures, même si vous avez le droit de lire ce que vous voulez et de regarder les programmes télévisés qui vous attirent. Tout est affaire de choix dans la vie. Et n’oubliez pas que les bons choix feront de vous un chrétien plus apte à marcher dans la présence de Dieu.

Bob Gass

Des vies sans horizon

Il y avait une femme possédée depuis 18 ans d’un esprit qui la rendait infirme : elle était courbée et absolument incapable de se redresser… Jésus l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée. Luc 13. 11, 12

Il y avait là un homme, infirme depuis 38 ans… Jésus lui dit : Lève-toi. Jean 5. 5, 8

Les deux textes cités, tirés de l’évangile, rapportent une misère poignante.

Une femme… Courbée, n’ayant que le sol pour horizon, incapable de relever la tête, et cela depuis 18 ans… Situation désespérée, car sans perspective de guérison : elle vit repliée sur elle-même, isolée par son épreuve. Mais Jésus la voit. Il l’appelle comme s’il ne voyait qu’elle, et la guérit d’un geste.

Pour cet autre handicapé, c’est encore pire. Cela fait 38 ans qu’il est couché, incapable de se déplacer. Mais Jésus le voit. Dans leur court échange, cet homme confesse qu’il n’a personne pour l’aider. Il n’a d’autre horizon que sa vie d’handicapé. C’est par un acte de foi dans la parole de Jésus qu’il pourra à nouveau se lever et marcher.

Et vous, depuis combien de temps attendez-vous que l’horizon s’éclaire ? Depuis combien de temps n’avez-vous personne ? 18 ans ? 38 ans ? Davantage ? Quelle que soit la durée, une telle attente est douloureuse, et le désespoir a le temps de s’installer.

D’autres exemples de guérison dans les évangiles évoquent des personnes qui viennent jusqu’à Jésus pour implorer son aide. Dans ces deux récits, Jésus lui-même prend l’initiative de rencontrer ces personnes invalides.

L’homme pécheur est incapable du moindre mouvement vers Dieu. Son horizon ? La mort éternelle, loin de Dieu. Alors Jésus s’approche de nous, parfaitement conscient de notre état désespéré, et plein d’amour, il nous tend la main : saisissons-la, croyons en lui, et devant nous s’ouvrira un horizon de bonheur éternel dans sa présence !

(Source : editeurbpc.com)

La tombe vide

“Simon Pierre, qui le suivait, arrive. Entrant dans le tombeau…” Jn 20. 6 

Selon une étude universitaire, l’émotion la plus commune parmi les humains de toutes races, après l’amour est le regret. Henry David Thoreau a écrit : “la majorité des humains vit une vie de tranquille désespoir”. Les effets du regret sur notre corps, esprit et émotions sont les phobies, la violence conjugale, la colère, l’anxiété, l’abus de drogues ou d’alcool parmi tant d’autres. Si vous vivez sous le poids du regret, vous serez peu enclin à crier à Dieu. Pierre était sans doute accablé de regrets après la mort de Jésus. Non seulement ce dernier était mort, mais en plus il L’avait trahi. Il n’avait pas eu l’occasion de Lui demander pardon. Rien ne pouvait soulager le poids du regret sur son cœur.

Mais le jour de la résurrection de Jésus, Pierre courut jusqu’à la tombe avec “l’autre disciple”, probablement Jean. Il entra dans le tombeau et le trouva vide. Jésus n’était plus là. Imaginez ce qui a dû lui traverser l’esprit : où se trouvait Jésus maintenant ? Qui aurait pu l’emmener et où ? Allait-il avoir une chance de Lui demander pardon pour sa trahison ? Pierre ne se rendit pas compte à ce moment-là que le poids de ses regrets allait bientôt disparaître de ses épaules. Comme si ses regrets avaient été enterrés avec le corps de Jésus, le jour de Sa crucifixion, et s’étaient volatilisés avec Sa résurrection. Parce que la tombe était vide Pierre a pu rencontrer Jésus plus tard sur les bords du lac après avoir sauté par dessus bord pour s’approcher de Lui plus vite. Parce que la tombe était vide, vous pouvez aussi être libéré de vos regrets. Ils se volatiliseront dès que vous vous approcherez de Jésus ressuscité. Si Jésus n’était pas ressuscité, Pierre aurait porté le poids de ses regrets le reste de sa vie. Son espoir serait mort avec Jésus. Mais la tombe était vide ! Ne faites pas un pas de plus avec le fardeau de vos regrets. Jetez-les dans la tombe vide et dirigez-vous, le cœur libéré vers Jésus ressuscité.

Bob Gass

L’importance du « Cloud »

“Le Seigneur marchait devant eux, le jour dans une colonne de nuée… et la nuit dans une colonne de feu…” Ex 13.21

Si vous êtes féru d’informatique vous saurez qu’il est presque impossible de se passer aujourd’hui du “cloud”, un système de stockage de données et de logiciels sur internet. Le mot“cloud”en anglais veut dire nuage ou nuée. Pour les Israélites ce mot avait une signification très différente ! Lorsqu’ils quittèrent l’Egypte ils avaient besoin d’un guide pour leur montrer le chemin, les protéger contre leurs ennemis, leur garantir lumière et chaleur la nuit. Dieu allait donc marcher avec eux, mais Sa présence ne serait visible qu’à travers une colonne de nuée ou de feu : Le Seigneur marchait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les conduire sur le chemin et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils puissent marcher de jour comme de nuit” (Ex 13. 21). Parfois cette colonne avançait rapidement, parfois elle demeurait à un endroit pendant longtemps, selon la volonté de Dieu qui voulait enseigner à Son peuple l’obéissance et la confiance.

Remarquez que Dieu, dans Sa bienveillance ne supprima pas cette colonne, quand les Israélites se rebellèrent contre Lui, Lui désobéirent et même façonnèrent une idole en forme de veau. N’aimeriez-vous pas voir une colonne de nuée ou de feu, signe de Sa présence, pour vous guider et vous entraîner dans la bonne direction ? Les Israélites en avaient besoin, mais quant à nous nous sommes privilégiés car nous avons le Saint-Esprit en nous pour effectuer le même travail : protection, direction, encouragement. Même si nous ne nous rendons pas toujours compte de Sa présence, l’Esprit-Saint ne nous abandonne pas : “Moi, Je demanderai au Père de vous donner un autre défenseur pour qu’Il soit avec vous pour toujours, l’Esprit de la vérité…” (Jn 14. 16). A travers Lui nous avons accès à toutes les richesses de la grâce divine, infiniment plus riche que le“cloud” sur internet. Nous sommes parfois invités à demeurer sur place, pour apprendre patience et obéissance. David, qui savait la signification du mot patience, écrivit : “Apprends-moi à faire Ta volonté, car Tu es mon Dieu. Que Ton Esprit me guide avec bienveillance sur un terrain sans obstacle” (Ps 143. 10).

Bob Gass

Gérer le stress de la vie d’aujourd’hui (1)

“Même si c’est Moi qui me rends témoignage à Moi-même, Mon témoignage est vrai, car Je sais d’où Je suis venu et où Je vais…” Jn 8. 14

Un sentiment d’insécurité est souvent la cause de notre stress. Jésus ne souffrait pas de stress, car Il savait qui Il était, d’où Il venait et où Il allait. Quant à nous nous sentons trop souvent que nous devons porter un masque en société, améliorer notre performance et tenter d’atteindre d’impossible buts dans notre vie. La première chose nécessaire pour gérer le stress est de découvrir qui nous sommes : un enfant de Dieu. Nous ne sommes pas le résultat d’accidents du destin , mais Dieu nous a placé là pour un raison précise et Il a des plans prévus de longue date pour chacun d’entre nous. C’est notre raison d’être et nous n’avons pas à craindre l’opinion des autres, que ce soit nos amis, nos collègues, notre patron ou toute autre personne que nous rencontrons. Ensuite nous devons apprendre à qui nous devons plaire. Il est impossible de plaire à tout le monde. Jésus déclara qu’Il voulait plaire à Son Père, et Dieu Lui répondit : “Celui-ci est Mon Fils bien-aimé ; c’est en Lui que J’ai pris plaisir.” (Mt 3. 17). Rick Warren a déclaré que si nous cherchons seulement à plaire à Dieu, notre vie s’en trouvera bien simplifiée ! En effet nous ne serons plus affectés par les critiques, nous ne chercherons plus à entrer en compétition avec les autres et nous éviterons d’affronter les autres. Peu de choses nous sont imposées dans la vie, la plupart sont le résultat de choix de notre part. Nous ne devenons des victimes succombant au stress que si nous cessons de résister aux pressions externes. Savoir qui nous sommes et à qui nous voulons plaire devrait nous aider à nous libérer du stress de la vie.

Gérer le stress de la vie d’aujourd’hui (2)

“Il faut aussi que J’annonce aux autres villes la bonne nouvelle du règne de Dieu ; car c’est pour cela que J’ai été envoyé.” Lc 4. 43

Trop souvent dans la vie nous cherchons à parer au plus pressé, au lieu de nous concentrer sur ce qui importe vraiment. Ou encore nous essayons de faire trop de choses à la fois, éparpillant ainsi notre énergie, peut-être sous l’influence des autres. Jésus par contre ne se laissait jamais influencer par les autres. Il suivait Son agenda malgré les pressions. “Quand il fit jour, Il sortit et se rendit dans un lieu désert. Les foules Le recherchaient ; puis, L’ayant rejoint, elles voulaient Le retenir de peur qu’Il ne s’éloignât d’eux.” Il leur répondit : “Aux autres villes aussi il Me faut annoncer la bonne nouvelle du Règne de Dieu, car c’est pour cela que J’ai été envoyé” (Lc 4. 42-43). Il savait quel était Son but et Il le suivait sans se laisser distraire par les autres. Il savait aussi s’entourer d’assistants à qui Il pourrait déléguer Son autorité. Il les a appelés “apôtres”. Quand nous essayons de tout faire par nous-mêmes nous risquons de céder au stress. Aucun d’entre nous n’est parfait. A quoi bon s’imaginer que nous serons les seuls à gérer toutes les tâches à accomplir. Si Jésus, qui était Dieu et pouvait tout gérer Lui-même a choisi de déléguer à Ses apôtres une partie de Sa mission, à plus forte raison nous devons décharger nos épaules des tâches que d’autres peuvent accomplir aussi bien (et parfois mieux) que nous ? Une autre caractéristique de la journée du Seigneur : Il passait du temps en prière, et ne prenait aucune décision importante sans consulter Son Père. “Au matin, alors qu’il faisait encore très sombre, Il se leva et sortit pour aller dans un lieu désert où Il se mit à prier” (Mc 1. 35). Les journées de Jésus étaient bien remplies, pourtant Il prenait le temps de prier. Suivre Son exemple serait un excellent moyen de décompresser et d’aborder chacune de nos journées avec sérénité. Notre plus grand problème c’est que nous trouvons difficile de demeurer tranquilles sans nous agiter pendant un certain temps. Ecoutez “Arrêtez (ou soyez tranquilles) et reconnaissez que Je suis Dieu !” (Ps 46. 11).

Bob Gass

S’approcher de Dieu

Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous. Jacques 4:8

Plus nous nous approchons de Dieu, plus il se révèle complaisamment à nous. Quand l'enfant prodigue retourne à son père, le père court à sa rencontre. Quand la colombe revint à l'arche, Noé étendit la main vers elle pour la prendre à lui. Lorsque l'épouse vient chercher auprès de son mari l'affection dont elle a besoin, il vient à elle avec amour. Viens aussi et approche toi du Dieu dont la grâce t'invite, car il vient en personne à ta rencontre.

Avez-vous jamais remarqué ce passage d'Esaïe (58:9): "Tu crieras, et il dira Me voici." Le Seigneur semble ici se mettre à la disposition des siens en répondant: "Me voici," comme pour leur demander: "Qu'avez-vous à me dire? Que puis-je faire pour vous? -Me voici pour vous bénir." Comment hésiter à nous approcher? Dieu est près pour nous pardonner, nous bénir, nous consoler, nous aider, nous fortifier, nous délivrer.

Que nous approcher de Dieu soit aujourd'hui notre but principal. Cela fait, tout est fait. Si nous nous approchons des hommes, nous les verrons peut-être se fatiguer de nous et nous abandonner bientôt; mais si nous recherchons le Seigneur seul, son attitude envers nous ne changera jamais. Il s'approchera de plus en plus de nous pour nous faire jouir d'une communion de plus en plus intime et profonde.

Charles Spurgeon

(Source : Les Trésors de la Foi)

Dieu veut écrire votre histoire

L’ange de l’Éternel lui apparut et lui dit : l’Éternel est avec toi, vaillant héros ! Juges 6.12 

D’une manière générale, la condition familiale et sociale au sein de laquelle un enfant évolue va fortement influencer ses ambitions futures et l’image qu’il aura de sa propre personne.

À première vue pour Gédéon, le ratio est clair ; il a une piètre opinion de lui-même : 
"Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé et je suis le plus petit dans la maison de mon père" (Juges 6.15). Il se laisse tromper par toutes les choses qui font partie de sa vie, pensant être le dernier d’une famille dont le destin s’avère peu glorieux.

Quelle est votre histoire, celle qui s’écrit sur votre vie ? Est-elle conditionnée par vos limites ou avez-vous compris que Dieu n’est pas limité par vos limites ?

Que vous soyez riche ou pauvre, faible ou fort, diminué ou à 100 % de vos capacités physiques et intellectuelles, il n’en demeure pas moins que Dieu a une histoire à écrire dans votre vie. Son intervention auprès de Gédéon a été le point de départ d’une autre histoire. Quelques mots de l'ange de l'Éternel ont suffi pour élargir sa compréhension des choses et pour le faire devenir ce vaillant héros que l’Éternel avait vu en lui !

Tout comme Gédéon, Dieu vous appelle aujourd’hui. Il veut réveiller le héros qui est en vous, celui qu’il a destiné à accomplir une mission bien particulière. Alors, laissez Dieu écrire votre histoire, elle vous émerveillera et aura une puissante influence sur votre entourage !

Yannis Gautier
(Source : TopChrétien)

Un pont vers les promesses divines

La foi mène à une vie abondante en Jésus.

ROMAINS 10.14-17 

Le pont Golden Gate se trouve dans le nord de la Californie. Ce lieu d’intérêt bien connu constitue une merveille d’ingénierie. Reliant la baie de San Francisco à l’océan Pacifique, il réunit deux rivages et permet aux voyageurs de passer d’un côté à l’autre en toute sécurité.

Dans la vie spirituelle, la foi peut également se comparer à un pont, car elle nous relie, nous qui étions loin de Dieu, à ses promesses (Ésaïe 59.2). Elle est aussi essentielle à notre relation avec le Seigneur et nourrit notre espérance. Plus nous nous immergeons dans la Parole de Dieu et absorbons ses principes, plus ce pont de foi est consolidé dans notre vie. Nous pouvons nous appuyer dessus pour traverser les épreuves de la vie.

Les chrétiens se sentent réconfortés par l’amour, la grâce et la rédemption de Dieu. Par la foi, ils peuvent marcher avec courage sur le sentier que Jésus leur a tracé et traverser des gouffres sombres et dangereux, qui les porteraient autrement à douter.

En voyant un pont, rappelez-vous que la foi nous unit au Dieu vivant et nous mène à la vie abondante qui se trouve en lui. Gardez à l’esprit le fait que la lectur

(Source : encontact.org)

Gardez la paix dans la tempête

Il a arrêté la tempête, ramené le calme, et les vagues se sont calmées. Psaume 107.29 

Spafford était avocat à Chicago. Lors de l’incendie de 1871, il perdit tout ce qu’il possédait. Il envoya alors son épouse avec ses quatre enfants en Angleterre chez ses parents, le temps de restaurer leur maison et de retrouver des conditions de vie normales.

Madame Spafford et ses enfants s’étaient embarqués sur le paquebot “La Ville du Havre”. En plein océan, ce navire, après avoir heurté un voilier, sombra en un quart d’heure. Madame Spafford fut repêchée dans un canot, mais les enfants avaient disparu.

Au débarquement à Cardiff, elle envoya un télégramme à son mari : “Sauvée, seule”.

En apprenant cette nouvelle dramatique, qui s’ajoutait à la perte due à l’incendie, Spafford reçut la grâce de composer ce chant bien connu : “Quel repos céleste, Jésus, d’être à toi – À toi pour la mort et la vie – Dans les jours mauvais, de chanter avec foi - Tout est bien, ma paix est infinie…“

Il venait de recevoir cette paix surnaturelle au sein de la tempête.

Traversez-vous une période difficile, où les épreuves se succèdent en avalanche ? Avez-vous le sentiment que la mer est déchaînée et que tout s’écroule ? Êtes-vous dans la perplexité face à tout ce qui vous atteint ? Vous demandez-vous si Dieu est encore là à vos côtés, ou s’il vous a abandonné ? Vos questionnements sont légitimes ; divers croyants, avant vous, se sont posé ces questions, au sein des drames qui s’abattaient sur eux. 

Alors que vous-mêmes vivez des heures difficiles, où vous venez de perdre un être cher ; où une terrible maladie vous a touché ou a touché un de vos proches ; où la situation de votre couple est tendue ; où vous venez d’apprendre que votre usine ferme et que vous serez au chômage… Demandez au Seigneur de vous communiquer sa paix !

Paul Calzada
(Source : TopChrétien)

Etat d’esprit – Etat de santé

Confie-toi de tout ton coeur à l’Eternel, et ne t’appuie pas sur ton intelligence ; dans toutes tes voies connais-le, et il dirigera tes sentiers. Proverbes 3 : 5, 6
Le coeur heureux est un festin continuel. Proverbes 15 : 15

Lu dans une revue scientifique : D’après de récentes découvertes, le cerveau et le système immunitaire de l’homme, longtemps considérés comme deux systèmes autonomes, entretiendraient en fait un dialogue permanent. La résistance individuelle au stress détermine en partie la résistance à certaines maladies. L’état d’esprit influe donc sur l’état de santé.

La Bible annonçait : « Les paroles agréables sont un rayon de miel, douceur pour l’âme et santé pour les os » ; « Le coeur joyeux fait du bien à la santé » (Proverbes 16 : 24 ; 17 : 22). Le prophète Esaïe nous assure que « dans la tranquillité et dans la confiance sera votre force » (30. 15).

Deux conditions sont nécessaires pour avoir cette force intérieure :

- D’une part, la tranquillité. Savoir rechercher le calme en se mettant à l’écart pour se reposer, mais aussi pour prendre le temps de prier, de faire le point avec Dieu, en lisant la Bible qui est sa Parole. Le Seigneur Jésus l’avait dit à ses disciples quand ils revenaient de mission. « Venez à l’écart vous-mêmes dans un lieu désert, et reposez-vous un peu ; car il y avait beaucoup de gens qui venaient, qui s’en allaient, et eux n’avaient pas même le temps de manger » (Marc 6 : 31).

- D’autre part, la confiance. Dieu nous a dit : « Je ne te laisserai pas et je ne t’abandonnerai pas ». Pleins de confiance, nous pourrons dire : « Le Seigneur est mon aide et je ne craindrai pas ; que me fera l’homme ? » (Hébreux 13 : 5, 6).  

(Source : La Bonne Semence / chretien.news)