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    Il le fera encore

     

     

     

    Il le fera encore

     

     

     

    « Jacob plaça une stèle à l'endroit où Dieu lui avait parlé » Genèse 35.14 

     

    Avec du recul, on s’aperçoit que certains événements de la vie ne peuvent que venir de la main de Dieu. Un auteur l’exprime ainsi : « Peut-être avez-vous rencontré par hasard quelqu’un qui vous a présenté votre conjoint. Ou un collègue a démissionné et vous avez eu une promotion. Ou quelqu’un a dit une chose qui a parlé à votre cœur. Ce sont des signes de la bonté de Dieu. Quand vous êtes découragé(e), rappelez-vous comment Dieu vous a ouvert une porte, a montré le chemin, épargné la vie ou guéri votre enfant. Les coïncidences n’existent pas. Si quelque chose de bien arrive, reconnaissez que c’est Dieu, et rappelez-vous-en souvent »

    Dans l’Ancien Testament, « Jacob plaça une stèle à l’endroit où Dieu lui avait parlé ». Avez-vous récemment « marqué votre vie d’une pierre blanche » ? Pour bâtir votre foi, rappelez-vous tous les moments où Dieu a ouvert un chemin devant vous alors que toutes les portes étaient verrouillées, les jours où vous étiez seul(e) et où Dieu a fait entrer la bonne personne dans votre vie, les nuits où vous vous sentiez si mal que vous ne pensiez pas pouvoir tenir jusqu’au lendemain matin. Puis, sans crier gare, Dieu a renversé la situation, vous a procuré le baume de la joie pour adoucir un deuil, vous a tiré(e) du gouffre, vous a donné un nouveau départ. Aujourd’hui, vous êtes heureux, en bonne santé et épanoui. Et surtout, s’il l’a déjà fait, il le fera encore ! Il est le même hier et aujourd’hui. En vous rappelant sa bonté et sa fidélité, vous aurez la force de continuer à combattre le bon combat de la foi.

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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    « Je vous ai parlé ainsi, afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète » Jean 15.11 

     

    Pourquoi Jésus dit-il : « Je vous ai parlé ainsi, afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète » ? Parce que le stress prive de la joie et condamne à une vie de dépression, de morosité et d’insatisfaction. En réalité, on est souvent bien trop sérieux ! On fait une montagne de tout : un retard de cinq minutes, un embouteillage, un regard de travers, la queue dans un magasin, un repas trop cuit, un kilo en trop, une nouvelle ride, une erreur involontaire. On perd toute lucidité. En fait, on a des attentes irréalistes.

    Ce n’est pas ce que Dieu veut pour nous ! Pour connaître la joie promise par Jésus, il faut :

    1) Reconnaître que le stress est dû en grande partie à la vision de ce que la vie devait être.

    2) Reconnaître que les frustrations sont dues en grande partie aux attentes. Si on pense que les choses doivent toujours être comme on le veut, on sera toujours contrarié. Mais on peut aborder la vie sans avoir d’attente particulière.

    Par exemple, ne pas espérer que tout le monde soit amical aujourd’hui ; mais lorsque certains le seront, on en sera ravi. Ou alors ne pas s’attendre à ce que la journée se déroule sans encombre ; mais lorsque les ennuis arrivent, lever les yeux et dire : « Merci, Seigneur, pour cette nouvelle occasion de grandir. » On verra alors les choses aller mieux. Plutôt que de nager à contre-courant, mieux vaut se laisser porter par le courant. Très vite, on se rend compte que l’on apprécie davantage la vie ! De plus, les autres apprécieront davantage notre présence.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

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    Voler, courir ou marcher (1 à 3)

     

     

     

    Voler, courir ou marcher (1)

     

     

    “Ceux qui comptent sur le Seigneur reçoivent des forces nouvelles…” Es 40. 31 

    Les ornithologues expliquent que les oiseaux utilisent trois méthodes différentes pour voler. La première consiste à battre des ailes d’une manière régulière et constante pour compenser la force de la pesanteur. Certaines espèces, comme les colibris, peuvent battre des ailes plus de soixante-dix fois par seconde. Mais cela exige beaucoup d’énergie ! Le coeur du colibri bat à plus de mille battements à la minute et ce petit oiseau doit se nourrir toutes les dix minutes pour survivre. Dans la vie parfois nous aussi nous battons des ailes pour avancer péniblement vers notre but. Et notre démarche est loin d’être aussi gracieuse que celle du colibri ! La deuxième méthode consiste à planer dans le ciel. Une fois une certaine hauteur atteinte, l’oiseau se laisse glisser dans les airs. Cela demande beaucoup moins d’efforts, mais il lui est difficile de parcourir de longues distances ainsi. La force de la pesanteur intervient et l’oiseau doit, soit se poser, soit recommencer à battre des ailes. A certains moments nous agissons de la même façon : enhardis par nos succès et par le manque de difficultés, nous nous sentons “planer” au-dessus des problèmes, comme portés par une main invisible. L’ennui c’est que nous devons bientôt poser pied et faire face à la réalité. La troisième méthode est l’apanage de quelques espèces seulement, comme les aigles. Elle consiste à se laisser porter par les courants ascendants et ainsi s’élever à de hautes altitudes presque sans effort. Il y a là une belle leçon pour nous croyants : Esaïe nous affirme que si nous faisons confiance au Seigneur, Son Esprit sera à même de nous soulever et de nous faire atteindre des sommets impossibles à atteindre par nos propres efforts. Souvenez-vous : “Ce n’est pas par la violence ni par tes propres forces que tu accompliras ta tâche, mais c’est grâce à Mon Esprit, dit le Seigneur” (Za. 4. 6).

     

     

     

    Voler, courir ou marcher (2)

     

     

     

    “Ils prennent leur essor comme les aigles…” 

    Hier, nous avons vu que les oiseaux peuvent voler de trois façons différentes. Aujourd’hui, considérons le vol des aigles. Les courants ascendants sont capricieux et incontrôlables. De même nous ne comprenons pas toujours les voies du Seigneur, “mystérieuses” nous affirment les Ecritures (Rm 11. 33). Jésus a déclaré : “Le vent souffle où il veut ; tu l’entends, mais tu ne sais pas d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi de quiconque est né de l’Esprit” (Jn 3. 8). Or le même mot grec pneuma signifie à la fois esprit et vent. Sans que nous ayons fait quoi que ce soit pour le mériter, soudain nous sommes portés par l’Esprit de Dieu à accomplir de grandes choses. De même que l’Esprit choisit quels talents nous accorder, de même Il peut s’emparer de l’un d’entre nous de manière fulgurante et l’élever vers les hauteurs. Si vous en faites l’expérience, réjouissez-vous, soyez reconnaissant à Dieu de Sa grâce envers vous et de répondre à vos prières avec une générosité qui frise l’extravagance, mais ne vous enorgueillissez pas ! Ce pouvoir en vous qui vous empêche de succomber aux tentations, cette sagesse sur laquelle vous vous appuyez aujourd’hui est un pur don de Dieu. Faites tout pour obéir aux ordres de l’Esprit, persévérez dans la prière, sans jamais vous imaginer être capable par vous-même de rester à une telle altitude. L’aigle ne peut rester constamment dans les airs. Il doit redescendre sur terre éventuellement, comme Jésus et les trois disciples l’ont fait après la transfiguration. Vous ferez la même expérience bientôt. En attendant, profitez de la vue extraordinaire qui vous est offerte. Vous êtes en train de marcher sur l’eau comme Pierre, alors affermissez votre foi et enrichissez votre âme. Vous pourrez ensuite puiser dans le trésor que vous avez emmagasiné dans votre coeur tandis que vous flottiez sur le souffle de l’Esprit et en faire profiter les autres autour de vous.

     

     

     

    Voler, courir ou marcher (3)

     

     

     

    “Ils marchent et ne s’épuisent pas.” Es 40. 31 

    Nous aimerions tous prendre notre envol comme les aigles, portés par le vent de l’Esprit, n’est-ce pas ? A défaut, nous serions heureux de courir comme Gebre, probablement le plus grand coureur de fond de tous les temps. Mais parfois la fatigue se fait sentir, les épreuves nous assaillent et désarment notre enthousiasme, les échecs s’accumulent et nous avons seulement la force de mettre un pied devant l’autre. Nous sommes incapables de “marcher sur l’eau” comme Pierre. Nous pouvons juste marcher sur la terre ferme, et encore avec difficulté. A ce moment, pensez au parcours de Jésus Lui-même. John Ortberg explique : “Sur la montagne de la transfiguration, ou quand Il a ressuscité Lazare, Jésus a pris son envol devant tous. Il était porté par un puissant courant d’air… Quand Il a pleuré sur Jérusalem… quand Il a souffert de la lenteur d’esprit de Ses disciples, quand Il a affronté les chefs religieux, Sa vie a pris un tournant plus difficile, mais Il a continué à courir et à gravir les montagnes de difficultés… Mais au début du chemin qui le menait à Golgotha, quand la croix a été posée sur Ses épaules meurtries et ensanglantées, que pouvait-Il faire d’autre que marcher.” Oui, Il était dans la force de l’âge et pourtant Il a trébuché, Il est tombé, mais Il s’est relevé et a continué à avancer péniblement. Parfois, c’est tout ce que nous pouvons faire. La vie est dure, et Dieu le sait. Nous avons parfois envie de tout laisser tomber. Pourtant Dieu est content quand Il nous entend Lui dire : “Je ne vais pas abandonner. Je vais porter ma croix, avec Ton aide ; je ferai comme Jésus: je mettrai un pied devant l’autre et tituberai jusqu’à la ligne d’arrivée si nécessaire. Mais je ne m’arrêterai pas.” Simplement marcher est important à Ses yeux. Ne jetez pas des regards envieux vers ceux qui s’envolent comme les aigles, vers les coureurs de fond expérimentés qui vous dépassent. Regardez plutôt à Jésus sur le chemin de Golgotha, Lui qui “a accepté de mourir sur la croix, sans tenir compte de la honte attachée à une telle mort, parce qu’Il avait en vue la joie qui Lui était réservée…” (He 12. 2).

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Que ces lions se taisent

     

     

     

    Que ces lions se taisent

     

     

     

     

     

    Ne vous laissez pas distraire. Soyez vigilants. Votre adversaire, le diable, rôde autour de vous comme un lion rugissant. Il cherche quelqu’un qui se laissera dévorer. 1 Pierre 5.8 

     

    Un matin, alors que je priais pour des personnes, mon intercession a été interrompue par une vision… Un lion rugissant, pas du tout amical, venait de faire irruption. L’animal m’a fait penser à celui dont il est question dans la Parole, en référence à l’ennemi de nos âmes.

     

    Pendant des années, j’ai prié régulièrement afin que les lions de l’inquiétude, de la peur, de la dépression déguerpissent ! J’étais comme encerclée par ces adversaires. Leur présence influençait mes pensées, mes actions… tout ce que j’étais. Je devenais une personne que Dieu ne voulait pas. Il était plus qu’ impératif qu’ils quittent ma vie. Ce qui a été le cas grâce à l’intervention et à l’amour de Jésus.

     

    Peut-être qu’actuellement, vous passez par une période difficile où le rugissement des lions de l’opposition vous semble plus réel que la douce voix de Jésus. Si c’est le cas, j’aimerais vous encourager à placer toute votre confiance dans le Seigneur, le lion de la tribu de Juda.

     

    Parce qu’il est vrai. Parce qu’il est bon. Parce qu’il ne ment pas.

     

    Son désir, sa volonté, c’est que vous expérimentiez la vie en abondance qu’il a prévue pour vous. Notre Dieu est un rempart, un abri, une forteresse !

     

    Son rugissement fait trembler vos ennemis. Sa voix fait taire le rugissement de vos adversaires. Ne vous laissez pas effrayer. Dieu est là.

     

     

     

    Audrey Salafanque
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    La puissance de Dieu

     

     

    La puissance de Dieu

     

     

     

    Oui, Christ a été crucifié à cause de sa faiblesse, mais il vit par la puissance de Dieu. Nous aussi, nous sommes faibles en lui, mais nous vivrons avec lui par la puissance de Dieu pour agir envers vous. 2 Corinthiens 13.4 

     

    Il ne semblait pas y avoir de doute. Les chefs juifs, les soldats romains et tous les représentants du gouvernement étaient d’accord : tout s’est terminé à la croix. De leur point de vue, la mort de Jésus était leur victoire. Il est mort dans un état de faiblesse qui semblait total. Ils pensaient qu’ils avaient triomphé, qu’il avait perdu, qu’il avait été vaincu.

     

    Mais aucune de ces personnes n’a compris la "puissance de Dieu". Une puissance sans limites, qui n’a pas diminué lorsque Jésus est mort sur la croix. La croix a même libéré d’une manière nouvelle cette puissance capable de vaincre la mort, la maladie, le doute et toutes les forces politiques, militaires ou économiques de la planète.

     

    Paul a dit aux Corinthiens que cette même puissance était accessible à tous ceux qui croient en Jésus. C’est un pouvoir qui vous est accessible !

     

    Faites-vous face à des situations dans lesquelles vous semblez faible et impuissant ? Êtes-vous aux prises avec une maladie ou un problème sans solution apparente ? Êtes-vous découragé ou avez-vous peur de l’avenir ? Êtes-vous envahi par le doute ou l’incertitude ? Vous sentez-vous vaincu, sans aucun espoir de victoire ?

     

    Vous pouvez avoir confiance en Dieu. Rappelez-vous que Jésus vit maintenant "par la puissance de Dieu", et que cette puissance vous est accessible, en ce moment même !

     

     

     

    John Roos
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

     

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    Lorsque Dieu vous parle

     

     

     

    Lorsque Dieu vous parle

     

     

     

     

    Dieu parle tantôt d’une manière, tantôt d’une autre Job 33.14. 

     

    Il nous arrive de faire la sourde oreille lorsque Dieu essaie de nous parler. En réalité, le problème ne vient pas de notre manque de communion avec lui, mais plutôt de notre absence d’attention.

     

    Quand Dieu souhaite nous parler, il peut le faire directement ou encore utiliser une personne qui nous délivrera un message. Très souvent, nous nous attendons à ce que cette personne soit un pasteur de renommée mondiale pour prendre en considération ce que Dieu veut nous dire.

     

    Il y a quelques jours, au téléphone, je faisais part à un ami que je regrettais de ne pas avoir pris au sérieux tout ce qu’il me disait, car il est certain que cela m’aurait été bénéfique. Pour moi, néanmoins, la parole qu’il m’avait communiquée de la part de Dieu était encore valable ; il n’était pas trop tard pour que je rectifie certaines choses.

     

    Il vous faut comprendre que Dieu n’est pas muet. "Il parle tantôt d’une manière, tantôt d’une autre", et tentera constamment de vous interpeller, de vous encourager, de vous donner une direction, de ratifier une promesse.

     

    Si vous souhaitez être au bénéfice de sa Parole, vous devez garder les oreilles bien ouvertes afin d’être disposé à entendre ce qu’il veut vous dire.

     

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Tout seul ?

     

     

    Tout seul ?

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Genèse 21.9-19 

     

    Dieu entendit la voix de l’enfant. Genèse 21.17 

     

    La famille de Sue éclatait sous ses yeux. Son mari était soudain parti, les laissant elle et ses enfants confus et en colère. Elle lui avait demandé d’aller en thérapie de couple, mais il s’y était refusé, estimant que leurs problèmes conjugaux venaient d’elle. La panique et le désespoir l’avaient gagnée lorsqu’elle avait compris qu’il ne reviendrait peut-être jamais. Allait-elle pouvoir s’occuper seule d’elle-même et des enfants ?

     

    Agar, la servante d’Abram et de Saraï, a dû se poser la même question. Impatiente de voir Dieu leur donner le fils qu’il leur avait promis (GE 15.4), Saraï a donné Agar à son mari, et celle-ci a engendré Ismaël (16.1-4,15). Mais, quand Dieu a accompli sa promesse et que Saraï a donné naissance à Isaac, des tensions familiales ont éclaté, si bien qu’Abram – maintenant « Abraham » – a chassé Agar et leur fils, Ismaël, avec juste un peu d’eau et de nourriture (21.8-21). Pouvez-vous imaginer son désespoir ? Ils n’ont pas tardé à manquer de provisions dans le désert. Ne sachant pas quoi faire et refusant de voir son fils mourir, Agar a déposé Ismaël sous un buisson et s’en est éloignée. Ils se sont mis tous les deux à pleurer, mais « Dieu entendit la voix de l’enfant » (V. 17). Il a tendu l’oreille, comblé leurs besoins et été avec eux.

     

    Les moments de désespoir où nous nous sentons seuls au monde nous amènent à crier à Dieu. Quel réconfort de savoir que, durant ces moments et tout au long de notre vie, il nous entend, répond à nos besoins et reste à nos côtés !

     

    Comment Dieu a-t-il comblé vos besoins quand vous vous sentiez seul ?
     Comment y avez-vous répondu ?

     

    Mon Dieu, je te suis reconnaissant de ce que je ne marche jamais vraiment seul. Secours-moi dans mon désespoir.

     

     

     

     

    Anne Cetas
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Change ta manière de parler

     

     

     

    Change ta manière de parler

     

     

     

     

     

    Quel est le miracle que tu attends si désespérément, mon ami(e) ? 

     

    Je ne connais pas ton attente, mais j´ai la ferme assurance que Jésus peut et veut te l´offrir!!

     

    Cependant, la réponse peu s’avérer différente de ce que tu attends :

     

    Par exemple, à la place de la guérison, Il peut simplement te donner la force de vivre avec cette maladie. Ou alors, au-lieu de résoudre ton problème, Il te donnera la sagesse pour le gérer!

     

    Mais quelle que soit la réponse que tu obtiendras de la part de Dieu, tu peux être sûr que ce sera  pour ton bien!

     

    Peut-être que tu connais déjà mon histoire. Les médecins avaient annoncé que je n’atteindrais pas mes 18 ans. L´anorexie m’avait trop affaiblie, je n´avais plus la force de vivre.

     

    Cependant, mes parents ne se sont pas laissés influencer par le verdict des hommes, ni par le silence de Dieu ! Ils ont continué de crier à Dieu et de proclamer Sa VIE sur moi !

     

    “Notre fille VIVRA !” 

     

    Cette phrase, ils l’ont déclarée à voix haute. Cette phrase, je n’étais pas la seule à l’entendre. Dieu l’a entendue aussi: Et tout ce qui s’est opposé à ma vie a entendu ces paroles de foi! 

     

    L’incrédulité ne peut résister, là où la foi est déclarée! 

     

    Le premier miracle de la Bible s’est déroulé de manière similaire. Ceux qui entouraient Marie, et qui devaient préparer les récipients pour le miracle, ont dū penser qu’elle était folle. En effet, Jésus leur avait dit  auparavant : “Ce n´est pas encore le moment pour moi” (Jean 2,4 – PdV).

     

    Pourtant, elle leur recommanda de faire exactement ce qu’il disait.

     

    Elle déposa Foi et Vie dans une situation qui semblait impossible !

     

    Je t´encourage toi aussi, à proclamer à voix haute la VIE sur ta situation.
    Tu veux essayer aujourd’hui, mon ami(e)?

     

     

    Déborah Rosenkranz
    (Source : Un miracle chaque jour)

     

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    La culpabilité n’est pas pour vous

     

     

     

    La culpabilité n’est pas pour vous

     

     

     

     

     

    Il n’y a donc, maintenant, plus aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. Romains 8.1 

     

    Lorsque je demande à un large public combien de personnes ont passé leur vie à se sentir coupables, je dirais qu’au moins 80 % lèvent la main. Pendant longtemps, j’ai fait partie de ces 80 %, jusqu’à ce que je décide que la culpabilité n’était plus pour moi ; je n’allais pas continuer à laisser ce sentiment mensonger régner sur ma vie. J’ai donc étudié le caractère et la nature de Dieu, et ce qu’il dit au sujet de la culpabilité, jusqu’à ce que je sois parfaitement convaincue que Dieu n’était pas la source de ce sentiment.

     

    Je vois la culpabilité comme un extraterrestre qui attaque illégalement notre esprit et notre conscience. Il fait tout pour nous empêcher de profiter de ce que Dieu nous donne jour après jour. La culpabilité n’a aucun droit dans notre vie, car Dieu a déjà payé pour nos péchés et nos erreurs. Si elle est en nous sans avoir droit de cité, nous devons directement la renvoyer d’où elle vient : l’enfer !

     

    Refusez de laisser la culpabilité voler votre joie plus longtemps. Vous devez vous souvenir que vous n’avez pas été créé pour vous sentir coupable. Combattez-la agressivement chaque fois qu’elle essaie de s’immiscer en vous, en recevant l’amour et la grâce de Dieu.

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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    Guérie du passé (1 à 3)

     

     

    Guérie du passé (1)

     

     

    “Quand Jésus vit cette femme, Il l’appela et lui dit…” Lc 13.12 

     

    Jésus était en train d’enseigner dans une synagogue lorsqu’Il remarqua une femme, rendue infirme par un esprit mauvais, dont le dos était courbé sans cesse, car elle ne pouvait pas se redresser. Elle souffrait ainsi de ce handicap depuis 18 ans, ce qui est une période bien longue quand on n’a aucune espoir de guérison. Les gens semblaient accoutumés à la voir souffrir, et à en juger par la réaction du chef religieux (v. 14), paraissaient insensibles à sa souffrance. Avez-vous rencontré ce genre de réaction dans votre église ? Mais Jésus l’a remarquée et lui demande de s’approcher. Pourquoi ? 1- Il voulait d’abord confronter les gens de cette communauté religieuse à leur indifférence et leur manque de compassion. Il n’hésite pas à les qualifier d’hypocrites (v. 15). 2- Il tenait à lui faire comprendre qu’elle devait faire un premier pas de foi. Elle devait apprendre à se comporter comme cette autre femme, affligée d’une hémorragie, qui osa s’approcher d’elle-même de Jésus pour toucher Son vêtement et ainsi être guérie (Lc 8. 43-48). La foi est seule capable de créer ce déclic annonciateur d’un miracle. “Or, sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu, car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’Il existe et qu’Il récompense ceux qui Le cherchent” (He. 11. 6). La foi ouvre le champ de nouvelles possibilités. Si votre église ne vous apporte aucun réconfort, sachez que ses membres ne sont que des humains qui ne comprennent pas nécessairement ce que vous souffrez. Par contre Dieu lit dans votre cœur et sait ce que vous souffrez, même en silence. Mais pour obtenir la guérison vous devez vous approcher de Lui. 3- Dieu veut que vous participiez à votre guérison car ainsi vous apprécierez d’autant plus ce que vous allez vivre et vous serez un meilleur témoin devant les autres de l’expérience que vous aurez vécue.

     

     

    Guérie du passé (2)

     

    “A l’instant même elle se redressa et se mit à glorifier Dieu…” Lc 13.13 

     

    Quelqu’un s’est demandé combien de temps elle mit à s’approcher de Jésus, vu sa condition physique. Peut-être plusieurs minutes s’écoulèrent, dans un silence à couper au couteau, tandis qu’elle descendait les marches pour venir devant Jésus. Chaque pas qu’elle faisait était un pas affermissant sa foi. Une fois arrivé devant Jésus, Il “lui imposa les mains” et “à l’instant même elle se redressa et se mit à glorifier Dieu” (v. 13). Si vous souffrez depuis des années de problèmes que vous ne pouvez pas surmonter, il vous sera d’autant plus long de prendre la décision de vous approcher de Jésus. Mais Dieu est très patient. Il ne vous bousculera pas. Ecoutez : “Il ne brisera pas le roseau qui ploie, Il n’éteindra pas la mèche qui vacille…” (Es 42. 3). Rien de ce que vous avez fait ne vous empêchera de vous approcher de Lui, si vous en avez la volonté et la foi. Car Il vous aime trop : “Je t’aime depuis toujours, et Je te reste profondément attaché” (Jr 31. 3). La seule chose qu’Il espère de vous en retour, c’est que vous Lui exprimiez votre reconnaissance. Cette femme mit du temps pour s’approcher de Jésus, mais dès qu’elle fut devant lui, deux événements eurent lieu presque en même temps : “elle se redressa” et “elle se mit à glorifier Dieu”. Celui-ci ne vous retirera pas, si vous ne Le glorifiez pas, la bénédiction qu’Il vous a accordée, mais vous ne vivrez pas la joie de Jésus dans votre cœur. Quand Jésus guérit dix lépreux, un seul revint Le glorifier. Certes les autres demeurèrent guéris, mais ne connurent jamais la joie d’entrer dans la présence de Jésus (Lc 17. 11-19) et de témoigner de la bénédiction qu’ils avaient reçue de Lui. Non seulement cette femme glorifia Dieu pour le miracle qu’elle venait de vivre, mais“mais la foule entière se réjouissait de toutes les œuvres magnifiques qu’Il accomplissait” (Lc 13. 17). Votre louange et votre témoignage plairont à Dieu, car ils montreront au monde combien Il aime ceux qui Lui appartiennent et les bénédictions qu’Il est prêt à leur accorder !

     

     

    Guérie du passé (3)

     

    “Il met entre nous et nos mauvaises actions autant de distance qu’entre l’est et l’ouest.” Ps 103. 12

     

    Ne laissez pas les obstacles extérieurs, comme les gens qui voudront vous convaincre que Dieu ne fait plus de miracles aujourd’hui, ou les chefs religieux qui se sentent dérangés lorsque quelqu’un s’approche de Dieu, vous empêcher de rechercher Jésus. Peut-être les obstacles sont en vous : une addiction, un sentiment de doute ou un sentiment de honte, une grave action que vous avez commise et que vous n’osez pas révéler ; quelque soit l’obstacle, sachez que Dieu connaît déjà tout de votre passé, et que cette connaissance ne L’empêche pas de vous aimer et de vouloir renouveler votre esprit et vos forces. David écrit si justement : “Quand je n’étais qu’une masse informe, Tes yeux me voyaient ; et sur Ton livre étaient tous inscrits les jours qui furent façonnés, avant qu’aucun d’eux n’existe” (Ps 139. 16). Votre passé est entre vous et Lui. Vous n’avez pas à révéler aux autres ce qui vous déchire le cœur, sauf si vous décidez de le faire pour glorifier Dieu. Si vous le faites ce sera en pleine assurance que ces fautes qu’Il vous a pardonnées déjà, Il les a mises aussi loin de vous que l’est est éloigné de l’ouest ! Votre passé est le domaine où Satan piochera pour essayer de vous destabiliser. Mais Dieu est déjà allé de l’avant. Il voit ce que vous accomplirez pour Lui à l’avenir. Prenez comme exemple ces personnages du Nouveau testament que Jésus transforma afin de les rendre utiles à Son service. Marie de Magdala était une prostituée avant de Le rencontrer. Mais elle fut la première à voir Jésus ressuscité : “Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala vient au tombeau dès le matin, alors qu’il fait encore sombre… Cependant Marie se tenait dehors, près du tombeau, et elle pleurait… Après… elle se retourna ; elle voit Jésus, debout ; mais elle ne savait pas que c’était Jésus…”(Jn 20. 1, 11, 14). Matthieu était un collecteur de taxes à la solde des Romains quand Jésus le rencontra, l’appela et l’associa à sa troupe, aux côtés d’un certain Simon le Zélote, un terroriste animé par le désir de tuer autant de Romains que possible ! Croyez-vous que Jésus ne connaissait pas les passés contradictoires de ces deux hommes ? Si vous rejoignez Ses rangs, vous n’avez plus de passé, mais seulement un avenir !

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Quand Dieu nous met au défi

     

     

     

    Quand Dieu nous met au défi

     

     

     

     

    Est-ce que je ne suis pas assez puissant ? Maintenant, tu vas voir si ma parole se réalise pour toi, oui ou non. Nombres 11.23 

     

    Souvent, quand on regarde l'ampleur d'une tâche, on se demande comment Dieu va faire, comment il peut résoudre un problème avec si peu de ressources autour de nous. Le problème est que nous mettons Dieu dans une boîte, nous pensons qu'il est limité comme nous. Ce qui n'est bien sûr pas le cas !

     

    Qui ne s'est jamais posé de telles questions :

     

    - Dieu peut-il me fournir les ressources nécessaires ?
    - Dieu peut-il m'amener un conjoint ?
    - Dieu peut-il changer mon enfant ?
    - Dieu peut-il restaurer cette relation brisée ?

     

    Les disciples avaient ce même raisonnement. Dans Luc 19.13, devant la foule affamée, quand Jésus leur dit : "Donnez-leur vous-mêmes à manger", ils répondirent : "Nous n'avons pas plus de cinq pains et deux poissons, à moins que nous n'allions nous-mêmes acheter des vivres pour tout ce peuple."

     

    Pourtant Jésus multiplia la nourriture à un tel point qu'on emporta douze paniers de morceaux qui étaient restés. (Luc 9.17)

     

    De même, quand le Seigneur dit à Moïse qu'il leur donnera de la viande à manger, Moïse répondit : "Ce peuple qui m’entoure compte 600 000 hommes. (...) Même si on tue pour eux tous les moutons, les chèvres et les bœufs, cela ne suffira pas !"

     

    Le Seigneur lui répondit : "Et moi, est-ce que je ne suis pas assez puissant ? Maintenant, tu vas voir si ma parole se réalise pour toi, oui ou non." (Nombres 11.23)

     

    "Le Seigneur envoie un vent qui souffle de la mer. Ce vent amène des cailles et il les fait tomber sur le camp. Il y en a tout autour du camp, sur une distance d’une journée de marche. Ces oiseaux couvrent le sol sur un mètre d’épaisseur environ." (Nombres 11.31, version Parole De Vie)

     

    Imaginez la scène, pendant un mois, sur 40 km (la distance d’une journée de marche), le peuple trouve des cailles jusqu’à sa taille ! Oui Dieu est assez puissant, il peut même faire "infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons !" (Ephésiens 3.20)

     

    Le croyez-vous ?

     

     

     

    David Nolent
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

     

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