De l’échec au succès (1)

« Aujourd'hui l'Éternel te livrera entre mes mains » 1 Samuel 17.46 

Tous ceux qui ont réussi quelque chose d’important ont dû déjouer les pronostics. Pour beaucoup, le problème n’est pas la chance, mais le fait de se sous-estimer. Quelqu’un a dit : « La plupart des gens pensent trop petit, visent trop bas et abandonnent trop tôt. » David avait peu de chance de vaincre Goliath. Sauf que David avait mis sa foi en Dieu dans la balance. Il dit à Goliath : « Je te frapperai et je te couperai la tête » (v.46). Clairement, David visait haut. C’est ce qu’il faut faire quand il s’agit de suivre l’appel de Dieu. Les probabilités importent peu. Pas grave si on tombe en cours de route. On le fait tous en apprenant à marcher, non ? Maxwell Maltz a dit : « Vous êtes un champion de l’art de vivre si vous n’atteignez que 65 % de vos objectifs. » Si les probabilités indiquent que vous ferez beaucoup d’erreurs sur le chemin de la réussite, qu’il en soit ainsi. Tant que vous finissez par réussir, n’est-ce pas là l’essentiel ? Rappelez-vous que si vous ratez le départ, rien n’est jamais perdu ! Tant que vous continuez à faire confiance à Dieu et à essayer, il vous viendra en aide. Jacques écrit : « Heureux est l’homme qui demeure ferme dans l’épreuve ; car après avoir prouvé sa fermeté, il recevra la couronne de victoire » (Ja 1.12, BFC). Paul a dit : « Ne nous lassons pas de faire le bien ; car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas » (Ga 6.9). Si vous croyez que Dieu veut votre réussite et que vous persévérez, vous passez de l’échec au succès.

De l’échec au succès (2)

« Ton commencement semblera peu de chose, ta fin sera bien plus grande » Job 8.7, NBS

Il est plus facile de reconnaître le succès à postériori. Pour certains, il peut s’écouler de nombreuses années avant d’y croire, de le célébrer et en prendre de l’assurance. C’est que l’on n’a pas la bonne perspective. À son point le plus large, le Mississippi nécessite un pont de trois kilomètres de large pour le traverser. À sa source, c’est un ruisseau si petit que l’on peut sauter par-dessus. Mais c’est toujours le même fleuve. La plupart des choses commencent petit ! Connaissez-vous la prière de sérénité ? Elle ressemble à ceci : « Dieu, accorde-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer les choses que je peux et la sagesse de faire la différence. » Elle a été priée pour la première fois dans une petite église du Massachusetts par le théologien Reinhold Niebuhr lors d’un culte du dimanche matin. L’assemblée était réduite ce jour-là, mais une personne a aimé la prière et après le service, elle a demandé une copie à Niebuhr. Le pasteur lui tend un morceau de papier froissé : « Tenez, je doute que je m’en serve encore. » Devinez quoi ? Après le Notre Père, c’est la prière la plus utilisée au monde. N’est-il pas ironique qu’elle soit devenue si populaire ? De toute évidence, son auteur n’avait pas conscience de sa portée. Maintenant, relisez ce verset et réfléchissez bien : « Ton commencement semblera peu de chose, ta fin sera bien plus grande ». Avec l’aide de Dieu, vous pouvez transformer votre échec en succès et passer à de plus grandes choses.

Bob Gass

Le Rocher des siècles est celui qui nous tient lieu de fondation 

La voie de Dieu est parfaite, la parole de l’Éternel est éprouvée; il est le bouclier de tous ceux qui se retirent vers lui. Car qui est Dieu, sinon l’Éternel? Et qui est un rocher, sinon notre Dieu? 2 Samuel 22.31-32

Comment ne pas chanceler dans ce monde? Comment y trouver équilibre et stabilité? Bien entendu, toutes ces questions sont légitimes et, fort probablement, chacun se les pose au cours de son existence. Evidemment, tous cherchent à bâtir leur vie sur des bases solides. Autrement, chacun sait qu’elle sera exposée à la menace d’une ruine soudaine lorsqu’une tempête se jettera avec violence sur l’édifice. Aussi est-il tout à fait normal de chercher à se prémunir de ce grand danger! Seulement voila, il reste à savoir maintenant où l’homme placera sa confiance. En réalité, ce choix est crucial. Il conditionne toute son existence et de cette décision dépend directement son salut.

Les politiciens pourraient-ils offrir la sécurité dont nos âmes ont besoin? Les philosophes et autres maîtres à penser de ce siècle sauraient-ils les apaiser par leurs discours? De manière plus générale, le bras de la chair serait-il à ce point digne de foi qu’il serait possible d’y prendre appui sans jamais chanceler? Force est de constater qu’une telle confiance ne peut profiter à personne. Au contraire, l’homme qui s’assure en l’homme ne manquera pas de tomber et d’être confus. Après tout, comment un aveugle conduirait-il un autre aveugle?

Une question demeure toujours: où se trouve le fondement solide et inébranlable sur lequel se reposer? Naturellement, une seule réponse s’impose: la Parole de Dieu! Elle est une lampe à notre pied, une lumière sur notre sentier. Oui, dans la nuit, elle nous éclaire et rend notre pas assuré. Indiscutablement, la Parole de Dieu saura combler quiconque est en quête de sécurité et de vérité. Christ, le bon Berger, nous y est présenté. Qui Le suit n’aura plus jamais à marcher dans le noir, c’est une certitude. Qui bâtit sa maison en prenant appui sur Lui n’en souffrira jamais la perte, elle résistera malgré vents et marées. Les orages pourraient bien gronder et les océans se déchaîner, nous demeurerons pourtant debout.

Réalisons-le, le Roc solide, insubmersible, que nous cherchions avec tant d’ardeur est là devant nous. À présent, il n’est plus question de fonder notre espérance sur une rêverie ou autre fable. Non, désormais notre assise est ferme. Et pour cause, le Rocher des siècles est Celui qui nous tient lieu de fondation!

(Source : unmessagedamour.fr)

Dieu pardonne et restaure

« Lave-moi complètement de mes fautes » Psaumes 51.3, PDV

Voici une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise, c’est que lorsque David a essayé de cacher son péché, Dieu a dévoilé celui-ci à toute la nation. La bonne, c’est que lorsqu’il s’est repenti de son péché, Dieu lui a pardonné et l’a acquitté. Ce que Dieu a fait pour David, il le fera pour moi. Il suffit de me mettre à genoux et de prier : « Purifie-moi de mon péché. O Dieu ! Crée en moi un cœur pur » (v.2,10).

Voici comment Dieu répond à cette prière de Salomon, le fils de David : « Et toi, si tu marches devant moi comme a marché David, ton père, avec un cœur intègre et avec droiture, pour faire exactement ce que je t’ai ordonné, si tu observes mes prescriptions et mes règles j’établirai pour toujours ton trône royal en Israël, selon ce que j’ai dit à David, ton père : “Tu auras toujours un successeur sur le trône d’Israël” » (1R 9.4–5, NBS).

Aujourd’hui, j’ai peut-être l’impression qu’à cause de mon péché, il n’y a plus d’espoir et de rédemption possibles, que j’ai manqué l’occasion d’être utile à Dieu et d’accomplir ma destinée. C’est faux ! Je peux être guéri(e), restauré(e), pardonné(e). Je peux retrouver mon intégrité, être rétabli(e) et redevenir moi-même. Je peux chanter cet hymne : « Il existe une source remplie de sang puisé dans les veines d’Emmanuel. Les pécheurs immergés dans ce courant sont débarrassés de toutes leurs taches coupables. » Voici donc une parole pour aujourd’hui : Dieu pardonne et vous restaure. Tout ce que j’ai à faire, c’est de le lui demander.

Bob Gass

Vous pouvez vous reposer !

Il se coucha et s’endormit sous un genêt. Et voici qu’un ange le toucha et lui dit : « Lève-toi et mange. » Élie regarda et il vit à son chevet un gâteau cuit sur des pierres chauffées ainsi qu’une cruche d’eau. Il mangea et but, puis se recoucha.  1 Rois 19.5-6 

Si vous êtes actuellement au milieu d’une tempête, veillez à vous accorder le repos nécessaire. Remarquez qu’au milieu de sa crise, Élie s’est reposé et a mangé. Il a pris soin de son corps.

Certaines des crises que vous vivez viennent du fait que vous manquez de sommeil et ne mangez pas bien. Votre corps, votre âme et votre esprit sont liés. Ce que vous faites à l’un d’entre eux affecte les deux autres. Nous sommes tissés en un tout complexe. Lorsque vous traversez une crise, ayez la sagesse de prendre du repos.

Lorsque vous êtes épuisé et physiquement faible, il est facile de tout exagérer. Quand nous sommes fatigués, nous pouvons avoir l’impression que le monde entier s’écroule, alors que ce n’est pas le cas. Comme l’a dit Mark Twain : "J’ai traversé de nombreuses crises dans ma vie, dont la plupart n’ont jamais eu lieu."

Vous et moi avons besoin de nous reposer. Si vous êtes au milieu d’une tempête aujourd’hui, veillez à ne pas négliger le repos dont vous avez besoin.

Bailey Conless
(Source : TopChrétien)

Demandez l’aide de Dieu

J’avais mis mon espérance en l’Éternel, et il s’est penché vers moi, il a écouté mes cris. Il m’a retiré de la fosse de destruction, du fond de la boue, et il a établi mes pieds sur le rocher, il a affermi mes pas. Psaume 40.2-3 

La première étape pour sortir du gouffre du désespoir est de crier à Dieu. Il entendra votre cri, et il vous fera remonter et sortir.

Mais sa réponse n’est pas toujours instantanée. Remarquez que David a dit : "J’avais mis mon espérance en l’Éternel." La réponse à son cri n’a pas été apparente pendant un certain temps.

Il y a quelques années, je suis allé chasser avec un ami. Je devais prendre un petit avion pour une prairie à une trentaine de kilomètres dans une étendue sauvage où il devait me retrouver.

Pour diverses raisons, je suis arrivé avec six heures de retard au point de ralliement. Mon ami n’était pas là, alors pendant 20 minutes, le pilote de ce petit avion a essayé de me convaincre de ne pas rester. Il m’a dit qu’il y avait des pumas, des grizzlis, des meutes de loups... que j’allais me faire dévorer vivant !

Il a fini par partir, et vers deux heures du matin, j’ai entendu un bruit. Ce n’était pas un grizzli ; c’était mon ami avec les chevaux !

Je pense que le diable est comme ce pilote d’avion. Il essaie toujours de nous convaincre d’abandonner et de renoncer. Mais nous pouvons rater les plus grandes bénédictions de notre vie si nous ne sommes pas patients.

Criez à Dieu, il vous répondra. Point final ! Mais soyez prêts à faire preuve de patience.

Bayless Conley
(Source : TopChrétien)

Dieu se souvient de nous

Il est impossible que Dieu nous oublie. Il a inscrit le nom des siens sur les paumes de ses mains.

ÉSAÏE 49.13-18 

Avez-vous parfois l’impression que Dieu vous néglige, qu’il vous a oublié ou abandonné? Pensez-vous être insignifiant à ses yeux? Quand nous souffrons, il est facile de croire qu’il ne se soucie pas de nous. Le peuple d’Israël était aussi tenté de croire que Dieu l’avait oublié et abandonné après la destruction de Jérusalem et l’exil des Juifs vers Babylone.

Le passage du jour contredit toutefois la supposition selon laquelle les épreuves nous indiquent que Dieu est absent de la situation. L’Éternel répond à la crainte d’abandon d’Israël en lui affirmant son amour inconditionnel. Il se tient aussi près de nous qu’une nourrice de son enfant, et se montre aussi attentif qu’elle. De plus, il lui est impossible de nous oublier. Pour rassurer les Israélites craintifs et las, il leur a dit qu’il avait gravé leurs noms sur les paumes de ses mains (Ésaïe 49.16).

Des siècles plus tard, Jésus-Christ a été crucifié; on a planté des clous dans ses mains. Sa crucifixion nous a prouvé que les paroles de Dieu sont vraies et que notre valeur pour lui dépasse tout ce que nous pouvons imaginer. Nous sommes ses enfants bien-aimés. À quel point notre vie changerait-elle si nous devenions pleinement conscients du fait qu’il pense toujours à nous?

(Source : encontact.org) 

Dire la vérité

« Le Seigneur […] approuve ceux qui pratiquent la vérité » Proverbes 12.22, BFC

Me faut-il parfois mentir ? À moins de vouloir irriter Dieu, j’évite ! Salomon a dit : « Le Seigneur déteste les menteurs, il approuve ceux qui pratiquent la vérité ». Le mensonge blesse Dieu, les autres et moi-même. La Bible dit : « L’amour du mal détruit les gens déloyaux » (Pr 11.3, BFC).

Le mensonge permanent a des conséquences pour trois raisons.

1) Dieu m’entend. Lorsque je décide de prier, le dernier sujet que j’aimerais aborder avec Dieu est le premier dont il voudra débattre avec moi ; en clair, mon mensonge !

2) Je perds ma confiance devant Dieu. La Bible dit : « Si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable » (1Jn 3.21–22).

3) Je risque d’être vulnérable. Salomon a dit : « Une affirmation vraie reste toujours valable, mais les mensonges ne tiennent qu’un instant » (Pr 12.19, BFC). Quand les gens découvrent que j’ai menti, ils ne me respectent plus, n’ont plus confiance en moi, et la réputation qu’il m’a fallu des années pour bâtir subit un coup souvent irrémédiable. Paul écrit : « On vous a enseigné, en tant que chrétiens, la vérité qui est en Jésus. Vous devez donc, en renonçant à votre conduite passée, vous débarrasser de votre vieille nature que ses désirs trompeurs mènent à la ruine. […] C’est pourquoi, rejetez le mensonge ! Que chacun dise la vérité à son prochain, car nous sommes tous membres d’un même corps » (Ep 4.21–25, BFC).

Bob Gass

La paix que Jésus donne

Le Dieu de paix brisera bientôt Satan sous vos pieds. Romains 16 : 20

La paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées dans le Christ Jésus. Philippiens 4 : 7

 « La paix soit avec vous ! », dit Jésus à ses disciples après sa résurrection. La paix dans ce monde dépend d’un fragile équilibre entre des rapports de force. Les hommes l’obtiennent ou l’imposent par des traités dans lesquels chaque belligérant fait des concessions. Mais Jésus nous donne sa paix sans compromis ni tractations. Cette paix que Jésus nous laisse est fondée sur la grâce et sur le pardon de Dieu. Elle ne dépend pas de nous, c’est pourquoi elle n’est pas fragile. Elle demeure, quels que soient nos propres sentiments.

La paix du Seigneur n’est pas l’absence d’épreuves ou de problèmes. Au contraire ! car c’est dans l’épreuve qu’on en expérimente toute la réalité. Elle donne la sérénité à l’âme : plus de trouble à cause du péché ni de ses conséquences, plus de crainte devant les circonstances adverses. La paix, c’est aussi l’absence de conflits, avec Dieu, avec soi-même, avec autrui. Quelle différence avec ce monde tourmenté !

La paix laissée par Jésus à ses disciples présente ce double aspect : « Je vous laisse la paix », comme résultat de son sacrifice qui donne le repos à la conscience. « Je vous donne ma paix » (Jean 14 : 27), celle que le coeur peut éprouver par le Saint Esprit, dans l’acceptation de la volonté du Seigneur, en dépit des difficultés.

Cette paix n’est pas pour tous : « Il n’y a pas de paix... pour les méchants » (Esaïe 48, 22) ; elle est réservée au croyant, rendu juste par la foi au Seigneur Jésus Christ (Romains 5 : 1). « C’est lui qui est notre paix » (Ephé. 2 : 14).

(Source : La Bonne Semence / chretien.news)

Dieu est digne de confiance

“ Les voies de Dieu sont parfaites, la parole de l’Eternel est pure ; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en Lui.” Ps 18. 31 

William Cowper poète britannique du dix-huitième siècle n’a pas eu une vie de rêve : celle-ci a été marquée par la tristesse et la dépression. Atteint de pulsions suicidaires il a tenté plusieurs fois d’ en finir avec ses jours et a même passé un certain temps dans un asile psychiatrique cependant Dieu travaillait dans l’ombre de sa vie pour Sa gloire. C’est à l’asile que son mèdecin lui parle de l’évangile de Jésus Christ et à sa sortie il rencontre le pasteur John Newton qui l’encourage à écrire des hymnes. Personne ne choisirait la peine et la souffrance d’un cœur tourmenté par la tristesse mais le Seigneur a œuvré à travers ses hymnes pour apporter le réconfort à beaucoup de malheureux.

On raconte que lors d’une crise il a pris un cabriolet à cheval voulant mettre fin à sa vie en sautant d’un pont à Londres. Le conducteur du cabriolet ne savait rien des projets funestes de Cowper et l’a emmené. Mais le brouillard est devenu très épais cette nuit-là et après un long moment le chauffeur a admis qu’il était perdu. Cowper furieux sortit du cabriolet pour se rendre compte qu’il était devant la porte de sa propre maison ! Il est apparemment rentré ce soir là pour écrire le célèbre hymne “God moves in a mysterious way” : “Dieu œuvre d’une manière mystérieuse” !

Aujourd’hui si vous traversez une épreuve faites confiance à Dieu car Ses voies sont parfaites (Ps 18. 31) et notre Dieu est digne de confiance. Notre Dieu a promis (Ps 91. 15-16) qu’Il serait avec nous dans la détresse, qu’Il nous en délivrerait, qu’Il nous glorifierait, qu’Il nous rassasierait de longs jours et nous ferait voir Son salut ! Jésus nous encourage à ne pas regarder autour de nous et à ne pas faire des comparaisons avec ce qui se passe dans la vie de ceux qui nous entourent mais de nous concentrer sur notre propre marche avec Lui. Quand Jésus annonce à Pierre qu’il mourra en martyr, ce dernier demande à Jésus ce qui allait advenir de Jean. Jésus lui répond : “Si Je veux qu’il vive jusqu’à ce que Je revienne, en quoi cela te concerne-t-il? Toi, suis-Moi” (Jn 21. 22).

Bob Gass

Notre force et notre bouclier

Dieu nous fournira le nécessaire pour vivre dans la paix malgré le tohu-bohu.

2 SAMUEL 22.3-7 

La vie peut être dure. Les problèmes relationnels et financiers, les pressions au travail et la solitude — pour ne nommer que ceux-là — nous donnent l’impression d’être trop affaiblis pour continuer. Même si nous sommes profondément ancrés en Christ, tout ce chaos peut nous dépasser. Quand un chef d’orchestre lève les bras, tous les musiciens deviennent silencieux. De même, Dieu peut calmer la tempête et les grands vents. Il est notre sécurité et notre paix dans l’orage.

Parcourez-vous un sentier ardu et avez-vous besoin de lumière? Désirez-vous ardemment oublier de vieux souvenirs ou être protégé de paroles méchantes? Prenez courage. Dieu a promis que nous n’aurions jamais à affronter seuls aucune difficulté. Au contraire : « L’Éternel marche lui-même devant toi, il sera lui-même avec toi, et il ne te délaissera pas, il ne t’abandonnera pas; sois sans crainte et ne t’épouvante pas » (Deutéronome 31.8).

Les paroles de louange de David dans le passage du jour n’ont pas perdu leur sens. Non seulement Dieu nous préserve de la mort éternelle, mais il éclaire notre sentier et nous fortifie chaque jour. Accrochons-nous à la vérité selon laquelle il se tient à nos côtés, en toute situation.

(Source : encontact.org)

Il n’échoue jamais

Nul ne subsistera devant toi pendant tous les jours de ta vie; je serai avec toi comme j'ai été avec Moïse; je ne te laisserai point, et je ne t'abandonnerai point. Josué 1:5

Cette parole à Josué est souvent citée: c'est celle qui est rapportée dans le Nouveau Testament en ces termes: "car Dieu lui-même a dit: Certainement je ne te laisserai point, et je ne t'abandonnerai point." Hebreux 13:5

Bien-aimés, nous avons devant nous une vie de combats; mais l'Eternel des armées est avec nous. Avons-nous à conduire un peuple nombreux et inconstant? Cette promesse nous garantit toute la sagesse et la prudence requises; à lutter contre des ennemis rusés et puissants? Voici la force, la vaillance et la victoire; ou un héritage étendu à conquérir? Nous avons le gage de la réussite de notre entreprise. l'Eternel lui-même est avec nous.

Ce serait une calamité si l'Eternel pouvait nous manquer; mais comme c'est une chose impossible, le souffle de l'inquiétude sera arrêté par le rempart de la fidélité divine. En aucune occasion le Seigneur ne nous abandonnera. Arrive que pourra, il sera à nos côtés. Nos amis nous échappent et leur secours est une ondée d'avril; mais Dieu est fidèle, Jésus est le même éternellement et le Saint-Esprit demeure en nous.

Ainsi, mon coeur, sois calme et confiant; si les nuages s'amassent, le Seigneur peut les dissiper. Si Dieu ne peut me manquer, ma foi ne faiblira pas non plus; s'il ne m'abandonne pas, pourrais-je moi l'abandonner? Que ma foi soit donc paisible.

(Source : Les Trésors de la foi / chretien.news)