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    Un environnement favorable

     

     

     

    Un environnement favorable

     

     

     

     

    « Celui qui marche avec les sages devient sage » Proverbes 13.20, NBS

     

     

    Lorsqu’une personne essaie de vous diminuer, c’est qu’elle veut probablement vous réduire à sa taille. Alors, que faire ? L’aimer, mais ne pas se laisser influencer par elle. Ne pas rester là où l’on est toléré, aller là où l’on est apprécié !

     

    Un bonsaï mesure au minimum 15 cm. Pour créer un bonsaï, on déterre un jeune arbre. On ligature sa racine principale et on coupe certaines de ses pousses. La croissance du bonsaï est ainsi retardée. En revanche, le séquoia de Californie est un arbre géant. Le plus grand mesure 83 mètres de haut et a un tronc d’une circonférence de 31 mètres à sa base. Il fournirait suffisamment de bois pour construire plus de 30 maisons spacieuses ! Le séquoia naît sous la forme d’une petite graine, pas plus grosse que celle d’un bonsaï. Qu’est-ce qui fait la différence ? La jeune pousse de séquoia se développe dans un sol fertile et sous un soleil radieux.

    Ni le bonsaï ni le séquoia n’ont le choix de leur taille, mais vous, oui ! Par exemple, vous ne pouvez pas passer votre vie à blâmer les autres, y compris vos parents, pour ce qu’ils ont fait ou non dans le passé. Voici donc les options qui s’offrent à vous : rester là où vous êtes et souffrir, ou vous installer dans un environnement riche, fertile et nourrissant où vous pourrez vous épanouir. Est-ce facile ? Non. Mais si vous croyez ce que Jésus a dit : « Je suis venu pour que les humains aient la vie et l’aient en abondance » (Jn 10.10), vous pouvez vous attendre à ce qu’il en soit ainsi.

     

     

    Bob Gass

     

     

     


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    Avez-vous du mal à dormir ?

     

     

    Avez-vous du mal à dormir ?

     

     

     

     

    Je me couche et je m’endors en paix (…) tu me donnes la sécurité dans ma demeure. Psaume 4.9 

     

    Qui n’a jamais connu une nuit agitée ? Des nuits où le sommeil semble fuir parce que nous sommes tourmentés par divers problèmes de santé, des problèmes matériels ou familiaux… Ne nous culpabilisons pas, ne pensons pas que nous manquons de foi si nos nuits sont troublées. Job a connu ces nuits agitées : "J’ai pour mon lot des nuits de souffrance. (…) Je suis rassasié d’agitations jusqu’au point du jour " (Job 7.3-4).

     

    Or Job était un homme intègre et droit (Job 1.8). L’apôtre Paul, lui aussi, a connu des nuits sans sommeil, à cause du souci que lui donnaient les églises (2 Corinthiens 11.27-28). Si ces deux hommes ont eu leur lot de nuits agitées, ne soyez pas surpris que cela vous arrive aussi.

     

    Le psalmiste nous parle du sommeil de celui qui se sent en sécurité dans sa demeure. S’il avait dû vivre dans la rue, peut-être n’aurait-il pas connu ce sommeil paisible. C’est le cas de nombreux sans-abri, qui ont bien plus peur de l’insécurité que du froid ou de la solitude. 

     

    Pour le psalmiste, la paix était liée à la possibilité de demeurer dans un lieu sûr. D’une manière symbolique, nous pouvons y voir une allusion à ce texte de l’Écriture : "Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant" (Psaume 91.1).

     

    La sécurité et la paix viennent de notre communion constante avec le Seigneur. En demeurant dans cette communion, même si nous traversons des moments d’épreuve comme Job, nous savons que nous ne sommes pas seuls.
    La houlette et le bâton de Dieu nous rassurent (
    Psaume 23.4). 

     

    Alors que vos nuits sont troublées, ne recherchez pas la paix, mais cherchez le Seigneur et demeurez en lui. C’est dans cette intimité que vous pourrez vous sentir en sécurité et apaisé.

     

     

     

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     


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    Seigneur, aide-moi à faire le tri dans mes pensées !

     

     

     

    Seigneur, aide-moi à faire le tri dans mes pensées !

     

     

     

     

     

    Avez-vous déjà constaté des changements dans vos pensées ? Nous pouvons être tantôt calme et paisible, tantôt angoissé et inquiet... Nous pouvons avoir une ferme assurance en Dieu et ses promesses et quelques jours, quelques heures voire même quelques minutes plus tard être au bord du désespoir ou totalement incrédule vis-à-vis de l'action de Dieu. 

     

    Comment expliquer ces variations ? A quoi sont-elles dues ? Comment puis-je être rempli des pensées de Dieu ? 

     

    Tout d'abord, il est à signaler que notre intelligence, notre façon de pensée ne renaît pas entièrement à la nouvelle naissance : elle doit être renouvelée. Romains 12v2 exprime cela : « soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est saint, agréable et parfait ». Le renouvellement de l'intelligence et de nos pensées est donc un processus qui prend du temps. Le diable lutte rageusement contre ce renouvellement mais il est vital de prier pour cela, d'étudier et de persévérer dans ce domaine jusqu'à une victoire réelle. 

     

    Ensuite la Parole de Dieu nous enseigne dans 1 Corinthiens 2v10-11 concernant les pensées : « Dieu nous les a révélées par l'Esprit […] Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui ? De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu ». Le Saint-Esprit demeure en nous et il connaît les pensées de Dieu. Un de ses objectifs est donc de nous révéler la sagesse et la révélation de Dieu. 

     

    Le point clé va donc être de pouvoir capter ce que le Saint-Esprit veut nous communiquer. Il est malheureusement trop souvent de coutume que nos pensées ne reçoivent pas ce que l'Esprit de Dieu tente de nous communiquer car elles sont trop occupées. A qui d'entre-nous cela n'est jamais arrivé, lors d'une lecture de la Bible, que le texte et les pages défile sous nos yeux et que soudainement on se réveille en se demandant ce qu'on était en train de lire ? … Nous étions présent physiquement devant la Bible, en train de lire, mais notre intelligence et nos pensées étaient ailleurs : en train de préparer le repas de midi, centrées sur le planning de la journée (vais-je avoir le temps de faire tout ce que j'ai prévu?) ou encore sur une situation difficile vécue au travail la veille qui nous a laissé un goût amer... 

     

    Nos pensées ne doivent pas être saturées de raisonnements, de soucis, d'angoisses, de craintes et ainsi de suite. Elles doivent goûter au repos, au calme et à la sérénité. Si nos pensées sont trop occupées, elles ne recevront pas ce que le Seigneur veut nous transmettre par l'intermédiaire de Son Esprit. 

     

    J'aime ce passage dans 1 Rois 19 où on voit Dieu parler au prophète Élie dans « un murmure doux et léger ».  Imaginons deux personnes dans une pièce. L'une essaie de murmurer un secret à l'oreille de l'autre. Si la pièce est pleine de bruit, le message, bien que transmis, ne peut être reçu par celui qui attend l'information, parce qu'il ne peut entendre à cause du vacarme ambiant. A moins d'être très attentif, il peut même ne pas réaliser qu'on lui parle... Si maintenant, la pièce est silencieuse et calme, le message sera entendu clairement et audiblement. 

     

    On parle souvent de combat spirituel. Mais il faut ne pas oublier que le champ de bataille principal de ce combat se situe dans nos pensées. Le diable va tout faire, pour que des pensées d’inquiétude, de crainte et de doute par rapport à un sujet ou à un autre nous envahisse. Car en agissant ainsi, il sait très bien que nous ne pourrons pas entendre la voix de Dieu et que la communication entre l'Esprit de Dieu et notre esprit sera coupée. 

     

      Demandons au Seigneur sa grâce pour que le tri soit fait dans nos pensées. Pour que nous puissions réellement les lui abandonner (1 Pierre 5v7). Pour que notre intelligence et nos pensées soient transformées et deviennent les siennes ! Alors plus que jamais nous jouirons d'une paix, d'une joie et d'une communion constante avec l'Esprit du Dieu vivant ! 

     

     

     

    David Gay
    (Source : adoredieu.com)

     

     

     


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    Abandonnez vos attentes irréalistes

     

     

     

    Abandonnez vos attentes irréalistes

     

     

     

    Jésus lui dit : « Pourquoi m'appelles-tu bon ? Nul n'est bon que Dieu seul. » Marc 10.18

     

    Des attentes irréalistes peuvent rapidement voler notre paix et notre joie. Nous prévoyons habituellement une journée parfaite, remplie de gens parfaits et d'être nous-même parfaitement heureux dans notre petit monde parfait. Mais nous savons tous que cela n'est pas la réalité. En fait, seul Dieu est parfait et nous sommes tous sous la condamnation.

    Le diable sait ce qui vole notre paix et il met tout en place pour que nos attentes irréalistes s'effondrent dans le but ultime de nous contrarier.

    Après avoir laissé le diable voler ma joie pendant des années, j'ai fini par comprendre que la vie n'est pas parfaite et qu'elle est parsemée d'imprévus désagréables. J'ai donc décidé de changer d'attitude et de déclarer : « Oh ! Et bien... c'est la vie ! » J'ai découvert que si je ne me laissais pas impressionner par ces choses, elles ne pouvaient plus m'atteindre.

    Tout le monde doit gérer des désagréments, et nous pouvons y arriver tout en gardant une bonne attitude. Souvenez-vous aujourd'hui que Dieu seul est parfait et faites-Lui confiance. Il peut vous faire traverser des circonstances décevantes tout en vous fortifiant et en vous aidant à rester dans la paix.

     

    Ma prière pour aujourd'hui :

    Seigneur, Toi seul est parfait. Je suis tellement content de savoir que même si les gens ou les circonstances me déçoivent, Toi, Tu ne me fais jamais défaut. Au lieu de placer mon espoir dans des choses qui vont me décevoir, je choisis la paix en plaçant mon espoir en Toi.

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     


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    Nous laisser « déranger »

     

     

     

    Nous laisser « déranger »

     

     

     

    L’Ange de l’Éternel lui apparut dans une flamme de feu, du milieu d’un buisson à épines ; il regarda : le buisson était tout ardent de feu, mais le buisson n’était pas consumé. Moïse dit : Je vais faire un détour, et je verrai cette grande vision, pourquoi le buisson ne se consume pas. Exode 3. 2, 3

     

    Il est rassurant de vivre avec des habitudes bien établies, des projets cadrés, des chemins balisés. En revanche, lorsque des situations inattendues bousculent notre confort et nos plans, l’inquiétude nous gagne rapidement.

     

    Acceptons-nous de “voir les choses autrement” ? de nous “laisser déranger”, autrement dit interpeller par Dieu ? Moïse, fils adoptif de la fille du Pharaon, devenu berger, se “laisse déranger”. Il se retourne pour voir pourquoi le buisson brûle et ne se consume pas (Exode 3. 3). Puis il accepte de conduire tout un peuple à travers le désert. Bien plus tard, Amos s’est laissé bousculer par Dieu : de berger, il est devenu prophète (Amos 7. 14, 15). À l’appel de Jésus, Matthieu, assis au bureau des impôts, quitte son métier pour le suivre (Matthieu 9. 9). Tous ces hommes sont partis vers l’inattendu, un avenir qu’ils ne maîtrisaient pas, confiants en Dieu.

     

    À notre époque marquée par l’incertitude de l’avenir, nous pourrions nous laisser envahir par l’inquiétude. Et si ces situations que nous vivons étaient comme la voix de Dieu pour nous inviter à changer, à venir à lui si nous ne croyons pas, à grandir dans la confiance si nous le connaissons ?

     

    Oui, laissons-nous “bousculer” par Dieu. Souvent il le fait par le biais des autres, comme nous le rapporte le récit de l’homme blessé au bord du chemin, secouru par quelqu’un qui, interpellé par la misère qu’il voyait, a pris soin de lui (Luc 10. 30-37).

     

     

     

    (Source : La Bonne Semence / editeurbpc.com)

     

     

     

     


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    Le bout du rouleau 1 à 3

     

     

     

    Le bout du rouleau (1)

     

     

     

    « Tu seras ferme et sans crainte » Job 11.15

    Si on ignore les signes avant-coureurs, le stress chronique peut avoir des effets néfastes sur l’organisme. Quels sont donc ces signes ? D’abord, l’estomac se serre au moindre désaccord. Si on ne trouve pas d’exutoire à la frustration, on mange trop, on fume, on boit, on se drogue, bref on maltraite son corps. On s’isole, ce qui affecte l’entourage. Debora M. Coty parle d’agitation extérieure, de rage intérieure et de fatigue chronique. Elle plaisante : « Je savais qu’il était temps de régler mes problèmes de stress lorsque je me mettais à grogner plus fort que mes chiens et que ma famille me suggérait avec tact de me faire vacciner contre la rage. » Toutefois, les signes invisibles sont les plus dangereux et provoquent le plus de dégâts. Le cortisol, une hormone que notre corps libère en cas de stress, renforce les sentiments d’impuissance et de désespoir. Avec le temps, le stress augmente la tension artérielle, favorise les migraines et provoque des maladies cardiaques. On a déterminé que le stress chronique augmente le risque cardiovasculaire de près de 50 % ! La plupart des maladies et addictions viennent quand on est au bout du rouleau. Le stress fait baisser le taux d’œstrogènes, ce qui peut provoquer des crises émotionnelles. Si vous êtes dans cette situation, agissez ! Réorganisez vos priorités, ralentissez, prenez du recul et tournez-vous vers Dieu. La Bible dit : « Si tu diriges ton cœur et si tu étends tes mains vers Dieu […] Tu seras ferme et sans crainte » (v.13, 15).

     

     

     

    Le bout du rouleau (2)

     

    « Vous sortirez dans la joie et vous serez conduits dans la paix » Ésaïe 55.12

    Voici trois stratégies éprouvées et efficaces pour gérer le stress. 1) D’abord s’occuper de soi. Consacrer deux fois quinze minutes par jour à se ressourcer, se regrouper et se restaurer. S’éloigner de la source de stress, ne serait-ce qu’en sortant quelques minutes et en faisant une promenade pour se rafraîchir les idées. Faire tout ce qui aide à se détendre. Ne pas se laisser dépasser par les événements. Savoir que l’on est important, et apprendre à se valoriser. 2) Rayonner ! La Bible dit : « La joie de l’Éternel est votre force » (Né 8.10). Plus on est triste, plus on perd ses moyens. Certains pensent que les chrétiens devraient toujours être sobres, dénués d’humour et aussi muets qu’une tombe. Mais Jésus est sorti du tombeau, et c’est l’une des meilleures raisons au monde de célébrer. 3) Faire un peu d’exercice. Arrêter de penser et bouger ! S’étirer, rouler des épaules, courir après le chien : faire circuler le sang dans tout le corps pendant que l’esprit fait une pause. Passer l’aspirateur en écoutant des chants de louange, se déhancher devant les casseroles sur la cuisinière, et danser au supermarché avec le caddie dans le rayon des céréales ! L’activité physique incite le cerveau à sécréter de la bêta-endorphine, ce qui aide à se calmer. Personne n’est censé vivre sous l’emprise du stress. La Bible dit : « Vous sortirez dans la joie et vous serez conduits dans la paix ». Et c’est le Créateur et Rédempteur lui-même qui prononce ces mots.

     

     

     

     

    Le bout du rouleau (3)

     

     

     

    « Je vous ai parlé ainsi, pour que vous ayez la paix en moi » Jean 16.33

     

    Le stress est pour nous comme la kryptonite pour Superman. Il nous fait sombrer et perdre tout pouvoir. Que faire alors ? 1) Noyer sa fatigue dans le bain ou sous la douche. Le simple fait de rester debout sous un jet d’eau aide à réduire l’épuisement et à raviver les muscles et les neurones. Ressentir le moment présent et se concentrer sur l’apport sensoriel revigorant de l’eau pour la peau, voilà qui remplira de résilience le cerveau. Vous dites : « Ça ne semble pas très spirituel. » Job, qui avait plus de problèmes que vous n’en verrez jamais, ne serait pas d’accord avec vous. Son ami Tsophar lui a dit : « Tu ne garderas pas plus de souvenirs de tes malheurs présents que de l’eau écoulée » (Job 11.16, BFC). 2) Demander de l’aide ! Répartir les responsabilités et les tâches. Lorsque chacun fait sa part, personne n’est épuisé. La Bible dit : « Deux valent mieux qu’un, parce qu’ils ont un bon salaire pour leur travail. […] Mais quel malheur pour celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un autre pour le relever » (Ec 4.9–10). 3) Oublier le perfectionnisme. Personne n’est parfait à part Jésus. Laisser tomber quelques détails. Demain, en abandonner d’autres. Au fil du temps, les tâches se feront moins pénibles et l’estomac sera moins noué. Le stress ne sera jamais tout à fait éliminé, mais on peut apprendre à l’affronter et le vaincre. Jésus dit : « Je vous ai parlé ainsi, pour que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, moi, j’ai vaincu le monde » (Jn 16.33).

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     


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    Apprenez à faire confiance au plan de Dieu

     

     

     

    Apprenez à faire confiance au plan de Dieu

     

     

     

     

     

    Tourne tes pas vers le Seigneur, compte sur Lui : Il agira. Psaume 37.5 

     

    Apprendre à développer la confiance que vous placez en Dieu vous simplifiera la vie. Tellement souvent, nous ne nous autorisons pas à faire confiance à qui que ce soit. Peut-être que votre confiance a été trahie trop souvent dans le passé, ou que vous êtes simplement une personne très indépendante. Mais malgré tout, il est essentiel d'apprendre à vous confier à Dieu.

     

    Nous pouvons facilement nous stresser et nous épuiser à force d'essayer de gérer toute notre vie par nos propres forces. Mais celui qui fait confiance à Dieu sait que Son plan et Ses voies sont toujours les meilleures.

     

    Bien entendu, la confiance n'apparait pas comme par magie. Elle grandit lorsque nous passons des étapes de foi et que nous expérimentons la fidélité de Dieu. Vous devez  dire à votre doute, à votre crainte, à votre insécurité, ou même à votre indépendance farouche, de laisser la place à une vie de confiance en Dieu. Si vous faites cela, vous n'aurez pas à lutter trop longtemps pour repartir du bon pied.

     

    Le fait de faire confiance à Dieu apporte un repos surnaturel à notre âme, nous permettant de vivre simplement et librement comme Il le désire. Alors, même lorsque cela n'a pas de sens, faites confiance à Dieu et expérimentez Sa liberté et Son repos.

    Ma prière pour aujourd'hui : Seigneur, Tes voies valent mieux que les miennes et compter sur mes propres forces m'épuise. Je place ma confiance en Toi. Même lorsque cela n'a pas de sens pour moi, je choisis de Te faire confiance, sachant que Tu vas mener à bien Tes plans.

     

     

    Joyce Meyer

     

     

     

     

     


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    Il est toujours là

     

     

     

    Il est toujours là

     

     

     

     

    Soyez forts et bon courage, ne les craignez pas et n'ayez pas peur d'eux ; car l'Éternel ton Dieu, c'est Lui qui marche avec toi. Il ne vous quittera pas et ne vous abandonnera pas. Deutéronome 31:6

     

    Les tout-petits adorent se lancer seuls en promenade. Ils marchent devant leurs parents sans regarder en arrière, sauf lorsqu'ils regardent en arrière. À coup sûr, un tout-petit regardera en arrière ou même s'arrêtera et se retournera comme pour dire : « Es-tu toujours avec moi ? Une fois assuré de la présence du parent, il va de l'avant.

     

    Nous sommes comme des tout-petits dans la mesure où nous avons besoin d'être assurés de la présence de Dieu, surtout dans les moments difficiles. Nous ne pouvons pas nous retourner et le voir, mais nous pouvons lire les promesses de sa présence dans les Écritures. Alors que les Israélites étaient sur le point d’envahir la Terre promise, Moïse leur assura que Dieu serait avec eux (Deutéronome 31 : 6). Le psalmiste David a écrit que Dieu était avec lui même dans « la vallée de l’ombre de la mort » où « la bonté et la miséricorde » le suivaient toujours (Psaume 23 : 4, 6). Et Jésus a dit : « Je suis toujours avec vous » (Matthieu 28 :20).

     

    Vous n'êtes jamais seul si vous appartenez au Christ. Il est là pour partager vos fardeaux et guider vos pas.

     

    Je préfère marcher avec Dieu dans l'obscurité plutôt que d'aller seul dans la lumière. 

     

     

     

    Mary G. Brainard
    (Source : meditationbiblique.ca)

     

     

    Il est toujours là

     


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    Des raisons d’espérer

     

     

     

    Des raisons d’espérer

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Jean 5.1-9 

     

    Aussitôt cet homme fut guéri ; il prit son brancard, et se mit à marcher. Jean 5.9

     

    Les gens paralysés des suites d’une blessure à la colonne vertébrale ont de nouvelles raisons d’espérer. Des chercheurs allemands ont découvert un moyen de stimuler la croissance des nerfs pour reconnecter les circuits nerveux entre les muscles et le cerveau. Cette croissance rétablie a permis à des souris paralysées de marcher à nouveau, et d’autres tests continueront de déterminer si la thérapie est sûre et efficace sur les humains.

     

    Ce que la science a cherché à accomplir pour ceux qui souffrent de paralysie, Jésus l’a accompli miraculeusement. Quand il s’est rendu à la piscine de Bethesda, un lieu où de nombreuses personnes espéraient être guéries, Jésus y a cherché un homme « infirme depuis 38 ans » (JN 5.5). Après avoir confirmé que l’homme désirait véritablement être guéri, Christ lui a demandé de se lever et de marcher. « Aussitôt cet homme fut guéri ; il prit son brancard, et se mit à marcher » (V. 9).

     

    Dieu ne promet pas de nous guérir de tous nos problèmes physiques – Jésus n’a pas guéri tout le monde se trouvant à la piscine ce jour-là. Mais ceux qui mettent leur foi en lui peuvent obtenir la guérison qu’il apporte – passant du désespoir à l’espérance, de l’amertume à la grâce, de la haine à l’amour, des accusations à la volonté de pardonner. Aucune découverte scientifique – ou bassin d’eau – ne peut nous offrir pareille guérison, qui ne peut s’obtenir que par la foi.

     

    Dans quelle situation êtes-vous tenté de chercher la guérison spirituelle ailleurs qu’en Dieu ? Comment le fait de savoir que les croyants en Jésus seront aussi un jour complètement guéris physiquement vous encourage-t-il ?

     

    Seigneur, merci de m’avoir guéri de mon plus grand mal – le fléau du péché – et d’avoir restauré ma santé spirituelle en Jésus.

     

     

    Kirsten Holmberg
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

     


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    Rien n’est trop petit pour Dieu

     

     

    Rien n’est trop petit pour Dieu

     

     

    « Aussitôt le fer de hache revint à la surface » 2 Rois 6.6, BFC

     

    Ce chapitre parle d’un prophète qui coupe des arbres près d’une rivière lorsque le fer de sa hache tombe à l’eau. Il dit à Élisée : « Quel malheur, Maître ! C’est une hache que j’avais empruntée ! » (v.5). Il parle au passé. Pour lui, ce fer a disparu à jamais. Il ne s’attend absolument pas à le récupérer. Il montre à Élisée où il l’a perdu. Élisée coupe un bâton et le jette dans l’eau, et il se produit un miracle inédit : « Aussitôt le fer de hache revint à la surface ». La situation n’a pourtant rien de crucial. Oui, c’est une tête de hache prêtée. Oui, elle a disparu. Mais si c’est la pire chose que l’on ait vécue, on a mené une vie plutôt protégée. C’est comme lorsque Jésus transforme l’eau en vin lors d’un banquet de mariage. Pourquoi gaspiller son premier miracle à aider les mariés à éviter l’embarras parce qu’ils n’ont pas stocké suffisamment de vin pour leur réception ?

    Voilà qui révèle quelque chose sur Dieu. Il se préoccupe des petites choses, comme une réception ou une hache empruntée. Rien n’est trop grand pour notre Dieu, et rien n’est trop petit pour lui non plus. Pierre affirme : « Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous » (1P 5.7). Notez les mots « tous vos soucis ». Ce qui compte pour vous compte aussi pour votre Père céleste affectueux. Salomon dit : « Reconnais-le dans toutes tes voies, et c’est lui qui aplanira tes sentiers » (Pr 3.6). Notez les mots « toutes tes voies ». Aujourd’hui, Dieu veut que vous partagiez chaque détail de votre vie avec lui.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     


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    Pourquoi moi ?

     

     

     

    Pourquoi moi ?

     

     

     

    Va avec cette force que tu as, et délivre Israël de la main de Madian (...) Gédéon lui dit : Ah ! Mon seigneur, avec quoi délivrerai-je Israël ? Voici, ma famille est la plus pauvre en Manassé, et je suis le plus petit dans la maison de mon père. L’Éternel lui dit : Mais je serai avec toi, et tu battras Madian comme un seul homme. Juges 6.14-16 

     

    En relisant l’histoire de Gédéon, j’ai en tête l’image d’un adolescent qui, d’un ton contrarié, demande : “Pourquoi moi ?” Ce sont des mots qu’on a aussi tendance à dire quand quelque chose de mal nous arrive, quand on vit une injustice ou quand on nous sollicite encore pour faire quelque chose, alors qu’on laisse les autres tranquilles. 

    Ce ne sont pas exactement les mots de Gédéon, mais ils pourraient très bien traduire sa réaction alors que Dieu l’appela à être le libérateur de son peuple. D’autres personnes dans la Bible ont eu des réactions semblables. Moïse a clairement dit à Dieu : “Envoie quelqu’un d’autre”. Le prophète Jérémie objectait qu’il était trop jeune ; Ésaïe se sentait trop impur… 

    Comme Gédéon, Moïse, Jérémie… nous sommes le choix de Dieu pour accomplir ses projets. 

    Quand je réalise cela, je me demande moi aussi : “Pourquoi moi ?” Je ne comprends pas toujours les raisons qui ont poussé Dieu à me choisir. Mais ce que je sais, c'est qu’un jour, j'ai laissé mon “pourquoi moi” pour répondre “Me voici”. J’ai accepté d’être le choix de Dieu, même si je ne comprenais pas. J’ai fait plier ma volonté à la sienne. Je vous invite à faire de même. Vous êtes son choix, il a des projets pour vous, et au travers de vous.

    Ne pas accepter d’être son choix peut vous conduire à refuser d'autres choix de Dieu et vous opposer à sa volonté dans votre vie.  À l’inverse, accepter d’être le choix de Dieu vous conduira à accepter ses autres choix pour votre vie.

    Dieu ne choisit pas les gens parce qu’ils sont qualifiés, capables, plus sages que les autres, plus forts... Il choisit souvent ceux qu’on ne voit pas, ceux qu’on ne choisirait pas. Il le fait car ainsi nous serons plus enclins à nous appuyer sur lui, et à compter sur sa force.

     

     

     

    Nicolas Panza
    (Source : TopChrétien)

     

     

     


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