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    Le phare

     

     

    Le phare

     

     

     

    Je m'attendais à le revoir à nouveau, il m’impressionnait, tellement grand, tellement imposant...

    La première fois que je l'ai vu, majestueux, au milieu de l'océan, plusieurs pensées sont venues inonder mon cœur. La première était le temps.

    Il est vieux, il a dû essuyer tellement de tempêtes, et malgré tout il reste inébranlable, il accomplit son rôle, il éclaire les navires perdus au milieu des nuits sombres ou du gros temps.

    Pendant l'été les visiteurs aiment s'approcher de lui, le voir de loin c'est une chose mais s'en rapprocher change tout, sa grandeur est vraiment impressionnante.

    Il faut prendre un bateau pour aller le visiter, mais il faudra compter avec les marées. La marée haute empêche de s’en approcher, puisque les embarcations risqueraient de s'échouer, si au contraire la marée est basse on peu s'approcher de cette merveille. Mais pour avoir le privilège de pénétrer dans ce lieu il faudra encore faire un effort.

    Il n'y a pas de ponton pour arrimer les bateaux, il faut sortir de l'embarcation, ne pas avoir peur de se mouiller et marcher dans l'eau jusqu'à ses pieds, là on peut lever les yeux et finalement le contempler. Ensuite en franchissant la porte, nos yeux sont émerveillés de voir l'intérieur de ce lieu, on reprend courage et on commence à monter cet escalier interminable jusqu'au sommet. Et là, la vue qui nous attend est vraiment époustouflante, tout notre être veut s'imprégner de ce que nos yeux voient.

    En regardant autour de lui, on peut voir tout ce sable caché par l'océan quand la marée est haute, tout ce qui fait que l'approche est impossible dans ces conditions. Des petites îles de sable entourent le magnifique phare.

    Il a été construit pour aider les marins perdus au milieu de la nuit profonde, pendant les tempêtes, pour qu'ils puissent trouver leur chemin et avoir la vie sauve.

    Nous ne pouvons pas nous imaginer combien des vies ont été sauvées, mais je suis sûre que beaucoup de familles de marins remercient ce phare, car c'est grâce à sa lumière qu’ils ont pu continuer à serrer dans leurs bras ces marins intrépides .

    Souvent la tempête, ou bien la noirceur du ciel, touche nos vies, et le désespoir vient nous submerger, c'est comme si des vagues puissantes nous enveloppaient et nous ne pouvons plus respirer, rien ne peut nous aider, nous ne voyons pas de solution, certains veulent mourir...

    Pourtant depuis toujours nous avons un phare qui veut nous éclairer, il veut nous aider à trouver le chemin, Il est lumière pour celui qui est perdu!

    Dieu a été toujours là, simplement Il attend que tu aies le courage de regarder vers Lui, Il connaît la fragilité de ton embarcation, Il sait que tu n'arrives plus à écoper l'eau qui la rempli et va te faire couler. Tu as navigué pendant toutes ces années selon ta boussole, et voilà, tu ne voyais pas tous ces bancs de sable qui allaient un jour t'empêcher d'avancer. Sache que rien n'est perdu! Car maintenant, si tu veux avoir le courage de sortir et t'avancer vers Lui, Il peut te donner la bonne direction et calmer la tempête qui veut t’anéantir.

    Il te donnera Son guide de navigation, Sa parole, et tu pourras continuer à naviguer dans la vie avec la confiance et la paix que Dieu Lui-même te donnera. C'est certain, il y aura encore des tempêtes, mais tu ne seras jamais toute seule car Son fils Jésus est au gouvernail .

    Soyez bénies

    Myriam Medina

     

    (Source : www.vitalradio.fr)

     

     

     

     

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    Quelle valeur donnez-vous à votre vie ?

     

     

    Quelle valeur donnez-vous à votre vie ?

     

     

    « Qu’est-ce que votre vie ? Une vapeur éphémère qui paraît... avant de disparaître ! » Jacques 4.14 

     

    En janvier 2017, une série de secousses sismiques en Italie centrale déclencha une avalanche dévastatrice qui ensevelit complètement un hotel luxueux, le Regioplano. Au moins 25 personnes perdirent la vie. Cet hôtel était connu pour être niché dans un endroit d’une grande beauté, un hâvre de paix et de luxe où des gens fortunés venaient se reposer et profiter des distractions offertes. Quelques minutes suffirent à l’anéantir et à l’ensevelir sous douze mille tonnes de neige. Mais le plus tragique fut, bien sûr, la mort de ces 25 personnes, emportées dans l’éternité de manière aussi brutale et rapide. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Chaque jour divers événements dans le monde nous rappellent combien fragile est la vie humaine, combien éphémère est notre passage sur cette terre.

     

    Les mots de Jacques prennent alors toute leur profondeur : “Savez-vous ce que sera votre vie demain ? Qu’est-ce que votre vie ? Une vapeur éphémère qui paraît pour un temps avant de disparaître…” Comme l’apôtre Jacques, David était conscient de la brièveté de sa vie : “Seigneur, fais-moi connaître ma fin et quelle est la mesure de mes jours, que je sache combien je suis éphémère !” (Ps 39. 5). Quelle valeur donnez-vous à votre vie ? N’est-il pas trop facile de la considérer simplement comme acquise, comme un droit. Sachons au contraire apprécier à sa juste valeur le temps que nous accorde le Seigneur, et choisissons de mettre à profit les opportunités qu’Il nous offre, sans gaspiller de précieux moments et nos talents à la poursuite d’activités futiles. Enfants de Dieu, nous ignorons le nombre de nos jours, mais faisons en sorte que nos actions portent des fruits éternels pour la gloire de Dieu.

     

     

    Bob Gass

     

     Quelle valeur donnez-vous à votre vie ?

     

     

     

     

     

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    Sans inquiétude

     

     

    Sans inquiétude

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 37.1-9 

     

    Ne t’irrite pas contre les méchants. Psaume 37.1

     

    Se tenir au courant des actualités peut être problématique, parce que les mauvaises nouvelles sont toujours plus populaires que les bonnes. Il est facile de nous en faire outre mesure au sujet d’actes criminels sur lesquels nous n’avons aucun pouvoir.

     

    Le Psaume 37 nous fait prendre un certain recul devant les actualités. David le commence ainsi «Ne t’irrite pas contre les méchants» (v. 1). Puis il mentionne certaines solutions de rechange à l’inquiétude. En fait, David suggère une meilleure façon de penser aux nouvelles alarmantes.

     

    Plutôt que de nous affoler au sujet d’événements qui nous échappent, pourquoi ne pas nous confier en l’Éternel (v. 3) ? Faisons de l’Éternel nos délices, au lieu de nous agiter (v.4) ! Imaginons l’absence d’inquiétude inhérente au fait de recommander notre sort à l’Éternel
    (v. 5) ! Combien nous pourrions être calmes si seulement nous gardions le silence devant l’Éternel et nous espérions en lui (v. 7) !

     

    Les nouvelles nous donnent l’occasion de mettre une limite à nos préoccupations. Si nous nous confions en Dieu, que nous faisons de lui nos délices et que nous lui recommandons notre sort, notre perception des choses s’améliorera. Les difficultés et les épreuves ne disparaîtront peut-être pas, mais nous découvrirons que Dieu nous accorde sa paix tandis que nous les traversons.

     

     

    Les obstacles nous fournissent l’occasion de nous confier en Dieu.

     

     

    Dave Branon
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    L'abri du Très-Haut - Psaumes 91 : 1

     

     

     

     

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    Mon refuge

     

     

    Mon refuge

     

     

     

    À l’abri du Très-Haut,
    Je me sens protégé
    Repoussant les assauts,
    Par son autorité.

    C’est lui qui me délivre,
    De ces pièges dressés
    Me permettant de vivre,
    Dans la tranquillité.

    Je trouve un refuge,
    Quand je suis sous ses ailes
    Qu’importe les déluges,
    Car mon Dieu est fidèle.

    La nuit et ses terreurs,
    Ne peuvent m’effrayer
    De qui aurai-je peur ?
    Il est à mes côtés.

    L’ennemi en plein jour
    Voulant me terrasser,
    Se heurte à cette tour,
    Où je me suis caché.

    De mes yeux je peux voir,
    La puissance d’en haut
    Et le cœur plein d’espoir,
    Je m’écrie : mon héros !

    Avec lui par la foi,
    Je marche en vainqueur
    Il est fort, il est Roi,
    Je m’écrie mon Seigneur !

     


    Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut
    Repose à l’ombre du Tout-Puissant

    Psaumes 91 : 1

     

     

     

    Yves Prigent

    (Source : poesie-chretienne.com)

     

     

     

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    La frustration 6 : ne fuyez plus

     

     

    Ne fuyez plus

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

     

    Avez-vous remarqué ? Souvent, notre premier mécanisme face à la difficulté, c’est d'être frustré(e).

     

    On ne comprend pas pourquoi notre conjoint ne lève pas le nez de son téléphone alors que nous avons désespérément besoin d’une oreille attentive, pourquoi nos collègues semblent tout mettre en œuvre pour que nos heures de travail deviennent un calvaire et pourquoi même notre propre pasteur ne peut pas nous aider à résoudre nos problèmes…

     

    Alors, réflexe de survie, on prend la fuite.

     

    On change :

     

    • d’église,
    • de conjoint(e),
    • de travail,
    • de quartier,
    • d'amis,
    • etc.

     

    Puis, bien souvent, les difficultés reviennent… Et peut-être même ne voulons-nous pas les voir. Nous fermons les yeux…

     

    Pourtant, plutôt que de les fuir, le Seigneur vous exhorte à accepter ces difficultés avec joie !

     

    "C’est pourquoi les faiblesses, les insultes, les difficultés, les souffrances et les soucis que je connais pour le Christ, je les accepte avec joie. Oui, quand je suis faible, c’est à ce moment-là que je suis fort." (Lire 2 Corinthiens 12.10.)

     

    Pourquoi ? Parce qu’elles ont toujours un message à vous délivrer.

     

    Mon ami(e), quel est le message de Dieu pour vous ?

     

    Votre Père, parce qu’Il a déjà tout accompli pour vous, désire que vous marchiez dans Sa victoire. Sa grâce seule vous suffit et vous pouvez laisser votre amertume pour du pardon, vos impossibilités pour Ses possibilités. Peut-être avez-vous besoin de plus de souplesse, de revoir vos priorités ou d’apprendre à communiquer ?

     

    C’est avec amour que Dieu vous envoie ce message plein d’espoir : "Je t’aime tel(le) que tu es, et Je t’aime tellement que Je ne veux pas te laisser comme ça. Je peux t’emmener plus loin. Tu peux lâcher prise... Ma grâce se révèle dans tes faiblesses. Je suis avec toi. Ne crains pas."

     

     

    "La grâce de Dieu se révèle dans vos manquements"

     

     

    Merci d’exister,

    Eric Célérier   
    (Source : TopChrétien)
     

     

     

     

     

     

     

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    La frustration 5 : devez-vous vivre frustré(e) ?

     

     

    Devez-vous vivre frustré(e) ?

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

     

    Bintou a perdu sa sœur jumelle et, à cause de la douleur, des larmes et de cette séparation dramatique, elle a commencé à s'enfoncer dans une vie de frustration. Jusqu'à ce que Dieu lui fasse réaliser que même si sa sœur n'était plus là, Lui, le Seigneur, le Consolateur était toujours présent à ses côtés. Jésus voulait même qu'elle reprenne goût à la vie…

     

    Vous reconnaissez-vous dans l'histoire de Bintou ? Oui, parfois, la vie est difficile. Les épreuves frappent fort. Et le risque est de se replier sur soi-même en idéalisant le passé et en étant frustré(e) par le présent. Quant à l'avenir, il ne peut être que sombre…

     

    Mon ami(e), si l'on a de bonnes raisons d'éprouver quelquefois de la frustration, je pense qu'il n'y a aucune raison valable de l'entretenir et de vivre frustré(e). 

     

    Vous me direz : "Mais Éric, c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire ! J'ai de très bons arguments, de bonnes raisons de ressentir cette frustration. Et puis, vous n'êtes pas à ma place."

     

    C'est vrai, je ne suis pas à votre place ni à la place de Bintou… mais je peux quand même affirmer qu'il n'y a aucune raison valable de vivre frustré(e). Je crois que la frustration nous enferme. C'est une prison, un lieu de souffrance. Et ni vous ni moi n'avons été créés pour cela. Il est important de faire la différence entre peine et frustration…

     

    Entretenir et nourrir la frustration, c'est aller à l'encontre de ce que Dieu veut vraiment pour nous. Il nous veut libres, le cœur consolé, libéré de tout poids. C'est pourquoi, lorsque quelque chose me pèse, je choisis de le remettre au Seigneur. Parce que je ne peux rien faire sans Son aide. Parfois, je ne peux pas gérer cette frustration seul, par moi-même. Alors, je me tourne vers Dieu. Et je vous invite à faire de même.

     

    La Parole de Dieu dit : "Oui, quand je suis faible, c’est à ce moment-là que je suis fort." (Lire 2 Corinthiens 12.10.)

     

    En Jésus, c’est lorsque vous êtes faible que vous êtes fort(e). Et en reconnaissant votre frustration devant Dieu, vous lui permettez d'agir en vous. Il vous libérera de la frustration et de ses conséquences négatives et destructrices. Oui, ce que Dieu veut, c'est vous soulager et vous libérer comme Il l'a fait pour Bintou.

     

     

    "C'est quand je suis faible, que je suis fort"

     

    Merci d’exister,

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    La frustration 4 : Dieu a-t-il un message caché pour vous ?

     

     

    Dieu a-t-il un message caché pour vous ?

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

    Avez-vous remarqué que Paul considère sa souffrance comme envoyée par Satan ? Pourtant, cette épine contient également une révélation… Elle permet à Dieu de Se manifester d'une façon plus extraordinaire dans la vie de Paul.


    Se pourrait-il que Dieu ait permis la souffrance en y cachant un merveilleux message à votre intention ?


    Prenez votre situation : derrière la maladie, un enfant rebelle, une difficulté relationnelle, une blessure physique ou émotionnelle… Dieu est là.


    Discrètement, il a glissé dans l’enveloppe un mot d’amour, un mot de compassion, une promesse certaine… "Ma grâce te suffit !" (Lire
    2 Corinthiens 12.9.)


    Si vous êtes éprouvé(e) Mon ami(e), souvenez-vous que votre frustration n’est qu’une enveloppe froissée et salie. Mais à l’intérieur, il y a un message divin, plein d’amour et plein de grâce. Je prie que le Saint-Esprit vous aide à le découvrir aujourd’hui.


    La Bible dit : "Fortifiez les mains défaillantes, affermissez les genoux chancelants. À ceux qui sont troublés dites : prenez courage, n’ayez aucune crainte, votre Dieu va venir pour la rétribution et pour régler ses comptes. Il viendra lui-même et vous sauvera." (Lire
    Ésaïe 35.3-4.)

     


    Merci d’exister,

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    La frustration 3 : que faire quand Dieu ne répond pas ?

     

     

    Que faire quand Dieu ne répond pas ?

     

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

    Permettez-moi de vous conduire chez l'apôtre Paul, alors qu’il adresse à Dieu ses trois prières au sujet de sa souffrance. (lire 2 Corinthiens 12.7-10)


    Souvenez-vous, dans sa lettre aux Corinthiens, il écrit : "Trois fois, j’ai prié le Seigneur de me délivrer de cette souffrance." (lire
    2 Corinthiens 12.8
    )

    La première fois, je l’imagine debout, déterminé à se débarrasser immédiatement de l’obstacle qui vient le surprendre :


    "Dieu, j’ai besoin de toi… C’est une situation qui me secoue terriblement, et s’il te plaît, j’aimerais que tu enlèves la douleur. Amen."
     


    Mais voilà, l’épine est toujours là. Cependant Paul, fort de caractère, ne se démonte pas. Il persévère dans sa prière, redouble de ferveur :


    “Seigneur, je viens te demander encore une fois de m’ôter cette épine. J’y ai bien réfléchi, et vraiment, elle m’handicape dans le ministère. Si tu me l’enlevais, je pourrais te servir bien plus que je ne le fais aujourd’hui : je visiterais plus de villes, je formerais plus de monde, j’écrirais plus de lettres pour enseigner et encourager ton Église ! Je voudrais que cette souffrance disparaisse. Amen."
     


    Et une fois de plus, l’épine reste.
     


    Cette fois, Paul a sûrement pris un temps de jeûne et de prière. Il désespère de voir sa douleur être soulagée :


    "Jésus, tu disais avoir pris nos meurtrissures en mourant sur la croix, et moi, je suis fatigué de me battre contre cette épine. Je te le demande tout de même une dernière fois, si tu souhaites te charger de ma douleur, s’il te plaît, fais-le. Sinon, j’ai besoin d’un mot de toi. Amen."
     


    Aujourd’hui, je vous invite à vous joindre avec Paul pour une prière de plus, celle de l’abandon :


    "Oui, quand je suis faible, quand j’ai l’impression d’être au plus bas, quand j’ai le sentiment que je n’en supporterai pas davantage, quand je pense que je vais craquer, quand je suis au bout du rouleau, quand je n’en peux plus de cette frustration, quand je suis faible... c’est à ce moment-là qu'au travers de toi JÉSUS, je suis fort(e). J'abandonne mon épine et ma frustration entre tes mains. Amen !"
     

     

     


    "La frustration perd son pouvoir lorsqu'on abandonne à Dieu notre situation"

     

     

     

    Merci d’exister,

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

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    La frustration 2 : Avez-vous une épine dans votre chaire ?

     

     

    Avez-vous une épine dans votre chaire ?

     

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

    Je vous invite à méditer avec moi ces mots de l’apôtre Paul :

    "Ce que le Seigneur m’a fait connaître est extraordinaire. Alors, pour éviter que je me vante de cela, j’ai reçu dans mon corps comme une épine : un envoyé de Satan est chargé de me frapper pour m’empêcher de me vanter. Trois fois, j’ai prié le Seigneur de me délivrer de cette souffrance. Mais le Seigneur m’a dit : « Mon amour te suffit. Ma puissance se montre vraiment quand tu es faible. » Donc je me vanterai surtout parce que je suis faible. Alors la puissance du Christ habitera en moi. C’est pourquoi les faiblesses, les insultes, les difficultés, les souffrances et les soucis que je connais pour le Christ, je les accepte avec joie. Oui, quand je suis faible, c’est à ce moment-là que je suis fort." (Lire 2 Corinthiens 12.7-10.)


    Paul nous parle ici d’un problème qui lui fait l’effet d’une épine dans sa chair. Depuis des siècles, les théologiens n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur ce que représentait cette épine :

    • Paul était-il malade et avait-il un problème aux yeux comme le laissent supposer certains de ses écrits...?
    • Était-il éprouvé par la tentation...?
    • Était-il accablé par l’opposition...?
    • Est-ce que la solitude lui pesait...?
    • Était-ce encore les difficultés que lui donnaient les Églises...?
    • Le diable était-il la source principale de cette épreuve ?
    • Ou bien tout cela à la fois…?

    En fait, peu importe : vous comprenez sûrement ce que Paul ressentait. Une épine, c’est cette chose qui semble bien petite, mais qui en réalité vient prendre toute la place dans nos pensées.

    Nos épines, ce sont les difficultés financières qui semblent s’acharner, ou la maladie qui nous étrangle, les disputes de couple qui se multiplient, c’est ce pardon que l’on n’arrive pas à donner, cette solitude dont on n’arrive pas à se défaire… Et comme une épine sous le pied, bien cachée, elle nous fait pourtant mal, parfois très mal.

    En tout cas, Paul devait être particulièrement tourmenté : il pria trois fois avec instance pour que Dieu le délivre de cette épine.

    Mon ami(e), souffrez-vous d'une épine dans votre chair ? Sachez que, même si elle semble insignifiante, même si elle n’est vue de personne d’autre, Jésus comprend la souffrance causée par cette épine, quelle qu’elle soit.

    Oui, lui, qui a été couronné d'épines vous comprend. Et comme à Paul, il vous murmure : "Mon ami(e), ma grâce te suffit. Ma puissance se montre vraiment quand tu es faible."

     

     

     

     

    Merci d’exister,

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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