• La frustration (partie 5)

     

    La frustration 5 : devez-vous vivre frustré(e) ?

     

     

    Devez-vous vivre frustré(e) ?

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

     

    Bintou a perdu sa sœur jumelle et, à cause de la douleur, des larmes et de cette séparation dramatique, elle a commencé à s'enfoncer dans une vie de frustration. Jusqu'à ce que Dieu lui fasse réaliser que même si sa sœur n'était plus là, Lui, le Seigneur, le Consolateur était toujours présent à ses côtés. Jésus voulait même qu'elle reprenne goût à la vie…

     

    Vous reconnaissez-vous dans l'histoire de Bintou ? Oui, parfois, la vie est difficile. Les épreuves frappent fort. Et le risque est de se replier sur soi-même en idéalisant le passé et en étant frustré(e) par le présent. Quant à l'avenir, il ne peut être que sombre…

     

    Mon ami(e), si l'on a de bonnes raisons d'éprouver quelquefois de la frustration, je pense qu'il n'y a aucune raison valable de l'entretenir et de vivre frustré(e). 

     

    Vous me direz : "Mais Éric, c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire ! J'ai de très bons arguments, de bonnes raisons de ressentir cette frustration. Et puis, vous n'êtes pas à ma place."

     

    C'est vrai, je ne suis pas à votre place ni à la place de Bintou… mais je peux quand même affirmer qu'il n'y a aucune raison valable de vivre frustré(e). Je crois que la frustration nous enferme. C'est une prison, un lieu de souffrance. Et ni vous ni moi n'avons été créés pour cela. Il est important de faire la différence entre peine et frustration…

     

    Entretenir et nourrir la frustration, c'est aller à l'encontre de ce que Dieu veut vraiment pour nous. Il nous veut libres, le cœur consolé, libéré de tout poids. C'est pourquoi, lorsque quelque chose me pèse, je choisis de le remettre au Seigneur. Parce que je ne peux rien faire sans Son aide. Parfois, je ne peux pas gérer cette frustration seul, par moi-même. Alors, je me tourne vers Dieu. Et je vous invite à faire de même.

     

    La Parole de Dieu dit : "Oui, quand je suis faible, c’est à ce moment-là que je suis fort." (Lire 2 Corinthiens 12.10.)

     

    En Jésus, c’est lorsque vous êtes faible que vous êtes fort(e). Et en reconnaissant votre frustration devant Dieu, vous lui permettez d'agir en vous. Il vous libérera de la frustration et de ses conséquences négatives et destructrices. Oui, ce que Dieu veut, c'est vous soulager et vous libérer comme Il l'a fait pour Bintou.

     

     

    "C'est quand je suis faible, que je suis fort"

     

    Merci d’exister,

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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