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    Une faible foi ?

     

     

     

    Une faible foi ?

     

     

     

     

     

    Jésus leur dit : Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ; et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. Jean 6. 35

     

    Un évangéliste a pris cette image : Imaginez que vous glissiez sur une pente abrupte, se terminant par un précipice. Une branche se trouve à portée de main sur la pente. Est-elle assez solide pour me retenir ? Je l’ignore, mais dans ma chute, je l’empoigne fermement. Est-ce que je devais être absolument convaincu de sa solidité ? Non. Une faible foi, peut-être même avec quelques doutes, a suffi pour me faire tendre la main et attraper la branche. Mes sentiments dans cette situation grave et urgente importent peu ; seule la branche compte. Ce n’est pas la qualité de notre foi qui nous sauve, mais c’est celui à qui elle fait confiance. Jésus est cette branche. (d’après Tim Keller)

     

    Si votre vie se déroule comme au bord d’un précipice, Jésus est près de vous, il vous aime, il entend et comprend même un gémissement. Il est vivant, il est proche. Pourquoi ne pas “saisir la branche”, c’est-à-dire lui parler, lui dire même votre révolte, votre amertume ou votre désespoir ? Lui parler directement, conscient qu’il vous aime et qu’il vous entend. C’est cela le premier pas de la foi : le commencement d’un dialogue.

     

    Il vous dira immédiatement :

     

    – “Celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors” (Jean 6. 37). Lui répondrez-vous :

     

    – “Je viens donc à toi, Seigneur, avec mon besoin de sécurité, de pardon, de liberté, mais aussi avec mes fautes et mes péchés.” Il vous dira encore :

     

    – Il y a pardon auprès de moi. “Je t’ai aimé d’un amour éternel ; c’est pourquoi je t’attire avec bonté” (Jérémie 31. 3).

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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    N'essayez pas de tout contrôler !

     

     

     

    N'essayez pas de tout contrôler !

     

     

     

     

    Il guidera tes pas. Proverbe 3.6 

     

    Ne pas réussir à se maîtriser nous porte préjudice, mais chercher à tout contrôler, les autres ou soi-même, montre qu’on ne fait pas assez confiance à Dieu. Seul Dieu détermine le résultat. "Ne te fie pas à ta propre intelligence, mais place toute ta confiance dans le Seigneur. Appuie-toi sur lui dans tout ce que tu entreprends et il guidera tes pas." (Proverbe 3.5-6)

     

    Si vous vous rendez compte que vous cherchez à tout contrôler jusque dans les moindres détails, mettez en pratique ces 3 conseils.

     

    1- Comprenez que vous n’êtes ni indépendant(e) ni autosuffisant(e).

    "Nous sommes son peuple, son troupeau." (Psaume 100.3) Le troupeau ne peut pas prendre soin de lui-même ; il a besoin du berger pour le nourrir, le diriger et le protéger. Vous saisissez ? 

     

    Dieu n’est jamais pris au dépourvu.

     

    2- Quand vous êtes face à l’imprévu, réagissez calmement.

    Dieu n’est jamais pris au dépourvu. Bien souvent, ce qui ressemble à une épreuve est une occasion pour lui de vous montrer qu’il vous aime et prend soin de vous. 

     

    3- Laissez Dieu se charger des choses extérieures et concentrez-vous sur ce qui dépend de vous.

    Une fois que vous comprenez que vous ne contrôlez jamais vraiment ce qui vous arrive mais seulement votre attitude, vous ne stresserez plus inutilement. Respirez profondément pour ralentir la montée d’adrénaline, faites une prière en silence et remettez votre problème à Dieu. 

     

    Un conseil pour aujourd’hui :

    N’essayez pas de tout contrôler. Le plan de Dieu pour vous reste valide. "Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient ; et sur ton livre étaient tous inscrits les jours qui étaient fixés, avant qu’aucun d’eux existe." (Psaume 139.16)

     

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Nous sommes poussière

     

     

     

    Nous sommes poussière

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 103.8-14 

      

    [Il] se souvient que nous sommes poussière. V. 14 

     

    Le jeune papa était au bout du rouleau. « Crème glacée ! Crème glacée ! » lui criait son tout-petit. La tragédie grecque au cœur du centre commercial bondé commençait à attirer l’attention des clients à proximité. « D’accord, mais tu dois faire d’abord quelque chose pour maman, OK ? » lui a demandé son père. « Noooon ! Crème glacée ! » Puis une femme toute menue portant des chaussures agencées à son sac à main s’est approchée d’eux. « Il a toute une crise », le père lui a-t-il dit. La femme lui a répondu en souriant : « On dirait plutôt que c’est toute une crise qui possède votre petit garçon. N’oubliez pas qu’il est tout petit. Il a besoin que vous soyez patient et que vous restiez près de lui. » La situation ne s’est pas résolue comme par magie, mais c’était précisément le genre de conseil dont le père avait besoin à ce moment-là.

     

    Les sages paroles de cette femme font écho au Psaume 103, où David parle du Seigneur en le décrivant comme « miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en bonté » (V. 8). Puis il poursuit en évoquant un père terrestre qui « a compassion de ses enfants » et que, plus encore, « l’Éternel a compassion de ceux qui le craignent » (V. 13). Dieu notre Père « sait de quoi nous sommes formés, il se souvient que nous sommes poussière » (V. 14). Il nous sait tout petits et fragiles.

     

    Merci d'être notre Père patient et présent, qui se rappelle qui et ce que nous sommes

     

    Nous trébuchons souvent et sommes déconcertés par ce que notre vaste monde nous apporte. Comme il est rassurant de savoir que notre Père est patient, omniprésent et d’un immense amour.

     

    Lorsque nous nous sentons déconcertés, Dieu le sait et s’en préoccupe.

     

     

     

    John Blase

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Le désert est fait pour être traversé

     

     

     

     

    Le désert est fait pour être traversé

     

     

     

     

    Le désert et le lieu aride se réjouiront, et le lieu solitaire s’égayera, et fleurira comme une rose. Ésaïe 35.1 

     

    Il y a quelques années de cela, j’ai eu l’occasion de me rendre dans le Sahara, et surtout de m’y promener. Ce qui m’a alors frappé, c’est le silence assourdissant qui règne dans ce lieu, la monotonie des paysages, nous n’y voyons que dune après dune et nous avons rapidement le sentiment vertigineux d’être désorientés et perdus. Le désert semble infini et infranchissable.

     

    Le silence du désert nous apprend à entendre la voix du Saint-Esprit.

     

    Dans notre vie chrétienne, il en va de même. Nous passons tous par des déserts, par ces moments où la voix de Dieu se fait rare, où nous avons l’impression d’être désorientés, de tourner en rond, et finalement nous avons ce sentiment que nous ne nous en sortirons jamais. Pourtant, si les déserts existent, ils sont faits pour être franchis. Plus que cela, ils existent afin que nous puissions en sortir avec la bénédiction qui appartient à ceux qui ont traversé le désert.

     

    Il y a un niveau d’abandon que vous ne découvrez que dans le désert.
    Quand vos appuis vacillent, plus que le fait de vous confier, c’est aussi l’occasion de vous abandonner entièrement et totalement dans les mains de Dieu. Celui qui s’abandonne dans ses mains n’est jamais abandonné. (Ésaïe 48.21)

     

    Dans le désert, vous comprenez que vous avez le choix de laisser ou non votre environnement définir votre destinée.
    C’est l’opportunité de refuser que l’atmosphère autour de vous définisse l’atmosphère en vous. Entre les mains de Dieu, la vie jaillit même dans les endroits secs. (
    Ésaïe 41.19)

     

    Les vrais changements s’opèrent dans les déserts.
    Quand le silence assourdissant des circonstances vous entoure, vous avez la possibilité d’entendre la voix du Roi. Cette voix qui a du poids, mais surtout qui façonne et transforme votre vie. La vraie transformation nécessite un travail profond, un abandon total, une grande vulnérabilité et le désert en est le lieu privilégié. (Osée 2.16)

     

    Il y a un nouveau niveau de puissance caché dans le désert.
    Le Saint-Esprit y a pour nous un revêtement spécial. Jésus lui-même est ressorti du désert "revêtu". (Luc 4.14)
    Le but de Dieu n’est pas de vous dépouiller, mais de vous revêtir d’un nouveau niveau d’onction, de communion avec le Saint-Esprit. Le silence du désert nous apprend à entendre la voix du Saint-Esprit, qui est la seule véritable source d’eau fraîche. 

     

    Je ne sais pas où vous en êtes, mais vous n’êtes pas seul(e) dans le désert ! Refusons de subir cette saison, de la laisser nous voler notre foi et notre vision. Et si au contraire, nous en faisions une saison d’opportunité ?

     

    Une prière pour aujourd’hui
    Seigneur, je te remets mon désert, je le traverserai et en sortirai enrichi(e) et plus fort(e). Ma vie est à toi. Amen.

     

     

    Matthieu Gatet
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    La réalité de Dieu

     

     

     

    La réalité de Dieu

     

     

     

     

    Lecture proposée : 2 Rois 6.8-17

     

    Et l’Éternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d’Élisée. V. 17 

     

    Dans Le Monde de Narnia : Le Lion, la Sorcière Blanche et l’Armoire Magique, de C. S. Lewis, tout Narnia se réjouit de voir le puissant lion Aslan réapparaître après une longue absence. Sa joie tourne cependant au chagrin   lorsque Aslan cède à une exigence de la maléfique Sorcière Blanche. Devant la défaite apparente d’Aslan, les Narniens font l’expérience de sa puissance tandis qu’il pousse un rugissement à défoncer les tympans qui terrifie la sorcière et lui fait prendre la fuite. Bien que tout semblait être perdu, Aslan finit par prouver qu’il est plus grand que la vilaine sorcière.

     

    Comme les disciples d’Aslan dans l’allégorie de Lewis, le serviteur d’Élisée était au désespoir en constatant à son réveil qu’une armée ennemie les avait encerclés. « Ah ! mon seigneur, comment ferons-nous ? » s’est-il exclamé (2 R 6.15). Le prophète lui a calmement répondu : « Ne crains point, car ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux » (V. 16). Élisée a alors prié : « Éternel, ouvre ses yeux, pour qu’il voie » (V. 17), et « l’Éternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d’Élisée » (V. 17). Même si à première vue la situation semblait critique aux yeux du serviteur, la puissance de Dieu a été en définitive supérieure à celle de l’ennemi.

     

    Merci , mon Dieu, pour ta fidélité

     

    Il se peut que notre situation difficile nous amène à croire que tout est perdu, Dieu désire nous ouvrir les yeux et nous montrer sa supériorité.

     

     

    Dieu surpasse toutes les peurs et les difficultés qui nous assaillent.

     

     

    Remi Oyedele

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    La réalité de Dieu

     

     

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    L'amour de soi

     

     

     

    L'amour de soi

     

     

     

     

    GALATES 5.13‑26

    « Tu aimeras ton prochain comme toi‑même », nous exhorte souvent la Bible (Lé 19.18; Mt 19.19; Ga 5.14); or, nous négligeons fréquemment l’aspect « comme toi‑même » de ce commandement. Impossible de pleinement aimer Dieu ou une autre personne si nous ne nous acceptons pas. Nous devons comprendre que nous sommes des enfants de Dieu et qu’il nous a créés pour que nous soyons en communion avec lui.

    Pour Dieu, nous revêtons tous beaucoup de valeur; or, notre valeur s’appuie sur notre relation avec lui. Nous devons nous accepter nous‑mêmes parce qu’il nous a sauvés, nous a donné le Saint‑Esprit et a conçu un plan particulier pour chacune de nos vies.

    Le croyant doit s’accepter tel qu’il est. Dieu veut qu’il prenne bien soin de lui‑même, parce que cela l’aide à entrer en relation avec son Dieu. Si nous ne nous acceptons pas, nous hésiterons à nous approcher de Dieu comme d’un Père, car nous nous sentirons indignes de son amour. Il nous enseigne toutefois à nous voir comme il nous voit : ses enfants bien‑aimés à qui il a confié des dons et des talents.

    Qui que vous soyez et quelles que soient vos circonstances, Dieu a conçu un plan pour vous. Cependant, il ne peut vous attirer sur le sentier de sa volonté jusqu’à ce que vous reconnaissiez la valeur que vous revêtez pour lui et que vous acceptiez la personne qu’il a faite en vous créant.

     

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

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    Inimaginable

     

     

     

    Inimaginable

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 23

     

    Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi. V. 4 

     

    Bart Millard a composé un grand classique en 2001 : I Can Only Imagine. Cette chanson illustre combien ce sera merveilleux de se retrouver en présence de Christ. Cette chanson a apporté du réconfort à notre famille lorsque, l’année suivante, notre fille de dix-sept ans est morte dans un accident de voiture. Nous nous sommes alors imaginé ce que ce devait être pour Melissa de se retrouver en présence de Dieu.

     

    Par contre, le mot imagine a pris pour moi une connotation différente dans les jours qui ont suivi son décès. Quand les pères des amis de Melissa m’abordaient, remplis de compassion et de douleur, ils m’ont dit : « Je n’imagine pas ce que vous devez traverser. »

     

    Merci, mon Dieu, de rester avec nous même lorsque nous traversons les pires épreuves

     

    Leurs paroles m’ont été utiles, car elles véhiculaient leur empathie, qui les poussait à reconnaître que ce qui nous arrivait était inimaginable.

     

    David a décrit la profondeur d’un grand deuil en disant « [marcher] dans la vallée de l’ombre de la mort » (PS 23.4). Cela décrit certainement la mort d’un être cher et il nous arrive parfois de nous demander comment nous allons bien pouvoir sortir des ténèbres. On ne peut l’imaginer.

     

    Il reste que, comme Dieu nous a promis de nous accompagner à travers cette vallée, il nous donne aussi beaucoup d’espoir en nous assurant que nous le retrouverons au-delà d’elle. Pour le chrétien, « quitter ce corps » signifie être en présence de Dieu (2 CO 5.8). Imaginer nos futures retrouvailles avec lui et les autres peut nous aider à surmonter l’inimaginable.

     

    Dieu nous procure l’espoir même dans nos moments les plus sombres.

     

     

    Dave Branon

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    Inimaginable

     

     

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