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    L'agenda du bonheur

     

    L’agenda du bonheur

     

     

    Une dame très âgée, au visage rayonnant, partagea à une amie le secret de son bonheur.

    « Chère Rose, c’est simple, j’ai toujours tenu un agenda du bonheur.

    — Un quoi ?

    — Eh oui, tu as bien compris, un agenda du bonheur... Il y a bien longtemps que j'ai appris ceci : aucune journée n'est si triste qu'elle ne renferme un quelconque rayon de lumière. Alors, chaque soir, j’écris toutes les petites choses heureuses qui m'arrivent.

    Il renferme certes bien des détails insignifiants : une robe neuve, une conversation avec une amie, une attention de mon mari, une fleur, un livre, etc. Tout ceci figure dans mon agenda et quand je me sens un peu triste, j'en lis quelques pages pour me remémorer quelle heureuse femme je suis. Je peux te le montrer si ça t’intéresse.

    Curieuse et intriguée, Rose ouvrit ce fameux agenda. Sur l’une des pages, on pouvait y lire ceci : « Reçu une gentille lettre de maman. Vu un beau lys dans une vitrine. Retrouvé la broche que je croyais avoir perdue.

    — As-tu trouvé chaque jour un plaisir à noter ? demanda Rose, perplexe.

    — Oui, chaque jour.

    Rose continua à tourner les pages et arriva à celle qui contenait ces mots : « Il mourut en tenant ma main dans la sienne et mon nom sur ses lèvres. »

    — Tu vois Rose, conclut la vieille dame, même la mort contient sa part de positif…

     

    Auteur inconnu

     

     

     

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  • Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

     

    Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

     

     

    Il était une fois un vieil homme assis à l'entrée d'une ville du Moyen-Orient.  


    Un jeune homme s'approcha et lui dit :
    - Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

    Le vieil homme lui répondit par une question :
    - Comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ?
    - Egoïstes et méchants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'étais bien content de partir, dit le jeune homme.

    Le vieillard répondit:
    - Tu trouveras les mêmes gens ici.

    Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.
    - Je viens d'arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

    Le vieil homme répondit de même :
    - Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ?
    - Ils étaient bons et accueillants, honnêtes; j'y avais de bons amis; j'ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.
    - Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.

    Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche :
    - Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?
    - Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur.

     


    Auteur inconnu.
     

     

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    Leçons de vie et d'amour

     

    Leçon de vie et d'amour

     

    Il y a plusieurs années, quand j’étais bénévole à l’hôpital Stanford, j’ai connu une petite fille nommée Lisa qui souffrait d’une maladie rare et très grave. Sa seule chance de guérison semblait être de recevoir une transfusion sanguine de son frère âgé de cinq ans, qui avait miraculeusement survécu à la même maladie et avait développé les anticorps nécessaires pour la combattre.

    Le docteur expliqua la situation au petit frère et lui demanda s’il était prêt à donner son sang pour sa soeur. Je l’ai vu hésiter un instant puis prendre une
    grande respiration avant de répondre:

    "Oui, je vais le faire si ça peut sauver Lisa".

    Durant la transfusion, il était étendu dans le lit à côté de Lisa et il souriait, comme nous souriions tous en voyant la petite fille reprendre des couleurs.
    Puis le visage du petit garçon devint pâle et son sourire disparut. Il regarda le docteur et demanda d’une voix tremblante:

    “Est-ce que je vais commencer tout de suite à mourir ?”

    Parce qu’il était jeune, le garçon avait mal compris le docteur ; il pensait qu’il lui faudrait donner tout son sang.


     

    Dan Millman

     

     

    *   *   *   *   *   *   *  *

     

    Dieu nous aime tellement qu'il n'a pas hésité à sacrifier son fils unique afin que nous soyons sauvés.

    Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique,

    afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.

    Jean 3 : 16

    C'est par le sang de Jésus-Christ que nous sommes lavés de tous nos péchés

     

     

     

     

     

     

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    Jongler avec la vie.

     

    Imaginez la vie comme un jeu dans lequel vous jonglez avec cinq balles.  Vous pouvez les appeler: Travail-Famille-Santé-Amis-Esprit : vous jonglez avec ces balles.  Vous comprenez vite que le travail est une balle en caoutchouc; si vous la laisser tomber, elle rebondit.  Mais les quatre autres balles, Santé-Famille-Amis-Esprit, sont en verre.  Si vous en laisser tomber une elle va, à coup sûr, rester par terre, à vos pieds, se fendre, s’abîmer ou même être brisée, fracassée, détruite.  Elle ne sera plus jamais la même. Vous devez comprendre cela et être vigilant pour maintenir un équilibre entre chaque domaine de votre vie.

     

    Comment ?

     

    Ne sous-estimez pas votre valeur en vous comparant aux autres. 

    C’est parce que nous sommes tous différents que chacun de nous est spécial.  

    N’établissez pas vos buts en fonction de ce que les autres jugent important.  

    Il n’y a que vous qui sachiez ce qui est important pour vous.

    Ne considérez pas comme acquise les choses les plus proches de votre cœur.  

    Accrochez-vous à elles, comme si votre vie en dépendait.

    Sans elles votre vie n’a pas de sens.

    Ne laissez pas votre vie vous glisser entre les doigts,

    en vivant dans le passé ou le futur.  

    En vivant une journée à la fois, vous vivez TOUS les jours de votre vie.

    N’abandonnez pas quand vous avez encore quelque chose à donner…

    Rien n’est jamais perdu tant que vous essayez.

    N’ayez pas peur d’admettre que vous n’êtes pas parfait.

    C’est le fil fragile de notre imperfection qui nous relie les uns aux autres.

    N’ayez pas peur de prendre des risques.

    C’est en prenant des risques qu’on apprend à être courageux.

    Ne fermer pas votre vie à l’amour en disant que c’est impossible à trouver.

    Donner est la façon la plus rapide de recevoir l’amour.

    Le moyen le plus rapide de perdre l’amour,

    c’est de le retenir trop fort

    et le meilleur moyen de garder l’amour,

    c’est de lui donner des ailes.

    Ne traverser pas la vie en courant si vite que vous en oubliez,

    non seulement d’où vous venez, mais aussi où vous allez.

    N’oubliez pas que le plus grand besoin émotionnel d’une personne

    est de se sentir apprécié.

    N’ayez pas peur d’apprendre.

     

    Le savoir n’a pas de poids,

    c’est un trésor que vous pouvez emmener partout avec vous.

    Faites attention à ne pas gaspiller ni le temps ni les mots.

    Ni l’un ni l’autre ne peuvent êtres récupérés.

    La vie n’est pas une course mais un voyage à savourer pas à pas.

    Hier, c’est de l’histoire.

    Demain, est un mystère.

    Aujourd’hui est un cadeau.

    C’est pour cela qu’on l’appelle le présent.

     

     

    Brian DYON, PDG de la firme Coca Cola

    à l’occasion de la remise de diplômes dans une université américaine.

    Le 6 septembre 1991. 

     

     

     

     

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    Des outils et ... un homme

     

    Des outils et… un homme

     

    Un menuisier avait un bel atelier où il exerçait son métier avec amour. Un jour, en l’absence du patron, les ouvriers se réunirent en grand conseil. La séance fut longue et animée et parfois même véhémente. Il s’agissait d’exclure de l’honorable assemblée un certain nombre de membres. 

    L’un d’eux prit la parole: « Nous devons expulser notre sœur la scie, parce qu’elle déchiquette tout et fait grincer les dents. Elle a le caractère le plus mordant de toute la terre ! » 

    Un autre intervint: « Nous ne pouvons pas garder parmi nous notre frère le rabot. Il a un caractère coupant et tatillon au point d’éplucher tout ce qu’il touche. »

    « Frère marteau, protesta un autre outil, a un sale caractère, lourdaud et violent. C’est un vrai cogneur. Sa façon de battre sans cesse, jusqu’à taper sur les nerfs de tout le monde, est plus que choquante. Chassons-le ! »

    « Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens piquants ? Qu’ils s’en aillent tous ! Sans parler de la lime et de la râpe. Leur compagnie est cause de continuelles frictions. Chassons aussi le papier de verre : il ne semble exister que pour égratigner son prochain ! »

    Ainsi débattaient avec de plus en plus d’animosité les outils du menuisier. Ils parlaient tous en même temps. Le marteau voulait expulser la lime et le rabot qui, à leur tour, voulaient se débarrasser de clous et du marteau. Et ainsi de suite.

    A la fin de la séance, tout le monde avait exclu tout le monde.
    La réunion fut brusquement interrompue par l’arrivée du menuisier. Tous les outils se turent quand ils le virent s’approcher de son établi.

    L’homme prit une planche et la scia avec la scie mordante. Il la rabota avec le rabot qui pèle tout ce qu’il touche. Sœur la hache, qui blesse cruellement, sœur la râpe à la langue rugueuse, frère papier de verre qui gratte et égratigne : tous entrèrent en action, l’un après l’autre, l’un avec l’autre.

    Le menuisier prit ensuite les frères clous au caractère piquant ainsi que le marteau qui frappe et percute. Il se servit de tous ses outils avec leurs défauts, leur caractère insupportable et, grâce à eux tous, il fabriqua un berceau.

    Un magnifique berceau pour accueillir un bébé qui allait naître.

    Puis il attaqua son dernier projet : un bateau qui allait permettre de mener à bon port des gens éloignés les uns des autres par un océan de préjugés.

     

    Auteur : inconnu.

     

     

     

     

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    Le chant du berger

     

    Le chant du berger

     

     

    Le soir de Noël 1875, Sankey voyageait sur la rivière Delaware.

    L'air était calme.

    Les étoiles scintillaient dans un ciel pur et beaucoup de passagers s'étaient rassemblés sur le pont du navire.

     On demanda à Sankey de chanter.

     Debout, appuyé contre l’une des grandes cheminées du bateau, le regard perdu vers le ciel étoilé dans une prière muette, il voulait chanter un cantique de Noël, mais presque malgré sa volonté, il fut poussé à chanter le Chant du Berger.

    Dans un silence profond, les mots et la mélodie, jaillissant de l'âme du chanteur, flottaient au-dessus du pont et de la paisible rivière.

     Chaque coeur fut touché.  

    Lorsque le chant fut fini, un homme à la figure rude et tannée s'avança vers M. Sankey :

    "Avez-vous servi dans l'armée de l'Union? Lui demanda-t-il ".

    "Oui, répondit M. Sankey, au printemps de 1860. "  

     "Pouvez-vous vous rappeler si vous avez monté la garde, une nuit brillamment éclairée comme celle-ci, en 1862 ?".

     "Oui, répondit M. Sankey fort surpris".

    J'étais moi-même de garde cette nuit-là, reprit l'étranger, mais je servais dans l'armée Confédérale. Quand je vous vis debout à votre poste, je me dis : Celui-là ne partira jamais d'ici vivant. Je pris mon fusil et vous visais. J'étais complètement caché dans l'ombre tandis que la pleine lumière de la lune tombait sur vous. A ce moment, comme tout à l'heure, vous avez levé les yeux au ciel et avez commencé à chanter. La musique et spécialement le chant ont toujours eu une merveilleuse puissance sur moi et j'enlevai mon doigt de la détente : Laisse-le finir son chant, me dis-je, tu tireras après; de toute façon il est a toi et ta balle ne le manquera pas.

    Mais le cantique que vous chantiez était celui que nous venons d'écouter aujourd'hui.

    J'entendais parfaitement les paroles :

    Nous sommes à Toi, soutiens-nous
    Sois le gardien de notre chemin.

    Ces mots me remirent en mémoire beaucoup de choses qui remuèrent mon coeur. Je pensais a mon enfance et à ma pieuse mère. Celle-ci m'avait chanté bien des fois ce que je venais d'entendre, mais elle était morte trop tôt, sans cela ma vie aurait été sans doute bien différente.

     Quand votre chant s'arrêta il me fut impossible de tirer sur vous. Je pensais : le Seigneur qui est capable de sauver cet homme d'une mort certaine, doit certainement être grand et puissant, et de son propre gré, mon bras s'abaissa.

     Depuis ce temps-là, j'ai erré par le monde, loin de Dieu, mais quand je vous vis tout a l'heure debout, priant juste comme la première fois, je vous ai reconnu. Alors, mon coeur a été touché par votre chant et maintenant je vous demande de m'aider a trouver la guérison pour mon âme malade".

     Profondément remué, Sankey jeta les bras autour du cou de l'homme qui, au temps de la guerre avait été son ennemi, et pendant cette veillée de Noël, l'étranger trouva le Bon Berger.

    R. Tidings

     

     

     

     

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  • L'âne dans le puits et son maître

     

    L’âne dans le puits et son maître

     

     Nulle pierre ne peut être polie sans friction, nul homme ne peut parfaire son expérience sans épreuve. »  Confucius 

    Un jour, l’âne d’un fermier tomba dans un puits.
    L’animal gémit pitoyablement pendant des heures et le fermier se demandait bien ce qu’il allait faire. Finalement, il se rappela que l’animal était vieux et que, de toute façon, le puits devait disparaître. Il en conclut donc qu'il n’était pas rentable de tenter de récupérer l’âne.

    Il appela tous ses voisins et leur demanda de venir l’aider. Chacun saisit une pelle et ils commencèrent à combler le puits. Au début, l’âne, réalisant ce qui se produisait, se mit à crier terriblement. Puis, à la stupéfaction de tout le monde, il se tût. Quelques pelletées plus tard, poussé par la curiosité, le fermier regarda finalement dans le fond du puits et fut étonné...
    A chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne réagissait aussitôt : il se secouait pour enlever la terre de son dos et piétinait ensuite le sol sous ses sabots. Pendant que les voisins du fermier continuaient à jeter de la terre et des cailloux sur l’animal, il se secouait et montait toujours plus haut. Bientôt, tous furent stupéfaits de voir l’âne sortir du puits et se mettre à trotter !

    L'âne dans le puits et son maître 


    La vie essaye parfois de vous « engloutir sous toutes sortes d’ordures » et de décombres. L’astuce pour « se sortir du trou » est de « se secouer pour mieux avancer » ; chacun de nos ennuis, nos épreuves ou échecs est une pierre qui permet de progresser.
    Il suffit que nous nous secouions pour les laisser glisser le long de ce que nous sommes et pouvoir nous élever grâce à elles… et enfin sortir du trou ! Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais de nous battre. Ne vous laissez pas abattre, ne baissez jamais les bras, vous pouvez toujours remonter ! C’est possible ! Et n’oubliez pas : « possible » ne veut pas dire « facile ». Mais ce n’est pas parce que c’est difficile que c’est impossible !

     

    Se secouer et bouger un peu : n'est-ce pas là le réflexe naturel de la foi qui reconnaît :

     

    " Dieu est fidèle et ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces;

    mais avec la tentation, il donnera aussi le moyen d’en sortir,

    pour que vous puissiez la supporter."
    1 Cor 10,13 
     

     

     

    L'âne dans le puits et son maître

     

     

     

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    L’éléphant attaché

     

    Peu de temps après sa naissance au cirque, un bébé éléphant fut attaché à un gros piquet bien planté dans le sol.

    Au début, il tenta de se libérer mais le piquet était trop solide pour ce jeune éléphant et il ne réussit pas à s’en libérer. Bien que ses efforts pour se libérer du piquet continuèrent pour un certain temps, il cessa finalement d’essayer de l’arracher du sol.

    Deux années passèrent et lorsque l’éléphant n’était pas en spectacle, il continuait à être attaché à ce piquet. À ce moment là, l’éléphant avait la force d’arracher le piquet du sol comme s’il ne s’agissait que d’un simple cure-dents.

    Ce qui est étonnant, c’est que malgré cette grande force, l’éléphant n’essaya plus jamais de se libérer de ce piquet.

    La perception développée dans sa jeunesse est restée avec lui et l’a empêché d’agir.

    Auteur inconnu

     

    Avez-vous déterminé quelles sont vos croyances qui vous freinent ou vous empêchent d'avancer ?  

     

      Christ nous a placés dans la liberté en nous affranchissant ;

    tenez-vous donc fermes, et ne soyez pas de nouveau retenus sous un joug de servitude.

    Galates 5 : 1

     

     

     

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    L'arbre à soucis

     

    L’arbre à soucis

     

    Un jour, j’ai dû solliciter les services d’un menuisier pour m’aider à restaurer ma vieille grange. Après avoir terminé une dure journée au cours de laquelle une crevaison lui avait fait perdre une heure de travail, sa scie électrique avait rendu l’âme, et, pour finir, au moment de rentrer chez lui, le vieux fourgon du menuisier refusa de démarrer. Je le reconduisis chez lui et il demeura froid et silencieux tout au long du trajet. Arrivé chez lui, il m’invita à rencontrer sa famille.

     

    Comme nous marchions le long de l’allée qui conduisait à la maison, il s’arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout des branches de celui-ci de ses mains.

     

    Lorsqu’il ouvrit la porte pour entrer chez lui, une étonnante transformation se produisit. Son visage devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et embrassa sa femme.

     

    Lorsqu’il me raccompagna à ma voiture, en passant près de l’arbre, la curiosité s’empara de moi et je lui demandai pourquoi il avait touché le bout des branches de cet arbre un peu plus tôt.

     

    "C’est mon arbre à soucis", me répondit-il.

     

    "Je sais que je ne peux éviter les problèmes, les soucis et les embûches qui traversent mes journées, mais il y a une chose dont je suis certain, ceux-ci n’ont aucune place dans la maison avec ma femme et mes enfants. Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les soirs lorsque je rentre à la maison. Et puis, je les reprends le matin. Ce qu’il y a de plus drôle, il me sourit, c’est que lorsque je sors de la maison le matin pour les reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille lorsque je les avais accrochés."

     

    « Ne laisse pas la tristesse t’éteindre et d’absurdes soucis troubler tes jours ». Omar khayyäm

     

    Ne vous laissez pas écraser par les difficultés de la vie. Appuyez-vous sur le Seigneur. Remettez-lui tout ce qui vous pèse et il s'en occupera !

     

    Décharge-vous sur lui de tous vos soucis car il prend soin de vous.

    1 Pierre 5 : 7

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Chacun porte en lui sa vision du monde

     

    Chacun porte en lui sa vision du monde…

     

     

    Il était une fois un vieil homme assis à l’entrée d’une ville du Moyen-Orient.

    Un jeune homme s’approcha et lui dit :
    - Je ne suis jamais venu ici. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
    Le vieil homme lui répondit par une question :
    - Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
    - Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir, dit le jeune homme.
    Le vieillard répondit : Tu trouveras les mêmes gens ici.

    Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.
    - Je viens d’arriver dans la région. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
    Le vieille homme répondit de même :
    - Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
    - Ils étaient bons et accueillants, honnêtes, j’y avais de bons amis. J’ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.
    - Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.

    Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche :
    - Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?
    - Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur.

    (Anonyme) 

     

     

     

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  • Amour véritable est profond

     

    Amour véritable est profond

     

     

    C'était un matin, il était environ 8h30 quand un homme d'un certain âge, dans les 80 ans, est arrivé pour faire enlever les points de suture de son pouce.

     

    Il dit me qu'il est pressé car il a un rendez-vous à 9h00.

     

    J'ai pris ses signes vitaux et lui dit de s'asseoir sachant que ça prendrait plus d'une heure avant que quelqu'un puisse s'occuper de lui. Je le voyais regarder sa montre et j'ai décidé d'évaluer sa blessure.

     

    En l'examinant, j'ai vu que ça cicatrisait bien, alors j'ai parlé à un des docteurs, j'ai pris le matériel nécessaire pour enlever ses points et soulager sa blessure. Pendant que je m'occupais de sa blessure, je lui ai demandé s'il avait un rendez-vous avec un autre médecin ce matin, puisqu'il était pressé.

     

    L'homme me dit non, qu'il devait aller dans une maison de santé pour déjeuner avec sa femme. Je me suis informé de sa santé. Il m'a dit qu'elle était là depuis quelque temps et qu'elle était victime de la maladie d'Alzheimer. Comme nous parlions, j'ai demandé si elle serait contrariée s’il était en retard.

     

    Il a répondu qu'elle ne savait plus qui il était, qu'elle ne le reconnaissait plus depuis 5 ans.

     

    J'étais surprise et je lui ai demandé :

     

    « Et vous y allez encore tous les matins, même si elle ne sait pas qui vous êtes ? »

     

    Il souriait en me tapotant la main et me dit : « Elle ne me reconnaît pas, mais moi, je sais encore qui elle est. »

     

    J'ai dû retenir mes larmes et je pensais que c'était le genre d'amour que je veux dans ma vie.

     

    Le vrai amour, ni physique ni romantique. Le véritable amour est l'acceptation de tout ce qui est, a été, sera et ne sera pas.

     

     

     

     

    Auteur inconnu.

     

     

     

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