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    Blessés de la vie

     

    Blessés de la vie

     

     

     

    Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 4, versets 7 à 11.

     

    Vous trouverez le repos pour votre âme. Matthieu 11.29 

     

    L’historien chypriote Achille Émilianidès est l’auteur du mot suivant : « Si ton âme est blessée, ne blâme jamais les autres de ses plaies ».
    De tout temps, les contacts humains ou les circonstances de vie ont entraîné des blessures de l’âme humaine. En intensifiant le nombre de contacts, notre époque permet plus de rencontres qui font du bien, mais aussi plus de celles qui nous blessent.

    Un jour ou l’autre, nous pouvons nous sentir blessé. Peut-être au plus profond de notre âme, et sans que les autres ne puissent le voir. Mais la souffrance est bien là…


    Faut-il se poser en victime, se protéger par une cuirasse d’indifférence, ou rester à l’écart de tout contact qui nous rendrait vulnérable ?
    Le texte du jour nous montre Jésus-Christ abordant la vie tout autrement. Il se réjouit d’abord de ce que l’Évangile soit pour ceux qui ont un cœur d’enfant. Il propose ensuite, à ceux qui traînent un fardeau, de « poser leur sac » et de recevoir son repos.

    Ne serait-elle qu’une parole du passé ? N’est-elle pas précisément ce dont nous avons le plus besoin dans le monde agité et stressant qui nous entoure ?


    Jésus appelle à suivre ses exigences, en indiquant qu’elles sont bonnes, de prendre son fardeau, en indiquant qu’il est léger.
    Il y a quarante ans (que le temps passe vite…), j’ai choisi de « changer de sac à dos ». Je ne l’ai jamais regretté.


     

    Jean-Louis Théron
    (Source : vivreaujourdhui.com) 

     

     

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    Le bon berger (ABP)

     

     

    Le bon berger

     

     

     

    Lecture proposée : Ésaïe 40.6-11 

     

    [Il] prendra les agneaux dans ses bras, et les portera dans son sein. (V. 11) 

     

    Assise avec mon mari dans la salle d’hôpital, j’attendais, angoissée. Notre jeune fils subissait une chirurgie correctrice de l’œil qui me tourmentait. J’ai alors essayé de prier, pour demander à Dieu de me calmer. En feuilletant ma bible, je me suis rappelé le passage connu d’Ésaïe 40, auquel je me suis rendue en me demandant si quelque chose de nouveau y capterait mon attention.  


    Au fil de ma lecture, j’ai repris mon souffle en tombant sur les paroles écrites si longtemps auparavant qui me servaient de rappel : « Comme un berger, il paîtra son troupeau, il prendra les agneaux dans ses bras, et les portera dans son sein »
    (V. 11). Dès lors, l’angoisse a cessé de me tenailler, car j’ai compris que le Seigneur nous soutenait, nous guidait et nous portait en lui. C’est précisément ce dont j’avais besoin, Seigneur, me suis‑je dit. Je me suis alors sentie enveloppée dans la paix de Dieu durant et après la chirurgie (qui s’est heureusement bien passée).

    Merci Jésus, pour les cadeaux de ton amour sacrificiel
    et de la paix qui surpasse toute intelligence

    Par la bouche du prophète Ésaïe, le Seigneur a promis à ses enfants de leur servir de Berger, de les guider dans leur vie quotidienne et de les consoler. Or, nous pouvons nous aussi bénéficier de ses tendres soins en lui livrant nos angoisses et en recherchant auprès de lui l’amour et la paix. Nous savons qu’il est notre bon Berger, qui nous garde tout près de son cœur et qui nous prend dans ses bras pour l’éternité.


    Le bon Berger prend soin de ses brebis.

     

    Amy Boucher Pye
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Vous êtes son trésor !

     

    Vous êtes son trésor !

     

     

    “Si une femme possède dix pièces d’argent et qu’elle en perd une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?” Lc 15. 8  

    Dieu vous affirme que vous êtes Son trésor, une perle de grand prix à Ses yeux.

    Si un promeneur perd une pierre de grand prix alors qu’il se promène à la campagne, ne croyez-vous pas qu’il reviendra sur ses pas et fouillera partout les buissons du bord du chemin afin de retrouver son trésor ? Si la nuit est près de tomber, il plantera sa tente pour ne pas quitter les parages, refusant de s’éloigner sans son trésor.

    Dieu ressemble aussi à cette femme dont parlait Jésus à la recherche de la pièce d’argent qu’elle a égarée. La pièce d’argent peut avoir roulé dans la poussière et sous les meubles ou être tombée dans la bassine pleine d’eau qu’elle avait laissée dans la cuisine, mais même sale et mouillée, elle n’a rien perdu de sa valeur.

    De même, vous pourrez traverser des moments difficiles qui laisseront leurs marques sur votre vie. Mais vous demeurerez néanmoins le trésor qu’Il veut à tout prix retrouver. Il ne vous abandonnera jamais tant qu’Il ne vous aura pas ramené sain et sauf dans le creux de Ses mains. Une fois qu’Il vous aura retrouvé, Il vous protégera et vous gardera serré dans Sa main afin de vous faire entrer dans Son royaume. Et tous ceux déjà assemblés là-bas exploseront de joie à votre arrivée ! Ses serviteurs, eux aussi, se réjouiront de votre présence à leurs côtés.

    Peut-être considérez-vous aujourd’hui que vous êtes loin de ressembler à une pierre précieuse ! Mais c’est ce que vous serez un jour qui compte le plus à Ses yeux. Vous deviendrez chez Lui une pierre précieuse de Sa couronne. Car s’Il vous a créé, c’est pour que votre éclat brille pour Le glorifier. Toutes ces “pièces d’argent” perdues et retrouvées formeront un jour le trésor fabuleux de Dieu dans Son Royaume. “Toutes tes oeuvres Te célébreront, Seigneur, et Tes fidèles Te béniront” (
    Ps 145. 10).

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    La valeur de l’espoir

     

     

    La valeur de l’espoir

     

     

     

    “La colombe revint… elle tenait dans son bec une jeune feuille d’olivier. Gn 8. 11 

    Imaginez Noé sur le pont de son bateau. La pluie a cessé depuis pas mal de temps, mais tout autour de lui, que voit-il ? De l’eau, rien que de l’eau.

    Comme lui, vous avez peut-être été submergé par un déluge de problèmes et de souffrances, divorce, enfants qui se rebellent, graves maladies, tensions au travail ou à la maison… etc. Comme Noé, vous avez assisté à des couchers de soleil déprimants qui ensevelissaient peu à peu vos rêves et vos aspirations. Vous avez perdu espoir. Tout ce dont vous avez besoin aujourd’hui est d’un rayon d’espoir, un signe divin qu’Il ne vous a pas oublié dans votre arche sombre aux odeurs délétères.

    Puis un soir nous raconte la Bible, la colombe relâchée par Noé est revenue vers lui, une jeune feuille d’olivier dans le bec. Ce n’était pas grand-chose, seulement une promesse d’un nouvel avenir. La terre n’était plus enveloppée d’eau. Quelque part un arbre verdissait qui porterait bientôt du fruit.

    Scrutez l’horizon, ne vous découragez pas, votre “jeune feuille d’olivier” est en route vers vous. Votre océan n’est pas trop profond que Jésus ne puisse le traverser.

    L’apôtre Jean était incarcéré sur l’île pénitentiaire de Patmos, quand il commença à écrire l’Apocalypse. Il se trouvait dans une situation similaire à celle de Noé, entouré d’eau de toute part, incapable de s’échapper. C’est alors que Jésus s’est approché de lui et s’est révélé à lui dans toute Sa splendeur afin de lui redonner de l’espoir en même temps qu’une nouvelle mission. Remarquez ce qu’il dit plus tard : “Alors je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre… et il n’y avait plus de mer !” (
    Ap 21. 1). Avec l’espoir, la mer des souffrances et des déceptions s’évanouit !

    Quand vous recevrez votre “jeune feuille d’olivier”, pensez à la faire circuler autour de vous. Vos proches, vos amis ont aussi besoin d’espoir et d’encouragement. Ne la laissez pas sécher entre deux pages d’un livre jamais ouvert ! Personne ne peut vivre sans espoir !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

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    N’ayez pas peur

     

     

    N’ayez pas peur

     

     

     

    "N’aie pas peur, petit troupeau ! Car il a plu à votre Père de vous donner le Royaume." Luc 12.32

     

    Dieu nous dit “N’aie pas peur” ou “Ne sois pas effrayé” plus d’une centaine de fois dans sa Parole. Bien entendu, c'est un message important que le Père veut que nous comprenions !

    Ne craignez pas que vos besoins ne soient pas satisfaits ! 

    Tout ce que le diable peut faire est de vous mentir. Il peut vous avoir dit que vos besoins ne seront pas comblés, mais ce n'est rien d’autre qu'un mensonge. L'objectif de Satan est que vous perdiez la foi afin de basculer dans la peur.

    La peur est l’opposé de la foi. La peur est en fait la foi dans le diable et dans ses mensonges. La foi consiste à croire pleinement Dieu et ce qu’il vous dit. Vous ne pouvez pas être, à la fois, dans une attitude de foi et dans une attitude de peur.  

    Ne craignez pas que vos besoins ne soient pas satisfaits ! Vous faites partie du troupeau de Dieu et il est le bon berger. Il n’y a rien à craindre lorsque le troupeau suit son berger de près. Le berger fournit tout ce dont ses moutons ont besoin.

    Une action pour aujourd’hui :
    Choisissez la foi au lieu de la peur. Gardez vos yeux fixés sur le berger et non ps sur ce que l’ennemi de votre foi est en train de vous dire. Vous y arriverez ! Dieu répondra à chacun de vos besoins alors que vous chercherez son Royaume et sa justice



    Keith Butler

    (Source : TopChrétien)

     

     

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    La foi, et non la peur

     

     

    La foi, et non la peur

     

     

     

    Lecture proposée : Nombres 13.25 – 14.9


    L’Éternel est avec nous, ne les craignez point ! Nombres 14.9


    « On a offert à mon mari une promotion dans un autre pays, mais comme je redoutais de quitter notre maison, il a décliné l’offre à contrecœur », m’a dit mon amie. Elle m’a expliqué que l’appréhension que lui inspirait un changement d’une telle envergure l’avait empêchée de se lancer dans une nouvelle aventure et qu’il lui arrivait parfois de se demander ce dont elle les avait privés en refusant de déménager. 

    Les Israélites ont laissé leurs angoisses les paralyser lorsque Dieu les a appelés à s’installer dans un pays riche au sol fertile où coulaient « le lait et le miel » (EX 33.3). En entendant parler des habitants puissants de ses grandes villes (V. 27), ils se sont mis à craindre d’y emménager. La majorité des Israélites ont ainsi refusé d’obéir à leur appel à entrer dans ce pays.

    Josué et Caleb les ont toutefois exhortés à faire confiance au Seigneur : « [L’Éternel] est avec nous, ne les craignez point ! » (V. 9.) Même si les habitants du pays passaient pour des géants à leurs yeux, les Israélites pouvaient compter sur la présence de Dieu à leurs côtés.

    Mon amie n’a pas reçu l’ordre d’aller s’installer dans un autre pays, comme cela avait été le cas des Israélites, mais elle a regretté d’avoir laissé la peur les priver de cette occasion. Et vous, faites-vous face à une situation déstabilisante ? Si c’est le cas, sachez que le Seigneur est avec vous et vous guidera. Grâce à son amour infaillible, nous pouvons aller de l’avant avec foi.

     

     

    La peur peut paralyser, alors que la foi pousse à suivre Dieu

     

     

     

    Amy Boucher Pye

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Mon esprit est au milieu de vous - Aggée 2 : 5

     

     

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    Ronde Versets du coeur 128

     

    Ronde Versets du coeur 128

     

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    Ronde Versets du coeur 128

     

     

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    Il comprend la souffrance de l’abandon

     

     

    Il comprend la souffrance de l’abandon

     

     

    « Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné ? Pourquoi te tiens-tu si loin de moi ? » Ps 22.2

    Pourquoi Jésus, sur la croix, a-t-Il crié ces mots à Son Père en citant le psaume 22 ? Certains diront : pour montrer que les prophéties de l’Ancien Testament Le concernant devaient toutes s’accomplir. D’autres expliqueront qu’en disant cela Il accomplissait la malédiction de la Loi à l’encontre de quiconque serait pendu au bois (Lisez Ga 3. 13). Tout cela est vrai. De plus, Dieu ne L’avait pas vraiment abandonné, puisque le psaume 22 ajoute : “Car Il n’a ni mépris ni dédain pour les peines du malheureux, et Il ne lui cache pas Sa face ; mais Il l’écoute quand il crie à Lui” v. 25). Mais n’y a-t-il pas davantage dans ce cri déchirant ? Comme l’expression de la souffrance de l’abandon, de l’incompréhension même face à l’horreur d’une mort solitaire ? C’est comme le cri d’une mère, près du lit de son enfant mourant d’un cancer, s’adressant à Dieu : “Pourquoi as-Tu permis cela ?” Ou le cri de tous ceux qui se retrouvent en face de souffrances qu’ils n’arrivent pas à comprendre et qui posent à Dieu la même question.

    Si Jésus a crié cette question, c’est parce qu’Il savait ce que signifiait être abandonné, pas seulement par les Siens, mais même par Son Père. Et c’est pourquoi Il peut désormais comprendre l’abandon que nous pouvons tous ressentir un jour ou l’autre. “Car nous n’avons pas un grand prêtre insensible à nos faiblesses ; Il a été soumis, sans péché, à des épreuves en tous points semblables” (
    He 4. 15). Remarquez que Dieu n’a pas, en vérité, “abandonné” Jésus sur la croix. Le psalmiste affirme : “Il te réconfortera, Il ne laissera jamais chanceler le juste” (Ps 55. 23). Jésus avait seulement le sentiment d’être abandonné. Tout comme nous avons parfois l’impression d’être seuls, alors même que Dieu est tout proche de nous et nous soutient d’une main invisible ! Le romancier D. W. Wallace a écrit : “nous souffrons tous dans notre solitude…” Mais il avait tort ! Dieu ne nous abandonne jamais (Lisez Dt 31. 6). 

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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