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    Pure lumière

     

     

    Pure lumière

     

     

     

    Ta Parole est une lampe à mon pied, et une lumière à mon sentier. Psaume 119. 105

    La lumière est venue dans le monde, et les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, car leurs œuvres étaient mauvaises. Jean 3. 19

     

    Une marchande de fruits avait depuis peu de temps découvert que la Bible était réellement la Parole de Dieu. Elle la lisait derrière son étal en attendant les clients.

    – Qu'est-ce que vous lisez là ? demanda un acheteur.

    – La Parole de Dieu, la Bible, répondit-elle joyeusement.

    – Vraiment ? Mais qui vous dit que la Bible est bien la Parole de Dieu ?

    – C'est Dieu lui-même.

    – Il vous a vraiment parlé en personne ?

    La marchande parut un instant embarrassée, puis elle dit en montrant d'un geste la place du marché inondée de soleil ce matin-là :

    – Pourriez-vous prouver, Monsieur, que le soleil existe ?

    – Le prouver ? Mais je sens sa chaleur et je vois sa lumière.

    – La Bible est aussi cela pour moi. Elle réchauffe mon cœur, elle éclaire mes pensées. C'est là ce qui me prouve qu'elle est bien le Livre de Dieu.

     

     

    Ô Dieu, ta Parole recèle

    Le trésor le plus précieux,

    Car ton Esprit nous y révèle

    Jésus, le seul chemin des cieux.

    Ta Parole, pure lumière,

    Éclaire et guide tous nos pas

    Pour que nous puissions, tendre Père,

    Te glorifier ici-bas.

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

     

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    Nuit silencieuse de l’âme

     

     

    Nuit silencieuse de l’âme

     

     

     

    Lecture proposée : 2 Corinthiens 5.14-21 

     

    Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. (V. 17)

    Bien longtemps avant que Joseph Mohr et Franz Gruber ont composé le célèbre cantique intitulé « Sainte nuit », Angelus Silesius a écrit :  

       Voici : dans la nuit silencieuse un Enfant est né, 

       Et tout est apporté à nouveau, qui était perdu ou abandonné. 

       Puisses‑tu par ton Âme, ô homme, devenir une nuit silencieuse, 

       Dieu naîtrait en toi et ferait toutes choses justes. 

     

    Jésus, merci d’être né dans ce monde ténébreux
    afin que nous puissions renaître dans ta vie et ta lumière

     

    Le moine polonais Silesius a publié ce poème en 1657 dans Le Pèlerin chérubinique. Durant le culte de la veille de Noël annuel de notre Église, la chorale a magnifiquement interprété un chant inspiré de ce poème.

     

    Selon le double mystère de Noël, Dieu s’est joint à nous pour que nous ne fassions qu’un avec lui. Jésus a tout subi afin que nous soyons réconciliés avec le Père. Voilà pourquoi l’apôtre Paul a pu écrire : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ » (2 CO 5.17,18).

     

    Que notre Noël soit rempli de proches et d’amis ou vide de toute réponse à nos désirs, nous savons que Jésus est venu naître en nous.

    Ah, si ton cœur était une étable destinée à la naissance, 

    Dieu se ferait à nouveau enfant sur la terre. (traduction libre)

     

     

    Dieu s’est joint à nous pour que nous ne fassions qu’un avec lui.

     

     

    David C. McCasland
    (Source :  Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Dieu est fidèle

     

     

    Dieu est fidèle

     

     

     

     

    Il maintient pour mille générations son alliance avec ceux qui obéissent à ses commandements, Il reste fidèle envers ceux qui l’aiment.” Dt 7. 9 

    Un père, qui voulait enseigner une leçon à son fils, souleva l’enfant âgé de cinq ans environ et le plaça sur le rebord d’un mur. Puis il lui dit de sauter. L’enfant, qui se trouvait à plus d’un mètre cinquante du sol, jeta un regard hésitant et apeuré sur le sol qui lui paraissait bien bas. “Allez, saute mon garçon !” s’écria le père. Le petit garçon n’était pas rassuré, même s’il faisait confiance à son père. “Allez, saute, je t’attraperai !” Enfin convaincu par la voix calme de celui-ci, l’enfant se jeta en avant vers les bras ouverts de son père, alors que l’homme faisait soudain un pas en arrière. L’enfant s’écrasa sur le sol, en état de choc et les genoux ensanglantés. Il se mit à pleurer bien entendu tandis que son père déclarait : “Tu vois mon fils, je viens de t’apprendre une leçon importante : ne fais jamais confiance à personne, pas même à moi. N’oublie pas cette leçon !”

    Dr H. Sala, qui raconte cette anecdote, ajoute : “Pas étonnant que beaucoup de gens dont le père s’est comporté de manière similaire au cours de leur enfance trouvent difficile de placer leur confiance en Dieu de peur que Celui-ci les abandonne quand ils rencontreront des difficultés !”

    Mais notre Père céleste n’agit pas ainsi. Moïse déclare qu’Il demeure fidèle en respectant les promesses qu’Il nous a faites, jusqu’à mille générations. Si une génération couvre 40 ou 50 ans, croyez-vous qu’Il manquera un jour à Ses promesses ? Soyez-en assuré, Dieu ne fera jamais un pas en arrière pour vous laisser vous écraser devant Lui quand vous aurez besoin de Ses bras pour vous soutenir. Moïse écrit ailleurs : “Le Dieu d’éternité est un refuge, sous (toi se trouvent) des bras éternels…” (
    Dt 33. 27) et David de conclure : “Le Seigneur soutient tous ceux qui sont tombés, Il remet debout tous ceux qui fléchissent” (Ps 145. 14).

     

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

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    Ronde Versets du coeur 130

     

    Ronde Versets du coeur 130

     

    Ronde Versets du coeur 130

     

    Ronde Versets du coeur 130

     

    Ronde Versets du coeur 130

     

     

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    Mesures extrêmes

     

     

    Mesures extrêmes

     

     

    Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. (V. 10) 


    Lecture proposée : Luc 19.1-10 

     

    Il y a quelques années, une amie a perdu de vue son jeune fils en traversant une marée humaine à la gare Union, à Chicago. Nul besoin de vous dire combien cela l’a terrifiée. Désespérée, elle a rebroussé chemin à la course jusqu’à l’escalier roulant en criant le nom de son petit garçon dans l’espoir de le retrouver. Ces minutes de séparation lui ont semblé durer des heures, jusqu’à ce que, soudain – et heureusement –, son fils émerge de la foule et coure se réfugier dans les bras de sa mère.

     

    Le rappel de cette amie, qui aurait fait n’importe quoi pour retrouver son enfant, me remplit d’un sentiment renouvelé de gratitude pour la merveilleuse œuvre que Dieu a accomplie afin de nous sauver. Depuis l’époque où les premières créatures à l’image de Dieu – Adam et Ève – erraient dans le péché, il a déploré la perte de sa communion avec son peuple. Il a déployé d’énormes efforts pour restaurer cette relation en envoyant son Fils unique « chercher et sauver ce qui était perdu » (LU 19.10). Sans la naissance de Jésus, et sans sa volonté de mourir pour payer le prix de nos péchés et nous réconcilier avec Dieu, nous n’aurions rien à célébrer à Noël.

     

    Père céleste, merci d’avoir envoyé Jésus réclamer des gens qui,
    comme moi, ne le méritaient pas.

     

    Ce Noël‑ci, remercions donc Dieu d’avoir pris des mesures extrêmes en envoyant Jésus restaurer notre communion avec lui. Même si nous étions jadis perdus, nous avons été retrouvés grâce à Jésus !

     

    Noël, c’est Dieu qui use de mesures extrêmes pour sauver les perdus.

     

    Joe Stowell
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

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    L’enfant au tambour

     

     

    L’enfant au tambour

     

     

     

    Lecture proposée : Luc 21.1-4 

     

    Elle a mis de son nécessaire, tout ce qu’elle avait pour vivre.  Luc 21.4

     

    L’enfant au tambour est un chant de Noël bien connu, écrit en 1941. Il se fonde sur un noël tchèque traditionnel. Bien que dans le récit de Noël de Matthieu 1 et 2 et de Luc 2 il n’y ait aucune référence à un petit tambour, la version originale du chant aborde la vraie signification de l’adoration. Elle raconte l’histoire d’un garçon que les mages invitent à aller voir l’Enfant Roi. Contrairement à eux, le petit tambour n’a aucun cadeau à lui présenter. Il lui offre donc ce qu’il a: il joue du tambour pour lui.

     

    Cela rappelle l’adoration de la veuve qui offre ses deux petites pièces à Dieu. À ce sujet, Jésus dit: «En vérité, cette pauvre veuve a mis plus que tous les autres , car c’est de leur superflu que tous ceux-là ont mis des offrandes dans le tronc, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu’elle avait pour vivre» (Lu 21.3-4).

     

    Tout ce que le petit tambour avait en sa possession était son instrument, et tous les biens de la veuve se résumaient à deux pites, mais le Dieu qu’ils adoraient était digne de leur tout. Il est également digne du nôtre, puisqu’il a tout donné pour nous.

     

     

    Votre peu est beaucoup quand vous le donnez entièrement.

     

     

    Bill Crowder
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Assurance dans les ténèbres

     

     

    Assurance dans les ténèbres

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 139.7-12 

     

    Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, la nuit brille comme le jour. Psaume 139.12

    Depuis 13 ans, notre vieille terrier blanc west-highland passe la nuit au pied de notre lit. En général, elle ne nous dérange pas et ne fait aucun bruit, mais dernièrement, elle a commencé à nous donner doucement des coups de patte durant la nuit. Au début, nous croyions qu’elle devait sortir, et nous avons tenté de l’accommoder. Nous avons cependant compris qu’elle a simplement besoin de savoir que nous sommes là. Elle est presque sourde et en partie aveugle. Elle ne voit plus dans l’obscurité et ne peut entendre notre respiration ou nos mouvements. Par conséquent, elle a peur et cherche à être rassurée. Je lui donne donc quelques petites tapes sur la tête pour lui signifier que je suis près d’elle. C’est tout ce dont elle a besoin. Elle se tourne et se retourne, s’installe et se rendort.

     

    David demande à Dieu . «Où irais-je loin de ton Esprit ?» (Ps 139.7) et en tire un immense réconfort. «Si [...] [j’allais] habiter à l’extrémité de la mer, là aussi ta main me [conduirait] [...] Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi» (v.9-12).

     

    Vous sentez-vous perdu dans les ténèbres ? Êtes-vous endeuillé, vous sentez-vous craintif, coupable, découragé, rempli de doutes ? Vous avez perdu confiance en Dieu ? Les ténèbres sont lumière pour lui; même s’il est invisible, il est près de vous. Il a dit: «Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point» (Hé 13.5). Tendez-lui la main , il est là.

     

    Les ténèbres de la peur fuient devant la lumière de Dieu.

     

    David Roper
    (Soure : TopChrétien)

     

     

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    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

    Ronde de douceurs  22

     

     

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    Le cœur de Noël

     

     

    Le cœur de Noël

     

     

     

    Lecture proposée : 1 Timothée 1.12-17 

     

    [La] grâce de notre Seigneur a surabondé, avec la foi et l'amour qui est en Jésus-Christ. 1 Timothée 1.14

     

    Le roman de Charles Dickens intitulé « Un conte de Noël» a paru le 19 décembre 1843 et n'a jamais été en rupture de stock. Il raconte l'histoire d'Ebenezer Scrooge, un homme riche, amer et mesquin qui dit que « tout idiot qui se promène par ici avec sur les lèvres un «Joyeux Noël» serait enterré avec un pieu dans le cœur » s'il n'en tenait qu'à lui. La veille d'un certain Noël, Scrooge est toutefois radicalement changé en un homme généreux et heureux. Avec beaucoup d'humour et de perspicacité, le livre de Dickens capture le désir universel de paix intérieure.

     

    Dans sa jeunesse, l'apôtre Paul s'est opposé à Jésus et à ses disciples avec un esprit vengeur. «Il ravageait l'Église, pénétrant dans les maisons, il en arrachait hommes et femmes, et les faisait jeter en prison» (Ac 8.3). Mais un jour, il a rencontré le Christ ressuscité et sa vie a pris une tout autre tournure (9.1-16).

     

    Dans une lettre envoyée à Timothée, son fils dans la foi, Paul a décrit l'événement qui a transformé sa vie en disant, même si c'était « un blasphémateur, un persécuteur, un homme violent [...] la grâce de notre Seigneur a surabondé, avec la foi et l'amour qui est en Jésus-Christ» (1 Ti 1.13,14).

     

    Jésus est né dans notre monde et a donné sa vie afin que nous puissions être pardonnés et transformés par la foi en lui.

    Voilà le cœur de Noël !

    Le changement de conduite a pour commencement
    la transformation de notre cœur par Jésus.

     

    D.C.M.
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    Histoire de Noël : L'arbrisseau et le passereau

     

     

    Histoire de Noël :

    L'arbrisseau et le passereau

     

     

     

    Cette nuit, dit le vent, il faut veiller.

    C’était en ces temps lointains où le flot argenté des rivières d’Amérique coulait encore limpide. Par un crépuscule d’hiver gris et froid, le vent s’adressa aux plantes et aux animaux qui vivaient dans une certaine contrée que limitaient deux fleuves.

     « Cette nuit, murmura-t-il, il faut veiller. Un grand événement se prépare ! Je ne saurai vous dire sa nature, ni en quel lieu il surviendra, mais un signe vous avertira. Lorsque vous le verrez, vous devrez vous réjouir et rendre grâce, car après cette nuit rien ne sera jamais plus comme avant. Veillez donc et soyez prêts. »

    Le vent s’éloigna vers les marais ambrés. L’obscurité grandit et les étoilent parurent. Tous les animaux et tous les végétaux tinrent alors conseil. La plupart étaient incrédules et certains même narquois. « Qui donc, disaient-ils, peut croire ce que souffle le vent ? » et les uns après les autres, ils s’endormirent, les cerfs et les renards, les écureuils et les ours. Même ces noctambules que sont les opossums et les ratons laveurs, gagnèrent leurs repaires. Tous les oiseaux firent silence, fermèrent les yeux et sombrèrent dans le sommeil.

    Tous sauf un petit passereau brun « Il faut bien pensait-il, que quelqu’un reste éveillé, se tienne prêt à montrer sa joie et sa reconnaissance si la merveille annoncée se produit. Je veillerai donc et j’attendrai. »

    Il se mit à la recherche d’un arbre ou d’un buisson où se percher, mais en vain. Aucun ne voulut de lui.

    « Nous supportons des individus de ton espèce tout le jour, grognaient-ils. Laisse-nous au moins nous reposer la nuit. »

    Pourtant un arbrisseau vert le pris en pitié : « Viens te percher sur l’une de mes branches, je veillerai avec toi. »

    Ainsi, dans la forêt endormie, seuls l’oiseau brun et l’arbrisseau vert demeurèrent éveillés.

    Soudain, juste avant minuit, ils virent apparaître dans le firmament un extraordinaire corps céleste, plus grand et plus brillant que la plus grosse des étoiles, dont ils contemplèrent, ébahis, la trajectoire jusqu’aux confins de l’horizon. « As-tu vu cela. Se dirent-ils l’un à l’autre. Le voilà l’événement que nous devons célébrer. »

    Alors l’oiseau se mit à chanter et l’arbrisseau fit frémir ses feuilles, exprimant ainsi leur joie et leur reconnaissance jusqu’à ce que les étoiles palissent et que le soleil se lève au loin sur l’océan.

    Alors, toutes les créatures de la forêt furent stupéfaites de découvrir que l’arbrisseau était parsemé de fleurs d’un rubis éclatant parmi ses feuilles émeraudes et que, sur la plus haute branche, perchait un oiseau de feu au plumage écarlate rutilant.

    Le vent revint alors et murmura « Sachez que ces merveilles sont la récompense de la constance, de la foi et de l’espérance. » S’adressant à l’arbrisseau il ajouta « Le vert symbolise la vie et le rouge le sacrifice, ces couleurs seront les tiennes pour l’éternité. » Puis à l’oiseau il précisa « l’écarlate représente le courage et la ténacité, tu porteras cette livrée jusqu’à la fin des temps. » 

    Et il en est toujours ainsi. Aujourd’hui nous appelons l’arbrisseau Camélia et l’oiseau Cardinal.

    A dire vrai, peu importe comment on les nomme. Ils sont ce qu’ils sont.

     

    (Source : sourcedoptimisme)

     

    Histoire de Noël : L'arbrisseau et le passereau

     

     

     

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