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    A toi

     

     

     

    A toi

     

     

     

    A toi ... !


    Toi qui sans cesse crie,


    Ta douleur jour et nuit !


    Toi qui dit :


    "Tout est mépris, et rejet dans ma vie",


    Monte dans la barque, près du bon capitaine,


    Là où l'amour détruit la haine,


    Auprès d'un Tendre Père qui t'aime.


    Il fera paraître ta justice,


    Car tu sera sa fille, son fils !


    La mer et les vents peuvent s'agiter,


    Dieu sera à tes côtés.


    Prends la vie comme une danse,


    Plonge-toi dans le fleuve de ce Dieu qui panse


    Les plaies profondes de ton coeur.


    Viens t'abreuver aux torrents de Ses délices,


    Auprès de Dieu, le grand artiste !


    Sens Son Amour profond qui jamais n'attriste,


    Rafraîchis ton âme et souris à la Vie !


    Car l'Eternel sera toujours ton véritable appui.

     

     

    Lys de Saron

     

     

     

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    Le secours me vient de l'Eternel - Psaumes 121 : 2

     

    Le secours me vient de l'Eternel - Psaumes 121 : 2

     

     

     

     

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    Ne laissez pas la blessure s'infecter

     

     

    Ne laissez pas la blessure s'infecter

     

     

     

    “Pierre vint Lui demander : Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu'il péchera contre moi ? “ Mt 18. 21

    Ce ne sont pas les conflits qui tuent les relations, mais le refus de les résoudre. Souvent un simple: “Je suis sincèrement désolé, pardonnez-moi et restons amis” suffit à apaiser la situation.

    Certaines personnes trouvent néanmoins difficile de les prononcer parce qu’elles n’acceptent jamais la responsabilité de la moindre faute. Or dans tout conflit on trouve une part de responsabilité des deux côtés. A quoi bon envenimer les choses en refusant de tendre la main le premier ?

    D’autres personnes ont grandi dans des foyers où la notion de pardon et d’oubli n’existait pas. Les conflits engendraient des dossiers soigneusement enregistrés dans la mémoire de chacun, et un jour ou l’autre, des paroles ou des actes ranimaient le conflit et ouvraient de nouvelles blessures.

    Si vous vous blessez et saignez, vous devez d’abord désinfecter la blessure, puis mettre un pansement pour permettre à la blessure de cicatriser. Plus tard le pansement doit être enlevé et jeté.

    Il en va de même pour toute blessure émotionnelle. Une fois que vous avez réglé la situation, ne revenez pas toucher la blessure. Laissez-lui le temps de cicatriser. Ne parlez plus des origines du conflit, des paroles déplacées qui ont été prononcées, des mauvaises interprétations dont vous vous êtes rendus coupables. Souvenez-vous que la confession et le pardon sont les deux remèdes prévus par Dieu pour restaurer les relations entre nous.

    La confession désinfecte la blessure, le pardon la cicatrise. Puis la cicatrisation s’achève et il est temps d’enlever le pansement. Bannissez de votre mémoire les paroles douloureuses qui ont été prononcées dans la chaleur du moment. Jetez le pansement et allez de l’avant. Sinon vous ressemblerez à cet homme qui disait à un ami : “Je voudrais tant que mon frère et sa famille viennent au mariage de ma fille.” - “Pourquoi ne viennent-ils pas ?” - “Nous ne nous parlons plus depuis des années.” - “Pourquoi ?” - “Nous nous sommes disputés violemment, il y a bien longtemps, mais j’ai oublié depuis la raison de l’altercation !”

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Ce n'est pas le bon tournevis

     

     

    Ce n'est pas le bon tournevis

     

     

     

     

    Nous ne savons pas ce qu'il faut demander comme il convient… mais nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu. Romains 8. 26-28
    Votre Père sait de quoi vous avez besoin. Matthieu 6. 8

     

    Gaston vient de casser la locomotive de son train. Son papa est très bricoleur, et toujours prêt à l'aider, il va donc tout naturellement le trouver. Mais il fait d'abord un détour par l'atelier ; là, après quelques hésitations, il choisit un beau tournevis rouge, et le présente fièrement à son papa avec le jouet cassé. Celui-ci examine le jouet, puis le tournevis, et hoche la tête : “Gaston, ce n'est pas du tout le bon tournevis, et il me faut aussi une pince”. Le père se rend alors à son atelier, choisit lui-même les outils appropriés et, en un instant, le jouet est réparé. Il le tend à l'enfant et ajoute : “La prochaine fois, Gaston, tu me laisseras choisir moi-même mes outils”.

     

    Enfants de Dieu, nous rencontrons des difficultés, et tout naturellement, nous avons recours à notre Père céleste. Mais ne nous arrive-t-il pas de faire comme Gaston ? Nous avons notre idée sur la façon dont Dieu doit agir, et sur les moyens qu'il doit utiliser. Comme ce petit garçon avec son tournevis, nous les “suggérons” à Dieu. Or, souvent, ce que nous imaginons ou proposons n'est pas “l'outil adapté” à la situation.

     

    Ayons donc la sagesse et l'humilité d'apporter simplement à Dieu notre problème. Et laissons-lui le soin de “choisir ses outils”. Les moyens dont il dispose sont illimités, variés à l'infini. Souvent, il utilise des circonstances et des moyens que nous n'aurions pas choisis ni imaginés. Mais soyons convaincus que la manière dont il agit est sage, et parfaitement adaptée au cas que nous lui avons soumis.

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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    Dieu est plus proche de vous que vous ne le pensez

     

     

     

    Dieu est plus proche de vous que vous ne le pensez

     

     

     

    "Où pourrais-je aller loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir hors de ta présence ? Si je monte au ciel tu es là, et si je descends au séjour des morts, t’y voilà ! Si j’emprunte les ailes de l’aube et que j’aille demeurer aux confins des mers, là aussi ta main me dirigera, ton bras droit me tiendra” Psaume 139.7-10.

     

    Le Dieu Éternel est là en cet instant, serré au plus près de vous, ... désirant plus que tout autre chose intervenir dans votre vie en réponse à votre foi.

     

    Dieu ne se déplace pas. Il n’a pas besoin de voyager pour s’approcher de ses créatures. Et rien ne le distance. Il est dans l’infiniment grand comme dans l’infiniment petit ; aux confins de l’univers comme entre chaque atome de matière. Dieu n’est ni trop occupé pour célébrer la naissance d’une seule étoile parmi les milliards de galaxies de l’univers, ni trop occupé pour bénir un minuscule fœtus dans le secret du ventre maternel. Et Dieu n’est pas plus au ciel qu’en enfer. Il est. En quantité infinie. Partout.

     

    Pas davantage plus présent ou plus puissant dans le ciel, Il est parfaitement Dieu en tout lieu. Il est là tout simplement. Il ne peut pas être plus près. Savez-vous que le mot "près" provient du latin "serré" ? …Dieu est serré contre vous en tout lieu. Et il n’existe pas d’endroit, de quartier, de rue, de ligne de métro ou d’heure de la nuit qui puisse occulter sa personne.

     

    Nul argument, oppression ou inquiétude, aucun mal, péché ou problème ne possède le pouvoir d’amoindrir sa présence. Dieu est Dieu, en tout lieu et en tout temps. Il est pleinement saint, bon et fidèle partout et continuellement. Devant lui, toute vanité semble aussi frêle qu’une bulle de savon. C’est ce que le prophète Ésaïe a déclaré : "Les grands empires de ce monde se tiennent comme une bulle de savon devant lui" (Esaïe 40.17).

     

    Alors peu importe où vous vous trouvez. Peu importe qui vous êtes et l’état de votre vie. Peu importe ce que vous ressentez. Le Dieu Éternel est là en cet instant, serré au plus près de vous, respectant votre volonté, mais désirant plus que tout autre chose intervenir dans votre vie en réponse à votre foi.

     

    Une action pour aujourd’hui :
    Dieu, en tant que Père aime interagir avec ses enfants. Ce qu’il vous faut seulement, c’est le réaliser, c’est le croire. Confiez-lui aujourd’hui "les clés" de votre vie. Ouvrez sans réserve votre main à celle qu’il vous tend : vous verrez, vous sentirez, vous goûterez combien il est fidèle dans son amour.

     

     

     

    Christian Robichaud
    (Source : TopChrétien)

     

     

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    Jetez l'ancre

     

     

     

    Jetez l'ancre 

     

     

     

    En toi, Éternel ! j'ai mis ma confiance… Tu es mon rocher et mon lieu fort. Psaume 71. 1, 3
    Dieu est le rocher de mon cœur. Psaume 73. 26
     

     

    L'art de la navigation a fait de grands progrès depuis nos lointains ancêtres qui ont lancé le premier radeau sur la mer. Toutes les parties des navires et de leurs agrès ont subi des innovations continuelles. Une pièce, pourtant, a peu changé : c'est l'ancre. Elle plonge dans l'invisible pour y chercher le sol ferme et s'y fixer solidement. Le bateau peut être secoué : si le câble est solide et l'ancre bien fixée, aucune tempête ne l'emportera…

     

    Où que vous soyez, dans la force de l'âge ou sur le déclin de la vie, jetez l'ancre de votre espérance vers ce rocher toujours accessible: Jésus Christ, le Fils de Dieu! Le câble représente les promesses divines qui nous lient à Christ, le rocher sûr et inébranlable, quelle que soit notre situation.

     

    Quel encouragement pour tous ceux qui, par la foi, ont saisi ces promesses et l'espérance “que nous avons comme une ancre de l'âme, sûre et ferme” (Hébreux 6. 18, 19), celle d'être bientôt pour toujours avec lui dans le ciel.

     

     

     

    À mes pieds l'océan gronde,

     

    Le vent siffle autour de moi,

     

    Sur Christ, mon rocher, se fonde

     

    Mon espérance et ma foi.

     

    Au milieu de la tourmente,

     

    Cet abri, l'as-tu trouvé?

     

    Ah! saisis la main puissante

     

    De Jésus qui m'a sauvé.

     

     

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

     

     

     

     

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    Ronde Versets du coeur 174

     

    Ronde Versets du coeur 174

     

     

     

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    Visualisez la récompense

     

     

    Visualisez la récompense

     

     

     

    "Avez-vous vu Goliath s'avancer contre nous ? dit l'un d'eux. Il vient encore insulter Israël. Celui qui le tuera, recevra de grandes richesses de la part du roi qui lui donnera en plus sa propre fille en mariage et exonérera toute sa famille d'impôts. David demanda aux hommes qui se tenaient autour de lui : qu'est-ce que l'on donnera à celui qui abattra ce Philistin et qui lavera le peuple d'Israël de la honte qui lui est infligée ? (…) On répéta à David ce qui était promis comme récompense à celui qui tuerait le géant" 1 Samuel 17.25-27

     

    Alors que les soldats sont terrifiés devant Goliath, David ne fait aucun cas de la stature du géant. Dès qu’il arrive sur le front et qu’il voit ce colosse insulter l’armée d’Israël, la première chose qu’il demande est : "Qu’est-ce que l’on donnera à celui qui abattra ce Philistin ?". Les combattants hébreux lui énumérèrent les récompenses : le vainqueur aura le droit d’épouser la fille du roi (par conséquent de devenir membre de la famille royale). De plus, il lui sera versé beaucoup d’argent et il bénéficiera d’une exonération d’impôt.

     

    L’armée a vu Goliath, David a vu Dieu !

     

    David accepta le défi ! Le jeune berger se projeta certainement et vit la gloire du Seigneur être révélée, une nation être sauvée, ses frères être mis en sûreté, la main de la fille du roi lui être accordée, de l’argent lui être versé avec en prime une exonération d’impôts… Il dût se dire : "Ok, j’accepte la mission, j’aime cette récompense !"

     

    La plupart des gens voient les obstacles ; peu d’entre eux voient les objectifs, le gain. C’est précisément là que réside la différence entre une personne qui porte du fruit et celle qui n’en porte pas. La première voit l’impact et la rétribution de sa prise de risque et y va… La deuxième estime que la menace est trop élevée, a peur de se lancer et se cache derrière des excuses.

     

    Que voyez-vous ? L’armée a vu Goliath, David a vu Dieu ! L’armée a vu le problème, David a vu ce qu’il pouvait faire pour le résoudre ! On ne peut juger d’une situation sur la base de ce que l’on voit. Ce que l’on voit est réel, mais ce n’est pas la réalité ultime.

     

    Lorsque nous avons fait l’agrandissement de l’Église Momentum, nous avons pris le parking de derrière pour en faire notre extension. Sur le moment, un grand mur de 10 mètres de haut se dressait devant nous. Cependant, même si ce rempart était incontestablement vrai, ce n’était pas la réalité finale. Aujourd’hui, la paroi a été abattue, et là où il avait des voitures en stationnement, il y a désormais des âmes qui louent Jésus.

     

    Derrière chaque Goliath, chaque cloison, chaque montagne, chaque situation visible, il y a un Dieu tout puissant, débordant d’amour. Cette réalité-là, nous ne devons jamais l’oublier.

     

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, je crois que derrière mon géant, il y a la récompense. Alors je ne reculerai pas et j’avancerai avec ta grâce.

     

     

    Patrice Martorano

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Je veux mourir (1) Moïse

     

     

    Moïse dit à l'Éternel:… Je ne peux, moi seul, porter tout ce peuple, car il est trop pesant pour moi… Tue-moi donc… et que je ne voie pas mon malheur. Nombres 11. 11-15
    Tu t'es approché au jour que je t'ai invoqué; tu as dit: Ne crains pas. Lamentations de Jérémie 3. 57

     

    Dieu a chargé Moïse de conduire son peuple hors d'Égypte, jusqu'au pays qu'il a promis de lui donner. Délivré de l'esclavage, le peuple a traversé la mer Rouge, et maintenant le désert est devant eux…

     

    Ils sont très nombreux (600 000 hommes, sans compter les femmes et les enfants) et continuellement prêts à se plaindre. La manne, cette nourriture que Dieu leur envoie du ciel chaque jour, ne leur suffit plus et ils en arrivent à regretter le temps où ils étaient esclaves!

     

    Moïse est à bout, il adresse à Dieu des paroles amères, et conclut: “Tue-moi donc”.

     

    Dieu ne lui fait aucun reproche, il comprend sa détresse et allège sa charge en désignant 70 hommes pour l'aider. Mais il n'exauce pas la requête excessive de son serviteur découragé. Car il a prévu pour Moïse une fin bien meilleure. Le moment venu, il lui fera contempler toute l'étendue du pays promis en sa compagnie, du haut d'une montagne. Puis il le prendra dans le ciel, en ayant soin d'enterrer lui-même son corps (Deutéronome 34).

     

    Nous sentons-nous comme Moïse? Nous avons l'impression que nous ne pouvons plus faire face à la charge de travail trop lourde, aux difficultés familiales, aux problèmes dans l'église… Comme Moïse, nous sommes à bout et nous préférerions tout abandonner. Ne baissons pas les bras; notre Dieu est “plein de compassion et miséricordieux” (Jacques 5. 11), et il veut nous aider à porter les fardeaux qui nous pèsent.

     

     

     

     

     

    Je veux mourir (2) Elie

     

     

    Élie demanda la mort pour son âme, et dit:… Éternel, prends mon âme…; les fils d'Israël ont abandonné ton alliance… et je suis resté, moi seul… L'Éternel lui dit: Mais je me suis réservé en Israël 7000 hommes, tous les genoux qui n'ont pas fléchi devant Baal. 1 Rois 19. 4, 14, 18

     

    Élie, le prophète de l'Éternel, vient de tenir tête à des centaines de faux prophètes, démontrant de façon spectaculaire que l'Éternel est le seul vrai Dieu (1 Rois 18). Alors Jézabel, la reine idolâtre, le menace de mort, et il s'enfuit pour sauver sa vie. Élie marche longtemps, puis s'assied sous un genêt. Pensant qu'il est seul au milieu d'un peuple désobéissant à Dieu, il a perdu tout courage. Déçu des autres et déçu de lui-même, il se dit: “À quoi bon continuer? Mieux vaut mourir…”

     

    Mais Dieu a un autre projet pour son serviteur. Non, Élie ne mourra pas misérablement sous un genêt! Un char et des chevaux de feu iront bientôt l'emmener au ciel sans qu'il passe par la mort (2 Rois 2. 11)!

     

    Un ange le réveille et le nourrit, jusqu'à ce qu'il arrive à Horeb, “la montagne de Dieu”. Là, Dieu lui parle “d'une voix douce et subtile” qui lui va droit au cœur. Et il apprend qu'il est bien loin d'être le seul fidèle.

     

    L'expérience d'Élie peut aussi être celle d'un chrétien. Après une victoire morale, remportée avec l'aide de Dieu, la foi se relâche. Et, sous la pression des circonstances, au lieu de compter sur le Seigneur, on se replie sur soi. On se croit seul… Écoutons alors avec attention la voix pleine de grâce du Seigneur. Sachons que nous ne sommes pas seuls à combattre (1 Pierre 5. 9). Et souvenons-nous que le Seigneur peut venir d'un moment à l'autre nous enlever avec lui au ciel, sans que nous passions par la mort, comme il l'a fait pour Élie (1 Thessaloniciens 4. 17).

     

     

     

     

     

    Je veux mourir (3) Job

     

     

    (Job a dit:) Pourquoi… n'ai-je pas expiré quand je sortis du ventre?… Pourquoi la lumière est-elle donnée au misérable, et la vie à ceux qui ont l'amertume dans l'âme, à ceux qui attendent la mort, et elle n'est pas là? Job 3. 11, 20, 21
    Dieu a délivré mon âme… et ma vie verra la lumière. Job 33. 28

     

    Job est riche et comblé. Il est aussi “parfait et droit, craignant Dieu et se retirant du mal” (Job 1. 1). Mais de terribles épreuves permises par Dieu vont l'atteindre. Il perd en un jour tous ses biens et ses dix enfants. Puis il est atteint d'un ulcère qui le ronge des pieds à la tête. Pendant tout ce temps Job ne se rebelle pas contre Dieu, même quand sa femme l'incite à le faire. Mais la douleur est là, ses amis cherchent à l'aider sans pouvoir le soulager, et il finit par craquer! Il sort de son silence, maudit le jour de sa naissance et désire mourir. Bien des “pourquoi?” s'échappent de ses lèvres…

     

    Dieu est-il injuste? Permet-il ces épreuves sans avoir un but? Non, il aime Job et veut lui apprendre une leçon importante. Après de longs débats intérieurs, Job va comprendre la distance qu'il y a entre la majesté et la puissance de son Dieu et sa propre personne. Il s'écrie enfin: “Mon œil t'a vu: c'est pourquoi j'ai horreur de moi et je me repens” (Job 42. 5, 6). Une fois la leçon apprise, Job est guéri et Dieu le bénit abondamment.

     

    Chrétiens, quand notre vie s'écoule sans histoire, nous risquons de penser que Dieu nous bénit à cause de nos qualités. Nous pouvons oublier que nous lui devons tout. Alors il nous oblige par des difficultés à repenser notre vie, pour nous faire découvrir tout ce qui, dans notre cœur, n'est pas en accord avec lui. Mais il nous montre aussi la grandeur de sa gloire et de sa grâce. Cela est douloureux, mais soyons certains qu'il veut toujours nous faire du bien à la fin (Jacques 5. 11).

     

     

     

     

    Je veux mourir (4) Jonas

     

     

    Dieu vit… qu'ils revenaient de leur mauvaise voie; et Dieu se repentit du mal qu'il avait parlé de leur faire, et il ne le fit pas. Mais Jonas trouva cela très mauvais, et il fut irrité. Et il pria l'Éternel:… Prends-moi ma vie, car mieux me vaut la mort que la vie. Et l'Éternel dit: Fais-tu bien de t'irriter? Jonas 3. 10; 4. 1-4

     

    Dieu a chargé son prophète Jonas d'aller avertir les habitants de Ninive du jugement imminent qui les menace. Malgré son désaccord, Jonas finit par délivrer son message. Les habitants de Ninive prennent conscience de leurs fautes, ils se repentent; Dieu leur pardonne et le jugement prévu est annulé.

     

    Mais Jonas est blessé dans son orgueil: ce qu'il a annoncé ne se produit pas. Vexé, il reproche à Dieu sa miséricorde, et demande à mourir… “Fais-tu bien de t'irriter?” lui répond Dieu avec patience. Plus soucieux de sa réputation de prophète que de la gloire du Dieu patient dont il est le porte-parole, Jonas éprouve du dépit. Dieu est miséricordieux et lent à la colère, Jonas le sait bien, mais il ne partage nullement ses sentiments!

     

    Peu après, Jonas est encore mécontent: une plante qui lui avait procuré de l'ombre vient de sécher, rongée par un ver: il a trop chaud. Il demande à nouveau la mort. Et Dieu lui répond en lui posant la même question. De fait, Jonas n'a pas appris la leçon. Il s'émeut davantage du sort de sa plante que de celui des habitants de Ninive. Dieu lui parle alors de la pitié qu'il ressent pour la population de cette ville, en particulier pour ses nombreux enfants, et même pour son bétail. L'histoire de Jonas nous avertit: l'orgueil ou l'égoïsme peuvent nous amener à des réactions démesurées, bien peu en accord avec la grâce et la patience divine. Efforçons-nous de mieux partager la compassion de notre Dieu “qui veut que tous les hommes soient sauvés” (1 Timothée 2. 4).

     

     

     

     

    Je ne voulais pas naître (5) Jérémie

     

     

    Maudit le jour où je suis né ! … Pourquoi suis-je sorti du ventre, pour voir le trouble et l'affliction, et pour que mes jours se consument dans l'opprobre ? Jérémie 20. 14, 18

    Dans la multitude des pensées qui étaient au dedans de moi, tes consolations ont fait les délices de mon âme. Psaume 94. 19

     

    Jérémie est un prophète envoyé par Dieu, à une époque bien sombre de l'histoire d'Israël. L'état moral du peuple est très triste, et l'exécution du jugement, inévitable. Sa mission est difficile, car il doit annoncer des messages solennels. Mais il s'en acquitte fidèlement malgré l'opposition qu'il rencontre. Jérémie aime son peuple, et il souffre d'autant plus que le peuple méprise ses appels, en s'éloignant toujours plus de Dieu.

     

    Son état d'esprit contraste avec celui de Jonas autrefois, contrarié que le jugement qu'il avait annoncé ne s'exécute pas.

     

    Jérémie est un homme proche de Dieu, fidèle, et il souffre parce qu'il fait le bien. Mais, perdant de vue un moment le Dieu qu'il sert, il se laisse submerger par la douleur. Tout devient sombre, et il en vient à regretter d'être né… Sous le poids des circonstances, les regards de cet homme de foi se détournent un moment de son Dieu. Il se décourage. Mais Dieu va relever son serviteur et lui donner les forces nécessaires pour accomplir sa tâche jusqu'au bout.

     

    Il est très encourageant pour nous que la Bible nous raconte la vie de ces croyants d'autrefois, sans cacher les épisodes les plus douloureux. En effet, Dieu ne les a pas condamnés, au contraire. Il leur a chaque fois insufflé une énergie nouvelle pour avancer. Chrétiens, si nous traversons de tels moments, si des pensées négatives nous envahissent, souvenons-nous que notre Dieu est toujours le même. Il nous a payés trop cher pour nous abandonner en chemin !

     

     

     

     

     

    J'ai le désir de partir (6) Paul

     

     

     

    Lecture proposée : Philippiens 1

     

    Pour moi, vivre, c'est Christ, et mourir, un gain… J'ai le désir de partir et d'être avec Christ, car c'est, de beaucoup, meilleur ; mais il est plus nécessaire à cause de vous que je demeure… pour votre progrès et la joie de votre foi. Philippiens 1. 21-25

     

    L'apôtre Paul a servi Jésus Christ, son Seigneur et Maître, avec dévouement ; il s'est dépensé sans compter pour les chrétiens. Mais il constate avec tristesse que “tous cherchent leurs propres intérêts” (Philippiens 2. 21). Alors, du fond de sa prison romaine, malgré son âge et ses chaînes, il écrit à ces chrétiens de la ville de Philippes : “J'aurai encore sujet de me réjouir… Christ sera glorifié dans mon corps, soit par la vie, soit par la mort. Car pour moi, vivre, c'est Christ, et mourir, un gain” (Philippiens 1. 18, 20, 21).

     

    Quelles sont ses motivations ? Cherche-t-il à échapper aux souffrances ? Est-il déçu par les croyants, ou blessé dans son amour-propre et découragé d'être relégué au fond d'une prison ? Se croit-il seul fidèle, et est-il prêt à “baisser les bras” ? Ou regrette-t-il d'être né ? Pas du tout ! Sa lettre respire la joie et la paix. Avec insistance, il invite ses lecteurs à se réjouir “toujours dans le Seigneur”. Paul sait que la mort l'amènera dans la compagnie de son Sauveur bien-aimé. “Être avec Christ”, voilà ce qu'il désire. Mais il ne demande pas à mourir. “Ce que je dois choisir, je n'en sais rien. Je suis pressé des deux côtés” (v. 22, 23). Car il ne pense pas à lui-même, mais aux autres. Il sait qu'il peut encore être utile aux chrétiens.

     

    Que notre Dieu nous accorde d'avoir les mêmes motivations que Paul. Il avait une seule raison de vivre, qu'il résume ainsi : “Pour moi, vivre, c'est Christ”. Et, pour Christ, il vaut la peine de tout supporter.

     

     

     

     

    (Source : Labonnesemence.com)

     

     

     

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    Tu es mon asile et mon bouclier - Psaumes 119 : 114

     

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    La prière que tu m'as adressée

     

     

     

    La prière que tu m'as adressée

     

     

     

    Lecture proposée : Ésaïe 37.9-22,33 

     

    Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Philippiens 4.6

     

    Comment gérez-vous vos inquiétudes ? Les tournez-vous vers l’intérieur ou vers le ciel ?
    Lorsque Sanchérib, roi brutal d’Assyrie, s’apprêtait à détruire Jérusalem, il a envoyé un message au roi Ézéchias pour lui dire que Juda ne ferait pas exception aux autres nations qu’il avait conquises.
    Ézéchias a apporté ce message au Temple de Jérusalem, où il le «déploya devant l’Éternel» (Es 37.14). Puis il a prié pour demander l’aide du Tout-Puissant.

     

    Peu après, le prophète Ésaïe a livré ce message à Ézéchias de la part du Seigneur: «J’ai entendu la prière que tu m’as adressée au sujet de Sanchérib [...]Voici la parole que l’Éternel a prononcée» (És 37.21-22). La Bible nous fait savoir que la prière d’Ézéchias a été exaucée le soir même, car l’armée assyrienne «n’y lança point de traits» (v. 33). Sanchérib allait quitter Jérusalem sans jamais y retourner.

     

    Quelques mots tirés du message de Dieu à Ézéchias - «la prière que tu m’as adressée» - suffisent à nous indiquer quelle est la meilleure chose à faire de nos inquiétudes. Comme Ézéchias s’est tourné vers Dieu, celui-ci les a secourus, lui et son peuple. Le fait de transformer nos inquiétudes en prières nous permet de découvrir que Dieu manifeste sa fidélité de façon inattendue !

     

     

     

    La prière fait bouger la main qui fait bouger le monde. E.M. Bounds

     

     

     

    James Banks
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    La prière que tu m'as adressée

     

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