• Ne laissez pas la blessure s'infecter

     

    Ne laissez pas la blessure s'infecter

     

     

    Ne laissez pas la blessure s'infecter

     

     

     

    “Pierre vint Lui demander : Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu'il péchera contre moi ? “ Mt 18. 21

    Ce ne sont pas les conflits qui tuent les relations, mais le refus de les résoudre. Souvent un simple: “Je suis sincèrement désolé, pardonnez-moi et restons amis” suffit à apaiser la situation.

    Certaines personnes trouvent néanmoins difficile de les prononcer parce qu’elles n’acceptent jamais la responsabilité de la moindre faute. Or dans tout conflit on trouve une part de responsabilité des deux côtés. A quoi bon envenimer les choses en refusant de tendre la main le premier ?

    D’autres personnes ont grandi dans des foyers où la notion de pardon et d’oubli n’existait pas. Les conflits engendraient des dossiers soigneusement enregistrés dans la mémoire de chacun, et un jour ou l’autre, des paroles ou des actes ranimaient le conflit et ouvraient de nouvelles blessures.

    Si vous vous blessez et saignez, vous devez d’abord désinfecter la blessure, puis mettre un pansement pour permettre à la blessure de cicatriser. Plus tard le pansement doit être enlevé et jeté.

    Il en va de même pour toute blessure émotionnelle. Une fois que vous avez réglé la situation, ne revenez pas toucher la blessure. Laissez-lui le temps de cicatriser. Ne parlez plus des origines du conflit, des paroles déplacées qui ont été prononcées, des mauvaises interprétations dont vous vous êtes rendus coupables. Souvenez-vous que la confession et le pardon sont les deux remèdes prévus par Dieu pour restaurer les relations entre nous.

    La confession désinfecte la blessure, le pardon la cicatrise. Puis la cicatrisation s’achève et il est temps d’enlever le pansement. Bannissez de votre mémoire les paroles douloureuses qui ont été prononcées dans la chaleur du moment. Jetez le pansement et allez de l’avant. Sinon vous ressemblerez à cet homme qui disait à un ami : “Je voudrais tant que mon frère et sa famille viennent au mariage de ma fille.” - “Pourquoi ne viennent-ils pas ?” - “Nous ne nous parlons plus depuis des années.” - “Pourquoi ?” - “Nous nous sommes disputés violemment, il y a bien longtemps, mais j’ai oublié depuis la raison de l’altercation !”

     

     

    Bob Gass

     

     

     

    * ACCUEIL *

     

    « Ce n'est pas le bon tournevisLe secours me vient de l'Eternel - Psaume 121 : 2 »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :