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    Reprogrammez votre cerveau

     

     

     

    Reprogrammez votre cerveau

     

     

     

     

    « Vous êtes des êtres nouveaux que Dieu, notre Créateur, renouvelle continuellement à son image » Col 3.10, BFC

     

    Le changement durable vient progressivement de l’intérieur, souvent bien avant de se manifester au grand jour.

     

    Un pasteur raconte : « Un de mes amis s’est récemment fait opérer de la hanche… l’articulation était si mal en point qu’il boitait et devait se servir d’une canne. Grâce aux progrès de la chirurgie moderne, il a vite été remis sur pied. Pourtant, des mois après l’opération, il continuait de boiter…Ce matin je l’ai croisé et il marchait normalement. Étonné, je le félicite pour sa parfaite démarche et je lui demande ce qui a bien pu se passer pour que son handicap disparaisse du jour au lendemain. Sa réponse m’a bien fait rire : “Mon kiné m’a dit de reprogrammer mon cerveau.” Son cerveau avait été entraîné à s’attendre à la douleur, alors il boitait par anticipation. Même s’il n’avait plus mal, sa tête lui disait : “Attends un peu, ça va venir !”

     

    La Bible dit : “Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici : toutes choses sont devenues nouvelles” (2Co 5.17). Mais vous devez changer d’état d’esprit, croire, accepter et agir en fonction. Christ a déjà fait “l’intervention chirurgicale” pour vous restaurer. Tout comme mon ami a bénéficié d’une hanche neuve, Dieu vous a donné une vie nouvelle. L’ancienne s’en est allée avec tout le mal que vous avez pensé, dit ou fait. Vous êtes une toute nouvelle création. Mais il vous faut entraîner vos pensées à accepter le pardon de Dieu et le travail de restauration que Jésus a fait dans votre vie. » Alors reprogrammez votre cerveau.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Ce que Dieu veut vraiment de vous

     

     

     

    Ce que Dieu veut vraiment de vous

     

     

    "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes." Matthieu 11.28-29

    La clé de ce repos se trouve au verset 29, qui nous dit de prendre son joug sur nous. Prendre son joug, c’est demander à Dieu de nous aider, puis agir selon ce qu’il nous aura montré. Nous soumettons notre volonté à Dieu, nous la conformons à la sienne et lui obéissons.


    Si vous n’avez pas tout donné à Dieu, faites-le aujourd’hui

     
    J’ai découvert que nos problèmes proviennent généralement de notre refus d’accepter des situations contre lesquelles nous sommes impuissants. Laissez-moi vous donner un exemple : pendant les premières années de notre mariage, j’étais quelqu’un de difficile à vivre, du fait d’abus subis dans mon enfance. Quand les choses ne se passaient pas comme je voulais, je me mettais en colère… et pouvais le rester très longtemps.

    Je passais mon temps à penser à ce que Dave faisait qui me déplaisait, à ce que j’aurais aimé qu’il fasse, et aux changements que je souhaitais voir dans son comportement. Et aussi longtemps que j’essayais de changer Dave, mon âme n’était pas en paix. Or Dave est un homme de Dieu merveilleux, et exactement le mari qu’il me faut. Ce fut une grande révélation pour moi lorsque je compris que mon attitude me rendait malheureuse, alors qu’en réalité, Dieu m’avait donné précisément ce dont j’avais besoin. Et c’est alors que j’acceptai la volonté de Dieu pour mon mariage.

    Lorsque nous fermons un domaine de notre vie à Christ au lieu de nous soumettre entièrement à lui, c’est un peu comme si nous "sortions avec Dieu" au lieu de l’épouser. Quand je sortais avec Dave, j’étais libre de faire ce que je voulais, d’aller et venir à ma guise et de dépenser mon argent quand j’en avais envie. Mais une fois mariée, je ne pouvais plus faire tout ce que je voulais, quand je voulais et comme je voulais, parce qu’il y avait quelqu’un d’autre dans ma vie. Ma volonté ne m’appartenait plus exclusivement.

    Lorsque vous êtes marié à Jésus, vous ne vous appartenez plus – il vous a acquis à grand prix, racheté par son sang, et vous êtes désormais à lui (1 Corinthiens 6.19-20). Quand vous demeurez en Christ, vous ne pouvez pas mener votre vie comme vous l’entendez. Dieu veut que vous lui donniez tout ce que vous avez et tout ce que vous êtes. Il veut que vous dépendiez entièrement de lui pour qu’il puisse vous donner tout ce qu’il est et tout ce qu’il tient en réserve pour vous.

     

    Dans 2 Corinthiens 5.17-21. J’appelle cela "le grand échange" :

    - Je donne mon péché à Jésus, et il me donne sa justice.

    - Je lui donne ma vie brisée et cabossée, et il me donne sa beauté.

    - Je lui donne ma désespérance, et il me donne son espérance.

    - Je lui donne ma tristesse, et il me donne sa joie.

    - Je lui donne mon agitation intérieure et mon ancienne façon de vivre, et il me donne une nouvelle nature – la sienne – et sa paix. 

     

    Que pourrait-il exister de meilleur ?

     

    Une action pour aujourd'hui :

    Si vous n’avez pas tout donné à Dieu, faites-le aujourd’hui. Dites-lui : "Seigneur, je t’aime et j’ai confiance en toi. Je ne veux plus te résister ou m’opposer à ta volonté pour ma vie. Je suis convaincu que tu changeras ce qui a besoin de l’être. Au lieu d’essayer de changer tout et tout le monde, je veux coopérer avec toi et te laisser me changer." 

     

     

     

    Joyce Meyer

     

     

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    La bulle éclate

     

     

     

    La bulle éclate

     

     

     

    Lecture proposée : 2 Corinthiens 4.7-18 

     

     [Nous] regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles  2 Corinthiens 4.18

     

    En passant à côté de nous sur la promenade de bois d’Atlantic City, un jeune garçon nous a arrosés de bulles. Mon mari, Cari, et moi étions venus dans cette ville pour rendre visite à notre beau-frère hospitalisé et pour conduire la sœur de Cari chez le médecin lorsque nécessaire. En marchant le long de la côte ce jour-là, nous nous sentions un peu dépassés par les besoins de notre famille.

    C’est alors que les bulles ont surgi.Ce n’étaient que les bulles d’un petit garçon que la brise de l’océan avait fait éclater sur nous, mais qui revêtaient un sens particulier pour nous. J’aime beaucoup les bulles, si bien que je garde toujours une bouteille dans mon bureau pour en faire chaque fois que j’ai besoin du sourire qu’elles me procurent en éclatant. En fait, ces bulles et le vaste océan Atlantique me rappellent ce sur quoi je peux compter: Dieu est toujours là, à mes côtés. Il est puissant. Il s’intéresse constamment à nous. Et il peut même se servir des moindres expériences et instants pour nous aider à ne pas oublier que sa présence est comme un océan de grâce au cœur de nos moments de lourdeur.

     

    Il se peut qu’un jour, à la lumière de l’éternité, nos problèmes ressemblent à des bulles éphémères, car «les choses visibles sont passagères, et les choses invisibles sont éternelles» (2 Co 4.18).

     

     

    Anne Cetas
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Dieu est votre source

     

     

     

    Dieu est votre source

     

     

     

    "Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment pas et ne moissonnent pas, ils n’amassent rien dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter un instant à la durée de sa vie?" Matthieu 6.26-27.

     

    S'inquiéter, c’est miser sur un problème qui n’arrivera peut-être jamais. Considérez les oiseaux, ils ne s’angoissent pas, ils ont en eux cette foi incroyable qu’ils mangeront à leur faim. Quel exemple inspirant ils sont pour nous. Désirez-vous être débarrassé de la peur de manquer ? Ayez confiance dans le Seigneur.

     

    Votre source est en Dieu, et en lui seul.

     

    Si votre travail disparaissait, réalisez que vous n'avez pas perdu votre source mais le canal par lequel Dieu vous bénissait. C’est pourquoi n’ayez pas peur, votre puits de bénédictions est toujours ouvert et Dieu pourvoira différemment à vos besoins.

    Si votre entreprise est sur le point de mourir, Jésus est toujours vivant ! Votre source est en Dieu, et en lui seul.

    Même si votre société tombe en faillite, l’or et l’argent appartiennent toujours à l’Éternel. Votre source financière n’est pas liée à un homme, à une entreprise, à la bourse ou à un état terrestre, mais à Dieu.

    La Bible déclare que vous êtes un ambassadeur du Ciel sur cette terre. D’où provient le soutien de cet émissaire ? Du pays où il se trouve ou bien du pays qui l’envoie ? Si aujourd’hui, vous êtes dans un lieu où la pénurie fait rage, restez confiant car le Royaume de Dieu n’est pas en crise. Vous êtes citoyen du Ciel et les yeux du Très-Haut sont sur vous.

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, aujourd’hui je laisse tomber mes inquiétudes et je te fais confiance. Ouvre les écluses du Ciel sur ma vie, amen.

     

     

     

    Patrice Martorano
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Tes consolations réjouissent mon âme - Psaumes 94 : 19

     

    Tes consolations réjouissent mon âme - Psaumes 94 : 19

     

     

     

     

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    Le chrétien dans la vallée

     

     

    Le chrétien dans la vallée

     

     

    PSAUME 23

    Là où il y a des montagnes, il y a aussi des vallées; c’est ainsi que le monde est fait. Il en est de même dans la vie spirituelle. Pour arriver à l’endroit où le Seigneur nous mène, nous devons parfois marcher « dans la vallée de l’ombre de la mort » (Ps 23.4).

    Il est merveilleux de nous reposer sur le sommet de la montagne, où nous nous sentons près de Dieu et nous sommes conscients de son amour. Cependant, nous n’y parvenons qu’en traversant la vallée, où nous découvrons son caractère, la véracité de ses promesses et nos faiblesses. Nous ne voyons certains aspects du Seigneur que durant les moments sombres.

    Jésus est un berger jaloux. Il veut que ses disciples dépendent de lui. Il nous amène dans la vallée pour nous ôter toute béquille sur laquelle nous nous appuyons au lieu de lui faire confiance, car là, elle nous semble inutile. Alors, nous reconnaissons si notre foi, notre courage et notre sagesse nous viennent de Dieu ou non.

    Même si les chrétiens doivent tous parcourir des vallées, Dieu les y réconforte. Le verset 5 mentionne la satisfaction de besoins, y compris celui d’être consolé. Le tendre berger répand de l’huile sur la tête de l’animal. Dieu nous promet son assurance, sa guérison et sa protection, même dans l’affliction.

    Parce qu’ils ont appris à vivre par la foi dans la vallée, les chrétiens peuvent crier : « J’ai confiance en Dieu! » du haut de la montagne. Il est difficile et terrifiant de marcher dans la vallée de l’ombre, mais quand nous permettons à Dieu de nous enseigner ce que nous devons y apprendre, il calme notre esprit et fortifie notre foi.

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

    Le chrétien dans la vallée

     

     

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    Il est El-Shaddaï !

     

     

     

    Il est El-Shaddaï !

     

     

     

    Alors qu’Abram avait quatre-vingt-dix-neuf ans, le Seigneur apparut à Abram et lui dit : Je suis le Dieu-Puissant (“El Shaddaï”)…”Gn 17. 1

     

    Dieu se présente plusieurs fois dans l’Ancien Testament sous le nom d’El Shaddaï, traduit le plus souvent par Dieu Tout-Puissant, la première fois devant Abraham alors âgé de 99 ans.

     

    “El” signifie puissant et fort. Dieu détient la force pour dévorer Ses ennemis et protéger les Siens. “Shaddaï” vient d’un mot hébreu shad, qui veut dire “sein” et rappelle une mère qui nourrit au sein son nouveau-né et le protège avec tendresse.

     

    Parfois nous avons besoin de la force du Tout-Puissant pour nous délivrer du danger et des attaques de l’ennemi, ce lion qui tourne autour de nous et cherche à nous dévorer. A d’autres moments, nous avons besoin de Sa tendresse pour nous protéger, nous cacher à l’ombre de Ses ailes, nous réconforter quand les soucis nous accablent.

     

    Abraham avait d’abord entendu la voix de Dieu l’inviter à partir du lieu où son père s’était arrêté pour aller s’installer dans un nouveau pays. Puis Dieu était venu en personne lui faire une promesse selon laquelle il donnerait le jour à un enfant qui hériterait de la promesse divine et serait à l’origine d’une nation bénie par Lui, Dieu. Enfin Il revient lui rendre visite et se présente alors sous ce nom énigmatique comme pour lui dire : “Je t’ai fait une promesse il y a quelques années. Je suis Tout-Puissant et Je peux facilement accomplir ce que J’ai décidé auparavant. Mais Je suis aussi Celui qui peut te nourrir et te bénir, te rendre riche et faire de toi le père d’un grand peuple. Mais tu dois Me faire confiance…” Ne soyez pas aussi impatient qu’Abraham quand vous recevez une promesse de Dieu !

     

    Si la promesse tarde à s’accomplir, appuyez-vous sur Celui qui peut et veut vous conforter, vous bénir, pourvoir à tous vos besoins, le tout avec tendresse et compassion. Réfléchissez aux moments de votre vie où Il est intervenu dans vos circonstances pour vous délivrer des dangers grâce au pouvoir de Ses mains, où Il a été un refuge, un havre de paix quand vous traversiez votre désert. Il vous a nourri et désaltéré au travers de la solitude, car c’est dans Sa nature de bénir les Siens !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Ne vous inquiétez pas (1 à 3)

     

     

    Ne vous inquiétez pas (1)

     

     

    “Qui de vous peut, par ses inquiétudes, rallonger tant soit peu la durée de sa vie ?” Mt 6. 27

    Dans le Sermon sur la montagne, Jésus encourage ses auditeurs à ne pas trop s’inquiéter et avec une certaine sagesse, il insiste pour dire que les préoccupations et les soucis ne rallongent pas notre espérance de vie. Certaines traductions donnent : “Qui de vous peut ajouter une coudée à sa vie ?” Une coudée, c’est la distance entre le coude et le majeur, main tendue, soit environ 50 cm ; ce n’est pas beaucoup ! Si donc s’inquiéter ne sert à rien - et en général, nous le savons - cessons de nous inquiéter. Les inquiétudes sont des pensées qui se déclenchent souvent par un “et si…” : et s’il avait un accident ! Et s’il était tombé ! Et si ma boîte faisait faillite… Toutes ces hypothèses non vérifiées mènent à l’anxiété. Les conséquences de l’anxiété sont, selon les médecins : perte d’énergie, irritabilité, problème de concentration, perte de sommeil, épuisement moral, mental et physique… De plus, l’inquiétude produit la peur, l’insécurité, le doute. Et ces fragilités peuvent conduire à des drames : Caïn s’inquiète, il a peur, et il se cache de Dieu. Abram/Abraham s’inquiète pour sa vie : il ment au pharaon et fait courir un énorme danger à sa femme. Or, la peur des problèmes pose souvent plus de problèmes que les problèmes eux-mêmes. Face au conseil de Jésus, et à cette évidence que l’on ne peut rallonger sa vie en s’inquiétant, nous pouvons relire un verset de Proverbes : “Mon fils, n'oublie pas mes enseignements, et que ton coeur garde mes préceptes; car ils prolongeront les jours et les années de ta vie, et ils augmenteront ta paix - ta quiétude” (Pr 3. 1). Ainsi donc, si nous occupons notre coeur à nous souvenir de toutes les paroles rassurantes et bienveillantes de Dieu - qui prend soin de nous et des nôtres - nous aurons nettement moins l’occasion d’être submergés par des inquiétudes qui nous font peur pour des choses qui n’existent que dans notre imaginaire.

     

     

     

    Ne vous inquiétez pas (2)

     

    “Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose, faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.” Ph 4. 6-7

    L'apôtre Paul propose aux chrétiens de Philippes d’exposer devant le Seigneur les besoins qui sont les leurs en utilisant trois formes d’expressions : des prières, des supplications et avec actions de grâces. Nous savons assez bien ce que sont les prières : des requêtes, des demandes, des intercessions. Nous savons aussi ce que sont les actions de grâces : des expressions (et une attitude) de reconnaissance et de remerciement devant Dieu. Nous avons peut-être un peu plus de mal à cerner le terme supplication. Or, si cela ressemble à la prière, ce n’est pourtant pas tout à fait la même chose. Dans “supplication”, il y a l’idée de supplier et donc de se placer dans une attitude humble de soumission. La supplication est une prière, certes, mais avec une connotation très forte d’humilité, de dépendance, voire de servilité. De fait, l’apôtre nous rappelle ainsi que nous ne nous approchons pas de Dieu avec une liste de commissions. Le trône de Dieu n’est pas un drive où nous enlèverions notre commande d’exaucements. Nous nous plaçons devant un Dieu trois fois saint, créateur de l’univers dont nous ne sommes qu’une poussière. “Ôte tes souliers, car cette terre est sainte” déclare Dieu à Moïse qui s’est approché. Devant Dieu, nous n’avons rien à réclamer, rien à revendiquer, aucun droit à faire valoir. Nous sommes dans l’attitude de celui qui implore, et non de celui qui réclame son dû. Dès lors, respect et humilité sont de rigueur. Mais nous n’avons pas non plus à oublier que Dieu veut entendre nos requêtes et tend l’oreille. Il ne veut pas nous écraser de Sa toute-puissance, mais nous assurer de Sa bienveillance. Chez Lui, tout est bonté et mansuétude ; de quoi nous assurer le meilleur accueil.

     

     

    Ne vous inquiétez pas (3)

      

    “Ne vous inquiétez pas du lendemain, car le lendemain s'inquiétera de lui-même. À chaque jour suffit sa peine…” Mt 6. 34

    La vie se charge, au quotidien, de nous apporter divers tracas et inquiétudes ; elle serait insupportable si, en plus des peines du jour, nous devions porter celles de demain et d’après-demain. Le philosophe latin Sénèque (58 avant J.-C.) s’exclamait ainsi : “Que de maux sont arrivés, sans qu’ils fussent attendus, et combien ne sont jamais arrivés, quoiqu’attendus.” En effet, il n’est pas rare de s’inquiéter pour des problèmes qui n’arrivent finalement jamais. De son côté, Jésus nous encourage à avoir confiance pour vivre sereinement au jour le jour. Demain sera une autre histoire. Mais, de nos jours, plus que jamais, nous aimons tout prévoir, programmer, voire régenter parce que nous voudrions, quelque part, être le maître de notre vie et de notre destin, et parfois même être régisseur de celui des autres. Prévoir, anticiper, voire deviner (chercher à être devin) sont des préoccupations quasi prioritaires, au point que l’on vit plus dans un futur incertain - mais à garantir - que dans le présent qui s’échappe toujours trop vite. Or, il faut bien admettre, une fois pour toutes, et nous en souvenir chaque matin, que la vie est toujours, pour nous, imprévisible. Notre cerveau voudrait tout contrôler alors que la vie est l’imprévu par essence. “L’inquiétude fait souffrir deux fois”, selon un psychologue. L’inquiétude assombrit notre aujourd’hui pour un lendemain qui n’existe pas encore. Du coup, le lendemain occulte la joie d’aujourd’hui. Est-ce nécessaire ? Avant de quitter cette terre, Jésus a tenu à préciser qu’Il serait avec nous tous les jours. Laissons-Le nous accompagner aujourd’hui, Lui qui est le pain descendu du ciel pour nous nourrir de Sa présence et de Son amour. Avez-vous remarqué la redondance dans: “Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien” ? C’est un acte de confiance, et donc de foi, que d’accepter ce “au jour le jour”.

     

    Bob Gass

     

     

    Ne vous inquiétez pas (1 à 3)

     

     

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    Il est impossible de déranger Dieu

     

     

     

    Il est impossible de déranger Dieu

     

     

     

    "En lui, Dieu nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et sans défaut devant lui."   Éphésiens 1.4

     

    Aujourd'hui, j'aimerais vous rappeler une chose qui me semble importante pour votre bien-être : vous n'êtes pas une surprise pour Dieu.

     

    Il savait exactement à quoi s'attendre lorsqu'il vous a choisi,
    tout comme il savait exactement à quoi s'attendre lorsqu'il m'a choisie.

     

    La Bible dit que Dieu nous a en fait choisis "pour lui", pour lui appartenir ! Vous n'êtes pas apparu un jour par hasard. Et Dieu n'a pas décidé de vous "tolérer" lorsque vous gardez vos distances.

     

    Il savait exactement à quoi s'attendre lorsqu'il vous a choisi, tout comme il savait exactement à quoi s'attendre lorsqu'il m'a choisie.

     

    Vous ne pouvez pas importuner Dieu : parce qu'il vous a choisi, vous ne pouvez pas le déranger ! Il ne détourne pas son regard lorsque vous avez un problème. Mais il vous rappelle toujours tout le chemin que vous avez déjà parcouru, combien vous avez réussi, combien vous êtes précieux à ses yeux et combien il vous aime.

     

    Dieu connaissait déjà vos faiblesses, vos défauts, vos échecs et il a choisi de dire : "Je te veux quand même." Éphésiens 1.5 déclare qu'il vous avait prédestiné à être adopté par lui.

     

    Dieu est votre père ! Avec lui à vos côtés, les choses coopèrent pour amener tout à bonne fin pour vous.

     

    Une prière pour aujourd'hui :
    Mon Dieu, ton amour m'émerveille. Tu es mon père, tu m'avais déjà choisi avant que le monde ne soit créé. Peu importe mes faiblesses, je sais que tu me veux toujours. Merci pour ta bonté !

     

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : TopChrétien)

     

     

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