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    Déliez-le et laissez-le aller

     

     

     

    Déliez-le et laissez-le aller

     

     

     

    “Déliez-le et laissez-le aller.” Jn 11. 44 

    Le jour où vous acceptez Christ comme votre Sauveur, Il change votre manière de voir les choses. Mais certaines expériences que vous avez vécues par le passé peuvent ralentir votre croissance spirituelle, vous retenir en arrière quelque peu. Même si le Saint-Esprit a commencé Son travail en vous, la croissance est une longue affaire. Cela n’a pas lieu en une nuit ! Cela prend beaucoup de temps.

    Quand Jésus, debout devant la tombe de Son ami Lazare, l’a appelé, en lui disant de sortir, ce dernier, mort depuis 4 jours, s’est approché en titubant, le corps encore lié par des bandelettes tel une momie. Remarquez que ces habits funéraires qui constituaient une entrave à sa marche ne sont pas tombés d’eux-mêmes au moment où Jésus l’a appelé hors de la tombe. Jésus a dit à ses amis : “Déliez-le et laissez-le aller” et Lazare, grâce à leur aide, a été libre de poursuivre sa nouvelle vie : “Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création ; les choses anciennes sont passées et toutes choses sont devenues nouvelles” (2 Co 5. 17).

    Lorsque Jésus vous appelle au salut, vous sortez de la tombe tout enveloppé des habits funéraires de votre passé. Quel passé ? Celui des mauvaises influences et des mauvaises fréquentations, de la pauvre opinion que vous aviez alors de vous-même, des vieilles habitudes et idoles… Voilà pourquoi Dieu doit vous envoyer des gens chargés de vous aimer, de vous débarrasser des liens qui vous entravent encore et de libérer le potentiel qui sommeille en vous. Il est crucial que vous connaissiez ce genre de relations entre chrétiens et que vous construisiez votre vie en les intégrant.

    Il est crucial aussi que vous développiez vos relations avec Dieu par la lecture de Sa Parole et par la prière. Sa Parole vous permettra de comprendre comment Il vous voit et ce qu’Il a placé en vous. Par la prière vous découvrirez Son cœur et vous commencerez à vous voir vous-même à travers Son regard. A partir de ce moment-là les choses ne seront jamais plus les mêmes pour vous !

     

     

    Bob Gass

     

    Déliez-le et laissez-le aller

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    Un forfait divin

     

     

     

    Un forfait divin

     

     

     

     

     

    Avez-vous entendu parler de la nomophobie ? Le dictionnaire Larousse en donne une définition intéressante : "(...) quelqu’un qui ne peut se passer de son téléphone portable et éprouve une peur excessive à l'idée d'en être séparé ou de ne pouvoir s'en servir."

     

    Aujourd’hui, les téléphones portables occupent une place importante dans notre quotidien. Et beaucoup sont accros à leur téléphone portable. Résultats – quel que soit l’endroit – ils l’ont toujours à portée de mains et l’idée même d’en être séparés n’est absolument pas envisageable. Faites-vous partie de cette catégorie de personnes ?

     

    Dieu veut rester connecté avec vous 24 heures sur 24.

     

    Imaginez un instant que vous traitiez la Bible de la même manière que votre smartphone. Quel impact cela aurait-il sur votre quotidien ? Vous coucher et vous lever la Bible en main, prendre du temps pour la lire à tout moment dans la journée et encourager votre réseau d’amis au travers de sms divins vous feront forcément du bien. 

     

    Et pourquoi ne pas essayer ? Il ne faut pas grand-chose pour changer une habitude, il faut juste la volonté. De plus, je vous annonce que Dieu a mis gratuitement en place un forfait illimité et une connexion divine à haut débit afin que vous soyez connecté(e) chez vous ou à l’international avec lui. Alors, ne vous en privez pas et en cas de panne, voici quelques numéros utiles à composer quand :

     

     

    Dieu veut rester connecté avec vous 24 heures sur 24.

     

    Une prière pour aujourd’hui :

    Père, apprends-moi à passer du temps de qualité dans ta présence. Amen.

     

     

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

    Un forfait divin

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    Contre vents et marées

     

     

     

    Contre vents et marées

     

     

     

    JUGES 7.1‑7 

    Vous avez déjà été acculé au pied du mur ? Bien que de telles situations nous dépassent entièrement, elles ne sont pas trop difficiles à gérer pour Dieu. Si nous pouvions affronter chaque problème sans son aide, le mérite rejaillirait sur nous plutôt que sur lui. Les impasses nous enseignent une leçon importante : à dépendre de Dieu, et non de nous‑mêmes.

    Guerrier réticent, Gédéon ne se sentait pas à la hauteur de la tâche que l’Éternel voulait lui confier, soit délivrer Israël de la main des Madianites (Jg 6.14‑16). Il lui a cependant obéi et a rassemblé 32 000 hommes pour combattre l’ennemi. L’Éternel ne lui a toutefois laissé qu’une armée de 300 hommes pour se battre. Sur le plan humain, obtenir la victoire avec si peu de soldats était bien impossible, mais c’était la leçon que Dieu leur réservait. Lui seul devait remporter la palme et en recevoir la gloire.

    Lorsque nous devons mener notre barque contre vents et marées, cela ne signifie pas que Dieu nous a abandonnés. Tenons ferme et gardons les yeux fixés sur lui. Faisons‑lui confiance; nous aurons l’occasion de nous émerveiller de ses œuvres, puis de le remercier de sa fidélité.

     

    (Source : encontact.org)

     

     

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    Ayez le courage d'être vous-même

     

     

     

    Ayez le courage d'être vous-même

     

     

     

     

    « Le jour où j'ai peur, je compte sur toi » Psaume 56.4


    Êtes-vous fatigué de jouer un jeu, de porter un masque ou d’essayer d’être quelqu’un qu’en réalité vous n’êtes pas? N’aimeriez-vous pas connaître cette liberté d’être accepté pour qui vous êtes, et vivre sans la pression de devoir être quelqu’un que vous ne connaissez même pas ? Voulez-vous apprendre à assumer pleinement votre personnalité unique et à résister à la tentation de vous fondre dans la masse ?

     

    Si vous voulez surmonter votre sentiment d’insécurité et être la personne que Dieu vous appelle à être, vous devez avoir le courage d’être différent. À chaque fois que nous rejetons notre singularité et que nous essayons de nous conformer aux autres, le mécontentement et la frustration surgissent. Vous devez tenter votre chance, celle d’être vous-même. Pour cela, il faut vous poser la question : « Suis-je quelqu’un qui cherche à plaire aux hommes ou à Dieu ? » Essayer de plaire aux hommes n’en vaut pas la peine, parce que Dieu ne vous a pas créé pour vivre de l’approbation des autres. Dieu savait très bien ce qu’Il faisait lorsqu’Il vous a créé. Vous êtes un individu unique – Dieu vous a créé tel que vous êtes ! Il est temps pour vous d’oser vous accepter tel que vous êtes, différent et singulier, et d’arrêter de vivre dans l’insécurité

     

    Ma prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, je ne veux pas craindre les hommes. Tu ne m’as pas créé pour rechercher l’approbation des autres. Aujourd’hui, j’ose être différent. Je veux chercher à Te plaire et vivre comme l’individu unique et singulier que Tu as Toi-même créé

     

     

    Joyce Meyer

    (Source : joycemeyer.fr)

     

     

     

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    L'amour que Dieu nous porte

     

     

     

     

    L'amour que Dieu nous porte

     

     


     

     

    ROMAINS 5.1‑11 

     

    Quand nous traversons de dures épreuves, nous sommes tentés de douter de l’amour de Dieu pour nous, surtout si nous croyons que c’est en nous donnant une belle vie que celui‑ci nous prouve son affection. Dans le passage du jour, Paul révèle pourquoi Dieu permet des difficultés dans la vie du chrétien. Par l’affliction, il veut produire en nous la persévérance, un caractère bien trempé et une espérance qui ne trompe pas, car l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs.

     

    Plutôt que de céder aux doutes, puisons espoir dans les vérités suivantes. L’amour de Dieu est :

     

    • parfait. Dieu nous accorde toujours le meilleur en vue de notre transformation à la ressemblance de Christ.
    • fiable. L’amour fait partie intégrante de la nature de Dieu (1 Jn 4.8). Comme il ne peut contredire sa nature, il lui est impossible de ne pas aimer les siens.
    • constant. Dieu fait tout concourir au bien de ceux qui l’aiment – même les épreuves les plus ardues. L’Écriture nous montre que l’adversité est l’œuvre d’un Père qui nous aime (Hé 12.6).

     

    Dans le doute, rappelons‑nous que Dieu est l’auteur de la plus grande manifestation d’amour possible, soit la mort de son Fils sur la croix pour l’humanité.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

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    Guérir ou pas

     

     

     

    Guérir ou pas

     

     

     

    “Ne promène pas des regards inquiets, car Je suis ton Dieu ; Je te fortifie, Je viens à ton secours.” Es 41.10 

    Une dame, affligée d’une maladie récurrente, se plaignait devant ses proches : “Je dois manquer de foi puisque je ne suis pas guérie.” Ce type de déclaration laisse entendre que la guérison se mérite, et que pour être délivré de la souffrance, il faut beaucoup de foi. Il y a, dans ce raisonnement, quelque chose de perfide, et surtout de totalement faux. Si Dieu peut guérir toute maladie, y compris celle que la médecine humaine déclare incurable, Il n’est jamais contraint de le faire. Et ne pas guérir n’est pas une mesure de rétorsion de la part de Dieu.

    L’apôtre Paul souffrait d’un mal inconnu de ses lecteurs, mais qui le taraudait journellement. L’homme de foi sans doute le plus impressionnant du Nouveau Testament n’a pas été guéri par son Dieu pour autant. Et si quelqu’un ne manquait pas de foi, c’est bien Paul. Pourtant, il avait prié pour être délivré de son “écharde dans la chair”, et finalement, Dieu lui a répondu par une phrase laconique : “Ma grâce te suffit !”

    En théorie, cette réponse est belle : il est vrai que la grâce de Dieu est suffisante, sauf lorsque dans sa chair, on souffre le martyre jusqu’à demander grâce ! Peut-être que l’apôtre avait besoin de se souvenir de sa condition humaine, et l’écharde avait mission de le garder dans l’humilité et la dépendance de son maître, lui qui passait pour en être un auprès des hommes. Peut-être aussi que le chrétien doit souffrir pour entrer en compassion avec ceux qui souffrent et qui, eux, n’ont aucune consolation. Il est difficile d’entrer en communion avec un souffrant lorsqu’on est toujours en parfaite santé. Peut-être encore que le chrétien souffre pour qu’au travers même de son mal, il puisse témoigner de sa foi et manifester ainsi qu’avec Dieu, on peut supporter l’épreuve parce qu’on est accompagné par lui sur ce chemin-là. Enfin, il faut savoir que ce n’est pas nous qui commandons Dieu ; nous n’avons pas à Lui imposer notre volonté. Il est souverain et donne un sens à toute chose, y compris à la souffrance.

     

     

    Bob Gass

     

    Guérir ou pas

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    Des yeux pour voir

     

     

     

    Des yeux pour voir

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 119.97-104

     

    Ouvre mes yeux, pour que je contemple les merveilles de ta loi ! V. 18 

     

    J’ai récemment découvert le merveilleux art anamorphique. Semblant à première vue n’être qu’un assortiment d’éléments aléatoire, la sculpture anamorphique n’a de sens que si on la regarde sous le bon angle. En une seule pièce, des pôles verticaux s’alignent pour révéler le visage d’un leader célèbre. En une autre seule pièce, un amas de câbles trace la silhouette d’un éléphant. Une autre encore, faite de centaines de points noirs suspendus à des fils de fer, devient l’œil d’une femme. La clé de l’art anamorphique réside dans le fait de le regarder sous différents angles jusqu’à en découvrir le sens.

     

    Avec ses milliers de versets d’histoire, de poésie et plus encore, la Bible peut parfois s’avérer difficile à comprendre. Cependant, elle nous en donne la clé. Traitez-la comme une sculpture anamorphique : regardez-la sous différents angles et méditez-la à fond.

     

    Mon Dieu, fais-moi entrer dans le monde de ta Parole.
    Ouvre-moi les yeux pour que j'y voie tes merveilles

     

    Les paraboles de Christ fonctionnent de la même façon. Ceux qui se donnent la peine de bien y réfléchir « voient de leurs yeux » leur signification (MT 13.10-16). Paul a exhorté Timothée à « comprendre » ce qu’il lui disait et que Dieu lui donnerait de l’intelligence (2 TI 2.7). Et le thème récurrent du Psaume 119 indique que la méditation de la Bible procure sagesse et intelligence pour la comprendre (V. 18,97-99). 

     

    Et pourquoi ne pas méditer une parabole pendant une semaine ou lire un Évangile d’un trait ? Passez du temps à contempler un verset sous tous ses angles. Allez en profondeur. La méditation de la Bible, plutôt que sa simple lecture, nous ouvre les yeux.

     

    Mon Dieu, donne-nous des yeux pour voir.

     

    Ne nous contentons pas de lire la Parole de Dieu, méditons-la aussi.

     

      

    Sheridan Voysey

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

    Des yeux pour voir

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    La fatigue, une raison pour t'arrêter ?

     

     

     

    La fatigue, une raison pour t'arrêter ?

     

     

     

     

    Juges 8.4 - Gédéon arriva au Jourdain, et il le passa, lui et les trois cents hommes qui étaient avec lui, fatigués, mais poursuivant toujours. 

     

    Depuis deux décennies, le monde court à la vitesse grand V. Les employeurs font travailler leurs employés comme des robots, sans tenir compte de leurs limites. On dit désormais que ce ne sont pas les plus forts qui battent les plus faibles mais les plus rapides qui battent les plus lents. 

     

    Dans cette frénésie, l'un des moments que les familles affectionnent, c'est quand arrivent les vacances. Après des jours, des semaines, des mois de dur labeur tout le monde s'arrête ! L'activité était intense, on a le droit de s'arrêter, de faire une pause. 

     

    Dans notre passage du jour il est question de l'armée d'Israël conduite par le brave Gédéon qui va en guerre contre l'armée de Madian. Ils sont 300 hommes, ils sont partis la veille pour combattre une armée de 135.000 hommes. A un moment ils sont fatigués, ils ont faim. Mais le récit de la Bible dit que malgré la fatigue, ils continuent de poursuivre l'ennemi. 

     

    La fatigue est un état physiologique consécutif à un effort prolongé, à un travail physique ou intellectuel intense et se traduisant par une difficulté à continuer cet effort ou ce travail. La fatigue peut aussi venir après une longue bataille contre un péché, tu as tellement lutté pour abandonner un péché mais ce péché te colle : tu es fatigué(e) et tu veux t'avouer vaincu(e). Je te recommande la lecture du chapitre 12 de l'épître aux Hébreux à son quatrième verset. 

     

    Un parent est fatigué d'essayer d'expliquer à son enfant que la voie qu'il a choisie le perdra sûrement. Un homme ou une femme de Dieu est fatigué par l'ingratitude et la méchanceté des brebis mises à sa charge par Le Seigneur. Une personne malade est fatiguée, la mort serait une délivrance pour elle. Tel autre traverse une épreuve qui a tellement duré qu'il croit qu'il n'y aura pas d'issue, pas de dénouement, pas de fin à cette épreuve. 

     

    Voyons dans la Bible quelques exemples des personnes fatiguées et qui ont décidé de s'arrêter :

    Esaü est très fatigué, a faim et décide d'échanger son droit d'aînesse contre de la nourriture (Genèse 25.29 à 34).
     

     

    Elie en a marre des combats, veut tout lâcher et réclame la mort (1Rois19.4). 

     

     Siséra va avoir une confiance aveugle en Jaël à cause de la fatigue et celle-ci va le tuer (Juges 4.21). 

     

    Et maintenant quelques exemples des personnes qui, malgré la fatigue, ont refusé de s'arrêter : 

     

    Matthieu 9.20 à 22 : Cette femme a continué à chercher la solution à son problème malgré la fatigue. 

     

    David et 400 de ces hommes vont poursuivre leurs ennemis malgré la fatigue (1 Samuel 30.10). 

     

    La fatigue nous pousse souvent à nous arrêter pour reprendre des forces, ce qui est une très bonne chose dans certains cas. Elle est une réaction normale du corps mais il n'est pas toujours bon de nous arrêter quand nous sommes fatigués. Bien-aimé(e), quelqu'un a dit : « Le diable est facile à reconnaître quand vous êtes très fatigué(e) et ce qu'il vous demande est si raisonnable qu'on ne voit pas comment on pourrait le lui refuser ». 

     

    Tu es fatigué (e) ? Sache que tu es une proie facile pour le diable, refuse de t'arrêter. Pour reprendre des forces ne compte pas sur tes moyens, tes capacités. Malgré la fatigue d'Élie, le Seigneur savait que ce n'était pas le bon moment pour s'arrêter, Il est donc venu à la rescousse de son serviteur. « Mais David repris courage en s'appuyant sur l'Éternel, son Dieu » (1Samuel 30.6). Appuis-toi sur l'Éternel ton Dieu. Bien-aimé(e), si le diable n'est pas encore apparu dans cette grande fatigue que tu ressens, il ne doit pas être bien loin. 

     

    Trouves de l'encouragement et de la force dans ces 2 passages : Matthieu 11.28 et Esaïe 40.31.

    Bénédictions.
     

     

     

     

     

    Claudine
    (Source : ez37.jimdofree.com)

     

     

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    Il ne cligne même pas des yeux

     

     

     

    Il ne cligne même pas des yeux

     

     

     

     

    “Veillez! Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer…” 1 P 5.8 

    Savez-vous que les serpents ne peuvent cligner des yeux, car ils ne possèdent pas de paupières ? Une sorte d’écaille transparente et dure protège leur cornée. Leurs yeux sont ainsi grands ouverts 24 heures sur 24. Ils sont toujours à l’affût d’une proie qui pourrait passer près d’eux. Même quand ils semblent dormir, leur attention est sans cesse en éveil. Certaines espèces nocturnes possèdent également des récepteurs thermiques qui, comme un radar infrarouge, leur permettent de distinguer une proie même dans l’obscurité la plus totale.

    Cela devrait nous aider à comprendre pourquoi Satan, le serpent, notre ennemi, est sans cesse en train de nous épier, de nous observer, d’analyser notre comportement, dans l’espoir de nous faire chuter au moment où nous ne sommes plus sur nos gardes.

    Voilà pourquoi Pierre a écrit : “Veillez !” La pire erreur serait de nous endormir près de notre ennemi, inconscient du danger. Mais la bonne nouvelle c’est que notre protecteur, notre Seigneur, ne dort jamais !

    Mary Conley a dit un jour : “Chaque soir je remets mes soucis entre les mains de Dieu, car, de toute façon, Il passera une nuit blanche !” Et le psalmiste s’est écrié : “D’où me viendra le secours ? De l’Éternel qui a fait les cieux et la terre. Il ne permettra pas que ton pied chancelle ; celui qui te garde ne sommeillera pas. Il ne sommeille ni ne dort” (Ps 121. 1-4).

    Si parfois Il paraît dormir, comme le jour où, en pleine tempête, Jésus s’était “endormi” dans une barque alors que Ses disciples paniquaient autour de Lui (Mt 8. 23-27), en réalité Sa protection est permanente. Même si le serpent ne vous quitte jamais des yeux, sachez que votre “protecteur” est prêt à tout moment à vous abriter sous Ses ailes (Ps 57. 2) !

     

     

    Bob Gass

     

     

    Il ne cligne même pas des yeux

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    Ne doute pas

     

     

     

    Ne doute pas

    c'est par la foi que tu entreras dans tes promesses

     

     

     

    Nous retrouvons le peuple d'Israël à l'entrée de la terre promise. Le peuple est en train de se mettre en ordre de marche pour aller prendre possession du pays que Dieu a promis à Israël. Le récit de cette histoire relativement bien connue (que nous trouvons dans Nombres 13 et 14) nous rappelle que, avant que le peuple n'entre dans le pays promis, Dieu désigne 12 hommes, 12 « espions » qui ont pour rôle d'aller visiter ce pays avant de revenir ensuite faire un bilan de ce qu'ils ont vu au peuple entier. 

    Au bout de 40 jours d'exploration, les 12 hommes reviennent vers le peuple pour faire leur rapport. Sur les 12 hommes, 10 vont livrer un récit négatif de cette exploration, expliquant que le pays semble merveilleux mais impossible à prendre car le peuple qui y vit semble bien plus fort et bien plus impressionnant que le peuple d'Israël.  Cependant, au milieu des plaintes de ces hommes qui incitent le peuple à faire demi-tour, 2 hommes vont se détacher et apporter une version différente : Josué et Caleb. Ils incitent et encouragent le peuple à se préparer à entrer dans le pays promis, persuadés que même si les difficultés et les ennemis semblent fort et nombreux, Dieu est à leur côté. 

    Caleb semble particulièrement zélé dans cette tâche, il est persuadé que Dieu va combattre avec son peuple qui va pouvoir ainsi être vainqueur et posséder le pays promis. Devant tous les murmures et face au mécontentement du peuple, Caleb n'a pas peur de les faire taire et de s'opposer à la très grande majorité de ses frères : « Caleb fit taire le peuple qui murmurait contre Moïse. Il dit : montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs ! » Nombres 13v30. Malheureusement, dans la suite de l'histoire le peuple choisit de ne pas écouter Caleb et Josué et demeure incrédule face aux promesses. Il s'ensuivra pour eux 40 années de souffrance et d'errance dans le désert pour ne pas avoir eu confiance dans les promesses de Dieu. 

    Il est cependant frappant en lisant cette histoire de se dire que les 12 « espions » n'étaient pas d'accord entre eux. Pourtant sur les 12 hommes, les 12 ont vu la même chose ! Ils ont en effet vu un pays magnifique, où les fruits sont abondants, où les ressources naturelles ont l'air inépuisables mais où les villes sont fortifiés, très grandes et les peuples très puissants. Ces 12 Israélites ont vu la même chose mais il faut croire qu'ils n'avaient pas les mêmes lunettes... Caleb notamment avait des lunettes différentes de ses compagnons d'exploration. Suite à cet épisode, Dieu s'adressera à lui de cette façon : « Parce que mon serviteur Caleb a été animé d'un autre esprit, et qu'il a pleinement suivi ma voie, je le ferai entrer dans le pays où il est allé, et ses descendants le posséderont » Nombres 14v24.

    Dieu appelle Caleb « son serviteur » et annonce qu'il a été animé d'un autre esprit, d'un esprit différent de celui de ses compagnons. Caleb avait en lui cette autre mentalité, il avait cet esprit de conquérant, d'attaquant. Cet esprit n'est autre que le Saint-Esprit dont l'apôtre Paul nous livre certaines de ses caractéristiques : « Dieu nous a donné non pas un esprit de timidité, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse » 2 Timothée 1v7. D'après ce verset, nous voyons que c'était sans aucun doute le Saint-Esprit lui-même qui était à l'œuvre en Caleb, le démarquant ainsi des autres espions. Encore aujourd'hui Dieu souhaite que nous soyons des « Caleb », que nous ayons cet esprit de conquête et de discernement dans tous les différents domaines de notre vie. Caleb a pu entrer dans la terre promise, dans le pays de Canaan à la différence des 10 autres espions parce qu'il avait cet esprit différent de celui de ses compagnons, il possédait cet esprit de conquérant et une confiance en Dieu inébranlable ! Caleb avait pourtant vu les difficultés qu'allaient poser cette conquête tout comme ses 11 autres compagnons... Mais il avait la conviction, la certitude que Dieu était avec lui et qu'il pouvait compter sur lui ! C'est par la foi (cf. Hébreux 11) qu'il s'est approprié les promesses de Dieu et les a fait sienne et a pleinement suivi la voie de Dieu. La foi est conquérante, ainsi que nous le montre le chapitre d'Hébreux 11 qui reprend sans cesse ce refrain : « C'est par la foi que... » !

    Aujourd'hui quel est mon Canaan ? Dieu ne me demande peut-être pas de prendre en possession un pays mais qu'en est-il dans mon mariage ? dans mon travail ? dans ma vie de famille ? dans mes relations ou dans mon service pour Dieu ? Quelles sont mes lunettes ? Suis-je focalisé sur les difficultés ou sur le Dieu que servait Caleb et qui est plus grand que mes difficultés ? 

    L'incrédulité nous amènera au même point que le peuple d'Israël : à tourner en rond dans le désert... Alors que la foi est conquérante, elle saisit les promesses de Dieu et nous permet d'avancer sur le chemin. Que nous puissions aujourd'hui plus que jamais être animés d'un autre esprit que celui de ce monde, animés du Saint-Esprit qui nous communique les voies et les pensées de Dieu dans chaque domaine de nos vies. 

     

     

     

    David
    (Source : adoredieu.com)

     

     

     

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    Dans une impasse ?

     

     

     

    Dans une impasse ?

     

     

     

     

    (Jésus dit : Moi, je suis la porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. Jean 10 : 9

     

    Pour mettre son enseignement à la portée de tous, Jésus l’illustrait par des exemples tirés de la vie de tous les jours ou par des objets d’usage courant : la lampe, le sel, le chemin, le grain de blé, le pain, etc.

     

    Notre Seigneur se désigne lui-même comme étant la Porte-celle qui conduit à la vie, qui débouche sur le ciel. Pour y accéder, il faut nécessairement passer par Lui. Cette porte est étroite, on n’y entre pas en foule, mais chacun en reconnaissant ses fautes. Tant qu’elle reste ouverte, la grâce divine est offerte à tous ceux qui veulent la franchir humblement. Cependant le temps presse, bientôt elle sera fermée, et personne ne pourra l’ouvrir.

     

    Jésus veut nous délivrer du péché, et en ce sens, « la porte » est une issue, un moyen d’échapper, de se protéger, une sauvegarde. Christ est, pour le croyant, à la fois l’accès au Père et sa protection contre le mal.

     

    Jésus déclare : « Je suis la porte », le seul moyen de sortir des situations les plus désespérées. Nous nous débattons souvent dans nos problèmes personnels non résolus, problèmes conjugaux, familiaux, sociaux. Avons-nous essayé de venir à Jésus tels que nous sommes ? Il n’est dépassé par aucune situation. Mais ce qu’il veut d’abord, ce n’est pas résoudre notre problème, c’est nous recevoir parce qu’il nous aime. Il l’a prouvé en se livrant lui-même. Il veut pardonner nos péchés et nous prendre en charge pour toujours.

     

     

     

    (Source : La Bonne Semence / chretien.news)

     

     

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