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    Quatorze questions pour votre mission

     

     

     

    Quatorze questions pour votre mission

     

     

     

     

    « C’est pour cela que je suis né » Jean18.7 

     

    Lorsque vous connaissez la mission que Dieu vous a confiée, et que vous le savez à vos côtés, vous devenez quasiment imbattables. Ferez-vous des erreurs ? Certainement, mais Dieu vous aime assez pour vous corriger et vous remettre sur les rails.

    Vous vous demandez : « Comment puis-je découvrir ma mission ? » Voici quatorze questions utiles à vous poser.


    1) Quels désirs vivent en moi la majeure partie de ma vie ?
    2) Qu’est-ce qui me motive à travailler dur et à être productif ?
    3) Qu’est-ce qui me fait avancer quand je suis épuisé(e) ?
    4) Qu’est-ce qui m’empêche de laisser tomber quand je rencontre une résistance ?
    5) Quels sont mes activités en-dehors du travail ?
    6) Qu’est-ce que je fais pour apporter une réponse positive ou du soutien aux gens ?
    7) Qu’est-ce que je fais ou qu’est-ce qui se passe dans ma vie lorsque les portes s’ouvrent automatiquement sans efforts ?
    8) Que pensent de mon travail de sages dirigeants ou de pieux conseillers ?
    9) Qu’est-ce qui me fait me sentir à l’aise là où je suis ?
    10) Comment est-ce que j’utilise ma créativité ?
    11) Que suis-je prêt(e) à sacrifier pour accomplir ma mission ?
    12) Dans ce que je fais, que serais-je fier d’offrir à Dieu qu’il approuverait ?
    13) Qu’est-ce que je ferais gracieusement si j’en avais l’opportunité ?
    14) Que serais-je prêt(e) à faire dans l’accomplissement de ma tâche pour résister à Satan ?

    Considérez ces questions dans la prière, et elles mettront en lumière la mission de Dieu pour votre vie.

     

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Vous êtes ici

     

     

     

    Vous êtes ici

     

     

     

    Éternel! enseigne-moi ton chemin; je marcherai dans ta vérité; unis mon coeur à la crainte de ton nom.
    Psaume 86. 11

    Je t'instruirai, et je t'enseignerai le chemin où tu dois marcher.
    Psaume 32. 8

     


    Je suis attendu dans une ville que je ne connais pas encore. Je ne suis plus très loin de ma destination finale, mais il m'est difficile de me repérer, surtout avec le stress causé par les coups de klaxon derrière moi. Je préfère me garer pour brancher mon GPS. En peu de temps, le système m'a localisé. J'inscris le nom de la rue que je cherche, et l'itinéraire apparaît rapidement. J'en suis les indications et j'entends bientôt le message rassurant: Vous êtes arrivé.

     

    Eh bien, la Bible n'est-elle pas pour l'issue de la vie beaucoup plus que ce GPS, le sûr moyen qui conduit au but désiré? Pour une question aussi sérieuse, se fier à son intuition ou aux conseils de personnes dont on ignore la compétence ne peut que nous égarer. Avoir conscience que je suis perdu me fait voir la nécessité de l'utiliser.

     

    Première question: Où suis-je? Est-ce que ce n'est pas dans une impasse? Appelons-la si vous voulez la rue de la Perdition, du Désespoir, du Péché, de la Mort. Est-ce là vraiment, dans cet endroit sinistre et sans issue, que j'ai l'intention de rester toujours? Non, il est temps d'en sortir.

     

    Deuxième question: Quelle est ma destination? Je ne cherche pas la mort mais la vie, la vie éternelle. La Bible m'indique un itinéraire sans faille. Jésus a dit: “Celui qui croit en moi a la vie éternelle” (Jean 6. 47). Et tous ceux qui croient entendent alors cet heureux message: “Vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 13)

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

     

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    Une seule porte

     

     

     

    Une seule porte

     

     

     

     

     

    Luttez pour entrer par la porte étroite. Luc 13. 24
    Car étroite est la porte… qui mène à la vie. Matthieu 7. 14
    (Jésus dit:) Moi, je suis la porte : si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé. Jean 10. 9

     

    Pour mettre son enseignement à la portée de tous, Jésus l'illustrait volontiers par des exemples tirés de la vie de tous les jours, ou par des objets d'usage courant : la lampe, le sel, le chemin, le grain de blé, le pain, une pièce de monnaie…

     

    Notre Seigneur se désigne lui-même comme étant la porte, celle qui ouvre vers la vie éternelle. Pour y accéder il faut nécessairement passer par lui. Cette porte est étroite par rapport au chemin large qui mène à la perdition. Peu de personnes s'y engagent, mais elle mène à la vie. Tant qu'elle reste ouverte, la grâce divine est offerte à tous ceux qui veulent la franchir humblement. Cependant, le temps presse, bientôt elle sera fermée, et personne ne pourra l'ouvrir.

     

    Jésus veut nous délivrer du péché, et “la porte” représente aussi un moyen d'échapper, de se protéger, une sauvegarde. Christ est, pour le croyant, à la fois l'accès au Père et sa protection contre le mal.

     

    Jésus déclare : “Je suis la porte”, le seul moyen de trouver la paix, de sortir des situations les plus désespérées. Une solution aux difficultés qui nous paraissent insurmontables, aux dangers qui nous guettent, aux péchés qui nous entravent.

     

    Nous nous débattons souvent dans nos problèmes personnels non résolus. Pourtant, au bout de toutes ces impasses, il existe une issue si nous faisons intervenir Jésus. Il est la grande réponse pour trouver la délivrance dans tous nos problèmes personnels, conjugaux, familiaux et sociaux. Lui seul peut et veut nous aider.

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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    Suivez le guide

     

     

     

    Suivez le guide

     

     

     

    “Tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont enfants de Dieu.” Rm 8.14

     

    Le mot grec pour conduire est ago. L’image associée le plus souvent à ce mot est celle d’un cheval “conduit” par les rênes. De la même manière notre parcours devrait être soumis à la volonté de Dieu. Dès l’instant où elle s’exprime, nous devrions partir, sans rechigner, vers l’endroit où Il veut que nous allions, et accomplir la tâche qu’Il nous confie, sans jamais montrer la moindre résistance ou hésitation. Le mot agoest aussi la racine du mot agon qui a donné en français “agonie”. Cette fois l’image est celle d’un homme en proie à une lutte intérieure intense comme si son âme était torturée par des désirs contraires. Notre nature charnelle veut suivre ses envies, aussi, dès que nous choisissons de marcher selon les directives de l’Esprit de Dieu, un conflit intense se déclenche-t-il entre notre première et notre nouvelle nature.

     

    Combien de fois ne vous êtes-vous pas rebellé, pendant votre enfance, contre l’autorité de vos parents, parce que vous n’arriviez pas à les comprendre et que vous n’étiez pas d’accord avec eux. Nous pourrions peut-être paraphraser le verset ci-dessus de cette façon : “Etre conduit par l’Esprit de Dieu est l’un des privilèges accordés à ceux qui sont devenus enfants de Dieu, même si Lui obéir peut s’avérer souvent une torture mentale !” Si vous souhaitez vivre selon les directives de l’Esprit, Dieu vous accordera, chaque jour, la grâce nécessaire pour surmonter la souffrance du débat intérieur inévitable. Adressez-Lui donc cette prière : “Seigneur, je désire apprendre à Te suivre en abandonnant entre Tes mains les moindres aspects de ma vie. Aide-moi à comprendre Ta volonté et à réagir sur le champ au moindre appel de Ta part. Au nom de Jésus. Amen”. Puis mettez vos pas dans les Siens et suivez le guide !

     

     

     

    Bob Gass 

     

     

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     Observez les oiseaux du ciel

     

     

     

    Observez les oiseaux du ciel

     

     

     

     

     

    Observez les oiseaux du ciel : ils ne sèment, ni ne moissonnent, ni n'amassent dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup mieux qu'eux ? Matthieu 6. 26

     

    Dans la forêt, des chants d'oiseaux m'arrêtent. J'en reconnais certains. Une parole de Jésus me revient en mémoire : “Observez les oiseaux du ciel… Étudiez les lis des champs”.

     

    Ces oiseaux et ces lis formés par la main du créateur, si beaux, mais si fragiles et si vulnérables, Dieu nous invite à les observer. Il les a revêtus magnifiquement, il en prend soin, il les nourrit et les fait grandir.

     

    Comment serions-nous en souci, nous, des créatures faites “à son image” ? N'avons-nous pas plus de valeur pour lui qu'une fleur ou un petit oiseau ?

     

    Alors, tirons-en la leçon. Fragiles, nous le sommes, et angoissés par de multiples questions qui nous dépassent. Notre esprit est agité face à des difficultés qui semblent insurmontables, ou devant les petites contrariétés du quotidien. Jésus nous dit : “Votre Père céleste sait” (Matthieu 6. 32). Faisons-lui confiance et cherchons sa présence, son royaume, chaque jour.

     

    Remarquons que les oiseaux sont très actifs. Ils se construisent des nids, ils nourrissent leurs petits, certains migrent deux fois par an. Le croyant a aussi toutes sortes d'activités. Dieu veut le guider et prendre soin de lui pour qu'il les accomplisse de la meilleure manière. Et même, il fera “infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons” (Éphésiens 3. 20).

     

    Si beaucoup de choses me pèsent, des choses sur lesquelles je n'ai pas de prise, aide-moi, Seigneur à te les abandonner ! Je sais que ta paix, ta présence, ta justice et ton amour seront toujours là pour moi.

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

     

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    Qu'avez-vous dans la main

     

     

    Qu'avez-vous dans la main

     

     

     

     

     

    “Le Seigneur lui dit : “Qu’as-tu à la main ?” Ex 4. 2

     

    Jésus vous pose aujourd’hui la même question. Mais ce n’est pas vraiment une question, car Il connaît la réponse. Jean raconte : “Il dit à Philippe : “Où achèterons-nous des pains pour qu’ils aient de quoi manger ?” En parlant ainsi Il le mettait à l’épreuve ; Il savait, quant à Lui, ce qu’Il allait faire” (Jn 6. 5-6).

    Dieu nous a donné à tous des dons capables de bénir les autres, et compte sur nous pour les découvrir, les faire fructifier et en fin de compte les remettre entre Ses mains pour deux raisons :

    1- pour que nous voyions des miracles s’accomplir sous nos yeux.

    2- pour que cela contribue à Sa gloire.

     

    Dans cette anecdote où Jésus nourrit plus de 5000 personnes, Il s’adresse d’abord à Philippe qui, comme nous l’aurions tous fait, calcule combien cela coûterait de procurer de quoi manger à tous ces gens.

    Imaginez André dans l’ombre, en train de suivre le dialogue entre Jésus et l’autre disciple, n’osant pas encore s’approcher du Maître. Puis il s’enhardit et pousse devant lui un jeune garçon qui, par hasard, a trouvé dans sa sacoche cinq petits pains d’orge et deux poissons. André, lui qui déjà avait amené son grand frère à Jésus (Jn 1. 42), André, le disciple perspicace, qui avant tous les autres a reconnu que Jésus était le Messie et qui sait qu’entre les mains du Seigneur un miracle s’accomplira !

    Une belle leçon pour nous encore aujourd’hui ! Ne vous méprenez pas sur ce que vous avez entre les mains. Et si l’un de vos frères ou de vos sœurs vous pousse sur le devant de la scène pour vous encourager à remettre votre talent entre les mains du Maître, ne regimbez pas. Celui-ci ou celle-ci a sans doute reconnu avant vous la valeur de ce talent qui sera source de bénédictions pour les autres. Autour de vous des gens ont besoin de ce que vous avez. Ne les décevez pas !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Puiser dans sa force divine

     

     

     

    Puiser dans sa force divine

     

     

     

     

     

    Lecture proposée :  1 Chroniques 16.11-18,28-36 

     

    Persévérez dans la prière, veillez-y avec actions de grâces. Colossiens 4.2 

     

     

    « Allons‑nous voir des serpents ? »

     

    Allan, un jeune garçon du quartier, s’est ainsi informé comme nous amorcions une randonnée le long de la rivière qui coule près de la maison.

     

    A chaque heure, j’ai besoin de toi : ô bénis-moi en cette heure, mon Sauveur, je viens à toi. Robert Lowry

     

    Je lui ai répondu : « On n’en a jamais vu jusqu’ici, mais c’est possible ! Alors, demandons à Dieu de veiller sur nous. » Nous nous sommes alors arrêtés, nous avons prié ensemble, puis nous avons poursuivi notre chemin.

     

    Après plusieurs minutes, ma femme, Cari, a brusquement reculé d’un pas, évitant de justesse une vipère venimeuse partiellement enroulée sur le sentier. Nous avons attendu son départ pour remercier Dieu de ce que rien ne nous était arrivé. Je crois que, par la question d’Allan, Dieu nous avait préparés à cette rencontre et avait intégré notre prière à ses soins providentiels.

     

    Cette frousse me rappelle les importants propos de David : « Ayez recours à l’Éternel et à son appui, cherchez continuellement sa face ! » (1 CH 16.11.) Ce conseil s’inscrit dans un psaume célébrant le retour de l’arche de l’alliance à Jérusalem. Il relate la fidélité de Dieu envers les Israélites au cours des difficultés qu’ils ont dû surmonter tout au long de leur histoire et évoque la nécessité de toujours le louer et crier à lui pour être secouru (V. 35).

     

    Que signifie chercher la face de Dieu ? Il s’agit de tourner notre cœur vers lui en tout temps, même dans les instants les moins importants. Qu’il réponde à nos prières comme nous l’espérions ou autrement, notre bon Berger nous garde dans sa miséricorde, sa force et son amour.

     

     

    La prière procure le pouvoir de marcher sans vaciller. Oswald Chambers

     

     

     

    James Banks
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Un simple toucher

     

     

     

     

    Un simple toucher

     

     

     

     

    Lecture proposée : Matthieu 8. 1-4

     

    « Jésus étendit la main, le toucha » Verset 3

     

    Kiley a sauté sur l’occasion de se rendre dans une région reculée de l’Afrique de l’Est pour participer à une mission médicale, mais avec un certain malaise. Elle ne possédait aucune expérience médicale. Elle pouvait toutefois apporter des soins de base.

    Là‑bas, elle a rencontré une femme atteinte d’une maladie terrible, mais traitable. Même si la jambe déformée de cette femme la rebutait, Kiley savait devoir faire quelque chose. Tandis qu’elle désinfectait et bandait cette jambe, sa patiente s’est mise à pleurer. Préoccupée, Kiley lui a demandé si elle lui faisait mal, ce à quoi la femme lui a répondu : « Non. C’est juste que c’est la première fois en neuf ans qu’une personne me touche. »

    La lèpre est une autre maladie qui peut repousser les gens, et la culture juive de l’Antiquité comportait des directives à respecter à la lettre pour éviter sa propagation, comme la Bible le précise : « Il [le lépreux] habitera seul ; sa demeure sera hors du camp » (LÉ 13.46).

    Voici pourquoi il est remarquable qu’un lépreux se soit approché de Jésus pour lui dire : « Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur » (MT 8.2). Or, « Jésus étendit la main, le toucha, et dit : Je le veux, sois pur » (V. 3).

    En touchant la jambe malade d’une femme esseulée, Kiley s’est mise à manifester l’amour courageux de Jésus qui a le pouvoir de tisser des liens humains. Un simple toucher a amélioré les choses.

    Améliorons les choses par la victoire sur nos peurs et la foi en Dieu.

     

     

    Tim Gustafson

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

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    Osez croire

     

     

     

    Osez croire

     

     

     

     

    “Élisée lui dit : à cette même époque, l’année prochaine, tu embrasseras un fils. Elle dit alors : Non ! Mon Seigneur, homme de Dieu, ne déçois pas ta servante !” 2 Rois 4.16 

     

    Une femme aisée, vivant dans le village de Sunem, avait pris pour habitude avec son époux de recevoir Élisée à leur table. Puis, ce couple aménagea spécialement une chambre pour le prophète. Élisée, touché par cette générosité, désira les bénir en retour. Lorsqu’il apprit que ses hôtes ne parvenaient pas à avoir d’enfant, il leur fit une promesse en disant : "À cette même époque, l’année prochaine, tu embrasseras un fils." Lorsque la femme entendit cela, plutôt que de se réjouir, elle s’écria : "Non ! Mon Seigneur, homme de Dieu, ne déçois pas ta servante !"

     

    Les promesses de Dieu sont oui et amen.

     

    Certainement voulait-elle le croire alors qu’elle n’osait plus espérer. Êtes-vous comme elle ? Vous arrive-t-il de vouloir croire, sans y oser…? Vous voulez croire que Jésus est capable de vous guérir, de vous délivrer, d’amener la conversion d’un parent, de pourvoir à vos besoins, de répondre à une prière secrète. Oui, vous aimeriez y croire mais en même temps, vous n’osez plus par peur d’être déçu. Vous aimeriez croire à tout ce que la Bible enseigne en matière de miracles, de guérisons, de prodiges mais vous ne l’osez plus. Pire, vous ne voulez plus que l’on prie pour vous de peur d’être encore désabusé ou que cela ne fonctionne pas. Comme la femme de ce récit vous dites : "Ne déçois pas ta servante".

    Vous croyez en la guérison, au pardon, à la délivrance, etc. mais pour les autres, pas pour vous. Aujourd’hui, vous êtes dépité, l’usure du temps a laissé des marques. Vous avez toujours foi en Dieu et en même temps vous avez perdu tout espoir.

    Les promesses de Dieu sont oui et amen. Le Seigneur n’est pas un menteur. Ce qu’il dit, il l’accomplit. Malgré sa peur d’être déçue, elle eut un fils. Ne craignez plus, osez croire…

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, je n’osais plus y croire, j’ai été tellement déçu. Je m’attends à toi, tout simplement, amen.

     

     

    Patrice Martorano
    (Source : TopChrétien)

     

     

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    Vous pouvez surmonter la tentation

     

     

     

    Vous pouvez surmonter la tentation

     

     

     

     

    "Ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous" 2 Corinthiens 2.11 

     

     

    Vous serez toujours tenté(e) dans vos domaines de faiblesse.

    Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous.


    Alors :

    1) préparez-vous. Sinon vous ne serez pas prêt(e) le moment venu. D'où nait la tentation ? De vos pensées ! Chaque défaite manifestée par votre conduite a d'abord été une bataille perdue par votre esprit. Paul écrit à ce propos : "Ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous".

    2) anticipez le choc. Demandez à Dieu de vous aider à détecter l'arrivée de Satan, et attachez votre ceinture. Dans une salle d'un château en Allemagne se trouve un mur taché d'encre. Martin Luther y était plongé dans la prière lorsqu'il s'est soudain rendu compte de la présence de l'ennemi. On raconte qu'il a saisi un encrier pour le jeter violemment contre le mur, en direction du diable. Luther avait senti l'adversaire approcher et a répondu comme il pouvait. Certes, c'est un peu exagéré, mais vous, avez-vous cette sorte de sensibilité spirituelle ?

    3) soumettez-vous à Dieu, puis renvoyez le diable, sinon il vous vaincra. "Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous"
    Jacques 4.7. Satan veut que vous fassiez le contraire. Ne tombez pas dans son piège ! Si aujourd'hui vous luttez contre la tentation, appuyez-vous sur cette promesse : "Le grand-prêtre que nous avons est capable de souffrir avec nous de nos faiblesses. En effet, comme nous, il a été tenté en toutes choses, mais lui n'a pas péché. Approchons-nous donc avec confiance du Dieu puissant qui nous aime. Près de lui, nous recevrons le pardon, nous trouverons son amour, et ainsi, il nous aidera au bon moment" Hébreux 4.15-16.

    Un encouragement pour aujourd'hui :
    Dieu vous donnera la grâce nécessaire pour surmonter la tentation.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Votre parcours de vie

     

     

     

     

    Votre parcours de vie 

     

     

     

     

     

    Lecture proposée : Jean 14.15‑21 

     

    Je ne vous laisserai pas orphelins ; je viendrai à vous. V. 18

     

    J’ai grandi dans les années 1960, marquées par la rébellion, et j’ai tourné le dos à la religion. J’avais fréquenté l’église toute ma vie, mais sans me convertir à Christ, jusqu’au jour où j’ai eu un terrible accident au début de la vingtaine. Depuis lors, j’ai passé ma vie d’adulte à parler de l’amour que Dieu a pour nous tous, ce qui est devenu mon parcours de vie. 

     

    Au sein de notre monde brisé, la vie constitue certainement « un parcours ». Chemin faisant, nous traversons montagnes et vallées, rivières et plaines, autoroutes encombrées et routes désertes – des hauts et des bas, des conflits et des deuils, des déchirements et la solitude. Nous ne voyons pas devant nous, si bien que nous devons prendre les choses comme elles viennent, et non comme ce que nous aimerions qu’elles soient. 

     

    Le disciple de Christ ne chemine cependant jamais seul. La Bible nous rappelle la présence constante de Dieu à nos côtés. Partout où nous allons, il est là (PS 139.7‑12). Il ne nous abandonnera jamais (DE 31.6 ; HÉ 13.5). Après leur avoir promis de leur envoyer le Saint‑Esprit, Jésus a dit à ses disciples : « Je ne vous laisserai pas orphelins ; je viendrai à vous » (JN 14.18). 

     

    Nous pouvons aborder avec assurance les défis et les opportunités qui se présentent à nous durant notre parcours, car Dieu nous a promis de nous accorder sa présence incessante. 

     

    La foi ignore où elle va, mais aime et connaît son Auteur.
    O. Chambers
     

     

     

     

    Bill Crowder 

     

     

     

     

     

     

     

     

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