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    Message personnel

     

     

     

    Message personnel

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 145, versets 8 à 18.

    En effet, Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.  Jean 3.16

     

    Attardons-nous sur ce verset essentiel :

    Car Dieu : le Créateur, le seul vrai Dieu révélé dans la Bible.
    a tant aimé : Dieu aime d’un amour insondable.
    le monde : tous les êtres humains, sans exception.
    qu’il a donné : il agit par grâce.
    son Fils unique : Jésus, don parfait, car il est lui-même Dieu.
    afin que quiconque : personne n’est exclu, ni vous ni moi.
    croit en lui : une seule chose est nécessaire : placer sa confiance en celui qui a donné sa vie à la croix.
    ne périsse pas : celui qui appartient à Jésus n’ira pas en enfer.
    mais qu’il ait la vie éternelle : la vie sans fin auprès de Jésus.

    Relisez ce verset en le personnalisant ainsi :
    « Car Dieu m’a tant aimé(e) – moi personnellement – qu’il a donné son Fils unique, afin que je ne périsse pas, mais que j’aie la vie éternelle, si je crois en Jésus-Christ. »

     

    Françoise Lanthier
    (Source : aujourdhui.com)

     

     

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    S'affranchir de la peur

     

     

     

    S'affranchir de la peur

     

     

     

    J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur… Genèse 3.10 

     

    Le premier sentiment qu’ont éprouvé Adam et Eve lorsqu’ils ont transgressé l’ordre divin, ce fut la peur ; c’est ce qu’exprime Adam lorsque Dieu l’appelle. Ce récit biblique montre le lien qui existe entre la peur et le sentiment de culpabilité.

     

    Connaissez-vous les auteurs compositeurs Thierry Ostrini et Chris Christensen ? Ils ont écrit et composé ce merveilleux chant : "Libres de nos chaînes, nous marchons vers toi. Ta main souveraine affermit nos pas…" Ce beau cantique se termine par cette proclamation : "Bannissons la peur, chantons sa victoire, Jésus est vainqueur".

     

    Si j’ai retenu ce chant, c’est parce que l’une des chaînes, les plus tenaces à briser dans nos vies, est la chaîne de la peur. Dans le Proverbe 29.25, il est écrit : "La peur tend un piège à l’homme…"

     

    Peut-être est-ce le sentiment que vous éprouvez en ce moment. Ce sentiment, tel un filet qui vous emprisonne, enferme votre âme dans la crainte. Recevez cette bonne nouvelle : Jésus est venu pour vous affranchir de ce lien étouffant. À de nombreuses reprises, Jésus prononce cette parole dans les évangiles : "N’ayez pas peur" (Jean 6.20).

     

    Avez-vous peur de témoigner ? Cela est arrivé à un apôtre ! Souvenez-vous que lorsque Jésus a été arrêté, Pierre a eu peur de déclarer à une humble servante, qu’il était un disciple de Christ. Plus tard, il recevra la force de ne plus craindre les menaces des puissants de l’époque.

     

    La peur est destructrice, de nombreuses personnes ont été psychiquement, et même physiquement, détruites par son influence. Ce peut être la peur d’être abandonné, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur d’être persécuté, la peur du lendemain…

     

    Dans le Psaume 27, David parle de diverses peurs qui peuvent nous atteindre : peur de l’abandon, peur de la guerre et des ennemis, peur de la persécution… mais il proclame avec foi, dès le début de ce Psaume : "L’Eternel est ma lumière et mon salut : de qui aurais-je crainte ? L’Eternel est le soutien de ma vie : De qui aurais-je peur?" (Psaume 27.1) 

     

     

     

    Paul Calzada

     

    (Source : TopChrétien)

     

     

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    Secouez-le et laissez tomber

     

     

     

    Secouez-le et laissez tomber

     

     

     

     

    “Paul secoua la vipère dans le feu et ne ressentit aucun mal…” Ac 28.5 

     

    Alors qu’il se rendait à Rome Paul se retrouva, à la suite d’un naufrage, sur l’île de Malte. Il était en train de ramasser des branches pour alimenter le feu que ses compagnons avaient allumé sur la plage pour se réchauffer lorsqu’une vipère s’enroula autour de l’un de ses bras. La Bible nous dit qu’il secoua la vipère dans le feu comme si c’était la chose la plus naturelle du monde !

    Comment réagissez-vous face à votre passé ? Revivez-vous sans cesse vos souffrances passées, ressassant les moments les plus douloureux pour ne jamais les oublier, ou les secouez-vous dans le feu, comme l’a fait Paul, pour vous en débarrasser une fois pour toutes avant de continuer vers votre avenir dicté par Dieu ?

    Ecoutez encore ce qu’a dit Paul un jour : “oubliant ce qui est derrière moi, et tendant toute mon énergie vers ce qui est devant moi, je poursuis ma course…”(Ph 3.13). Le seul endroit où votre passé peut continuer à vivre, c’est dans votre esprit ! Paul n’oublia pas le passé, mais il le secoua, le jeta derrière lui et continua sa mission.


    Vous n’arriverez jamais à grimper l’échelle jusqu’en haut si vous vous obstinez à soulever en même temps le fardeau de vos déceptions passées. Ses propres frères jetèrent Joseph en esclavage, des mensonges le conduisirent dans une prison égyptienne, mais plus tard, quand il se retrouva au milieu des fastes du palais de Pharaon, il n’eut aucune parole de haine, aucune idée de vengeance envers qui que ce soit. Il n’avait pas de temps à perdre avec de tels sentiments.

    Si vous vous imaginez que vous pourrez vous reposer une fois disparues les épreuves au milieu desquelles vous vous débattez, vous êtes bien naïf ! Si vous êtes engagé dans l’œuvre de Dieu vous pouvez être sûr que vous attirerez les assauts de l’ennemi plus vite qu’un aimant !

    Satan connaît ce dont vous serez capable, une fois que la puissance de Dieu vous aura envahi, et il craint que vous en arriviez à découvrir qui vous êtes vraiment et ce que vous pourrez bientôt accomplir selon le plan de Dieu. Secouez donc votre passé et son cortège de déceptions, puis allez de l’avant aux côtés de votre Maître !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Mémoriser la Bible et vaincre les ennuis

     

     

     

    Mémoriser la Bible et vaincre les ennuis

     

     

     

    « Ah, combien j'aime ta loi ! Elle occupe mes pensées tous les jours » Psaumes 119.97, BFC

     

    Dieu nous a donné un puissant outil pour vaincre la peur : mémoriser les Écritures. La mémoire est comme un muscle ; plus on l’exerce, plus elle se renforce. Sénèque, impressionnait ses deux cents élèves en demandant à chacun de prononcer une ligne de son poème préféré. Il récitait ensuite les deux cents lignes de mémoire, dans l’ordre inverse. Saint Augustin avait un ami qui pouvait réciter tout Virgile à l’envers ! D’accord, ces gens-là étaient des surdoués, mais chacun est capable d’apprendre par cœur bien plus qu’il ne croit. Les anniversaires, les adresses et téléphones, les numéros de sécurité sociale, de compte courant, de permis de conduire, ces éléments ont deux points communs : on les utilise souvent et on en a toujours besoin. En d’autres termes, on les a mémorisés à force de s’en servir en permanence.

     

    De même, on peut vaincre ses peurs en les confrontant chaque fois qu’elles surviennent avec un verset appris par cœur. C’est puissant ! C’est efficace ! Ça marche ! Pourquoi ? Parce que la puissance de Dieu est plus grande que nos problèmes et que la Parole de Dieu est plus grande que nos ennuis. Comprenez ceci : Dieu s’engage à respecter sa Parole. Si vous citez des versets au lieu de balbutier des phrases angoissées, Dieu travaille en votre nom. Il vous a fait cette promesse : « Je me hâte d’accomplir ma parole » (Jér 1.12). Pour vaincre la peur, mémorisez et verbalisez un peu chaque jour la Parole de Dieu.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Un arc-en-ciel

     

     

     

    Un arc-en-ciel

     

     

     

     

    Lecture proposée : Genèse 9.12-17 

     

    [J’ai] placé mon arc dans la nue, et il servira de signe d’alliance entre moi et la terre. V. 13 

     

    Durant une randonnée en montagne, Adrian s’est retrouvé au-dessus de nuages en basse altitude. Avec le soleil dans le dos, il a regardé vers le bas et a vu non seulement son ombre, mais aussi un spectre du Brocken. Ce phénomène ressemble à un halo d’arc-en-ciel entourant l’ombre de la personne. Il se produit lorsque le soleil se réfléchit sur les nuages plus bas. Adrian a décrit cet instant comme « magique », un instant qui l’a immensément ravi.

     

    J’imagine combien Noé a dû s’émerveiller aussi devant le tout premier arc-en-ciel. Plus qu’un simple régal pour les yeux, cette lumière réfléchissante et colorée lui a communiqué une promesse divine. Au terme d’un déluge dévastateur, Dieu a assuré à Noé, et à « tous les êtres vivants » depuis lui, que « les eaux du déluge ne [deviendraient] plus un déluge pour détruire toute chair » (GE 9.15). 

     

    Mon Dieu, aide-moi à refléter ta gloire auprès de mon entourage

     

    Notre terre connaît encore des inondations et d’autres tempêtes terribles qui entraînent des pertes, mais l’arc-en-ciel constitue la promesse que Dieu ne châtiera plus jamais la terre par un déluge mondial. Cette promesse de sa fidélité peut nous rappeler que, même si nous subirons personnellement des pertes et la mort physique ici-bas – à cause d’une maladie, d’une catastrophe naturelle, de torts ou du vieillissement –, Dieu nous soutiendra par son amour et sa présence. Le soleil reflétant les couleurs à travers l’eau est un rappel de sa promesse de remplir la terre de ceux qu’il a créés à son image et qui reflètent sa gloire devant le monde.

     

    Par l’arc-en-ciel, Dieu rappelle à l’humanité
    qu’il ne jugera plus jamais la terre en la frappant d’un déluge.

     

     

    Kirsten Holmberg

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Ne plus s'en faire

     

     

    Ne plus s'en faire

     

     

     

     

    « Mon joug est aisé, et mon fardeau léger » Matthieu 11.30 

     

    Jésus a dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est aisé, et mon fardeau léger » (v.28–30).

     

    Il est bon de savoir que l’on n’a pas à s’en faire, ni à tout comprendre ou à porter ses propres fardeaux. En fait, il est plutôt agréable de réaliser qu’il est inutile de tout savoir sur tout ! On devrait se sentir à l’aise quand on se dit : « Je n’ai pas de réponse à cette situation difficile. Mais je ne vais pas m’inquiéter à ce sujet parce que Dieu est aux commandes et je lui fais confiance. Je vais me reposer sur lui et vivre tranquille ! »

    Lorsque l’on est submergé par les soucis et les difficultés de la vie, on a besoin d’une pause intellectuelle et émotionnelle. L’esprit a besoin de se reposer et de cesser de vouloir trouver des solutions à tout prix, et les émotions doivent se calmer pour éviter la colère. L’inquiétude prive du repos et de ses bienfaits.

    Alors, la prochaine fois que vous vous sentirez inquiet ou anxieux, rappelez-vous que vous pouvez vous sentir libre et léger. Tout ce que vous avez à faire est de vous reposer dans l’assurance de l’amour, des bienfaits et de la direction de Dieu.

     

    Si on vous demande comment vous allez résoudre votre problème, dites que vous n’y pensez pas pour le moment. Si on vous demande pourquoi, dites que vous l’avez confié à Dieu, et que vous lui faites confiance pour le résoudre à votre place.

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Dieu nous aime d'un amour éternel

     

     

     

    Dieu nous aime d'un amour éternel

     

     

     

    De loin l’Éternel m’est apparu, et m’a dit: Je t’ai aimée d’un amour éternel, c’est pourquoi j’ai prolongé envers toi ma bonté. Jérémie 31.3

     

    Ici-bas, sans nul doute, il en est beaucoup qui souffrent de solitude. Est-ce la conséquence du rejet de l’autre, de la perte d’êtres chers ou simplement de mauvais choix? Qu’importe, la finalité est la même, le malaise est là. Le sentiment de ne compter pour personne, d’être mal aimé et comme mis au banc de la société, persiste et chagrine gravement le cœur. Aussi, notre monde, empreint d’individualisme, n’apporte certainement pas les réponses appropriées pour soulager cette douleur. Alors, les laissés pour compte, les sans voix, attendent en silence. Il attendent patiemment le beau jour où leur soif d’amour sera enfin comblée.

     

    Aujourd’hui pourrait bien être ce jour! Voici, nous avons une bonne nouvelle à partager: Dieu est Amour! Même, Son Amour s’étend à tous les hommes. Il ne fait aucune distinction de tribu, de langue, de peuple ou de nation. Écoutons attentivement ceci, Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. Non, personne n’est écarté, tous sont conviés! Remarquons-le, Dieu a fait bien plus que d’user de mots pour assurer l’humanité de Son Amour: Il a fait don de Son propre Fils. Ses paroles ont été suivies d’effets. Que lisons-nous? « […] Dieu fait éclater son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. »

     

    À présent, qu’avons-nous besoin de plus que ce témoignage pour être heureux et contentés? Maintenant, le Père nous appelle Ses enfants. Quiconque demeure en Christ est aimé et accepté. Là, il n’est plus besoin de prouver quoi que ce soit. Là, il n’est plus besoin de faire d’efforts pour attirer l’attention et la sympathie. Nous sommes aimés pour ce que nous sommes et nul ne peut nous séparer de cet amour. Quel indicible bonheur!

     

    Indiscutablement, dans la chair, au détour de circonstances difficiles, la sensation d’être seuls et abandonnés nous effleurera probablement encore. Toutefois, c’est une impression, ce n’est qu’une impression! En réalité, le Seigneur Jésus est avec les Siens tous les jours jusqu’à la fin du monde. Pour éviter toutes déconvenues, prenons soin de fonder notre assurance exclusivement sur le témoignage des Écritures. C’est le seul fondement solide que nous ayons. Dorénavant, lorsque l’épreuve surviendra, nous tiendrons fermes. Oui, le cœur en paix, nous avancerons contre vents et marées. Pourquoi? Parce que rien ne pourra ébranler notre certitude d’être aimés de Dieu. Croyons-le, Dieu nous aime d’un amour éternel!

     

     

    (Source : unmessagedamour.fr)

     

     

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    Solliciter l'aide de Dieu

     

     

    Solliciter l'aide de Dieu

     

     

     

    Lecture proposée : 2 Chroniques 20.5-12,15 

     
     

    [Nous] nous présenterons devant cette maison et devant toi […] nous crierons à toi du sein de notre détresse. V. 9

     

    Pendant cinq ans, vers la fin des années 1800, des sauterelles ont envahi le Minnesota, détruisant les récoltes. Les agriculteurs ont tenté de les capturer dans du goudron et de brûler leurs champs pour y tuer les œufs. Désespérés et au seuil de la famine, beaucoup de gens ont sollicité un jour de prière à l’échelle de l’État pour solliciter ensemble l’aide de Dieu. Le gouverneur le leur a accordé : le 26 avril.

     

    Le lendemain de ce jour de prière collective, la température s’est adoucie et les œufs ont commencé à prendre vie. Puis, quatre jours plus tard, une forte chute de température en a étonné et ravi beaucoup, car elle a tué les larves. Les Minnésotains ont pu de nouveau récolter leur maïs, leur blé et leurs céréales.

     

    Durant le règne du roi Josaphat, le salut du peuple de Dieu a reposé lui aussi sur la prière. En apprenant qu’une vaste armée montait contre lui, le roi a appelé les Israélites à prier et à jeûner pour rappeler à Dieu comment il les avait secourus par le passé. Josaphat a alors déclaré que, si une calamité survenait, « l’épée, le jugement, la peste ou la famine », ils crieraient à Dieu, en sachant qu’il les exaucerait et les sauverait (2 CH 20.9).

     

    Dieu a permis aux Israélites d’échapper aux envahisseurs, et il nous entend lorsque nous crions à lui dans notre détresse. Peu importe ce qui vous préoccupe – une relation battant de l’aile ou une menace provenant du monde naturel –, présentez-le à Dieu en prière. Rien ne lui est impossible.

     

    Comment Dieu a-t-il exaucé vos prières ? Quelles situations de votre vie ou dans le monde pourriez-vous lui confier aujourd’hui ?

     

    Dieu le Créateur, tu as fait le monde et tout ce qu’il renferme. Je te prie de restaurer l’ordre et de sauver ton peuple, que tu aimes.

     

     

     

     

    Amy Boucher Pye

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Pas oublié

     

     

     

    Pas oublié

     

     

     

     

    Lecture proposée : Ésaïe 49.14-18 

     

    [Moi] je ne t’oublierai point. Ésaïe 49.15

     

    « Oncle Arthur, te rappelles-tu le jour où tu m’as amené chez le barbier et au supermarché ? Je portais un pantalon kaki, une chemise en tissu écossais bleu, un cardigan bleu marine, des chaussettes brunes et des chaussures Rockport brunes. C’était le jeudi 20 octobre 2016. » Chez mon neveu Jared, sa mémoire phénoménale – qui lui permet de se rappeler des détails comme des journées, des dates et les vêtements qu’il portait des années après un certain événement – compense les difficultés que lui impose son autisme.

     

    Jared possède un genre de mémoire qui me rappelle le Dieu d’amour omniscient – le Gardien du temps et de l’éternité. Dieu connaît tous les faits et il n’oubliera ni ses promesses ni son peuple. Vous est-il déjà arrivé de vous demander si Dieu ne vous aurait pas oublié ? Lorsque d’autres vous semblent en meilleure santé, plus heureux ou mieux réussir que vous ?

     

    Père, lorsque je me sens néglié, oublié et abandonné,
    aide-moi à me remémorer l'amour que tu as manifesté

     

    La situation moins qu’idéale que connaissait le peuple d’Israël dans l’Antiquité l’a amené à déclarer : « L’Éternel m’abandonne, le Seigneur m’oublie ! » (ÉS 49.14.) Ce n’était pourtant pas le cas. La compassion et les soins de Dieu excédaient les liens affectifs naturels que la mère a avec ses enfants (V. 15). Avant de vous croire abandonné ou oublié, remémorez-vous ce que Dieu a fait en et par son Fils, Jésus. Dans l’Évangile qui procure le pardon, Dieu a clairement dit : « [Moi] je ne t’oublierai point » (V. 15).

     

    Quand vous êtes-vous senti seul, abandonné et oublié de Dieu ? En quoi le rappel de l’amour que Dieu a manifesté en envoyant Jésus mourir pour expier vos péchés contribue-t-il à éliminer le sentiment d’être oublié de lui ?

     

    Père, lorsque je suis tenté de me sentir négligé, oublié et abandonné,
    aide-moi à me remémorer l’amour que tu as manifesté en envoyant Jésus mourir pour moi.

     

     

     

    Arthur Jackson

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Résoudre ses problèmes

     

     

     

    Résoudre ses problèmes

     

     

     

     

    « Le Saint-Esprit […] vous enseignera toutes choses » Jean 14.26 

     

     

    1) Écoutez le Saint-Esprit en vous. Il vous rappellera le plan de Dieu et vous montrera comment le réaliser. Jésus affirme : « Le Saint-Esprit […] vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que moi je vous ai dit ». Qu’est-ce que la Parole de Dieu vous demande ? L’avez-vous déjà fait ? L’obéissance apporte la bénédiction.

    2) Passez chaque jour du temps avec Dieu dans la prière. David a dit : « Au jour du malheur, il me cachera sous l’abri de sa tente » (
    Ps 27.5). Cette « tente » était une pièce secrète dans le palais, si bien fortifiée qu’elle était inviolable. Tout l’enfer aurait pu se déchaîner : dans ce lieu, il y avait la paix. Vous laissez-vous submerger par des choses sans importance ? Êtes-vous contrarié(e) par des frivolités ? Restez seul avec Dieu et laissez-le corriger votre point de vue.

    3) N’ayez jamais trop d’orgueil pour vous passer d’aide et de conseil. La Bible dit que ceux d’entre nous qui sommes forts devons porter les fardeaux des faibles (voir
    Ro 15.1). Il y a des temps où nous devons relever les autres, et des temps où nous devons être relevés.

     Jésus a guéri une femme infirme depuis dix-huit ans. Luc écrit : « Elle était courbée et ne pouvait absolument pas se redresser » (
    Lu 13.11). Parfois, vous avez besoin d’aide parce que vous ne pouvez pas vous aider vous-même. David l’avait bien compris quand il s’est tourné vers les fils d’Issacar qui avaient « la connaissance du discernement des temps pour reconnaître ce que devait faire Israël » (1Ch 12.33
    ). Dieu veut nous aider ! Profitons-en !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Vous pouvez vaincre votre géant

     

     

     

    Vous pouvez vaincre votre géant

     

     

     

    “La bataille appartient au Seigneur…” 1 S 17.47 

    Un jour on amena devant Alexandre le Grand un soldat accusé d’avoir fui devant l’ennemi. Alexandre lui demanda : “Quel est ton nom ?” La tête baissée, le soldat répondit : “Alexandre.” Le roi le prit par les épaules et le secoua en criant : “Soldat, tu dois changer d’attitude ou changer de nom !”

    Et vous, vous avez été appelé à vivre une vie qui honore la personne dont vous portez désormais le nom ! Quel que soit le “géant” que vous devez affronter, accoutumance à la drogue ou à l’alcool, amertume, peur, orgueil, attirance charnelle, convoitise ou colère, vous devez comprendre :

    1- que vous n’êtes pas le seul à lutter. Les tentations qui vous assaillent “ne sont en rien différentes de toutes celles que les autres êtres humains ressentent…” (1 Co 10. 13 TP). Goliath n’était pas né géant : ses parents l’ont nourri et se sont occupés de lui et il a grandi peu à peu jusqu’à le devenir. Nos “géants” ont grandi à partir de “péchés véniels” auxquels nous n’avons pas prêté attention et que nous avons “nourris” jusqu’au jour où ils ont exercé une emprise sur nous et se sont mis à envahir notre vie.

    2- que vous ne pouvez pas vous en sortir tout seul ! Votre “géant” vous dominera chaque fois que vous essayerez de l’affronter en comptant sur votre propre force. David a dit à Goliath : “Cette bataille est celle du Seigneur, et c’est Lui qui te livrera entre nos mains” (1 S 17. 47 TP). Vous avez besoin de l’aide divine pour surmonter vos mauvaises habitudes. Affirmez comme Paul : “Je suis capable de tout, grâce au Christ qui me rend fort” (Ph 4. 13).

    3- qu’il vous faut affronter votre “géant” de face et sans tergiverser. La Bible nous dit : “David courut à toute vitesse pour affronter le Philistin” (1 S 17. 48). Ne prenez pas la fuite, n’essayez pas de trouver un compromis, refusez toute négociation, forcez votre géant à sortir de l’ombre et ne le laissez pas revenir dans votre vie. Etablissez des barrières entre lui et vous. Apprenez à rendre compte de votre conduite devant quelqu’un de sûr et de fidèle. Evitez les mauvaises compagnies. Et surtout, n’évaluez jamais la force divine en fonction de celle de votre géant, mais toujours la force de votre géant, en fonction de celle de Dieu !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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