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    Votre complément spirituel quotidien

     

     

     

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    « Notre capacité vient de Dieu » 2 Corinthiens 3.5 

     

    Ann Shorb, conseillère chrétienne, écrit: « Chaque matin, je prends un assortiment de compléments nutritionnels. Chacun a quelque chose dont j’ai besoin, mais un seul ne suffit pas pour me rassasier. »


    Voici les compléments spirituels dont elle parle.

    1) Sa mort sur la croix suffit à mon salut : « Il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (
    Hé 7.25).

    2) Sa force suffit à ma faiblesse : « Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente la vigueur de celui qui est à bout de ressources » (
    Esa 40.29).

    3) Son autorité suffit à mes combats. Jésus a dit : « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre » (
    Mt 28.18).

    4) Sa puissance suffit à me restaurer : « L’Éternel soutient tous ceux qui tombent et redresse tous ceux qui sont courbés » (
    Ps 145.14).

    5) Sa sagesse et son savoir suffisent à me conduire : « Il connaît […] la voie où je me tiens ; quand il m’aura mis à l’épreuve, j’en sortirai pur comme l’or » (
    Job 23.10
    ).

    6) Sa grâce suffit à tous mes besoins : « Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse » (
    2Co 12.9).

    Dans certaines versions,
    Ps 51.14
    dit : « Rends-moi la joie de mon salut », au lieu de : « Rends-moi la joie de ton salut ». Rien à voir ! Mon salut signifie que je travaille pour être sauvé et que je ne sais jamais si j’en ai fait assez. Le salut dépend totalement de l’œuvre achevée de Christ sur le Calvaire. On admet alors que malgré nos insuffisances, « notre capacité vient de Dieu ».

     

     

    Bob Gass

     

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    Ne jouez pas avec conscience

     

     

    Ne jouez pas avec conscience

     

     

     

    Je serre Ta parole dans mon coeur afin de ne pas pécher contre Toi.” Ps 119. 11 

    Il existe une plante carnivore qui attire les insectes par ses couleurs éclatantes. Une fois à l’intérieur ceux-ci glissent sur les bords d’un tube couvert d’un liquide sirupeux jusqu’au fond où ils se noient. Satan fait un peu la même chose : il êtes attire sur les bords sirupeux de la tentation jusqu’au moment où vous ne pouvez plus vous en sortir.

    Adam Clarke travaillait dans un magasin qui vendait de la soie. Un jour son patron lui suggéra d’étirer les tissus de soie lorsqu’il mesurait une longueur pour un client afin de gagner davantage sur le prix. Adam répondit qu’il pouvait certes étirer la soie, mais pas sa conscience !

    Après le scandale du Watergate, un conseiller de Nixon affirma : “Nous nous étions tous convaincus que nous ne faisions rien de mal jusqu’au jour où nous nous sommes rendu compte de la gravité de ce que nous faisions, mais à ce moment-là, nous ne pouvions plus faire machine arrière.”

    Dans un article paru récemment 91% des personnes interviewées affirmaient qu’elles mentaient régulièrement et 70% pensaient qu’il n’y avait pas de limite absolue entre le bien et le mal. Dieu dit pourtant : “Ne déplace pas les bornes établies dans le passé…” (Pr 22. 28). Car ces limites ont été établies pour notre bien. “Retenez fermement ce qui est juste…” (1 Th 5. 21).

    Ce qui est juste l’est même si le reste du monde fait le contraire, et ce qui est mal l’est toujours même si tout le monde s’empresse de le faire. Au bout de 40 jours de jeûne, Satan dit à Jésus de “changer les pierres en pains” (Mt 4. 3). Il n’y a rien de mal à manger quand on a faim, mais écouter Satan est une autre affaire ! Lorsque Satan détourna le sens des Ecritures pour justifier le péché, Jésus les utilisa pour le contrecarrer. Et vous pouvez en faire autant !

     

     

    Bob Gass

     

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    Dieu te gardera de tout mal, il est fidèle

     

     

     

    Dieu te gardera de tout mal, il est fidèle

     

     

     

     

    "Il gardera les pieds de ses bien-aimés. (1 Samuel 2.9)".


    Le chemin est glissant et nos pieds sont faibles ; mais le Seigneur les affermira. Si, nous, ses bien-aimés, nous nous abandonnons à lui par un acte d'obéissance et de foi, il sera lui-même notre gardien. Non seulement « il donnera charge à ses anges de nous porter, de peur que notre pied ne heurte, »mais il gardera lui-même nos pas.

    « Il gardera nos pieds de toute chute, » en sorte que notre robe reste sans tache et sans dommage et que notre âme ne subisse aucune blessure, « de peur que nous ne donnions à l'adversaire l'occasion de médire. »

    Il gardera nos pieds de s'égarer et les préservera de suivre les sentiers de l'erreur, les voies de la folie, ou le chemin large du monde.

    Il les gardera des contusions et de l'enflure causées par l'aridité ou la longueur de la route.

    Il les préservera des blessures, les armant de chaussures telles qu'ils puissent « fouler le lionceau et le dragon » et « marcher sur les serpents et sur toutes les forces de l'ennemi, » et que « rien ne puisse nous nuire. »

    Enfin, « il tirera nos pieds du filet, » et nous ne resterons point enlacés dans les séductions et les pièges que nous tendront les puissances rusées et malignes de l'ennemi.

    Avec une promesse semblable, nous pourrons « marcher et ne nous lasser point, courir et ne nous fatiguer point. » « Celui qui te garde est fidèle, il te gardera de tout mal. »

     

     

    Charles Spurgeon

    (Source : adoredieu.com)

     

     

     

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    Faites preuve de persévérance

     

     

     

    Faites preuve de persévérance

     

     

     

    “Vous avez besoin de persévérance pour accomplir la volonté de Dieu et pour obtenir ainsi ce qu’Il promet.” He 10. 36 

    Les difficultés et les épreuves ne sont pas là pour vous abattre, ni vous déprimer ou vous décourager. Dieu tient à ce qu’elles vous aident à vous développer. La qualité du vainqueur est de voir les problèmes comme des occasions de victoire et non des obstacles insurmontables. Les plus grandes leçons divines, vous les apprendrez non pas dans les saisons de joie et de facilité, mais quand vous persévérez à travers vos difficultés.

    Savez-vous comment se déroule d’habitude la naissance d’un girafon ? La girafe donne naissance soit debout, soit en marchant. Les pieds et la tête du girafon sortent d’abord jusqu’au moment où le bébé tombe par terre d’une hauteur d’environ deux mètres et roule sur son dos. C’est le moment le plus critique parce qu’alors le girafon est sans défense, ne pouvant pas encore s’enfuir. Il doit apprendre à se redresser sur ses minces pattes dans l’heure qui suit sa naissance. La girafe se place au-dessus du girafon qui tente de redresser, retombant souvent sur le dos. Pour l’encourager, elle le pousse de ses sabots, à petits coups résolus. Elle continue à stimuler ses efforts avec ses coups de sabots jusqu’à ce qu’il puisse se tenir droit et commence à marcher. Il va pouvoir enfin se nourrir du lait de sa mère qu’il ne pourrait atteindre s’il restait couché sur le sol.

    Quand la vie vous a abattu, souvenez-vous que Dieu agira un peu comme la girafe pour vous encourager à persévérer. Si le girafon ne peut se tenir droit au bout d’une heure, il risque la mort. Certaines circonstances de la vie seront aussi cruciales : vous devrez vous relever sans vous laisser aller, si vous tenez à survivre. Accomplir la volonté divine requiert beaucoup de persévérance, mais la récompense promise vaut bien tous les efforts !

     

    Bob Gass

     

     

    Faites preuve de persévérance

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    Quand notre force est perdue

     

     

     

     

    Quand notre force est perdue

     

     

     

    Lecture proposée : Lamentations 3.13-24

     

    Les bontés de l’Éternel ne sont pas épuisées, ses compassions ne sont pas à leur terme. V. 22 

     

    Je ne pourrai jamais retrouver la force de la nature qu’était notre fille Melissa. Les instants merveilleux où nous la regardions jouer avec joie dans l’équipe de volleyball de son lycée sont en train de s’effacer de ma mémoire. Et il est parfois difficile de me rappeler le timide sourire de satisfaction qui passait sur son visage lorsque nous faisions des activités en famille. Son décès à l’âge de dix-sept ans a voilé la joie de sa présence.

     

    Dans le livre des Lamentations, les paroles de Jérémie démontrent qu’il est possible d’avoir le cœur brisé : « Ma force est perdue, je n’ai plus d’espérance en l’Éternel ! » (3.18.) Sa situation était très différente de la vôtre et de la mienne. Il avait prêché le jugement divin, mais il a malgré tout vu la défaite de Jérusalem. Il s’est senti vaincu (V. 12), isolé (V. 14) et abandonné de Dieu (V. 15-20). 

     

    Père, je te loue de ce que tu es le Dieu de compassion.
    Même lorsque nous marchons dans la vallée des ténèbres.

     

    L’histoire ne s’arrête toutefois pas là. La lumière a percé les ténèbres. Accablé et brisé, Jérémie a balbutié : « Voici […] ce qui me donnera de l’espérance. Les bontés de l’Éternel ne sont pas épuisées » (V. 20,21). Et voici précisément ce que nous devons nous rappeler au sujet de Dieu lorsque notre force est perdue : « Ses compassions ne sont pas à leur terme ; elles se renouvellent chaque matin » (V. 22,23). 

     

    Même durant nos heures les plus sombres, la grande bonté de Dieu nous éclaire.

     

     

    Dieu est notre lumière même dans les endroits les plus ténébreux.

     

     

     

    Dave Branon

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Une affaire de paix

     

     

     

    Une affaire de paix

     

     

     

    “A celui qui garde son esprit fermement attaché à toi, Tu assures une paix parfaite parce qu’il met sa confiance en Toi.” Es 26. 3 TP

    Le monde aspire à la paix, pourtant savez-vous qu’en 3500 années de civilisation seulement 286 ne connurent aucune guerre quelque part sur la terre, alors que plus de 8000 traités de paix furent signés entre les peuples ? Les hommes cherchent la paix partout excepté au bon endroit, ou auprès de la bonne personne.

    La vraie paix ne peut venir que du “prince de la paix”, Jésus Lui-même. La paix ne dépend pas des circonstances, la paix n’est pas l’absence de problèmes, la paix se trouve dans la présence de Dieu. Ne courez pas après la paix. Vous ne la trouverez jamais. Elle vous trouvera si vous gardez vos regards fermement fixés sur Jésus. Faites de Lui le centre de votre vie quotidienne et la paix remplira votre cœur. La paix est affaire d’orientation et de concentration ! Si vous demeurez obsédé par les circonstances vous vivrez sans cesse dans l’anxiété.

    Les circonstances changeront au cours de votre vie, mais Dieu ne change pas, et rien n’échappe à Son contrôle. Paix et soucis sont de perpétuels ennemis. Les soucis étouffent votre confiance, réduisent votre vision sur l’avenir et affaiblissent votre esprit et vos jugements.

    Au lieu de faire confiance à Dieu qui peut gérer tous vos problèmes, et pour qui rien n’est impossible, vous faire du souci équivaut à voter une motion de censure contre Lui. Chaque fois que vous doutez de Sa capacité à vous aider et vous guider, vous lui dites en fait : “Je ne pense pas que Tu sois capable de gérer ma situation. Je vais donc porter mon fardeau tout seul et me débrouiller d’une manière ou d’une autre” ! Vous affirmez en outre que vous ne prenez pas Ses promesses au sérieux, que vous tenez le verset 28 de Romains 8 comme exagéré ou carrément le considérez comme un mensonge. La solution est pourtant simple, suivez à la lettre cet autre verset : “Déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis, car Il prend soin de vous” (1 P 5. 7).

     

     

    Bob Gass

     

     

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    De la chenille au papillon

     

     

     

    De la chenille au papillon

     

     

     

     

    Nous attendons le Seigneur Jésus Christ comme Sauveur, qui transformera le corps de notre abaissement en la conformité du corps de sa gloire. Philippiens 3 : 20, 21
    Nous savons que, quand il sera manifesté, nous lui serons semblables, car nous le verrons comme il est. 1 Jean 3 : 2


    La transformation progressive d’une chenille en papillon est une belle image de la vie d’un croyant. La chenille se traîne sur la terre et mange des feuilles. Puis elle s’enferme dans son cocon comme dans un cercueil, immobile, inanimée. Et, après bien des jours, l’insecte se libère de son carcan, déploie ses ailes au soleil et se met à voler dans les airs avec légèreté, se nourrissant du suc des fleurs. C’est une nouvelle vie, et pourtant, c’est le même insecte. Quel mystère !

     

    Pour émerger de son cocon, l’insecte se livre à une lutte laborieuse. Si on cherche à l’aider en brisant sa chrysalide, il sort aussitôt, mais il est trop faible pour voler et va bientôt mourir. Sa lutte de délivrance est absolument indispensable à son développement physique et à sa survie.

     

    Notre vie de croyants sur la terre s’apparente à celle d’une chenille. Nous luttons pour traverser diverses épreuves dont Dieu se sert pour développer nos muscles spirituels. Soyons assurés qu’il les emploie pour nous faire grandir et nous rapprocher de lui. Et si notre existence terrestre est terne et triste, il faut nous souvenir qu’un jour, sans effort, nous nous réveillerons dans la lumière, avec un corps plein de force et de beauté, un corps semblable à celui de Jésus ressuscité.

     

    « Bienheureux est l’homme qui endure la tentation, car, quand il aura été manifesté fidèle par l’épreuve, il recevra la couronne de vie » (Jacques 1 : 12).

     

     

    (Source : La Bonne Semence / chretiens.news)

     

     

     

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    La loi du lieu

     

     

    La loi du lieu

     

     

     

    « L’Éternel Dieu planta un jardin […] et il y mit l'homme qu'il avait formé » Genèse 2.8 

     

    Dieu crée d’abord le jardin, ensuite seulement il y place l’homme et la femme. C’est la loi du lieu. Comprenez ceci : vous réussissez lorsque vous êtes à l’endroit où Dieu vous veut. Avez-vous déjà éprouvé la douleur d’une luxation ? C’est atroce. C’est ce qui se passe si vous agissez par vous-même au lieu de faire la volonté de Dieu.

     

    Vous pouvez suivre la voie que vous voulez ; Dieu vous laisse le choix. Mais finalement vous irez où il veut sinon vous vous perdrez. Jonas en est un exemple. Il décide de ne pas aller prêcher à Ninive parce qu’il n’aime pas ses habitants. Les aider est la dernière chose qu’il veut faire, alors il ignore les ordres de Dieu. Résultat, il essuie une tempête qui affecte tous les passagers du bateau, il touche le fond avant de finalement arriver là où Dieu voulait qu’il aille.

     

    Retenez la leçon. Ne refaites pas ses folles, coûteuses et vaines erreurs. Dieu a demandé à Adam d’être fécond et de se multiplier (voir Ge 1.28). Puis il lui dit de remplir la terre et de la dominer.

     

    Lorsque vous arrivez au bon endroit, ne vous attendez pas à une mission facile ou une réussite immédiate. Phillips Brooks, pasteur et écrivain américain, a fait cette prière : « Seigneur, nous ne te demandons pas des fardeaux plus légers mais des dos plus solides. » Quand Paul prie pour être soulagé, Dieu lui répond : « Ma grâce te suffit » (2Co 12.9). Si vous êtes au bon endroit, et faites ce que Dieu veut, vous vous épanouissez là où les autres s’effondrent parce que vous aurez la grâce de Dieu avec vous.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Soyez résilients

     

     

     

    Soyez résilients

     

     

     

     

    Nous disons bienheureux ceux qui ont tenu ferme. Jacques 5.11 

     

    Lors de leur expédition à travers l'Amérique, les pionniers Lewis et Clark ont affronté d’incroyables épreuves. Arrivés au Missouri, pensant que le pire était derrière eux, ils ont vu les Rocheuses ! Au lieu de la tranquille descente de rivière qu’ils avaient anticipée, ils étaient devant leur plus grand défi : abandonner ou continuer ! Avec le recul, la conquête des Rocheuses leur a donné la confiance dont ils allaient avoir besoin plus tard. 

     

    Scott Peck, auteur du livre Le chemin le moins fréquenté, écrit : “Rencontrer et résoudre des problèmes nous fait grandir moralement et spirituellement. Les gens sages n’appréhendent pas les difficultés mais les acceptent”.

     

    Les sociologues qui étudient la résilience, faculté de rebondir, nous disent que les gens ont 2 manières de gérer un traumatisme :

     

    • Soit ils abandonnent par peur
    • Soit ils parviennent à rebondir justement

     

    Vous développez votre résilience en endurant les situations que vous n’aimez pas.

     

    Au lieu d’agir en victimes, les personnes résilientes suivent ces 3 étapes : 

     

    1.    Elles prennent leur vie en main

     

    2.    Elles refusent d’abandonner leurs valeurs

     

    3.    Elles se reconcentrent sur leur objectif

     

    Noela Evans dit : "Un défi est un dragon tenant un cadeau dans sa gueule. Domptez le dragon et le cadeau vous appartient." Renoncer est toujours plus facile qu’endurer. Mais si vous renoncez, vous passerez votre vie à le regretter. Si vous pensez : "Cette relation est trop compliquée, je veux en sortir" ou bien : "Ce travail n’est pas ce que j’espérais, je démissionne", rappelez-vous que vous développez votre résilience en endurant les situations que vous n’aimez pas. C’est pourquoi la Bible dit : "Nous disons bienheureux ceux qui ont tenu ferme."

     

    Une prière pour aujourd'hui :
    Seigneur, aide-moi à tenir ferme, quelle que soient les difficultés. Je ne veux pas abandonner mais rebondir en m'appuyant sur toi, tes promesses. Amen.

     

     

     

    Bob Gass

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Le don du célibat

     

     

     

    Le don du célibat

     

     

     

     

    « Chacun tient de Dieu un don particulier » 1 Corinthiens 7.7 

     

    Il n’y a rien de mal à être célibataire. Quand on croise une belle femme ou un bel homme non marié, on s’interroge : « Qu’est-ce ce qui cloche ? » Rien du tout ! Sans doute leur situation pourrait être pire s’ils étaient mariés. Ils ont peut-être suivi ce bon conseil : « Il vaut mieux être seul que mal accompagné. »

     

    Deux amis se rencontrent. L’un d’eux remarque que l’autre porte une alliance à l’index de la main droite. Il lui dit : « C’est bizarre. C’est ton alliance ? » Son ami acquiesce. Alors, le premier reprend : « Pourquoi la portes-tu au mauvais doigt de la mauvaise main ? » Et l’autre répond : « Parce que je suis marié avec la mauvaise personne. » C’est drôle non ?

     

    Mais la Bible enseigne que la vie de célibataire est non seulement une vie épanouie, mais que c’est aussi un don. Paul écrit : « Je voudrais que tous les hommes soient comme moi ; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l’un d’une manière, l’autre d’une autre ».

     

    Ça ne veut pas dire que vous êtes plus spirituel célibataire que marié. Mais le fait est que certains ont été choisis et bénis par le Seigneur pour vivre seul. Paul était dans ce cas. Il ajoute : « À ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu’il leur est bon de rester comme moi » (v.8).

     

    Hormis une période de sept ans, Paul a passé presque tout son ministère en prison où il a écrit ses Épîtres. La mission que Dieu lui avait confiée convenait au célibat. En fait, jamais personne ne devrait avoir honte ou être gêné de sa condition de célibataire.

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Cœurs inquiets

     

     

     

    Cœurs inquiets

     

     

     

     

    L’inquiétude dans le cœur d’un homme l’abat, mais une bonne parole le réjouit.  Proverbes 12. 25

    Rejetez sur Dieu tout votre souci, car il prend soin de vous. 1 Pierre 5. 7
     

    Les occupations de la vie actuelle produisent beaucoup de stress, et nous font souvent perdre notre sérénité. Notre société occidentale recherche une bonne qualité de vie et lutte pour améliorer le bien-être et la sécurité, mais cela n’empêche pas l’inquiétude générale de grandir. Pour la plupart, nous vivons plus aisément que nos parents, pourtant nous sommes facilement agités et anxieux, toujours en quête de sécurité et de confiance. Avoir l’esprit en paix est le plus grand bienfait que nous puissions souhaiter. Peut-on trouver cela dans un monde troublé ? Bien des personnes essayent d’atteindre cette paix de l’âme et de l’esprit par leurs propres moyens, en vain : rien de ce monde ne remplit le vide de l’âme. “Notre cœur est inquiet tant qu’il ne repose pas en Dieu”, écrit Saint Augustin.

     

    Jésus seul apporte la réponse efficace à l’inquiétude : “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28). Venir à Jésus Christ, c’est recevoir cette invitation pour moi-même, croire qu’il est puissant pour me délivrer du vide, des interrogations et des tourments de mon âme. Le laisser prendre les commandes de ma vie, voilà le véritable antidote à l’inquiétude.

     

    “Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé, ni craintif” (Jean 14. 27).

     

     

     

     

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

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