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    Le dépanneur inconnu

     

     

     

    Le dépanneur inconnu

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 107, versets 4 à 9.

    Sachez que l’Éternel est Dieu, c’est lui qui nous a faits. Psaume 100.3

    Un automobiliste s’était arrêté au bord d’une route aux États-Unis. Il était près de minuit. Son moteur était tombé en panne. Qui viendrait à son secours à cette heure tardive ? Pourtant une voiture s’arrêta et son occupant, un monsieur fort bien mis, en descendit.

    Le premier automobiliste songea en lui-même :
    – Ce n’est pas ce gentleman qui pourra me sortir d’embarras.

    Mais l’inconnu insista :
    – Permettez-moi de regarder sous votre capot.

    En quelques instants il repéra la cause du contact défectueux et y remédia. Le moteur se remit en marche. L’automobiliste, se confondant en remerciements, demanda :
    – À qui ai-je l’honneur de parler ?

    Son interlocuteur lui tendit sa carte de visite, et il y lut : « Henry Ford, directeur général de l’entreprise de construction automobile Ford ». Tout s’expliquait : cet homme n’était autre que le créateur de la voiture. Il la connaissait mieux que personne…

    Il faut le reconnaître : notre monde, comme la vie personnelle de chacun, est en panne. Quelque chose ne tourne pas rond. Vers qui se tourner pour trouver un remède ? De qui attendre le secours ? Le plus qualifié n’est-il pas celui qui nous a créés et qui sait de quoi nous sommes faits : Dieu lui-même ! En Jésus-Christ, il est venu réparer ce qui était cassé dans le moteur de notre vie.


    Vous qui êtes en panne au bord du chemin de la vie, n’hésitez pas à faire appel à lui !

     

    Gilles Georgel
    (Source : aujourdhui.com)

     

     

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    Aujourd'hui, ouvrez grand vos bras et votre cœur

     

     

    Aujourd'hui, ouvrez grand vos bras et votre cœur,

    et laissez Dieu y placer ce qu'il a prévu pour vous

     

     

     

     

    “Une seule chose compte : oubliant ce qui est en arrière et tendant vers ce qui est en avant, je cours vers le but...” Philippiens 3.13-14. 

    Tout en désherbant une plate-bande envahie de mauvaises herbes, Nadia pouvait entendre les cris de ses petits-enfants qui jouaient dans un pré juste derrière la haie qui clôturait son jardin. Après un moment elle se pencha et ramassa un tas de mauvaises herbes qu’elle avait arrachées avant de se diriger vers le tas de compost au bout du jardin. Soudain Peter, le plus jeune de ses petits-enfants déboucha d’un trou dans la haie, brandissant un joli bouquet de fleurs sauvages. Tout joyeux il se précipita vers Nadia, les bras ouverts pour lui offrir le cadeau qu’il venait de préparer à son intention.

    Nadia hésita une seconde, un peu frustrée à l’idée d’avoir à laisser tomber sa brassée de mauvaises herbes, mais elle se ressaisit bien vite. Elle posa ses mauvaises herbes et accepta le bouquet du bambin dont le visage s’illumina d’un grand sourire en entendant sa grand-mère le féliciter pour la beauté de son bouquet. Combien d’entre nous avançons dans la vie les bras surchargés de “mauvaises herbes” héritées de notre passé ? Nous continuons à porter les fardeaux de notre amertume, de notre refus de pardonner, de nos colères, de nos remords, de nos peurs et de nos blessures. Dieu veut que nous les mettions tous aux pieds de Jésus pour les y abandonner une fois pour toutes. Sinon nous ne saurons bénéficier de la vie abondante qu’Il veut nous offrir. L’apôtre Paul avait appris à se débarrasser de tout ce qui dans son passé le ralentissait dans sa course (Philippiens 3. 13). “Dès que quelqu'un est uni au Christ, il est un être nouveau : ce qui est ancien a disparu, ce qui est nouveau est là” (2 Corinthiens 5.17).

    Choisir de garder notre brassée de mauvaises herbes nous empêchera de découvrir le bouquet splendide que Dieu a préparé pour nous ! Bien-aimés en Christ, quelle “mauvaise herbe” Dieu vous demande-t-Il de laisser tomber ? Si vous ne le savez pas, le Saint-Esprit vous éclairera et vous donnera la force de le faire. Aujourd’hui, ouvrez grand vos bras et votre cœur, et laissez Dieu y placer ce qu’Il a prévu pour vous.

     

    Bob Gass
    (Source : adoredieu.com)

     

     

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    Cessez de tergiverser

     

     

     

    Cessez de tergiverser

     

     

     

    “Découvrez la volonté du Seigneur et hâtez-vous de l’accomplir !” Ep 5. 17 TP

    Pour ne plus tergiverser sans cesse dans la vie, suivez les quatre conseils suivants :

    1- Osez prendre en main votre vie. Vos souhaits les plus sincères, vos vœux les plus chers ne transformeront pas votre vie d’échec en réussite. Aucune baguette magique ne fera de vous, en une nuit, un être comblé. Les âmes fortes ont de la volonté, les faibles seulement beaucoup de souhaits. Vous avez besoin d’agir si vous voulez arriver quelque part !

    2- Analysez vos excuses. Une excuse est un moyen de rejeter la faute sur quelqu’un d’autre, et de mettre la solution de vos problèmes hors de votre portée. Les excuses ressemblent à des panneaux de sortie sur l’autoroute du progrès : elles ne font que vous mener vers des voies de garage. Passer de l’échec au succès est plus facile que quitter le royaume des excuses pour connaître la réussite ! Analysez donc vos excuses et apprenez à les éliminer une à une.

    3- Concentrez votre esprit sur les avantages qui seront les vôtres si vous menez à bien votre tâche. Pour surmonter les difficultés, pensez à ce que vous gagnerez une fois que vous aurez atteint votre but. Quel avantage sera le vôtre ? Quelle leçon aurez-vous apprise, qui vous aidera à accomplir la prochaine tâche ? En quoi aurez-vous acquis de la maturité et serez-vous plus fort mentalement et spirituellement ? William Halsey écrit : “Les problèmes de la vie s’amenuisent à mesure que nous leur faisons face. Touchez délicatement un chardon et il vous pique les doigts. Prenez-le à pleines mains et ses feuilles acérées se froissent entre vos doigts sans vous blesser.”

    4- Recherchez l’aide des autres. Christophe Colomb n’a pas découvert tout seul l’Amérique, il a eu besoin d’un équipage de marins ! Parlant de l’Eglise, Paul a écrit : “Chaque partie du corps a besoin des autres pour se développer…” (Ep 4. 16 TP). Vous débarrasser de vieilles habitudes inutiles et en prendre de nouvelles est plus facile avec un peu d’aide. Bien sûr cela implique de prendre un risque, car vous deviendrez plus vulnérable en partageant avec eux vos peurs et vos espoirs. Mais le jeu en vaut la chandelle !

     

    Bob Gass

     

     

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    Savez-vous gérer la déception ?

     

     

     

    Savez-vous gérer la déception ?

     

     

     

    Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous. Jacques 4.7 

     

    De nombreux chrétiens gisent abattus sur le bord du chemin de la vie parce qu'ils n'ont pas appris à gérer la déception. Mais Dieu ne veut pas que vous viviez en étant déçu(e), accablé(e), oppressé(e) - ni aujourd'hui ni aucun autre jour. 

     

    Une partie du ministère de Jésus sur la terre a consisté à délivrer tous ceux qui étaient oppressés par le diable par l'onction du Saint-Esprit. Partout, les gens déçus s'emparaient d'un nouvel espoir lorsqu'ils découvraient la puissance de Jésus. Cette même puissance est disponible pour vous aujourd'hui. 

     

    Par Jésus, vous pouvez combattre les tentatives de l'ennemi de vous accabler.

     

    Utilisez cette puissance pour vous défendre contre la déception :

     

    • En vous concentrant sur Dieu
    • En méditant Ses promesses
    • En confessant Sa Parole

     

    Soumettez-vous à Dieu dans la prière, vous et votre situation. Par Jésus, vous pouvez combattre les tentatives de l'ennemi de vous accabler. Vous pouvez le chasser afin qu'il ne puisse vous détruire. Lorsque le diable fait un pas vers vous, restez connecté(e) spirituellement afin de discerner ce qu'il essaie de faire et déjouez son plan. Avec la puissance à laquelle vous avez accès en Jésus, il n'a pas d'autre choix que de fuir.

     

    Une prière pour aujourd'hui :

    Seigneur, lorsque des échecs et des choses décourageantes viendront sur ma route, je ne resterai pas dans la déception. Je resterai connecté(e) à toi, je combattrai le diable et je le ferai fuir. Amen.

     

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : TopChrétien)

     

    Savez-vous gérer la déception ?

     

     

     

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    Gagner en seconde mi-temps

     

     

     

    Gagner en seconde mi-temps

     

     

     

    « Je guérirai leur inconstance, j'aurai pour eux un amour généreux » Os 14.4 

     

    La mi-temps d’un match permet aux joueurs de se reposer et de faire le point. C’est le moment de se regrouper, d’évaluer le déroulement de la partie et de décider des ajustements à apporter à la suite de la rencontre.

     

    Parfois on pense que le match est perdu à la mi-temps, mais à la fin, l’équipe réussit à renverser la vapeur et finit par gagner. Jusqu’au coup de sifflet final, tout reste possible. Il en va de même dans l’existence. Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.

     

    Votre horloge tourne encore. Vous n’avez vécu qu’une seule période, mais elle ne détermine pas le résultat final. Sans doute avez-vous commis des erreurs, connu des déceptions et des échecs. Peut-être la vie vous a‑t-elle durement frappé(e). Mais vous êtes toujours là.

     

    L’arbitre n’a pas encore sifflé la fin de la rencontre. Il n’est pas trop tard pour que Dieu vous utilise pour accomplir ses plans. Il regarde l’avenir, alors que l’Ennemi cherche à vous rappeler le passé.

     

    Dieu dit : « Malgré vos erreurs, tout est encore possible. » L’Ennemi dit : « À cause de vos fautes, tout est fichu. » Dieu ne vous définira jamais d’après votre vécu, tandis que l’Ennemi essayera de vous contrôler et de vous arrêter en l’utilisant contre vous.

     

    Que vous ayez été le bon, la brute ou le truand, le but de Satan est de vous garder enchaîné(e) à votre passé. Au contraire, Dieu veut vous voir en tirer des leçons puis laisser tout ça derrière vous.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Changer de point de vue

     

     

     

    Changer de point de vue

     

     

     

    « Oh ! Si je n'étais pas sûr de contempler la bonté de l'Éternel sur la terre des vivants ! » Psaumes 27.13 

     

    Voir les choses du point de vue de Dieu modifie la manière de penser. La pensée entretient les sentiments négatifs. La Bible dit : « Il est tel que sont les arrière-pensées de son âme » (Pr 23.7). Quand on se met à réfléchir de la bonne manière, la vie commence à prendre la bonne direction. On ne devient ni négatif, ni positif du jour au lendemain.

     

    Pour y arriver, il vous faut :

    1) remplacer vos pensées négatives par celles qui sont « dignes de louange » (
    Ph 4.8). Chassez vos anciennes idées noires comme vous chassez les mouches autour de vous. En insistant, vous finirez par y arriver. La balle est dans votre camp !

    2) vous souvenir des bontés passées de Dieu avant d’affronter l’avenir. Shakespeare a dit : « Ne laissez ni le jour ni la nuit profaner le passé, et puissiez-vous vous rappeler ce que le Seigneur a fait. » David a dit : « Oh ! Si je n’étais pas sûr de contempler la bonté de l’Éternel sur la terre des vivants ! Espère en l’Éternel ! Fortifie-toi et que ton cœur s’affermisse ! » (
    Ps 27.13–14).

     

    Nous n’avons pas davantage de problèmes que d’autres. C’est juste que nous y pensons plus souvent. Nos pensées génèrent nos sentiments. En voici la preuve : essayez de vous mettre en colère sans éprouver au préalable un sentiment de fureur. Ou essayez de vous sentir triste sans avoir de pensées morbides. Pour éprouver un sentiment, il faut d’abord entretenir la pensée qui le produit. Cette vérité transforme les vies et elle transformera la vôtre au fur et à mesure que vous agirez sur vos pensées !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Dans la salle d'attente (1 et 2)

     

     

     

    Dans la salle d'attente (1)

     

     

    « Garde le silence devant l'Éternel, et attends-toi à lui » Psaumes 37.7 

    On ne vient pas dans la salle d’attente du médecin pour soigner d’autres patients ou se faire soigner par eux. On ne demande pas un stéthoscope ou un tensiomètre à la secrétaire. Il ne serait pas non plus prudent de demander à son voisin : « Quel est votre traitement ? Je pourrais peut-être l’essayer. » Une salle d’attente sert à attendre. Mais on n’aime pas ça. On se faufile dans les embouteillages pour gagner du temps. On tambourine sur le comptoir pendant qu’on attend son café : « Allez, plus vite. » On n’aime pas non plus attendre Dieu. Le mot « attendre » revient sans cesse dans les Écritures quand il s’agit de notre relation avec Dieu. Mais voici ce que nous avons du mal à comprendre : pendant que nous attendons, Dieu agit. Jésus a dit : « Mon Père est continuellement à l’œuvre » (Jn 5.17, BFC). Sur le mur de sa salle d’attente, on peut lire : « Arrêtez, et reconnaissez que je suis Dieu » (Ps 46.10). On peut se reposer car il est actif, être en paix car il est occupé. Dans le langage biblique, attendre ne veut pas dire supposer le pire, s’inquiéter, avoir des exigences ou prendre le contrôle. Attente n’est pas synonyme d’inactivité. C’est un effort constant pour rester concentré sur Dieu par la prière et la foi. C’est garder le silence devant l’Éternel et s’attendre à lui, sans s’inquiéter. Dieu est le Grand Médecin. Vous êtes dans sa salle d’attente. Il sait mieux que vous ce dont vous avez besoin et il va rédiger une ordonnance pour vous guérir. Alors faites-lui confiance et attendez !

     

     

     

     

     

    Dans la salle d'attente (2)

       

     

    « Espère en l'Éternel ! Fortifie-toi et que ton cœur s'affermisse ! » Psaumes 27.14

    Dieu a donné à son peuple un curieux commandement : « Trois fois par an, tous tes hommes se présenteront devant le Seigneur, l’Éternel, Dieu d’Israël. Car je déposséderai les nations devant toi et j’élargirai tes frontières ; personne ne convoitera ton pays, pendant que tu monteras pour te présenter devant l’Éternel, ton Dieu » (Ex 34.23–24). Imaginez ! Trois fois par an ils devaient cesser de travailler, passer du temps avec le Seigneur pour l’adorer, rechercher ses conseils et recevoir ses directives pour l’avenir. Et si vous faisiez de même ? Dieu dit : « j’élargirai tes frontières ». Au lieu de perdre, vous gagneriez. Au lieu de reculer, vous iriez de l’avant. Notez aussi : « je déposséderai les nations devant toi ». Pendant que vous louez Dieu et vous attendez à lui, il mènera vos batailles. La différence entre vous et Dieu est que vous pouvez être vaincu(e), alors que lui n’a jamais perdu de bataille. Il dit aussi : « personne ne convoitera ton pays ». Vous n’avez pas à craindre la concurrence. Dieu a utilisé ces trois pèlerinages par an pour enseigner ce principe à son peuple : « Si vous vous attendez à moi à travers la louange, j’agirai en votre nom. » Sa Parole affirme : « Ceux qui espèrent en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent leur vol comme les aigles ; ils courent et ne se lassent pas » (Esa 40.31). Alors vous avez le choix : soit vous continuez à vous tourmenter, soit vous prenez chez Dieu la force dont vous avez besoin en passant du temps avec lui.

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Parlez à votre âme

     

     

     

    Parlez à votre âme

     

     

     

     

     

    Bénis l'Éternel mon âme, car c'est lui qui pardonne toutes tes iniquités, c'est lui qui guérit toutes tes maladies. Psaume 103.2-3 

     

    Voilà le message que David adresse à son âme découragée !

     

    Il n’y a rien de magique dans le fait de prendre des textes de l’Écriture, remplis de promesses divines, et de les rappeler à notre âme lorsque nous sommes accablés.

     

    Le fait de reprendre certains textes est une façon toute simple et pratique de parler à notre âme. Au lieu de laisser mon âme me parler de ses blessures, je lui demande d’écouter les promesses de Dieu.

     

    Dans l’Évangile de Jean, Jésus nous dit : "Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé." (Jean 15.7) Retenons l’importance que Jésus attribue à la nécessité que ses paroles demeurent en nous. Comment pourront-elles y demeurer ? Tout simplement en les lisant dans l’évangile, et en nous les remémorant.

     

    Au lieu de laisser mon âme me parler de ses blessures,
     je lui demande d’écouter les promesses de Dieu.

     

    Alors que notre âme est abattue, il est capital de lui rappeler la fidélité de Dieu, sa puissance, son amour, sa justice… L’apôtre Paul exhorte les croyants à faire vivre la Parole de Dieu parmi eux, non seulement en la lisant ou en l’écoutant, mais aussi au travers de chants inspirés par l’amour et la bonté de Dieu : "Que la parole de Christ habite parmi vous abondamment ; instruisez-vous et exhortez-vous les uns les autres en toute sagesse, par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantant à Dieu dans vos cœurs sous l’inspiration de la grâce." (Colossiens 3.16)

     

    Le psaume 103, cité en partie au début de cette pensée, nous montre comment David parle à son âme de ce que Dieu fait et ce que Dieu est. En proclamant cela, il restaure son âme. Il expérimente que Dieu est son secours : "Voici, Dieu est mon secours, le Seigneur est de ceux qui soutiennent mon âme." (Psaume 54.6)

     

    Lorsque notre âme est blessée, il lui faut une aide extérieure qui vienne l’aider à guérir. Si notre âme est malade, nous avons besoin de bonnes paroles de foi et d’amour de Dieu, qui vont soigner notre âme.

     

     

    Un conseil pour aujourd'hui :

    Alors que vous passez par un temps d’épreuves, parlez à votre âme de la grandeur du Dieu créateur, de son amour, de sa fidélité. Rappelez à votre âme les merveilleuses promesses du Seigneur, telle celle qui dit : "Je suis avec vous tous les jours (...)" (Matthieu 28.20)

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Sur le sable ou sur le roc

     

     

     

    Sur le sable ou sur le roc

     

     

     

    Un homme prudent... a bâti sa maison sur le roc ; et la pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé, ils se sont jetés contre cette maison ; et elle n’est pas tombée, car elle avait été fondée sur le roc... Un homme insensé... a bâti sa maison sur le sable ; et la pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé, ils ont battu cette maison ; et elle est tombée. Matthieu 7 : 24-27

     

    Construire un château de sable sur la plage, quel bonheur pour les enfants ! Les adultes aussi se prennent parfois au jeu et des concours sont organisés dans certaines villes balnéaires. Mais quel que soit le volume de la construction et ses défenses, la destinée d’un château de sable, c’est sa destruction par les vagues de la prochaine marée !

     

    Jésus Christ s’est servi d’une image semblable pour opposer « l’homme prudent » à « l’homme insensé » : celui qui entend ses enseignements et les met en pratique, et celui qui entend ses enseignements et ne les met pas en pratique. Tous les deux construisent une maison. Les mêmes intempéries se déchaînent. La maison du sage résiste, celle de l’insensé s’écroule. Pourquoi ? C’est une question de fondations : le sage a construit sa maison sur le roc, l’insensé sur le sable.

     

    Construire sur le roc, c’est avoir Jésus Christ pour Sauveur de son âme et Seigneur de sa vie. C’est dépendre de lui dans la réalité de tous les jours, vivre comme lui avec patience, persévérance, sagesse, justice, grâce, sans compromis.

     

    Construire sur le sable, c’est mener sa vie sans Dieu, choisir la facilité, l’absence de contraintes, l’immédiat, parfois l’apparence d’un christianisme formel et sans vie.

     

    Lorsque les tempêtes de la vie se mettent à souffler : deuil, maladie, épreuves diverses..., seule la construction du sage tient bon. Car rien ne peut séparer le croyant de l’amour et du secours de son Seigneur (Romains 8 : 37, 39). Quel est le fondement de ma vie ?  

     

    (Source : La Bonne Semence / chretiens.news)

     

     

    Sur le sable ou sur le roc

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    Quels sont nos gros cailloux ?

     

     

    Quels sont nos gros cailloux ?

     

     

     

    Quiconque veut venir après moi, qu’il se renonce lui-même, et qu’il prenne sa croix, et me suive : car quiconque voudra sauver sa vie la perdra et quiconque perdra sa propre vie pour l’amour de moi et de l’évangile la sauvera. Car que profitera-t-il à un homme de gagner le monde entier, et de faire la perte de son âme ? Marc 8 : 34-36


    Un professeur chargé d’un cours sur « la planification efficace de son temps » fit à ses étudiants la démonstration suivante : Prenant un seau vide, il le remplit de gros cailloux tirés d’un sac.

    Puis il demanda : Le seau est-il plein ? Oui, répondirent en choeur tous les élèves.

    Voyons cela. Et il versa d’un autre sac plusieurs kilos de gravier jusqu’à ras bord.

    Est-il rempli cette fois ? Oui, bien sûr !

    Vraiment ? dit-il, avant de verser d’un troisième sac une bonne dose de sable fin et sec qui s’infiltra sans problème.

    Quelle grande vérité nous enseigne cette petite expérience ? demanda alors le professeur aux étudiants

    Que notre agenda est plus compressible qu’on ne croit, répondit l’un d’eux. On peut toujours ajouter quelque chose.

     

    Ça dépend quoi ! Oui, mes amis, réfléchissez. Si j’avais commencé par le sable et le gravier, plusieurs gros cailloux n’auraient pu entrer dans le seau. Je voulais vous faire prendre conscience que, dans la vie, il faut commencer par placer ce qui est essentiel : relations avec Dieu, avec notre conjoint, avec nos enfants... Privilégier des distractions, des futilités, c’est comme si nous garnissions le fond de ce seau avec le sable et le gravier avant de mettre les gros cailloux. Impossible ensuite d’y faire tenir tous ceux-ci.

     

    Or nous ne disposons, vous et moi, que d’une seule vie dont ce seau est l’image. De quoi la remplissons-nous ?

     

     

     

    (Source : la Bonne Semence / chretiens.news)

     

     

     

     

     

     

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    Recyclage de pierre

     

     

     

    Recyclage de pierre

     

     

    “Que font ces Juifs incapables?… Feront-ils revivre les pierres… alors qu’elles sont calcinées?” Ne 3.34 

    Dieu avait donné l’ordre à Néhémie de reconstruire les murs de Jérusalem. Encore fallait-il trouver des pierres ! Pour ce faire Néhémie alla chercher dans la décharge de la ville les anciennes pierres des remparts, encore noircies et calcinées par les flammes du sac de la ville, plus de 70 ans auparavant.

    Les ennemis des Juifs se moquèrent d’eux : “redonneront-ils vie à ces pierres consumées par le feu ?” La réponse divine : “Oui, sans aucun doute !” Dieu est capable de recycler ce que les hommes ont mis au rebut. Si aujourd’hui vous êtes découragé et blessé, écoutez ce que Dieu veut vous dire aujourd’hui : “Je vous restituerai les années qu’ont dévorées les sauterelles…” (Jl 2. 25).

    Satan vous a peut-être fait fléchir les genoux, les autres chrétiens vous ont considéré comme inutile, mais Dieu peut encore se servir de vous. La tâche consistant à nettoyer et retailler les pierres calcinées a dû prendre du temps, de la patience et beaucoup de persévérance, avant qu’elles soient prêtes à être utilisées dans la reconstruction des remparts de Jérusalem. La même chose est peut-être nécessaire en ce qui vous concerne !

    Dans l’atelier divin, nos caractères sont remodelés, purifiés, aiguisés avant d’être mis à contribution dans les missions de Dieu. Rien n’est fini en ce qui vous concerne, tant qu’Il n’en a pas décidé ainsi. La Bible est un manuel de restauration et d’espoir ! Dieu a déclaré : “Je crée Jérusalem pour l’allégresse et son peuple pour la joie…” (Es 65. 18). Et à travers Jérémie : “Ton avenir est plein d’espérance…” (Jr 31. 17). Il peut redonner vie à ces pierres calcinées et ensevelies sous la poussière. Tel est encore Son message aujourd’hui !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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