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    Où trouver de l'aide

     

     

     

    Où trouver de l'aide ?

     

     

     

     

    « Vers toi, Éternel, j'élève mon âme » Ps 25.1

     

    Si vous avez besoin d’aide, rendez-vous au Psaume 25 et notez ce que David a fait.

     

    1) Il savait où aller : « Vers toi, Éternel, j’élève mon âme ». Récemment un lecteur nous a appelés pour nous demander de prier pour un membre de sa famille à qui on venait de diagnostiquer un cancer. Notre vie peut si vite changer ! Vers qui se tourner dans de tels moments ? Vers Dieu. Il a plusieurs noms dans la Bible, et l’un d’eux est Jéhovah-Rapha, l’Éternel qui te guérit. Merveilleux ! Sa Parole affirme : « C’est lui […] qui guérit toutes tes maladies » (Ps 103.3). Avec Dieu, aucune maladie n’est incurable. Vous pouvez donc aller vers lui aujourd’hui en toute assurance.

     

    2) Il savait à qui faire confiance : « Mon Dieu ! en toi je me confie » (Ps 25.2). Sans Dieu, une personne se doit de jouer le rôle de Dieu dans sa propre vie. Ça peut marcher quand tout va bien, mais face à la tumeur, le chômage, la saisie de la maison et les coups de fil alarmants au petit matin, ce n’est pas la même histoire. Vers qui se tourner alors ? « Vers toi, Éternel ! »

     

    3) Il savait comment prier : « Éternel ! fais-moi connaître tes chemins, enseigne-moi tes voies. Fais-moi cheminer dans ta vérité, et instruis-moi ; car tu es le Dieu de mon salut » (v.4-5). Richard Foster dit : « Prier c’est changer. C’est la voie royale que Dieu emprunte pour nous transformer. Si nous ne sommes pas prêts à changer nous allons vite nous lasser de la prière. » Avez-vous prié ? Sinon, entrez vite dans la présence de Dieu. Vous y trouverez l’aide dont vous avez besoin.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Acceptez-vous tel que vous êtes

     

     

     

    Acceptez-vous tel que vous êtes

     

     

     

     

    "Tout instrument de guerre fabriqué contre toi sera sans effet ; et toute langue qui s’élèvera en justice contre toi, tu la convaincras de méchanceté. Tel est l’héritage des serviteurs de l’Éternel […]" Esaïe 54.17

    Notre société est frappée par une épidémie d'insécurité. Beaucoup de personnes traversent une crise d'identité parce qu'elles ne savent pas vraiment qui elles sont. De ce fait, elles fondent leur valeur sur des bases erronées : leur activité, leur apparence, leurs fréquentations, leurs connaissances ou leurs biens.

    Nous devons savoir qui nous sommes en Christ, recevoir pleinement l'amour de Dieu
    pour nous et fonder notre sentiment de valeur sur ce que Dieu dit de nous et non sur ce que nous faisons.

    Que pensez-vous de vous-même ? Comment vous voyez-vous ? Vous arrive-t-il de vous comparer à d'autres et de vous sentir diminué si vous ne pouvez pas faire ce qu'ils font ou être comme eux ? Avez-vous déjà dit : "J'aimerais avoir son physique" ou "J'aimerais posséder ce qu'ils ont" ou encore "J'aimerais pouvoir faire ce que tu fais" ?

    Tout le monde connaît des moments d'insécurité. Je sais ce que c'est que de se sentir inférieur et mal dans sa peau. J'ai grandi dans un environnement familial très instable et je ne me suis jamais vraiment sentie en sécurité de toute mon enfance. C'est ce qui explique ce besoin de me sentir en sécurité et bien dans ma peau aujourd'hui.

    La bonne nouvelle est que nous n'avons pas besoin de vivre avec ce sentiment d'insécurité. La volonté de Dieu pour nous est que nous nous sentions au contraire très en sécurité et ne vivions pas dans la peur. Nous avons été créés pour être bien dans notre peau, en sécurité, confiants et pleins d'assurance ; cela fait partie de notre ADN spirituel de chrétiens nés de nouveau. Mais pour cela, nous devons savoir qui nous sommes en Christ, recevoir pleinement l'amour de Dieu pour nous et fonder notre sentiment de valeur sur ce que Dieu dit de nous et non sur ce que nous faisons.

    Un texte qui m'a beaucoup aidée à comprendre cette vérité se trouve dans Ésaïe 54.17 : "Tout instrument de guerre fabriqué contre toi sera sans effet ; et toute langue qui s'élèvera en justice contre toi, tu la convaincras de méchanceté. Tel est l'héritage des serviteurs de l'Éternel […]".

    Ce texte affirme clairement qu'en tant que serviteurs et enfants de Dieu, et par notre relation avec Jésus-Christ acquise au prix du sang, nous avons hérité du droit de nous sentir en sécurité. Nous sommes cohéritiers de Christ et tout ce qu'il possède nous appartient aussi. Mais nous devons le prendre par la foi, ce qui signifie que nous le croyons avant de le voir. Et comme nous ajoutons davantage foi à ce que nous pensons de nous-mêmes qu'à ce que les autres disent, nous devons proclamer ce que dit la Bible de nous en tant qu'enfants de Dieu. C'est seulement ainsi que nous vaincrons la mentalité négative du monde qui veut que nous nous comparions aux autres au lieu de nous voir tels que nous sommes en Christ.

    Une prière pour aujourd'hui :
    Seigneur, je te remercie d'avoir fait de moi une nouvelle créature en Christ. Je veux vivre en conformité avec mon ADN spirituel et m'accepter tel (le) que je suis en toi: enfant de Dieu et cohéritier (ère) avec Christ.

     

     

     

    Joyce Meyer
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Batailles spirituelles

     

     

     

    Batailles spirituelles

     

     

     

     

    “Fortifiez-vous dans le Seigneur et par Sa force souveraine.” Ep 6. 10

    En 1917 Aqaba semblait imprenable. Toute armée s’approchant de la forteresse se retrouvait face à la puissance de feu colossale des canons de la marine ancrée dans le port.

    Dans toutes les autres directions s’étendait un désert hostile, dépourvu d’eau et quasi infranchissable. A l’est se trouvait le fameux désert du Nafud, “l’enclume du soleil” et ses dunes brûlantes qui forment la frontière entre l’Arabie Saoudite et la Jordanie. Les Turcs croyaient Aqaba imprenable, mais ils se trompaient.

    Lawrence d’Arabie emmena une bande de cavaliers arabes à travers l’enfer de ce désert avant de rallier à sa cause les habitants de la région du port. Le 6 juillet 1917, ils pénétrèrent dans Aqaba par le nord, le point “aveugle” de la forteresse.

    L’un des moments les plus spectaculaires du film “Lawrence d’Arabie” de David Lean est le long plan qui montre les cavaliers arabes en train de galoper derrière Lawrence avec en fond d’écran les gigantesques canons de la marine incapables d’arrêter leur course. Pourquoi ? Parce qu’ils étaient tournés du mauvais côté, celui de la mer ! Aqaba fut prise et les Turcs perdirent leur emprise sur la Palestine, pour céder la place à un Protectorat britannique, remplacé plus tard par l’Etat d’Israël.

    Les Turcs échouèrent dans leur défense d’Aqaba, car ils commirent trois erreurs : Ils ne connaissaient pas leur ennemi, ils ne savaient pas quel était leur point faible, et ils ne possédaient pas les armes adéquates.

     

    La leçon pour nous ?

    1- Nous devons connaître notre ennemi. Satan minimisera sa propre force, allant jusqu’à prétendre qu’il n’existe pas afin de nous convaincre que nous sommes notre propre ennemi. S’il réussit, nous nous mettrons à combattre notre propre nature charnelle avec les forces de la chair et nous échouerons à tous les coups !

    2- Nous devons reconnaître nos propres faiblesses. Soyons honnêtes avec nous-mêmes. Fortifions-nous avant que l’attaque commence.

    3- Apprenons à bien connaître nos armes. Si nous nous armons de la Parole de Dieu, si nous nous protégeons par la prière et la fraternité des autres chrétiens, nous serons capables d’affronter notre ennemi et de l’emporter !

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Croire Dieu et progresser dans la foi

     

     

     

    Croire Dieu et progresser dans la foi

     

     

     

    « Tu as été fidèle en peu de choses, je t'établirai sur beaucoup » Mt 25.21

     

    Nicole Unice, directrice de ministère, écrit : « J’ai parfois de bonnes idées, je le sais, mais j’hésite à trop les partager ou à rêver trop grand. Et si ça ne marchait pas ? Et si les gens ne les aimaient pas ? Et si mes supérieurs revenaient sur mon contrat ? Un jour, j’ai écrit sur le mur de mon bureau : Peu importe l’échec ! Et vous, qu’auriez-vous envie de faire et que vous ne faites pas de peur d’échouer ? Quels projets poursuivez-vous, bien qu’ils ne remplissent plus leurs objectifs ? Quelles technologies évitez-vous ? Que refusez-vous d’apprendre sous prétexte que vous êtes vieux et rouillé ? Si vous n’avez rien prévu de dangereux, alors vous échouez en tant que leader. A moins d’insister pour innover ou créer, vous toucherez toujours les mêmes personnes. Si vous “commencez les tâches que Dieu vous a confiées”, vous devrez repousser les limites et tenter des choses qui peuvent échouer. »

     

    John Mason écrit : « N’ayez pas peur de vous tromper…sinon, vous ne grandissez pas. Ceux qui ont réussi arrêtent de grandir et d’apprendre le jour où ils ne veulent plus prendre de risques. L’échec est un contretemps, pas une défaite. Une déviation provisoire, pas une impasse. Tout le monde fait des erreurs, surtout ceux qui tentent. Paul dit : “Loué soit Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ” (1Co 15.57, BFC). Un échec est souvent le premier pas vers le succès. À moins d’être prêt(e) à prendre des risques, vous n’aurez aucune chance de réussir. » Aujourd’hui, faites confiance à Dieu et progressez dans la foi !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Des choses terribles et belles

     

     

     

    Des choses terribles et belles

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 57

      

    Réveille-toi, mon âme ! réveillez-vous, mon luth et ma harpe ! Je réveillerai l’aurore. V. 9

     

    La crainte peut nous paralyser. Nous connaissons toutes les raisons d’avoir peur : tout ce qui nous a nui par le passé et tout ce qui le pourrait de nouveau. Nous nous figeons donc parfois sur place, incapables de revenir en arrière et trop craintifs pour aller de l’avant. J’en suis incapable. Je ne suis pas assez intelligent, fort ou brave pour risquer encore de souffrir comme ça.

     

    Je trouve captivante la description que l’auteur Frederick Buechner fait de la grâce divine. Il la compare à une voix douce qui nous dit : « Voici le monde. Des choses terribles et belles s’y produiront. Ne craignez rien. Je suis avec vous. »

     

    Père, aide-nous à puiser dans ton amour le courage de te suivre
    et de transmettre ton amour aux autres

     

    De terribles choses arrivent. Dans notre monde, des gens blessés en blessent d’autres, souvent horriblement. Comme David, le psalmiste, il arrive que le mal et des « gens qui vomissent la flamme » nous environnent (PS 57.5). Nous pleurons et crions alors à l’aide (V. 2,3).

     

    Parce que Dieu est avec nous, de belles choses peuvent aussi se produire. En nous empressant de lui confier nos blessures et nos craintes, nous découvrons que son amour, bien plus grand que le pouvoir qu’a quiconque de nous faire du mal, nous porte (V. 2‑4), un amour qui atteint jusqu’aux cieux (V. 11). Même lorsque les calamités nous assaillent de toutes parts, son amour est un refuge sûr où notre cœur reçoit la guérison (V. 2,8). Et cela, jusqu’au jour où nous nous réveillerons avec un courage renouvelé, prêts à accueillir la journée en chantant la fidélité de Dieu (V. 9‑11).

     

      

    L’amour et la beauté de Dieu nous rendent courageux.

     

     

    Monica Brands
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Lui faire d'abord confiance

     

     

     

    Lui faire d'abord confiance

     

     

     

     

    Lecture proposée : Ésaïe 46.3-13

     

    Que le Seigneur soit loué jour après jour, c’est lui qui nous prend en charge. Ce Dieu est notre Sauveur. Psaume 68.20 (Semeur)

     

     « Ne me lâche pas, papa ! »

    « Je ne te lâcherai pas. Je te tiens bien. Promis ! »

    Abba, Père, Veuille me donner la foi nécessaire pur que je ne doute jamais
    de ta présence à mes côtés

    L’eau me terrifiait quand j’étais enfant, mais mon père tenait à ce que j’apprenne à nager. Il m’éloignait à dessein du bord de la piscine jusqu’à ce que j’aie de l’eau par-dessus la tête, où il devenait mon unique soutien. Puis il m’enseignait à me détendre et à flotter.

    Ce n’était pas qu’une simple leçon de natation, mais aussi une leçon de confiance. Je savais que mon père m’aimait et ne me ferait jamais délibérément du mal, mais j’avais quand même peur. Je me cramponnais fermement à son cou jusqu’à ce qu’il m’assure que tout irait bien. Or, sa patience et sa bonté ont fini par avoir raison de ma peur, et j’ai commencé à nager. Reste que j’ai dû d’abord lui faire confiance.

    Quand j’ai l’impression de « me noyer » dans les difficultés, je me remémore parfois ces instants‑là. Ils me rappellent les fois où le Seigneur a rassuré son peuple : « Jusqu’à votre vieillesse […] je veux encore vous porter, vous soutenir et vous sauver » (ÉS 46.4).

    Il se peut que nous ne parvenions pas toujours à sentir que Dieu nous tient bien ; reste qu’il nous a promis ceci : « Je ne te délaisserai point » (HÉ 13.5). Si nous nous appuyons sur lui et ses promesses, il nous aidera à toujours plus compter sur sa fidélité. Il nous élèvera au‑dessus de nos soucis pour que nous découvrions une nouvelle paix en lui.

     

    Si nous lui faisons confiance, Dieu nous révélera sa grâce.

     

     

     

    James Banks
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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