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    Ne vous laissez pas abattre

     

     

    Ne vous laissez pas abattre

     

     

     

    “Nous sommes jetés à terre, mais nous nous relevons et continuons.” 2 Co 4. 9 (LM)

    Vous considérez-vous comme un raté ? Aimeriez-vous sortir de votre mode de pensée négative ? Si c’est le cas examinez un aspect de votre vie où vous échouez régulièrement et suivez les cinq conseils suivants :

    1- Quelles sont vos attentes et vos buts ? Notez-les. Puis demandez-vous : “Suis-je réaliste en espérant les voir se réaliser, en espérant que tout soit parfait dès le premier essai ? Combien d’erreurs suis-je en droit d’accepter avant de réussir ?” Puis sachez ajuster vos espoirs à la réalité.

    2- Essayez de nouvelles approches ! Etudiez au moins 20 ou 30 nouvelles approches, puis essayez-en au moins la moitié. Et si les 15 premières n’apportent que des échecs, dites-vous simplement que le processus doit exiger quelques étapes supplémentaires avant de vous remettre à la tâche !

    3- Utilisez vos dons au maximum. Vous ne bénéficierez de votre intuition et ne serez efficace que dans les domaines pour lesquels vous êtes doué, alors servez-vous de ces points forts et évitez vos faiblesses. Autour de vous se trouvent bien des gens dont les rêves prendront corps dans le sillage des vôtres. Laissez-les donc entrer dans votre vie et s’allier à vous.

    4- Apprenez à vous relever. Peu importe le nombre de fois où vous trébucherez, relevez-vous et recommencez. Paul J. Meyer a écrit : “90% des gens qui échouent n’ont pas vraiment été vaincus par les obstacles. Ils se sont simplement rendus sans reprendre le combat !” Ecoutez l’apôtre Paul : “Nous sommes jetés à terre, mais nous nous relevons et continuons” (2 Co 4. 9) Relevez-vous donc !

    5- Donnez la priorité à Dieu ! Salomon a dit : “Ecoute la voix de Dieu qui te guide dans tout ce que tu fais, où que tu ailles, c’est Lui qui te maintient sur la bonne voie” (Pr 3. 5 TM). Une seule idée de Dieu, une seule, peut certainement tout changer dans votre vie, alors discutez-en avec Lui dès aujourd’hui !

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Joyeux Noël et Bonne Année - 2 Thessaloniciens 3 : 16

     

     

     

     

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    Joyeux Noël et Bonne Année- Jude 1 : 2

     

     

     

     

     

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    Non pas qui vous êtes, mais à qui vous êtes

     

     

     

    Non pas qui vous êtes, mais à qui vous êtes

     

     

     

    « Qui suis-je, pour aller vers le Pharaon […] ? » Ex 3.11

     

    Quand Dieu demande à Moïse de libérer les Israélites de l’esclavage, la conversation ressemble à ceci : « Maintenant, va, je t’envoie vers le Pharaon ; fais sortir d’Égypte mon peuple, les Israélites. Moïse dit à Dieu : Qui suis-je, pour aller vers le Pharaon et pour faire sortir d’Égypte les Israélites ? Dieu dit : Je suis avec toi » (v.10-12). Moïse résume ses craintes et son manque d’assurance en une seule interrogation : « Qui suis-je ? »

     

    Mais la question est mal posée. Le problème n’est pas de savoir qui vous êtes, mais à qui vous appartenez ! Ce jour-là, Dieu a révélé son nom à Moïse : « JE SUIS. » Son nom est la solution à chaque problème et la réponse à chaque question. Son nom calme toute crainte, marque toute prière de son sceau et gagne toutes les batailles. À son nom, les anges s’inclinent et les démons tremblent. Par son nom, notre péché est vaincu et notre autorité est affirmée.

    Qui nous sommes n’a absolument aucune importance. Dieu ne nous utilise pas à cause de nous, mais malgré nous. Non, le ciel ne va pas faire faillite si on ne paye pas la dîme. Et si vous reportez vos talents ailleurs, le royaume de Dieu ne va pas s’écrouler. Mais pour des raisons qui ne seront révélées qu’à la fin des temps, Dieu a choisi d’accomplir ses plans à travers des gens ordinaires comme nous. Avez-vous peur d’être mis hors-course si vous échouez ? La situation vous semble-t-elle insurmontable ? Elle ne l’est pas pour Dieu. Faites-lui confiance, comptez sur sa promesse : « Je serai avec toi », et allez de l’avant !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

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    Que Dieu utilise ce que vous avez

     

     

     

    Que Dieu utilise ce que vous avez

     

     

     

     

    « Qu'y a-t-il dans ta main ? » Ex 4.2

     

    La Bible raconte : « Moïse répondit : Ils ne me croiront pas et n’écouteront pas ma voix. Mais ils diront : l’Éternel ne t’est pas apparu. L’Éternel lui dit : Qu’y a-t-il dans ta main ? Il répondit : Un bâton. L’Éternel dit : Jette-le par terre. Il le jeta par terre, et cela devint un serpent » (v.1-3).

     

    Jeter le bâton sur lequel on s’appuie est un paradoxe effrayant pour tous les obsédés du contrôle. Mais aussi longtemps que vous vous y cramponnez et essayez d’en garder la maîtrise, Dieu ne pourra pas l’utiliser.

     

    Au golf, quand un amateur veut envoyer sa balle plus loin, il tient le club plus fermement, mais il obtient l’effet inverse. La clé pour pour un drive long est de jouer de manière détendue.

     

    Le bâton de Moïse, c‘est son identité et sa sécurité. Il représente sa condition de berger et la protection pour lui et son troupeau. Lorsque Dieu lui demande de le jeter, il veut l’obliger à abandonner ce qu’il est et ce qu’il possède.

     

    Et vous, qu’hésitez-vous à laisser tomber ? En fait, vous ne contrôlez rien de ce que vous retenez, c’est vous qui êtes sous contrôle. Si vous ne le lâchez pas, votre bâton ne sera toujours qu’un bâton. Mais si vous avez le courage de le remettre à Dieu, il peut devenir le bâton éclatant de son pouvoir miraculeux. Que serrez-vous dans votre main aujourd’hui ? Vous pouvez le garder et voir ce que vous pouvez en faire, ou le remettre à Dieu et voir ce que lui peut en faire. Aujourd’hui, laissez Dieu utiliser ce que vous avez.

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Cours vers moi

     

     

     

    Cours vers moi

     

     

     

    Lecture proposée : Proverbes 18.4‑12

     

    Le nom de l’Éternel est une tour forte ; le juste s’y réfugie, et se trouve en sécurité. V. 10

     

    Durant une promenade dans un parc du quartier, mes enfants et moi avons rencontré des chiens en liberté. Leur propriétaire ne semblait pas remarquer que l’un d’eux s’était mis à intimider mon fils. Celui‑ci tentait de le chasser, mais avec pour seul résultat d’inciter l’animal à le déranger encore plus.

     

    Mon fils a alors fini par céder à la panique. Il s’est éloigné de plusieurs mètres au pas de course, mais le chien l’a suivi. La poursuite a continué jusqu’à ce que je crie à mon fils : « Cours vers moi ! » Mon fils a alors rebroussé chemin et s’est calmé, puis le chien a fini par décider d’aller faire ses bêtises ailleurs.

     

    Il y a des moments dans la vie où Dieu nous appelle ainsi à lui : « Cours vers moi ! » Quelque chose qui nous trouble est sur nos talons. Plus nous cherchons à nous en éloigner au plus vite, plus cette chose se rapproche de nous. Nous ne parvenons pas à la semer. Nous avons trop peur de nous retourner et de l’affronter par nous‑mêmes. En réalité, nous ne sommes toutefois pas seuls. Dieu est là, prêt à nous venir en aide et à nous réconforter. Tout ce que nous avons à faire, c’est de nous détourner de ce qui nous fait peur pour courir dans sa direction. Sa Parole nous dit : « Le nom de l’Éternel est une tour forte ; le juste s’y réfugie, et se trouve en sécurité » (PR 18.10).

     

     

    Dieu est notre refuge dans la tempête.

     

     

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

    Cours vers moi

     

     

     

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    Demeurez fermes

     

     

     

    Demeurez fermes

     

     

     

     

    Lecture proposée : Philippiens 3.12 – 4.1

     

    [Demeurez] ainsi fermes dans le Seigneur. Philippiens 4.1

     

    On considère le mont Tianmen à Zhangjiajie, en Chine, comme l’une des plus belles montagnes du monde. Pour voir ses falaises gigantesques dans toute leur splendeur glorieuse, il faut emprunter le funiculaire Tianmen Shan sur une distance de 7455 mètres. Il est étonnant que ce téléphérique puisse parcourir d’aussi longues distances et se hisser au haut de montagnes aux parois aussi abruptes sans même que la cabine du funiculaire ne soit motorisée. Elle s’élève néanmoins en toute sécurité le long de ces hauteurs spectaculaires en restant fermement attachée à un câble qu’actionne un moteur puissant.

     

    Durant notre parcours de foi, comment pouvons‑nous achever la course « vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus‑Christ » (PH 3.14) ? Comme le funiculaire, nous nous attachons fermement à Christ, une nécessité que Paul a d’ailleurs exprimée : « [Demeurez] ainsi fermes dans le Seigneur » (4.1). Nous n’avons aucune ressource en nous‑mêmes. Nous dépendons entièrement de Christ pour qu’il nous fasse aller de l’avant. Il nous fera surmonter les plus grands défis et nous conduira sains et saufs à bon port.

     

    Vers la fin de sa vie terrestre, l’apôtre Paul a déclaré ceci : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi » (2 TI 4.7). Or, vous le pouvez aussi. Il vous suffit de rester fermement attaché à Christ.

     

     

    Garder la foi revient à croire que Dieu nous gardera fidèlement.

     

     

     

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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