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    Affranchis

     

     

    Affranchis

     

     

     

    Lecture proposée : Romains 8.1,2,15-17

    Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. (V. 1)

     

    Quand j’étais enfant et que je vivais dans un village africain, les poulets me fascinaient. Chaque fois que j’en attrapais un, je le retenais par terre, puis je le relâchais doucement. Comme il se croyait encore retenu, le poulet restait accroupi, car, même s’il était libre de s’en aller, il se sentait captif.

     

    Lorsque nous mettons notre foi en Jésus, il nous délivre selon sa grâce du péché et de l’emprise que Satan exerçait sur nous. Par contre, comme il se peut qu’il nous faille du temps pour modifier nos habitudes et nos comportements impies, Satan a le loisir de nous faire croire que nous sommes encore captifs. Reste que l’Esprit de Dieu nous a affranchis, et ce n’est pas pour nous asservir de nouveau. Paul a d’ailleurs dit aux croyants de Rome : « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus‑Christ. En effet, la loi de l’esprit de vie en Jésus‑Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort » (RO 8.1,2).

     

    Seigneur, merci de prendre sur toi mon fardeau et de m'en affranchir
    afin que je me plaise à vivre pour toi

     

    Par notre lecture de la Bible, nos prières et la puissance du Saint‑Esprit, Dieu œuvre à nous purifier et nous aide à vivre pour lui. La Bible nous encourage à marcher d’un pas sûr avec Jésus sans nous sentir encore captifs.

     

    Jésus a dit : « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres » (JN 8.36). Puisse la liberté que nous avons en Christ nous pousser à l’aimer et à le servir.

     

    Mes chaînes tombées, mon cœur libéré, à sa suite je suis allé. Wesley

     

     

     

    Lawrence Darmani
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1 et 2)

     

     

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1)

     

     

     

     

    « Il a été précipité, l'accusateur de nos frères » Ap 12.10

    L’apôtre Jean a écrit : « J’entendis dans le ciel une voix forte qui disait : […] il a été précipité, l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit » (v.10). Satan n’a qu’un but : « voler, tuer et détruire » (Jn10.10). Il va voler votre paix, tuer vos rêves et détruire votre avenir. Pour l’aider, il s’entoure d’une horde de démons beaux parleurs. Il recrute des hommes et des femmes pour distiller son venin. Des amis surgis de votre passé. Des prédicateurs qui proclament la seule culpabilité sans la grâce. Certains parents instillent ce venin 24 h sur 24. Bien longtemps dans votre vie d’adulte, vous entendez encore leur voix : « Pourquoi tu ne peux pas grandir ? » « Quand vais-je pouvoir être fier de toi ? » Alors quelle est la solution ? Jésus ! « Il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! » (
    Ro 8.34). Faites-vous à cette idée. En présence de Dieu, au mépris de Satan, Jésus-Christ prend notre défense. Il joue le rôle d’un grand-prêtre. « Nous avons un grand-prêtre placé à la tête de la maison de Dieu. Approchons-nous donc de Dieu avec un cœur sincère et une entière confiance, le cœur purifié de tout ce qui donne mauvaise conscience » (Hé 10.21-22, BFC). Tout devient pur. Il n’y a plus ni accusation ni condamnation, non seulement pour nos erreurs passées mais aussi pour celles du futur. « C’est pour cela aussi qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (Hé 7.25). Alors croyez votre avocat, non votre accusateur !

     

     

     

     

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (2)

     

     

     

    Ro 8.33 

     

    Et Paul rajoute : « Car c’est Dieu qui les déclare non coupables. Qui peut alors les condamner ? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur » (v.33-34, BFC). Les accusations de Satan s’effondrent. Alors pourquoi, après avoir prié, les entendons-nous encore ? Pourquoi, en notre qualité de chrétiens, nous sentons-nous encore coupables ? Toute culpabilité n’est pas mauvaise. Dieu en utilise la dose adéquate pour nous sensibiliser au péché. Nous savons que c’est Dieu qui la provoque lorsqu’elle produit de l’indignation, de la crainte, un désir ardent de Dieu et un zèle à voir punir le mal (voir 2Co 7.11). La culpabilité venue de Dieu nous incite à changer. Celle qui vient de Satan, au contraire, nous rend esclave. Ne le laissez pas vous passer les menottes ! Rappelez-vous : « Votre vie est cachée avec le Christ en Dieu » (Col 3.3). Lorsque Dieu vous regarde, il voit d’abord Jésus. En caractères chinois, le mot « justice » est une combinaison de deux idéogrammes : la représentation d’un agneau et celle d’une personne. L’agneau est au-dessus et couvre la personne. Chaque fois que Dieu abaisse son regard sur vous, c’est ce qu’il voit : la perfection de l’agneau de Dieu qui vous recouvre. Une seule fois dans la Bible, nous voyons Jésus écrire. Il écrit sur le sable en disant à une femme adultère qu’elle vient juste d’être pardonnée : « Personne ne t’as condamnée. Va et ne pèche plus » (voir Jn 8.10-11). Voici donc votre parole du jour : croyez votre avocat, non votre accusateur !

     

     

    Bob Gass

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1 et 2)

     

     

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    Il garde les âmes de ses fidèles - Psaumes 97 : 10

     

    Il garde les âmes de ses fidèles - Psaumes 97 : 10

     

     

     

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    Apprendre à vaincre vos géants

     

     

     

    Apprendre à vaincre vos géants

     

     

     

    “La bataille appartient au Seigneur...” 1 S 17.47

    Un jour on amena devant Alexandre le Grand un soldat accusé d’avoir fui devant l’ennemi. Alexandre lui demanda : “Quel est ton nom?” Le soldat répondit : “Alexandre.” Alexandre le Grand le prit par les épaules et le secoua en criant : “Soldat, tu dois changer d’attitude ou changer de nom!” Et vous, vous avez été appelé à vivre une vie qui honore la personne dont vous portez désormais le nom !

    Quel que soit le “géant” que vous devez affronter, accoutumance à la drogue ou à l’alcool, amertume, peur, orgueil, attirance charnelle, convoitise ou colère, vous devez comprendre :

    1- que vous n’êtes pas le seul à lutter ! Les tentations qui vous assaillent “ne sont en rien différentes de toutes celles que les autres êtres humains ressentent...” (1 Co 10. 13 TP). Goliath n’était pas né géant : ses parents l’ont nourri et il a grandi peu à peu jusqu’à le devenir. Nos “géants” ont grandi à partir de “péchés véniels” auxquels nous n’avons pas prêté attention et que nous avons “nourris” jusqu’au jour où ils ont exercé une emprise sur nous et ont envahi notre vie.

    2- que vous ne pouvez pas vous en sortir tout seul ! Votre “géant” vous dominera chaque fois que vous essayerez de l’affronter en comptant sur votre propre force. David a dit à Goliath : “Cette bataille est celle du Seigneur, et c’est Lui qui te livrera entre nos mains” (1 S 17. 47 TP). Vous avez besoin de l’aide divine pour surmonter vos mauvaises habitudes et choisir un nouveau comportement. Imitez Paul en vous écriant : “Je suis capable de tout, grâce au Christ qui me rend fort” (Ph 4. 13).

    3- qu’il vous faut affronter votre “géant” de face et sans hésiter. La Bible dit : “David courut à toute vitesse pour affronter le Philistin” (1 S 17. 48). Ne prenez pas la fuite, n’essayez pas de trouver un compromis, refusez toute négociation, forcez votre géant à sortir de l’ombre et ne le laissez pas revenir dans votre vie. Evitez les mauvaises compagnies. Et surtout, n’évaluez jamais la force divine en fonction de celle de votre géant, mais plutôt la force de votre géant, en fonction de celle de Dieu!

     

     Bob Gass

     

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    Je chanterai l'Eternel - Psaumes 104 : 33

     

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    Cas désespérés

     

     

    Cas désespérés

     

     

     

    Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 8, versets 41 à 48.

    Jaïrus se jeta aux pieds de Jésus […] parce qu’il avait une fille unique d’environ douze ans qui se mourait. […] Une femme atteinte d’une perte de sang depuis douze ans toucha le bord du vêtement de Jésus. Luc 8.41-44 


    Voici deux femmes dont les destins vont se croiser. La première, la fille de Jaïrus, n’a que 12 ans. Elle se meurt. La seconde souffre depuis 12 ans d’une perte de sang. Toutes deux sont des cas désespérés.

    En tant que chef de la synagogue, Jaïrus est un juif respectable. Il a très certainement essayé tout ce qui était possible pour sa fille. De même, la deuxième femme a dépensé tout son bien auprès des médecins. Ni l’une ni l’autre n’ont plus aucun espoir. Les deux vont, dans une même démarche très humble, vers Jésus-Christ. Et de manière comparable, les deux seront exaucés, au-delà de leur espérance, par leur foi placée en Jésus.

    Peut-être vous considérez-vous comme un cas désespéré ? Alors prenez courage, il existe un dernier recours ! En effet, Jésus-Christ s’intéresse à vous et vous aime. Quand bien même tout semble perdu, Dieu peut intervenir et vous manifester son aide toute particulière. Si la guérison n’est pas automatique, son secours et son appui quant à eux, sont certains.
    Tournez-vous vers lui avec confiance.

     

    Matthieu Gangloff
    (Source : vivreaujourdhui.com) 

     

     

     

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    Ronde Versets du coeur 163

     

    Ronde Versets du coeur 163

     

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    Ronde Versets du coeur 163

     

     

     

     

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    Des fardeaux trop lourds

     

     

    Des fardeaux trop lourds

     

     


     

    PSAUME 13

     

    Qu’est‑ce qui influence le plus votre moral : vos circonstances ou votre perspective ? Nous aimerions avoir une vie facile, agréable et prospère, mais nous vivons dans un monde déchu. Presque rien n’est comme il devrait l’être, mais notre point de vue déterminera comment nous aborderons nos difficultés et porterons nos fardeaux.

     

    Lorsque nous sommes anéantis, le monde peut nous sembler bien sombre, même si le soleil brille. Les oiseaux peuvent gazouiller, mais nous n’entendons que les pleurs de notre cœur. Nos fardeaux semblent si lourds qu’ils peuvent nous pousser à nous isoler, mais cette tendance ne fait que nous inciter à nous apitoyer sur notre sort et à désespérer davantage.

     

    Quand nous permettons aux paroles des Psaumes de nous pénétrer, elles nous invitent à nous approcher de Dieu et à trouver notre repos auprès de lui. Dans sa grâce, il nous a donné ce livre qui est non seulement merveilleux et réconfortant, mais qui nous présente de bonnes leçons !

     

    Dans le psaume cité en en‑tête, David est accablé. Il demande à l’Éternel : « Jusqu’à quand? » Avez‑vous déjà ressenti la même chose ? Il décrit ses ennuis et supplie Dieu d’intervenir, mais à la fin du psaume, il change de perspective et se rappelle la fidélité divine.

     

    Si vous avez l’impression de porter le poids du monde sur vos épaules, arrêtez‑vous et fixez les yeux sur le Seigneur. Souvenez‑vous d’une occasion où il vous a porté tandis que vous traversiez l’épreuve, et réjouissez‑vous en sa fidélité. Il ne vous a pas abandonné alors, et il ne le fera pas maintenant.

     

     

     

     

    (Source : Lumière du matin / encontact.org)

     

     

     

     

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    Tu bénis le juste, ô Eternel - Psaumes 5 : 12

     

    Tu bénis le juste, ô Eternel - Psaumes 5 : 12

     

     

     

     

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    Du réconfort pour les corps effrayés

     

     

     

    Du réconfort pour les corps effrayés

     

     

     

    La vie chrétienne n’est pas toujours un fleuve tranquille. Tous les croyants connaissent des mauvais jours, peu importe à quel point ils sont saints. Heureusement, la majorité des chrétiens réalise que Jésus est présent, non seulement quand les choses vont bien, mais aussi pendant les moments difficiles.

     

    Il est fidèle et se soucie de nous en tous temps.

     

    Il est touché par toutes les émotions que nous subissons.

     

    L’apôtre Paul a connu un mauvais jour alors qu’il traversait la Macédoine. “Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : luttes au dehors, craintes au dedans” (2 Corinthiens 7:5). Cet homme saint confesse que son être intérieur était en proie à la peur.

     

    Paul n’était pas un surhomme. Il était soumis aux mêmes émotions humaines que nous. Mais il avait une discipline et ne s’abandonnait jamais à ses émotions, ni aux tentations qui les accompagnent. Il a témoigné : “Je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations” (2 Corinthiens 7:4).

     

    Est-ce que c’est un mauvais jour pour toi, une mauvaise semaine, une longue période d’abattement ? Es-tu abattu, découragé, as-tu envie d’abandonner ?  

     

    Si c’est le cas, est-ce que tu te demandes comment Dieu va réagir à ton épreuve ? Va-t-Il te réprimander ou te punir ? Non, jamais ! Paul te dit que le Seigneur n’est jamais aussi proche de toi, jamais aussi prêt à t’aider que lorsque tu es abattu et que tu souffres.

     

    “Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque affliction !” (2 Corinthiens 1:3-4).

     

    Je crois que nos mauvais jours ont souvent pour but de nous apporter de la maturité. Quand tu poursuis ta marche avec le Seigneur, tu devrais être de plus en plus conscient que tu possèdes toutes les ressources nécessaires pour faire face à l’ennemi.

     

     

    David Wilkerson
    (Source : souffles de vie)

     

     

     

     

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