• Croyez votre avocat, non votre accusateur (1 et 2)

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1 et 2)

     

     

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1)

     

     

     

     

    « Il a été précipité, l'accusateur de nos frères » Ap 12.10

    L’apôtre Jean a écrit : « J’entendis dans le ciel une voix forte qui disait : […] il a été précipité, l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit » (v.10). Satan n’a qu’un but : « voler, tuer et détruire » (Jn10.10). Il va voler votre paix, tuer vos rêves et détruire votre avenir. Pour l’aider, il s’entoure d’une horde de démons beaux parleurs. Il recrute des hommes et des femmes pour distiller son venin. Des amis surgis de votre passé. Des prédicateurs qui proclament la seule culpabilité sans la grâce. Certains parents instillent ce venin 24 h sur 24. Bien longtemps dans votre vie d’adulte, vous entendez encore leur voix : « Pourquoi tu ne peux pas grandir ? » « Quand vais-je pouvoir être fier de toi ? » Alors quelle est la solution ? Jésus ! « Il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! » (
    Ro 8.34). Faites-vous à cette idée. En présence de Dieu, au mépris de Satan, Jésus-Christ prend notre défense. Il joue le rôle d’un grand-prêtre. « Nous avons un grand-prêtre placé à la tête de la maison de Dieu. Approchons-nous donc de Dieu avec un cœur sincère et une entière confiance, le cœur purifié de tout ce qui donne mauvaise conscience » (Hé 10.21-22, BFC). Tout devient pur. Il n’y a plus ni accusation ni condamnation, non seulement pour nos erreurs passées mais aussi pour celles du futur. « C’est pour cela aussi qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (Hé 7.25). Alors croyez votre avocat, non votre accusateur !

     

     

     

     

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (2)

     

     

     

    Ro 8.33 

     

    Et Paul rajoute : « Car c’est Dieu qui les déclare non coupables. Qui peut alors les condamner ? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur » (v.33-34, BFC). Les accusations de Satan s’effondrent. Alors pourquoi, après avoir prié, les entendons-nous encore ? Pourquoi, en notre qualité de chrétiens, nous sentons-nous encore coupables ? Toute culpabilité n’est pas mauvaise. Dieu en utilise la dose adéquate pour nous sensibiliser au péché. Nous savons que c’est Dieu qui la provoque lorsqu’elle produit de l’indignation, de la crainte, un désir ardent de Dieu et un zèle à voir punir le mal (voir 2Co 7.11). La culpabilité venue de Dieu nous incite à changer. Celle qui vient de Satan, au contraire, nous rend esclave. Ne le laissez pas vous passer les menottes ! Rappelez-vous : « Votre vie est cachée avec le Christ en Dieu » (Col 3.3). Lorsque Dieu vous regarde, il voit d’abord Jésus. En caractères chinois, le mot « justice » est une combinaison de deux idéogrammes : la représentation d’un agneau et celle d’une personne. L’agneau est au-dessus et couvre la personne. Chaque fois que Dieu abaisse son regard sur vous, c’est ce qu’il voit : la perfection de l’agneau de Dieu qui vous recouvre. Une seule fois dans la Bible, nous voyons Jésus écrire. Il écrit sur le sable en disant à une femme adultère qu’elle vient juste d’être pardonnée : « Personne ne t’as condamnée. Va et ne pèche plus » (voir Jn 8.10-11). Voici donc votre parole du jour : croyez votre avocat, non votre accusateur !

     

     

    Bob Gass

     

    Croyez votre avocat, non votre accusateur (1 et 2)

     

     

    « Il garde les âmes de ses fidèles - Psaume 97 : 10La Parole de Dieu est vivante et efficace »
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