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    Espérer envers et contre tout

     

     

    Espérer envers et contre tout

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 34.16-19

      

    C’est ma consolation dans ma misère, car ta promesse me rend la vie. Psaume 119.50

     

    Parmi les centaines de méditations que j’ai écrites pour le Notre Pain Quotidien depuis 1988, quelques‑unes me restent en mémoire. L’une d’elles remonte au milieu des années 1990, lorsque j’ai raconté que nos trois filles étaient en colonie de vacances ou en voyages missionnaires, si bien que le petit Steve alors âgé de 6 ans et moi avons passé du temps entre garçons.

     

    En excursion avec moi vers l’aéroport, Steve s’est tourné vers moi et m’a dit : « C’est pas aussi amusant sans Melissa », sa sœur et copine de 8 ans. Ni l’un ni l’autre ne savait à l’époque à quel point cette remarque allait devenir émouvante. En effet, la vie n’a pas été « aussi amusante » depuis que Mell a trouvé la mort dans un accident de voiture alors qu’elle était adolescente. Le passage du temps peut adoucir la douleur, mais rien ne peut l’éliminer. Voici toutefois quelque chose qui peut nous venir en aide : accueillir, méditer et savourer la consolation que nous promet le Dieu de toutes consolations.

     

    Merci, mon Dieu, de rester tout près. Tu es toujours à mes côtés

     

    Accueillir : « Les bontés de l’Éternel ne sont pas épuisées, ses compassions ne sont pas à leur terme » (LA 3.22).

     

    Méditer : « Car il me protégera dans son tabernacle au jour du malheur » (PS 27.5).

     

    Savourer : « C’est ma consolation dans la misère, car ta promesse me rend la vie » (PS 119.50).

     

    Même si après le départ d’un être cher la vie n’est plus jamais la même, les promesses de Dieu nous procurent espoir et consolation.

     

     

     

    La Parole de Dieu est la véritable source de consolation.

     

     

     

    Dave Branon
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Mon ami(e), quelle a été votre première pensée au réveil ?

     

     

     

    Mon ami(e), quelle a été votre première pensée au réveil ?

     

     

     

     

    Bonjour Mon ami(e),

     

    Quelle est la première pensée qui vous vient le matin au réveil ? Est-ce que vous vous réjouissez de ce nouveau jour qui s’offre à vous ? A peine sorti(e) du lit, vous déclarez : "Ce matin, tes bontés se sont renouvelées, gloire à toi Seigneur et je suis victorieux(se) sur tous mes ennemis" ?

     

    Ou bien est-ce que parfois cela ressemble plus à : "Cette journée va être si difficile que j’aimerais déjà être à ce soir ?" Comme si l’inquiétude se levait dans votre cœur telle une vague, mais si forte et si haute que vous avez la sensation qu’elle va vous engloutir. Comme si vous n’aviez aucune chance face à elle…

     

    Je veux vous encourager à ne pas vous laisser submerger par cette pensée Mon ami(e). Jérémie 1.8 dit : "N’aie pas peur d’eux, car je suis moi-même avec toi pour te délivrer, déclare l'Eternel."

     

    Je ne connais pas qui sont ces "EUX" qui vous effraient, mais je connais le Dieu qui dit "Je suis moi-même avec toi, pour te délivrer."Lorsque l’anxiété frappe à la porte de votre cœur, répondez lui fermement que votre Dieu est plus grand que toutes les sources de votre inquiétude, parce qu’il est la source de toute vie, de toute paix et de toute joie. Déclarez que ce Dieu là vit en vous.

     

    Prions ensemble maintenant : "Seigneur, tu es plus grand que la source de mes inquiétudes. Tu connais en détails la situation dans laquelle je me trouve. Tu connais parfaitement l’état de mon cœur mieux qu’aucun homme, mieux qu’aucun médecin. Mieux que personne tu peux prendre soin de moi et me délivrer de la peur. Merci pour ta vie qui grandit en moi et pour ta paix que je reçois. Au nom de Jésus-Christ je t’ai prié, amen."

     

     

     

    Merci d'exister,

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Jésus sait pourquoi

     

     

    Jésus sait pourquoi

     

     

     

    Lecture proposée : Marc 8.22-26

     

    Après que Jésus eut achevé ces discours, la foule fut frappée de sa doctrine. Matthieu 7.28

     

    J’ai des amis qui ont reçu une guérison partielle, mais qui ont encore du mal à se réconcilier avec des dimensions douloureuses de leur maladie. D’autres amis ont été guéris de leur dépendance, mais se sentent encore inadéquats et se détestent. Or, je me demande : Pourquoi Dieu ne les guérit‑il pas complètement, une fois pour toutes ?

     

    Dans Marc 8.22‑26, nous lisons que Jésus a guéri un aveugle‑né. Jésus l’a d’abord fait sortir de son village, puis lui a mis de la salive sur les yeux et « lui imposa les mains ». L’homme a dit qu’il voyait maintenant des gens, mais « comme des arbres, et qui marchent ». Jésus lui a donc touché les yeux une seconde fois, et l’homme « vit [alors] tout distinctement ».

     

    Précieux Père, merci de nous connaître à la perfection
    et de nous fournir ce dont nous avons le plus besoin.

     

    Dans son ministère, Jésus a souvent étonné et consterné la foule et ses disciples par ses paroles et ses actions (MT 7.28 ; LU 8.10 ; 11.14). Il a même fait fuir nombre de gens (JN 6.60‑66). Il ne fait aucun doute que ce miracle en deux temps a aussi causé une certaine confusion. Pourquoi ne pas avoir immédiatement guéri cet homme ?

     

    Nous ignorons pourquoi, mais Jésus savait ce dont cet homme – et les disciples témoins de cette guérison – avait besoin à ce moment‑là. De même, il sait de quoi nous avons besoin aujourd’hui pour nous rapprocher de lui. Bien que nous ne comprenions pas toujours, sachons que Dieu œuvre dans notre vie et celle de nos êtres chers. Il nous procurera la force, le courage et la clarté nécessaires pour persévérer à sa suite.

     

     

    Ouvre mes yeux, Seigneur, pour que je voie Jésus.
    Robert Cull

     

     

     

    Alyson Kieda

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Tout est dans le nom (1 à 6)

     

     

    Tout est dans le nom (1)

     

     

     

    « Qu'ils reconnaissent que toi seul, dont le nom est l'Éternel, tu es le Très-Haut sur toute la terre ! » Ps 83.19

     

    Les Israélites appelaient Dieu « Jéhovah », un nom pour eux mystérieux et hors de leur portée. Il signifie « Celui qui est » et « Je suis », le Créateur de toutes choses, être suprême impressionnant et inaccessible. Mais Dieu voulait être connu de façon personnelle. Il a donc ajouté au nom de Jéhovah cinq titres révélateurs qui le décrivent pour nous aider à mieux le comprendre et à communiquer avec lui. Israël les avait découverts en temps de crise et de désespoir. Ils vont aussi vous bénir et vous encourager dans les temps difficiles. Examinons chacun d’eux. Jéhovah-Jireh [L’Éternel verra, l’Éternel pourvoira]. Abraham va sacrifier son fils lorsque Dieu lui procure un bélier pour prendre la place d’Isaac. En réponse, Abraham l’appelle Jéhovah-Jireh, l’Éternel qui voit et qui pourvoit. Et ça ne s’applique pas seulement à  Abraham. Le Nouveau Testament dit que le Seigneur voit vos besoins et y répond. Jésus a dit : « Or votre Père céleste sait que vous en avez besoin » (Mt 6.32). Comme un parent attentif et prévoyant qui anticipe les besoins de ses enfants, Dieu apporte les solutions en temps voulu. Un bon père n’attend pas que les chaussures de ses enfants soient trop petites pour leur en acheter des neuves. Ils n’ont pas à quémander, marchander et supplier. Vous dites : « Alors pourquoi n’ai-je pas ce que je veux ? » Parce que Dieu sait ce qui vous convient vraiment, vous non ! Ce que vous prenez pour des « besoins » ne sont peut-être que de simples « envies » au regard de Dieu. N’oubliez pas : Jéhovah-Jireh voit vos besoins et il y pourvoira !

     

     

     

    Tout est dans le nom (2)

     

     

    « Ce n'est pas votre combat, mais celui de Dieu » 2Ch 20.15

     

    Lorsqu’Israël est menacé par les imposantes armées d’Amalec à Rephidim, Dieu leur donne une victoire surnaturelle. Pour le remercier, Moïse construit un autel à Jéhovah-Nissi [l’Éternel mon étendard]. Écoutez ses mots : « L’Éternel combattra pour vous ; et vous, gardez le silence » (Ex 14.14). « Soyez sans crainte et sans effroi devant cette multitude nombreuse, car ce n’est pas votre combat, mais celui de Dieu ». Alors pourquoi craindre la défaite en tentant de vous battre avec vos propres forces ? Vous mettez le doigt dans un engrenage infructueux fait de repentance, de résolutions, de combats, d’échecs et de découragement, qui vous mène à vous repentir d’avantage. Les seuls conflits spirituels toujours gagnants sont ceux que Dieu combat pour nous. Il n’espère pas vous voir gagner la bataille, juste vous soumettre à lui et le laisser la remporter pour vous ! Vous dites : « Je suis donc censé(e) ne pas me battre du tout ? » Si, il vous faut combattre « le bon combat de la foi » (1Ti 6.12). Le vôtre consiste à croire, non à vous épuiser. « Mais n’ai-je pas à lutter comme l’a fait Jacob ? » Observez deux choses : d’abord Jacob n’a pas gagné en luttant mais en devenant trop faible pour lutter. Paul a dit : « Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort » (2Co 12.10). Ensuite, la victoire de Jacob vient de sa soumission. Êtes-vous au bout du rouleau ? Peut-être que c’est juste là que Dieu veut que vous soyez ! Allez, faites confiance à votre Jéhovah-Nissi pour l’emporter, car : « Ce n’est pas votre combat, mais celui de Dieu ».



     

     

    Tout est dans le nom (3)

     

     

    Ex 14.13 

     

    Ce n’est pas parce que Dieu mène vos combats qu’il ne faut pas vous impliquer. Ce n’est certes pas facile de passer la main à Dieu et de le laisser combattre à vos côtés. Vous pouvez avoir l’impression de vous défiler, d’être irresponsable. Vous êtes programmé(e) pour penser : « Ne reste pas planté(e) là, fais quelque chose ! » Vous êtes comme cet homme qui se noie et qui ne peut s’empêcher de se débattre dans les bras de celui qui l’aide, rendant ainsi sa tâche presque impossible. En clair, vous devenez le pire cauchemar du sauveteur ! L’ennui, c’est que la plupart des gens confondent «rester en place » et « ne rien faire ». La peur vous dit : « Fais quelque chose, n’importe quoi ! » La foi vous dit : « Sois confiant(e). Laisse Dieu s’en occuper ! » Ça n’a strictement rien à voir ! C’est le summum de la foi. Vous dites : « Pourquoi ai-je besoin d’une armure si je ne me bats pas ? » Paul a dit : « Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les manœuvres du diable » (Ep 6.11). Portez l’armure de Dieu, non la vôtre. Restez debout, sans vous battre. « Les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles » (2Co 10.4). Nos méthodes humaines freinent l’action de Dieu. Nos forces sont inutiles contre les puissances spirituelles. Une larve au fond d’un étang a beau être forte et résistante, lorsqu’elle devient libellule, les forces et les capacités de sa vie de larve ne lui servent plus à rien pour survivre à l’air libre. Autrefois vous étiez dans l’effort, maintenant vous vivez confiant(e) et dépendant(e) de Jéhovah-Nissi !

     

     

     

     

    Tout est dans le nom (4)

     

     

    Jug 6.1623 

     

    Le nom de Jéhovah-Shalom [l’Éternel notre paix] a été révélé à Gédéon quand Dieu lui a demandé de mener Israël contre les Madianites, une action qu’il pensait être hors de sa portée. « Avec quoi sauverai-je Israël ? Voici que ma parenté est la plus pauvre en Manassé, et je suis le plus petit dans la maison de mon père » (v.15). Voici la réponse de l’Éternel : « Je serai avec toi et tu battras Madian comme un seul homme […]. Sois en paix et sans crainte, tu ne mourras pas ». Un Gédéon anxieux a cru Dieu et avant même que la bataille ne s’engage et ne soit remportée, par la foi il a vu que la paix était déjà assurée. Il a donc élevé un autel à Jéhovah-Shalom, « l’Éternel notre paix ». Souvent on s’imagine que la paix ne viendra que si notre situation change. Puis à l’instar de Gédéon on apprend que la paix intérieure ne dépend pas des circonstances du dehors mais du fait de croire que Dieu est avec nous et nous partage sa paix. Jésus promet : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Moi, je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’alarme pas » (Jn 14.27). Même si vos défis vous semblent aujourd’hui impossibles à relever, rappelez-vous les paroles de Christ : « Je vous ai parlé ainsi, pour que vous ayez la paix […], mais prenez courage, moi, j’ai vaincu le monde » (Jn 16.33). Votre seul travail est de garder courage et de croire que Jéhovah-Shalom s’occupera du reste !

     

     

     

     

    Tout est dans le nom (5)

     

     

    Jér 23.6 

     

    Le nom de Jéhovah-Tsidkenu [l’Éternel notre justice] a été donné par Dieu à travers Jérémie annonçant la venue de Jésus le rédempteur : « je susciterai à David un germe juste […]. Et voici le nom dont on l’appellera : l’Éternel notre justice » (v.5-6). Avant la venue de Jésus, notre justice dépendait de nos propres efforts. « Pour nous la justice sera d’observer et de mettre en pratique tous ces commandements devant l’Éternel, notre Dieu, comme il nous l’a commandé » (De 6.25). Nous avons lamentablement échoué à ce test de vertu ! Mais « l’Éternel notre justice » est devenu notre solution. « Celui qui n’a pas connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2Co 5.21). Ce n’est qu’en Jésus que nous serons justifiés par Dieu ! Ne cherchez pas à bien agir pour vous sentir justifié(e) devant Dieu, ou vous créer un stock de bonnes actions à utiliser en cas de besoin. Vous devez puiser sans arrêt dans la « justice » déposée sur votre compte par Christ. Inutile de chercher en vous-même l’humilité, la patience, la bonté, l’amour, etc. Ils n’y sont pas ! Prenez-les par la foi dans la réserve que Jésus vous a constituée. Un cœur coupable peut trouver le pardon, un esprit anxieux la paix, et une âme désespérée la force de Jéhovah-Tsidkenu. Seule la foi vous donne le salut. Allez et croyez fermement à ce que  Jésus, l’Éternel notre justice, a accompli pour chacun de nous !

     

     

     

     

    Tout est dans le nom (6)

     

     

    Ez 48.35 

     

    Au cours des 25 ans de captivité du peuple d’Israël, Dieu a révélé au prophète Ézéchiel son nom de Jéhovah-Shamma [l’Éternel est ici]. Dieu décrit leur future maison, Jérusalem, en disant : « Le nom de la ville sera : l’Éternel est ici [Jéhovah-Shamma] ». C’est non seulement valable pour le Dieu de l’ancienne alliance, mais aussi pour Jésus, le Seigneur de la nouvelle alliance. Son nom, « Emmanuel », comme Jéhovah-Shamma, signifie « Dieu est avec nous » (voir Esa 7.14). Et ça veut dire qu’en tout temps, partout, en toutes circonstances et pour chacun de nous, Dieu est toujours présent et disponible ! David a proclamé : « Où irais-je loin de ton Esprit et où fuirais-je loin de ta face ? Si je monte aux cieux, tu y es ; si je me couche au séjour des morts, t’y voilà. Si je prends les ailes de l’aurore, et que j’aille demeurer au-delà de la mer, là aussi ta main me conduira, et ta droite me saisira » (Ps 139.7-10). Vous souvenez-vous à quel point la présence de papa ou maman vous rassurait autrefois ? Aux heures les plus sombres d’Israël, Dieu a toujours répondu : « Je suis avec vous ». Ces mots garantissaient que leurs besoins seraient toujours assurés ! Aujourd’hui, Dieu vous dit : « Je suis avec toi » et « ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les dominations, ni le présent, ni l’avenir, ni les puissances, ni les êtres d’en-haut, ni ceux d’en-bas, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer » (Ro 8.38-39). Cette promesse s’adresse à tous les chrétiens, tendez la main et saisissez-la.

     

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Le temps des miracles n'est pas fini

     

     

     

    Le temps des miracles n'est pas fini

     

     

     

     

     "Ah! Seigneur Eternel, Voici, tu as fait les cieux et la terre par ta grande puissance et par ton bras étendu : Rien n'est étonnant de ta part." Jérémie 32.17 

    "Ce n’est plus la peine de m’opérer pour enlever la tumeur car Dieu vient de me guérir". Ce sont là les paroles qu'un jeune garçon adressa à ses parents. En entendant cela, ils s’empressèrent de le ramener à l’hôpital pour demander aux médecins des examens complémentaires avant l’intervention chirurgicale prévue. Quelques instants plus tard, un diagnostic inexplicable tomba : la tumeur avait disparu !

    Réjouissez-vous car le temps des miracles n’est pas terminé...

    "Ah! Seigneur Eternel, Voici, tu as fait les cieux et la terre par ta grande puissance et par ton bras étendu : Rien n'est étonnant de ta part." Jérémie 32.17
     
    La bible est imprégnée d’actes surnaturels de Dieu. Au travers des siècles passés, le Tout-puissant n’a cessé d'accomplir des miracles et aujourd’hui nous les racontons à nos enfants et crions haut et fort "Seigneur, que tes actions sont grandioses." Psaumes 92.5
     
    Et qu’en est-il de nos jours ? Pensez-vous que le temps des miracles soit révolu ?  Ce que Dieu a fait hier, n’est-il plus disposé à le réaliser aujourd’hui ?
     
    Les miracles ne s’expliquent pas, ils se vivent ! Et la bonne nouvelle c'est que vous êtes appelé à expérimenter le miraculeux de Dieu ! "Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru…" Marc 16.17
     
    Nous bénissons Dieu pour les grandes choses qu'il a faites dans la vie de nos pères,  mais nous voulons croire également que le temps des miracles n’est pas révolu. Dieu fait tout ce qu’il veut quand il le souhaite, et quels que soient vos besoins, vous êtes en droit de vous attendre à un miracle de sa part. Pourquoi ?  En voici la réponse : "Il reste toujours égal à lui-même : il n’y a en lui ni changement ni ombre de variations." Jacques 1.17
     
    Réjouissez-vous car le temps des miracles n’est pas terminé et Dieu dans son infinie bonté vous en a forcément réservé un !  "Que chaque génération célèbre tes œuvres, et publie tes hauts faits !" Psaumes 145.4 
     
    Une proclamation pour aujourd’hui :
    Père, merci pour le miracle que tu vas accomplir dans ma vie !  Au nom de Jésus.  Amen.

     

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Ronde Versets du coeur 166

     

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    L'ancre (1 et 2)

     

     

    Notre ancre dans la tempête

     

     

     

    HÉBREUX 6.17‑20

     

    Nous traversons tous des tempêtes. Qu’il s’agisse de gros temps, de traumatismes personnels ou de malheurs causés par la guerre et l’agitation sociale, nous vivons tous des situations que nous ne maîtrisons pas. Certaines tempêtes passent rapidement alors que d’autres semblent s’éterniser. Certaines occasionnent peu de dommages, tandis que d’autres entraînent la destruction dans leur sillage.

     

    • Quelle est l’origine de ces tempêtes?Il arrive qu’elles résultent de nos propres choix ou des actions d’autrui. Parfois, le diable nous envoie l’adversité pour nous distraire ou nous empêtrer. En d’autres occasions, Dieu permet la tempête pour nous préparer à une mission particulière.

     

    Pourquoi le Seigneur autorise‑t‑il les tempêtes?Nous avons tendance à nous tourner vers Dieu durant les moments difficiles. Soit nous lui posons nos questions, soit nous puisons en lui force et soutien. Il veut peut‑être attirer notre attention sur l’un de nos péchés, souhaiter nous voir abandonner une chose pour le suivre, nous former à l’image de Christ (Ro 8.29) ou nous équiper pour mieux le servir.

     

    Comment réagir aux tempêtes? Quand nous résistons à Dieu parce que nos problèmes nous déplaisent, cela démontre que nous manquons de confiance en lui. Plutôt que de présumer qu’il nous fait du bien, nous pensons qu’il nous porte préjudice. Il est alors crucial de connaître l’Écriture. Sa Parole constitue une ancre immuable dans la tempête. Nous pouvons la croire étant donné que, comme Dieu, elle ne change jamais.

     

     

     

    L'ancre (1 et 2)

     

     

    Une ancre sacrée

     

     

     

    PSAUME 57.1‑4

     

    Hier, nous avons vu que l’ancre symbolise la Parole immuable de Dieu. Les marins se servent d’une ancre pour empêcher leur vaisseau d’aller à la dérive et le protéger durant les tempêtes. Comment la Bible joue‑t‑elle ce rôle pour nous?

     

    Elle nous réconforte. Elle nous assure de la paix et du repos de Dieu quand nous connaissons des difficultés ou portons des fardeaux. David a rédigé de nombreux psaumes en se basant sur ses expériences. Il avait reçu de l’Éternel consolation et force durant les tempêtes de sa vie.

     

    Elle nous rappelle l’omniscience, l’omniprésence et l’omnipotence de Dieu. Non seulement le Tout‑Puissant sait où nous en sommes dans notre tempête et ce que nous y vivons, mais il nous y accompagne. Il peut même la calmer, bien que la plupart du temps, il nous la fasse traverser en toute sécurité, par sa puissance.

     

    Elle nous guide. Le Psaume 119.105 nous apprend que « ta parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier ». Le psalmiste la compare à une lumière qui nous éclaire et nous permet d’avancer, pas à pas, dans la bonne direction.

     

    Il ne suffit pas au bateau d’avoir une ancre; l’équipage doit encore s’en servir. De même, il ne suffit pas d’avoir une bible et de savoir qu’elle renferme maintes promesses. La Parole de Dieu ne sera agissante que si nous la lisons, la méditons, la croyons, la mettons en pratique et y obéissons. L’ancre fonctionnera alors coup sur coup. Nous pourrions être ébranlés, et même déstabilisés, mais nous survivrons à la tempête et poursuivrons notre route.

     

     

    (Source : lumière du matin / encontact.org)

     

    L'ancre (1 et 2)

     

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