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    A l'abri de la tempête

     

     

    A l'abri de la tempête

     

     

     

     

    Lecture proposée : Jacques 1.12-18

     

    Pour moi, m’approcher de Dieu, c’est mon bien : Je place mon refuge dans le Seigneur. Psaume 73.28

     

    Lorsque je vivais en Oklahoma, j’avais un ami « chasseur » de tornades. John suivait attentivement les tempêtes en restant en contact avec d’autres par la radio et un radar local, en cherchant à préserver une distance sécuritaire tout en observant leur progression destructrice afin de rapporter tout changement soudain de trajectoire aux gens qu’elles menaçaient.

     

    Un jour, un nuage en forme d’entonnoir a changé de trajectoire si abruptement que John s’est retrouvé en situation très périlleuse. Par bonheur, il a trouvé où s’abriter et a ainsi pu échapper à la tempête.

     

    Seigneur Jésus, tu as conquis le péché et la mort à tout jamais
    sur ta croix et ton tombeau vide !

     

    Ce que John a vécu ce jour‑là me rappelle une autre progression dangereuse : celle du péché dans notre vie. La Bible nous dit : « Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort » (JA 1.14,15).

     

    On témoigne ici d’une progression. Ce qui peut sembler de prime abord inoffensif risque de vite devenir incontrôlable et de faire des ravages. Par contre, lorsque la tentation nous menace, Dieu nous offre un abri contre la tempête qui gronde.

     

    Dans sa Parole, Dieu nous dit qu’il ne nous tentera jamais et que nous n’avons à blâmer que nous‑mêmes pour nos choix. Lorsque nous serons tentés, Dieu « préparera aussi le moyen d’en sortir, afin que [nous puissions] la supporter » (1 CO 10.13). Il suffit de lui demander son aide.

     

     

    Notre Sauveur apaise la tempête de la tentation.

     

     

    James Banks

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    A l'abri de la tempête

     

     

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    La solution à l'angoisse

     

     

    La solution à l'angoisse

     

     

     

     

    1 PIERRE 5.6,7

    Avez‑vous parfois l’impression de porter le poids du monde sur vos épaules? Les fardeaux se présentent sous diverses formes, mais ils ont tous deux choses en commun : ils nous accablent et ils nous usent. Plus nous les portons longtemps, plus ils nous paraissent lourds. Si nous ne nous en occupons pas correctement, ils en viendront à nous accaparer au point d’affecter notre vie professionnelle et familiale.

    Le monde offre des solutions temporaires à l’angoisse, mais celle que Jésus‑Christ nous fournit est permanente. Il nous invite à rejeter sur lui toutes nos inquiétudes, car il se soucie de nous. Étant donné qu’il est notre souverain sacrificateur, il sympathise avec nos faiblesses et intercède en notre faveur auprès du Père (Hé 4.15; 7.25).

    Jésus, le Fils de l’homme, a connu les difficultés et porté les fardeaux inhérents à la vie sur terre. Il a appris à vivre de peu sans s’en inquiéter (Mt 8.20) et à se confier en son Père en période de grande détresse (Lu 22.42‑44). Son propre peuple l’a rejeté et Judas l’Iscariot l’a trahi. Or, bien qu’il ait été soumis à la tentation, comme nous, Jésus n’a jamais péché.

    Si vous peinez sous les pressions du quotidien, qu’est‑ce qui vous empêche de remettre votre fardeau à Christ? Vous avez peut‑être essayé, mais ce poids pèse toujours sur vous. Il faut être humble pour admettre que l’on ne peut gérer sa vie et accepter de bonne grâce la volonté de Dieu. Cependant, si nous lui remettons notre fardeau, la seule chose que nous perdrons sera notre angoisse.

     

     

    (Source : lumière du matin / encontact.org)

     

     

     

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    Ronde Versets du coeur 165

     

    Ronde Versets du coeur 165

     

    Ronde Versets du coeur 165

     

    Ronde Versets du coeur 165

     

    Ronde Versets du coeur 165

     

     

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    Croyez en ses promesses

     

     

    Croyez en ses promesses !

     

     

     

    “Moi, le Seigneur, Je sais bien quels projets Je forme pour vous… Je veux vous donner un avenir plein d’espérance.”Jr 29. 11 

    Barbara Jackson se souvenait de la nuit, sept mois plus tôt, où leur maison avait été complètement détruite par un incendie. Réveillée par les sirènes des détecteurs de fumée, elle avait pu, avec son mari Keith, arracher leurs deux petites filles de leurs chambres avant de se retrouver dans la rue, sans autres possessions que les pyjamas qu’ils portaient.

    Bien que reconnaissante à Dieu d’avoir sauvé sa famille, elle ne pouvait s’empêcher de se demander pourquoi Dieu leur avait tout enlevé en une nuit, les forçant à repartir à zéro.

    Ce matin-là elle revenait, le coeur serré, sur les lieux de l’incendie afin de rencontrer l’entrepreneur chargé de reconstruire leur maison. Soudain, au lieu d’un terrain vide et lugubre, elle découvrit un magnifique carré de tournesols en fleurs couvrant la totalité du site. Ni elle, ni ses voisins n’avaient jamais semé de tournesols dans le voisinage. L’entrepreneur lui déclara que les fleurs étaient apparues quelques semaines plus tôt, et seulement sur ce terrain. Barbara y vit le signe de la promesse divine d’un nouvel avenir plein d’espérance. Elle prit des photos des fleurs de tournesols et s’empressa de les montrer à son mari.

    “Ne t’emballe pas aussi vite”, lui répondit Keith.
    “J’avais, dans le garage, un sachet de graines de tournesol que je voulais semer plus tard. Quand le terrain a été nettoyé, l’entrepreneur a dû mélanger ces graines à la terre.”
    Barbara, décontenancée, pensa : “Et moi qui croyais en une promesse de Dieu…”

    Plus tard, après avoir emménagé dans leur nouvelle maison, Keith et Barbara décidèrent de fouiller dans un carton d’articles sauvés des décombres par un voisin, le lendemain de l’incendie. La plupart d’entre eux, à moitié brûlés, n’étaient bons que pour la poubelle. Keith agrippa soudain le bras de sa femme, et lui tendit le sachet de graines de tournesol de son garage. Le sachet était intact avec toutes les graines à l’intérieur !

    Ce que Dieu avait dit à Jérémie, Il venait de le dire aussi à Keith et à Barbara, et Il veut vous le dire à vous aussi aujourd’hui : “Croyez en Mes promesses”

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Une inondation qui guérit

     

     

     

    Une inondation qui guérit

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 107.1-16,35,36

     

     Il change le désert en étang, et la terre aride en sources d’eaux. (V. 35)

     

    J’ai toujours beaucoup aimé les orages. Lors de terribles orages ponctués de violents coups de tonnerre et de pluies diluviennes, mes frères et sœurs et moi sortions faire le tour de la maison à la course, en glissant par moments. L’heure venue de rentrer à l’intérieur, nous étions trempés jusqu’aux os.

     

    C’était tellement exaltant – pendant quelques minutes à peine – de nous immerger dans quelque chose de si puissant que nous n’aurions su dire véritablement si cela nous amusait ou nous terrifiait.

     

    Père aide-nous à ne rester captifs de nos péchés et du désespoir.
    Aide-nous à te confier nos fardeaux

     

    Cette image me revient lorsque la Bible compare la restauration par Dieu à la transformation d’un désert aride en « étang » (PS 107.35). Comme il faut plus qu’une pluie fine pour changer un désert en oasis, il s’agit ici d’un déluge inondant chaque crevasse du sol desséché d’une vie nouvelle.

     

    Et n’est-ce pas là le genre de restauration auquel nous aspirons ? Lorsque notre situation ressemble à une suite d’errements sans but, nous avons faim et soif d’une guérison qui semble toujours nous échapper (V. 4,5) et nous avons besoin de plus que de l’espoir. Quand des schémas impies bien enracinés nous emprisonnent dans « les ténèbres » (V. 10,11), notre cœur a besoin de plus qu’un petit changement.

     

    Or, voilà précisément le genre de transformation que notre Dieu peut nous procurer (V. 20). Il n’est jamais trop tard pour apporter nos craintes et notre honte à celui qui est plus que capable de rompre nos chaînes et d’inonder nos ténèbres de sa lumière (V. 13,14).

     

     

    La puissance de Dieu est de nature transformatrice.

     

     

     

    Monica Brands

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Il nous connait

     

     

     

    Il nous connait

     

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 139.1-14

     

    Éternel, tu me sondes et tu me connais, tu sais quand je m’assieds et quand je me lève. (V. 1,2) 


    Dieu savait‑il dans quel état j’étais en conduisant sur une distance de 160 km jusqu’à mon village ? Compte tenu de mon état, la réponse n’était pas simple. J’étais fiévreux et migraineux. J’ai prié : « Seigneur, je sais que tu es avec moi, mais j’ai mal ! »

     

    Fatigué et affaibli, j’ai garé ma voiture le long de la route à proximité d’un village. Dix minutes plus tard, j’ai entendu une voix : « Bonsoir ! Avez‑vous besoin d’aide ? » C’était un homme accompagné d’autres hommes de sa collectivité. Leur présence m’a fait du bien. Lorsqu’ils m’ont dit le nom de leur village, Naa mi n’yala (ce qui signifie « Le Roi me connaît ! »), je m’en suis étonné. J’étais passé par ce village des dizaines de fois déjà, mais sans jamais m’y arrêter. Et voilà que Dieu utilisait son nom pour me rappeler que lui, le Roi, était effectivement avec moi, même si je me trouvais seul sur cette route et dans un piteux état. Encouragé, j’ai poursuivi mon chemin jusqu’à la clinique la plus proche.

     

    Merci, Seigneur, de ce que tu sais toujours où je me trouve et dans quel état je suis

     

    Dieu nous connaît à la perfection, quoi que nous fassions, où que nous soyons et quels que soient notre état et notre situation (PS 139.1‑4,7‑12). Il ne nous abandonne, ne nous oublie et ne nous néglige jamais. Même en situation difficile – « la nuit […] comme le jour » (V. 11,12) –, nous sommes en sa présence. Or, cette vérité nous procure tant d’espoir et d’assurance que nous pouvons louer le Dieu qui nous a soigneusement créés et qui nous dirige au fil de la vie (V. 14).

     

    Où que nous soyons, Dieu sait ce qui nous concerne.

     

     

     

    Lawrence Darmani
    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Surmonter la peur (1 à 5)

     

     

    Surmonter la peur (1) 

     

     

     

    « Je te célèbre ; car je suis une créature merveilleuse » Ps 139.14

    Un homme atteint d’une peur bleue du tonnerre va consulter un psychiatre. Le diagnostic tombe : « Vous souffrez de bronthémophobie. C’est bête à votre âge. Imaginez que c’est juste un roulement de tambour dans la symphonie de votre vie. » Le gars demande : « Et si ça ne marche pas ? » Le praticien répond : « Alors faites comme moi. Quand vous entendez le tonnerre, bouchez-vous les oreilles, plongez sous le lit et chantez à tue-tête jusqu’à la fin de l’orage. » Sérieusement, la plupart des craintes reposent sur des émotions, non sur des faits réels. Cherchez au-delà de vos peurs et découvrez ce qui les provoque. Si vous avez grandi dans la pauvreté, vous pouvez craindre d’être généreux. Si vous avez été abandonné(e), soit vous ne faites plus confiance aux gens, soit vous vous accrochez à eux et cherchez à les contrôler. Autrefois on vous a maltraité(e), l’intimité pourra vous terrifier. À force de subir la critique, vous allez croire que Dieu ne va pas vous pardonner. Si vous mésestimez votre charme, votre intelligence ou votre niveau social, vous aurez du mal à parler en public par crainte de subir des regards méprisants. Un humoriste a écrit: « Avant de mourir, chacun devrait s’efforcer de réaliser ce à quoi il tente d’échapper, ce vers quoi il court et pour quelle raison. » David n’a pas seulement cerné l‘origine de ses peurs, mais aussi celle de sa valeur et de son assurance. « Je te célèbre ; car je suis une créature merveilleuse ». Si vous savez que vous avez l’approbation de Dieu, vos craintes vont disparaître. 

     

     

     

    Surmonter la peur (2) 

     

     

    « Ses compassions ne sont pas à leur terme ; elles se renouvellent chaque matin » La 3.22-23

     

    Le Cardinal J. H. Newman a dit : « Ne craignez pas que la vie s’arrête, craignez plutôt que jamais elle ne commence. » Si vous laissez la peur la dominer, vous ne la vivrez jamais pleinement. En fait, beaucoup de nos peurs sont totalement infondées. Ne l’avez-vous pas constaté ? Les études montrent que 95% de ce que nous craignons ne repose sur rien, et le reste représente des choses avec lesquelles il nous faut apprendre à vivre. La poétesse Gertrude Stein a sans doute raison lorsqu’elle dit : « Tout est tellement dangereux que rien n’est vraiment effrayant. » La vie humaine n’offre aucune garantie. On cherche des tas de choses pour se protéger : assurances, alarmes, chèques de voyage, médicaments, parapluies, GPS et airbags. Mais il reste que la vie est dangereuse, néfaste à la santé, et même mortelle. Alors autant la vivre pleinement. Shakespeare a dit : « Il n’est pas digne du rayon de miel, celui qui évite la ruche parce que les abeilles ont un aiguillon ». Ne laissez pas la peur vous empêcher de progresser à petits pas. Qui sait où ils peuvent vous mener ? Deux choses sont indissociables de votre vie : la peur et la foi. Chaque jour que vous vivez, vous choisissez l’une ou l’autre. Jérémie a choisi la foi. Il a écrit : « C’est que la bienveillance de l’Éternel n’est pas épuisée, et que ses compassions ne sont pas à leur terme ; elles se renouvellent chaque matin. […] L’Éternel est mon partage, […] c’est pourquoi je veux m’attendre à lui. L’Éternel est bon pour qui espère en lui, pour celui qui le cherche » (v.22-25). 

     

     

     

    Surmonter la peur (3) 

     

     

    « Nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas » Ga 6.9

     

    Que ce qui vous est impossible ne vous empêche pas de faire ce que vous pouvez. Un entraîneur de boxe a dit : « Le héros et le lâche ressentent tous les deux la même peur, mais le héros s’en sert pour la renvoyer sur son adversaire, alors que le lâche s’enfuit. La peur est la même. Ce qui compte, c’est ce que vous en faites. » Bien des sentiments négatifs peuvent s’inverser en positif pour nous aider à avancer. Avez-vous peur de la misère ? Changez-la en éthique de travail. Peur d’être cupide ? Transformez-la en générosité. Peur du rejet ? Convertissez-la en capacité à communiquer. Peur d’être insignifiant ? Retournez-la au service des autres. Comme le disait un économiste : « Si les choses tournent mal, ne les suivez pas. » Cherchez plutôt une nouvelle voie. Votre vie peut basculer si vous prenez vos anciennes craintes et vous servez de cette énergie pour faire quelque chose d’utile. Aucune raison de s’inquiéter de toutes les choses dans la vie qui échappent à votre contrôle. Harold Stephens a dit : « Il y a une grande différence entre inquiétude et intérêt. L’inquiétude voit le problème, l’intérêt le résout. » Comment trouver la solution ? Concentrez-vous sur ce que vous pouvez contrôler. C’est d’abord votre attitude. N’oubliez pas que les circonstances extérieures comptent moins que ce que vous vivez en vous. C’est ensuite votre agenda. Peut-être qu’en cet instant, les événements vous échappent, mais vous pouvez au moins faire de votre mieux pour planifier votre temps. La plupart des gens ont peur de l’avenir parce qu’ils ne le préparent pas. 

     

     

     

    Surmonter la peur (4) 

     

     

    « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain » Mt 6.34

     

    Hier et demain sollicitent tous les deux votre attention. Hier nous oblige à revoir nos décisions et à nous demander si nous avons bien agi. C’est de l’énergie gaspillée. Comme l’a dit Harry Truman : « Si vous avez fait pour le mieux ce que vous aviez à faire, il n’y a plus à s’inquiéter car rien ne peut le changer. » Demain peut aussi vous faire manquer des opportunités. Avouons-le, bien des gens n’ont pas fait le parcours qu’ils espéraient, parfois meilleur, parfois pire, mais toujours différent. Se focaliser sur la destination n’est donc pas forcément une bonne idée. De plus, demain peut arriver, ou pas. Rien n’est garanti. Jésus a dit : « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain car le lendemain s’inquiétera de lui-même. À chaque jour suffit sa peine ». À ceux qui doutaient, Jésus a répondu : « Ne vous inquiétez donc pas, en disant : Que mangerons-nous ? Ou : Que boirons-nous ? Ou : De quoi serons-nous vêtus ? Car cela, ce sont les païens qui le recherchent. Or votre Père céleste sait que vous en avez besoin » (v.31-32). Vous ne pouvez agir que sur le présent. En dépit de vos craintes, faites ce que vous pouvez ici et maintenant, et vous aurez la satisfaction de savoir que vous avez utilisé tout votre potentiel. Si vous vous projetez trop loin dans le futur, le doute et la peur viendront. Mark Twain a dit avec malice : « Je suis passé par des choses horribles dans ma vie, dont à peine quelques-unes sont vraiment arrivées ! » Confiez votre passé et votre avenir à Dieu et vivez un jour après l’autre. C’est ainsi que vous surmontez la peur. 

     

     

     

    Surmonter la peur (5) 

     

     

    « Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, […] la parole du Christ » Ro 10.17

     

    Chaque jour, la peur et la foi vous accompagneront toutes les deux. À vous de décider laquelle va prendre le dessus. Quelqu’un a écrit : « Deux natures s’opposent en moi, l’une est mauvaise, l’autre bénéfique. J’aime l’une, je déteste l’autre. Celle que je nourris dominera. » N’espérez pas voir la crainte s’envoler. Si vous vous fixez sur la peur, la nourrissez, l’entretenez et capitulez devant elle, elle va grandir. Pour en venir à bout, coupez-lui les vivres ! Ne lui accordez ni temps ni énergie. Ne jouez pas à vous faire peur en prêtant l’oreille à des médisances, en écoutant des infos sordides ou en regardant des films d’épouvante. Concentrez-vous sur votre foi et nourrissez-la chaque jour avec la Parole de Dieu (voir Ro 10.17). Plus vous accordez de temps et d’énergie à votre foi, plus elle se renforce. Quand quelque chose vous effraie, il n’y a qu’une solution : revoir votre attitude. Si vous avez peur, ne dites pas « stop », mais « en avant ». Dites : « Je continue le combat » au lieu de : « J’abandonne ». Le meilleur moyen de vaincre la peur est de croire que Dieu fera ce que vous pensez être hors de votre portée. Peu importe l’emprise qu’une ancienne peur peut avoir sur vous, elle peut se vaincre. Car elle est présente dans votre esprit, et votre esprit peut être renouvelé par la Parole de Dieu. Voici la clé : « Ne vous conformez pas au monde présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu : ce qui est bon, agréable et parfait » (Ro 12.2). 

     

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

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    Tirer parti des tempêtes

     

     

     

    Tirer parti des tempêtes

     

     

     

    “Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant.” Ps 91. 1

    Loeil du cyclone est l’endroit le plus calme qui soit. Tandis que les tornades de vent et de pluie balayent tout sur leur passage, les pilotes des avions spécialisés dans l’étude des tempêtes tropicales affirment qu’une tranquillité absolue y règne et qu’ils se sentent en sécurité dans cet endroit spécial !

    David parle des “terreurs de la nuit... de la peste...de la contagion qui frappe en plein midi... de dix mille qui tomberont...” mais il ajoute : “Mais toi tu ne seras pas atteint” (Ps 91. 7). Pourquoi ? Ecoutez : “Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant. Je dis du Seigneur qu’Il est mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie ! Sans aucun doute, Il me délivrera...” (Ps 91. 1-3).

    Si vous devez traverser une tempête, vous avez le choix entre paniquer et rester calme ! Le jour où un orage éclata au-dessus de leur bateau les disciples s’écrièrent : “Maître, nous sommes perdus, et Tu ne T'en soucies pas ?” (Mc 4.38).

    Et où se trouvait Jésus ? Profondément endormi au fond de l’embarcation, car Il savait:

    1- Qu’il est nécessaire de subir quelques orages avant d’atteindre la destination que Dieu a envisagée pour vous. Vous n’avez pas le choix !

    2- Que si vous suivez la volonté de Dieu les orages ne peuvent vous faire couler. Vous ne découvrirez cette vérité qu’à travers les tempêtes, pas sur une mer d’huile !

    3- Qu’après la tempête vous connaîtrez mieux la personnalité de Dieu et vous aurez acquis davantage d’expérience pour aider les autres. “Placez donc toujours votre confiance en Dieu, car Il est le rocher de toute éternité” (Es 26. 4).

    4- Que votre foi deviendra plus forte et résistante à chaque tempête que vous traverserez en Sa compagnie. Une gravure suspendue au mur chez un capitaine de vaisseau affirme : “Aucune mer calme n’a produit de marin expérimenté !” Voilà ce que signifie vivre dans l’oeil du cyclone !

     

     

     

    Bob Gass

     

      

     

     

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