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    La foi, et non la peur

     

     

    La foi, et non la peur

     

     

     

    Lecture proposée : Nombres 13.25 – 14.9


    L’Éternel est avec nous, ne les craignez point ! Nombres 14.9


    « On a offert à mon mari une promotion dans un autre pays, mais comme je redoutais de quitter notre maison, il a décliné l’offre à contrecœur », m’a dit mon amie. Elle m’a expliqué que l’appréhension que lui inspirait un changement d’une telle envergure l’avait empêchée de se lancer dans une nouvelle aventure et qu’il lui arrivait parfois de se demander ce dont elle les avait privés en refusant de déménager. 

    Les Israélites ont laissé leurs angoisses les paralyser lorsque Dieu les a appelés à s’installer dans un pays riche au sol fertile où coulaient « le lait et le miel » (EX 33.3). En entendant parler des habitants puissants de ses grandes villes (V. 27), ils se sont mis à craindre d’y emménager. La majorité des Israélites ont ainsi refusé d’obéir à leur appel à entrer dans ce pays.

    Josué et Caleb les ont toutefois exhortés à faire confiance au Seigneur : « [L’Éternel] est avec nous, ne les craignez point ! » (V. 9.) Même si les habitants du pays passaient pour des géants à leurs yeux, les Israélites pouvaient compter sur la présence de Dieu à leurs côtés.

    Mon amie n’a pas reçu l’ordre d’aller s’installer dans un autre pays, comme cela avait été le cas des Israélites, mais elle a regretté d’avoir laissé la peur les priver de cette occasion. Et vous, faites-vous face à une situation déstabilisante ? Si c’est le cas, sachez que le Seigneur est avec vous et vous guidera. Grâce à son amour infaillible, nous pouvons aller de l’avant avec foi.

     

     

    La peur peut paralyser, alors que la foi pousse à suivre Dieu

     

     

     

    Amy Boucher Pye

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

     

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    Mon esprit est au milieu de vous - Aggée 2 : 5

     

     

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    Ronde Versets du coeur 128

     

    Ronde Versets du coeur 128

     

    Ronde Versets du coeur 128

     

    Ronde Versets du coeur 128

     

    Ronde Versets du coeur 128

     

     

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    Il comprend la souffrance de l’abandon

     

     

    Il comprend la souffrance de l’abandon

     

     

    « Mon Dieu, mon Dieu pourquoi m’as-tu abandonné ? Pourquoi te tiens-tu si loin de moi ? » Ps 22.2

    Pourquoi Jésus, sur la croix, a-t-Il crié ces mots à Son Père en citant le psaume 22 ? Certains diront : pour montrer que les prophéties de l’Ancien Testament Le concernant devaient toutes s’accomplir. D’autres expliqueront qu’en disant cela Il accomplissait la malédiction de la Loi à l’encontre de quiconque serait pendu au bois (Lisez Ga 3. 13). Tout cela est vrai. De plus, Dieu ne L’avait pas vraiment abandonné, puisque le psaume 22 ajoute : “Car Il n’a ni mépris ni dédain pour les peines du malheureux, et Il ne lui cache pas Sa face ; mais Il l’écoute quand il crie à Lui” v. 25). Mais n’y a-t-il pas davantage dans ce cri déchirant ? Comme l’expression de la souffrance de l’abandon, de l’incompréhension même face à l’horreur d’une mort solitaire ? C’est comme le cri d’une mère, près du lit de son enfant mourant d’un cancer, s’adressant à Dieu : “Pourquoi as-Tu permis cela ?” Ou le cri de tous ceux qui se retrouvent en face de souffrances qu’ils n’arrivent pas à comprendre et qui posent à Dieu la même question.

    Si Jésus a crié cette question, c’est parce qu’Il savait ce que signifiait être abandonné, pas seulement par les Siens, mais même par Son Père. Et c’est pourquoi Il peut désormais comprendre l’abandon que nous pouvons tous ressentir un jour ou l’autre. “Car nous n’avons pas un grand prêtre insensible à nos faiblesses ; Il a été soumis, sans péché, à des épreuves en tous points semblables” (
    He 4. 15). Remarquez que Dieu n’a pas, en vérité, “abandonné” Jésus sur la croix. Le psalmiste affirme : “Il te réconfortera, Il ne laissera jamais chanceler le juste” (Ps 55. 23). Jésus avait seulement le sentiment d’être abandonné. Tout comme nous avons parfois l’impression d’être seuls, alors même que Dieu est tout proche de nous et nous soutient d’une main invisible ! Le romancier D. W. Wallace a écrit : “nous souffrons tous dans notre solitude…” Mais il avait tort ! Dieu ne nous abandonne jamais (Lisez Dt 31. 6). 

     

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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    Prenez courage

     

    Prenez courage

     

    "Je te donnerai des trésors des ténèbres, des richesses cachées des lieux secrets." Esaïe 45:3 V.A.

    Enfant de Dieu, qui faites Sa volonté et qui cherchez Sa gloire, vous ne comprenez pas ce qui vous arrive ? Ne vous alarmez pas ; attendez, et vous verrez la délivrance. Votre Seigneur a dit : "Ce que Je fais, tu ne le comprends pas maintenant, mais tu le comprendras bientôt." Jean 13:7.

    Il vous semble que les ténèbres vous environnent, qu'elles sont impénétrables et trop épaisses pour que jamais vous puissiez revoir la lumière. Mais prenez courage ! De ces mêmes ténèbres, Dieu fera sortir pour vous des trésors. Vous serez enrichi par Lui-même et béni par Son amour infini. "Quiconque parmi vous craint l'Eternel, qu'il écoute la voix de Son serviteur! Quiconque marche dans l'obscurité et manque de lumière, qu'il se confie dans le Nom de l'Eternel, et qu'il s'appuie sur son Dieu !" Esaïe 50:10. Celui qui vous justifie est près!

    Dieu a Ses plans; Il sait conduire les Siens par un chemin qu'ils ne connaissent pas, et ce qui leur est inconnu Lui est connu. C'est Lui qui aura le dernier mot, même si l'ennemi semble triompher momentanément; n'est-Il pas le Commencement et la Fin? Dieu a caché des richesses infinies pour vous dans ces ténèbres, et Il vous les fera connaître à Son heure. Persévérez donc, et ne rendez pas les armes. Il possède la clé de vos incompréhensions ; et les événements qui vous menacent, c'est Lui qui les contrôle. Ne doutez pas de Lui, attendez en confiance; obéissez, sachez discerner Sa voix de Père qui vous exhorte à patienter et à ne pas fléchir.

    Ne vous lassez point, l'âme découragée. "Fortifiez donc vos mains languissantes et vos genoux affaiblis". Hébreux 12:3, 12. Dieu a en vue votre sanctification et votre éducation dans ce que l'apôtre Paul appelait les choses profondes de Dieu. Il veut que vous passiez par cette école, inconnue et redoutée par la plupart des chrétiens; c'est là Son chemin, afin que vous connaissiez les richesses de Sa grâce et de Sa gloire qu'Il a en réserve pour vous. Que tout votre être Lui soit consacré, et vous verrez qu'il en sera ainsi!

     

    H.E. Alexander

    (Source : manne du matin / bible-ouverte.ch)

     

     

     

     

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    Perception de Dieu, et nos blessures

     

     

    Perception de Dieu, et nos blessures

     

     

    « Mon père et ma mère m’abandonnent, mais l’Eternel me recueillera » (Psaumes 27.10).

    Notre connaissance de Dieu est souvent influencée par les souffrances que nous avons subies. Nous voyons Dieu au travers du prisme de nos expériences douloureuses. C’est pourquoi nous avons besoin, pour guérir de nos blessures intérieures, de redécouvrir qui est Dieu, quelles sont ses intentions à notre égard, et ne plus le voir au travers des drames de nos vies.

    Nous avons besoin de découvrir la bienveillance de Dieu, alors que nous avons connu l’abandon de la part de nos parents, le rejet de notre mère ou de notre père. Le psalmiste nous enseigne qu’il a appris à connaître le cœur de Dieu, et à trouver la guérison de la blessure causée par l’abandon.
    Avez-vous été délaissé(e) par votre mère (votre père), alors découvrez ce que Dieu dit : « Quand bien même une femme oublierait son enfant, moi je ne t’oublierai point » (Esaïe 49.15). Alors que vous avez vécu le rejet, entendez les paroles de Job, cet homme qui connut tant de souffrances et de drames : « Dieu est puissant, mais il ne rejette personne » (Job 36.5).

    Avez-vous subi des maltraitances, des paroles blessantes ont-elles transpercé votre cœur, portez-vous le poids de multiples injustices ? Alors vous pouvez découvrir celui qui : « …injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement » (1 Pierre 2.23). Jésus faisait pleinement confiance à Dieu son Père. Il ne voyait pas Dieu au travers des hommes religieux, il savait que Dieu n’avait rien à voir avec l’hypocrisie des religieux.
    Vos blessures sont d’autant plus profondes que ceux qui vous ont blessé, parents ou religieux, passaient pour de formidables croyants aux yeux de tous. Leur comportement double, et hypocrite vous a amené à vous éloigner de Dieu. Redécouvrez Dieu au travers de son amour manifesté en Jésus.

    A quatre reprises, dans sa deuxième épître à Timothée, l’apôtre Paul parle de l’abandon dont il a été l’objet : « ceux qui sont en Asie m’ont abandonné » (2 Timothée 1.15). Voir aussi (2 Timothée 4.9/10 et 16). Mais où a-t-il puisé son réconfort, sa force ? Dans sa connaissance de celui qui est fidèle et qui l’a assisté : « Le Seigneur m’a assisté et m’a fortifié » (2 Timothée 4.17). Aucune trahison, aucun comportement décevant de la part de ses frères, n’ont altéré sa confiance en Dieu, car sa connaissance de Dieu reposait sur une relation personnelle et intime avec le Seigneur : « Je regarde toutes choses comme une perte à cause de l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur…  » (Philippiens 3.8).

    Un conseil pour ce jour :
    Avez-vous été blessé par des personnes qui se disant croyantes, et très proches de vous, ont défiguré Dieu à vos yeux ? Redécouvrez Dieu d’une manière personnelle, dites-lui que vous voulez apprendre à connaître son amour, manifesté en Jésus.

     

    Paul Calzada
    (Source : lueursdumatin.fr)

     

     

     

     

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    Le Seigneur me délivrera - 2 Timothée 4 : 18

     

     

     

     

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    Se préparer aux épreuves

     

     

    Se préparer aux épreuves

     


    « Un homme prudent voit venir le malheur et se met à l'abri » Pr 27.12, BFC 

    Votre destinée est un chemin pavé d’épreuves. Ne vous laissez pas surprendre et préparez-vous à les affronter. Salomon a écrit : « Un homme prudent voit venir le malheur et se met à l'abri ». Ne vaut-il pas mieux le voir venir et s’y préparer, plutôt que de regarder en arrière avec des regrets ? Pourquoi la Bible a-t-elle retenu les échecs de grands hommes comme Abraham, Moïse, Élie ou Pierre ? Pour vous fortifier et vous montrer que personne n’agit sans se tromper. S’ils ont surmonté leurs échecs, vous pouvez les surmonter aussi par la grâce de Dieu. Le chemin de la réussite est creusé d’ornières. Vous tomberez dans certaines, elles seront boueuses. Vous devrez non seulement en sortir mais aussi vous nettoyer, refaire le point, vous réinvestir, et aller de l’avant. Puisque la faute est inévitable, pourquoi ne pas en faire votre alliée, examiner chaque expérience et vous fortifier à travers elle ? Le jour où vous apprendrez à le faire, vous ne commettrez plus les mêmes erreurs, et vous gagnerez en stabilité affective et spirituelle. Les temps changent, les ressources s’épuisent, ce qu’on croyait être vrai s’avère faux, les gens et leurs projets échouent. Alors que vous poursuivez le rêve que Dieu vous a donné, souvenez-vous de ce vieux proverbe italien : « De la parole à l’action, le chemin est long ». Ne succombez pas à la fatigue et ne renoncez pas. Retenez cette promesse de Dieu : « Espère en l'Éternel, garde sa voie, et il t'élèvera » (Ps 37.34).

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Sortez de votre passé

     

     


     

    Jerry Lewis s’amusait à dire que son plus beau cadeau de mariage était le film de la cérémonie. Lorsque son couple était au plus mal, il pouvait s’isoler dans une pièce, se passer le film à l’envers et ressortir en homme libre ! C’est drôle, mais vous ne pouvez pas revenir en arrière et réécrire l’histoire. Autant vouloir remettre un œuf brouillé dans sa coquille. Rester bloqué sur le passé est toujours au détriment du futur, mais apprendre du passé vous donne les moyens de rendre ce futur meilleur. Dès que vous vous dites : « Si j’avais su alors ce que je sais aujourd’hui », n’oubliez pas qu’à moins d’évoluer, vous allez dire la même chose dans dix ou vingt ans. Vous dites : « Si seulement j’avais pu pardonner à mon conjoint au lieu de le (ou la) blâmer, j’aurais sans doute pu sauver notre mariage. Peut-être que le souvenir d’un avortement vous torture. Vous pensez à cet enfant qui aurait pu être là et vous apporter tant de joie. Peut-être que malgré vos bonnes intentions, vous avez fait du mal, jusqu’à commettre un crime. Aujourd’hui vous dites : « Si seulement… »

    Eh bien voici ce que Dieu dit :
    1) « Vos péchés sont pardonnés grâce au nom de Jésus-Christ » (1Jn 2.12, BFC).
    2) « Je prends sur moi de pardonner tes révoltes et de ne plus garder le souvenir de tes fautes » (Esa 43.25, BFC).
    3) « Ne vous souvenez pas des premiers événements, et ne considérez plus ce qui est ancien. Voici que je fais une chose nouvelle, elle est maintenant en germe, ne la reconnaîtrez-vous pas ? Je mettrai un chemin dans le désert » (Esa 43.18-19). Voici votre parole du jour : sortez de votre passé.

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

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