•  

     

    Le Dieu de tout réconfort (1)

     

    « Il nous réconforte dans toutes nos détresses » 2Co 1.4, BFC

    Aucun nom donné à Dieu dans l'Écriture ne console plus que : « le Père riche en bonté, le Dieu qui accorde le réconfort en toute occasion ! » (v.3). Notez bien : « le réconfort en toute occasion ». Ni exception ni limite au réconfort de Dieu, peu importe la gravité des circonstances. Il est dans la nature de Dieu de réconforter. C'est qui il est et ce qu'il désire faire ! Vous ne pouvez pas être proche de lui sans avoir été réconforté. Un manque de réconfort provient d'une rupture avec Dieu, généralement le résultat d'un manque de foi. Le réconfort vient par la foi. Vous pouvez savoir intellectuellement qu'il est « le Dieu de toute consolation », mais ne pas vous sentir réconforté à cause de vos doutes. Jésus a appris aux aveugles venus pour guérir : « Qu'il vous soit fait selon votre foi » (Mt 9.29). Il faut ajouter « croire » à « savoir » pour connaître le réconfort. La foi vient d’abord, non après ! Supposez que vous embarquez pour votre première croisière en ayant des doutes sur la sécurité à bord. Le capitaine vous assure pourtant qu'il a une solide expérience, que le paquebot est neuf, équipé des plus récentes technologies. Si, comme bien des chrétiens, vous refusez de le croire avant de l'avoir vécu, vous allez ou bien débarquer ou bien faire la traversée en étant inutilement malade et anxieux. En revanche, si vous faites confiance au capitaine, vous perdrez vite votre anxiété au profit du réconfort ! Aujourd'hui, décidez de faire confiance au « capitaine de notre salut », celui qui « nous réconforte dans toutes nos détresses », et il vous réconfortera.

     

     

     

    Le Dieu de tout réconfort (2)

     

     

    « Comme un homme que sa mère console, ainsi moi je vous consolerai » Esa 66.13


    En cas de souci, rappelez-vous :

    1) Le réconfort de Dieu est réel. Pensez à vos chagrins ou vos peurs d’enfant. Souvenez-vous du sentiment de réconfort que la présence de maman vous procurait. Le réconfort de Dieu est plus réel encore. « Comme un homme que sa mère console, ainsi moi je vous consolerai ». Dieu se soucie plus de vous que ne le faisait votre mère dans votre enfance. « Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? […] À supposer qu’elle l’oublie, moi, je ne t’oublie pas : j’ai ton nom gravé sur les paumes de mes mains » (Esa 49.15-16, BFC). Vous pouvez toujours compter sur Dieu quand vous avez besoin de réconfort !
    2) Le Consolateur vit en vous. Quand nous souffrons, Dieu semble loin et inaccessible. Mais il ne l’est pas. Jésus déclare à ses disciples, d’hier et d’aujourd’hui : « Je prierai le Père, et il vous donnera un autre Consolateur qui soit éternellement avec vous » (Jn 14.16). Le Saint-Esprit, qui demeure en vous à jamais, est plus proche de vous que l’air que vous respirez. Il est qualifié, disposé et prêt à vous consoler. Parfois il le fait en vous rappelant une partie d’une hymne, un vers d’un poème, un sermon entendu, etc. Dans ce cas, croyez-le. Dites-vous régulièrement : « Le Dieu de tout réconfort vit constamment en moi ! »
    3) La Bible réconforte. Paul nous rappelle que « par la patience et par la consolation que donnent les Écritures, nous possédions l’espérance » (Ro 15.4). Quand vous êtes abattu, vous n’êtes pas toujours disposé à lire la Bible. Faites-le malgré tout. Elle vous apportera le réconfort que vous recherchez.

     

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Confie-toi de tout ton coeur à l'Eternel - Proverbes 3 : 5-6

     

    Confie-toi de tout ton coeur à l'Eternel - Proverbes 3 : 5-6

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Êtes-vous en pleine tempête ? (1 et 2)

     

    Êtes-vous en pleine tempête ? (1)

     

    « Une grande tempête s'éleva » Mt 8.24, BFC

    Matthieu raconte : « Jésus monta dans la barque et ses disciples l'accompagnèrent. Soudain, une grande tempête s'éleva » (v.23-24). En grec, « grande tempête » se dit : « séisme ». Un sismographe mesure l'intensité des tremblements de terre. Cette tempête avait certainement secoué les disciples jusqu'à la moelle. Il y a là une importante leçon. Suivre Jésus ne veut pas dire que vous ne traverserez jamais aucune tempête. Jésus a dit : « Vous aurez des tribulations dans le monde » (Jn 16.33). Même si Dieu nous a promis protection et prospérité, nous ne sommes pas immunisés contre la maladie, la pénurie et la peur. Mais tandis que l'incroyant affronte la tempête sans Christ, le croyant la traverse confiant que tout ira bien car Jésus est à bord. Est-ce à dire que vous ne paniquerez plus jamais ? Si seulement ! Mais ce n'est pas le cas. En voyant les vagues qui enflaient et le Sauveur endormi, les disciples s'écrient : « Maître, nous allons mourir ! Cela ne te fait rien ? » (Mr 4.38, PDV). La peur est destructrice parce qu’elle sape votre confiance en Dieu, en sa bonté. Elle provoque un déferlement de doutes. Elle efface la mémoire. Les disciples avaient déjà vu Jésus guérir « toute maladie et toute infirmité parmi le peuple » (Mt 4.23). Mais la peur engendre une forme d'amnésie spirituelle. Vos souvenirs de miracles s'estompent. Elle vous fait oublier ce que Jésus a fait et combien Dieu est bon. Voilà pourquoi vous devez affamer vos doutes et nourrir votre foi de la Parole de Dieu, car c'est la foi qui vous fera traverser la tempête.  

     

     

    Êtes-vous en pleine tempête ? (1 et 2)

     

     

    Êtes-vous en pleine tempête ? (2)

     

    « Quel est celui-ci, [...] ? Mt 8.27

    Matthieu relate : « Les disciples s'approchèrent de lui et le réveillèrent, en disant : Seigneur, sauve-nous, nous périssons. Il leur dit : Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi ? Alors il se leva, menaça les vents et la mer, et un grand calme se fit. Pleins d'admiration, ces hommes se disaient : Quel est celui-ci, car même les vents et la mer lui obéissent ? » (v.25-27). Vous ne saurez jamais qui est Jésus, ni ce qu'il peut faire pour vous, jusqu'à ce que vous traversiez une tempête avec lui. Voilà pourquoi il place des tempêtes sur votre route. Jésus a demandé : « Pourquoi avez-vous peur ? » Il veut nous montrer que la peur étouffe la vie et la joie. Si la crainte vous domine, la sécurité devient votre dieu. Et dans ce cas, vous recherchez une vie sans risque. Mais ceux qui ont peur ne peuvent aimer vraiment car l'amour est risqué. Ils ne peuvent donner aux pauvres car d’un point de vue humain, la générosité ne garantit rien en retour. Ils ne peuvent rêver. Et si leurs rêves volaient en éclats et tombaient à l'eau ? Rien d'étonnant à ce que Jésus ait mené une telle guerre contre la peur. Dans les Évangiles, Jésus nous donne 125 commandements. Parmi eux, 21 nous demandent de « ne pas avoir peur ». Le second commandement le plus fréquent, aimer Dieu et son prochain, n'apparaît que huit fois. Si on se fie aux chiffres, Jésus considère la peur comme un de nos plus gros problèmes. Voilà pourquoi il déclare si souvent et aujourd'hui encore : « N'ayez pas peur ».

     

     

     

    Bob Gass 

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Coupe ta branche

     

    Coupe ta branche

     

    À méditer à la lumière d’Ésaïe 40,31 «...ceux qui comptent sur l'Eternel (...) prennent leur envol comme de jeunes aigles  et du Psaumes 18,30 « ...grâce à toi, je franchis des murs. » 

    Il était une fois un roi d’un pays lointain qui reçut comme offrande deux jeunes faucons. Il les donna au fauconnier pour qu’il les dresse.
Au bout de quelques mois, le roi demanda au maître fauconnier des nouvelles concernant le dressage des deux précieux oiseaux. 

    Le maître fauconnier l’informa que l’un des deux faucons répondait parfaitement au dressage, mais que l’autre n’avait pas bougé de la branche où il l’avait posé le premier jour.
Le roi fit venir des guérisseurs de toutes sortes pour qu’ils voient le faucon, mais personne n’arriva à faire voler l’oiseau. Il décida alors de confier la mission aux membres de la cour, mais rien ne se passa... 

    Désespéré, le roi décida de faire savoir à son peuple qu’il donnerait une juteuse récompense à la personne qui arriverait à faire voler le faucon.
Le lendemain matin, il vit le faucon en train de voler élégamment devant les fenêtres du palais. 

    Le roi dit à sa cour : Amenez-moi l’auteur de ce miracle ! 

    La cour lui présenta très rapidement un paysan.
Le roi lui demanda : C’est toi qui as fait voler le faucon ? Comment tu as fait ? Est-ce que tu es magicien ?
Intimidé, le paysan dit au roi : Ce n’est ni de la magie ni de la science, Majesté ; j’ai juste coupé la branche et le faucon a volé. Il s’est rendu compte qu’il avait des ailes et il a commencé à voler.
Les chroniques racontent que depuis le faucon vola libre et sans restriction aucune et le roi simplement prenait plaisir à le regarder... 

    ...Et toi, à quoi es-tu accroché qui t’empêche de voler ? ...de quoi ne peux-tu pas te détacher ? 

    Souvent, nous sommes installés dans une zone de confort à l’intérieur de laquelle nous vivons et nous croyons que c’est la seule chose qui existe.
À l’intérieur de cette zone se trouve tout ce que nous savons ou croyons savoir... Nous cohabitons avec nos valeurs, nos peurs et nos limites. 

    Nous avons des rêves, nous voulons des résultats, nous cherchons des opportunités, mais nous ne sommes pas toujours prêts à prendre des risques ou à emprunter des chemins difficiles et nous passons peut-être à côté de bien des bénédictions. 

    Alors, arrête de t’accrocher à ta propre branche et prends le risque de voler plus haut. 

     

    OSE VOLER !!! 

     

     

    Coupe ta branche

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Le cri des justes

     

     

    "Il entendit que c’était Jésus de Nazareth, et il se mit à crier ; Fils de David, Jésus aie pitié de moi ! Plusieurs le reprenaient, pour le faire taire ; mais il criait beaucoup plus fort ; Fils de David, aie pitié de moi !" Marc 10.47-48

     

    C'est un jour pas comme les autres pour Bartimée l'aveugle de Jéricho. Laissé-pour-compte sur le bord du chemin, il ne voit peut-être pas, mais il est doté de deux atouts majeurs : il parle et il croit !

    Dieu vous écoute !

      Alors que la foule se déplace, il va se mettre à crier, malgré les réprimandes de plusieurs qui redoubleront d'efforts pour le faire taire. Mais, ce sera peine perdue, il criera encore plus fort… Il faut que le fils de David, le Messie, l'entende !

    Il y a deux ans, notre petite fille qui était âgée de trois ans a fait une chute d'un lit superposé. Elle était seule dans la chambre et elle s'est mise à hurler. En entendant ses cris, sa mère s'est levée d'un bond, a couru à sa rencontre, l'a prise dans ses bras et s'est rendue en pyjama à l'hôpital : il fallait coûte que coûte porter secours à son enfant...

    Savez-vous que Dieu entend vos cris ? Qu'ils soient audibles ou silencieux, ils attirent son attention et ne sauraient être ignorés de lui. "Quand les justes crient, l'Eternel entend, Et il les délivre de toutes leurs détresses." Psaume 34.17

    Personne, aucune situation aussi compliquée soit-elle, ne devrait vous empêcher de crier à Dieu, bien au contraire, cela devrait être votre premier réflexe, car c'est votre droit de l'appeler.

    Dieu vous écoute ! Et à chaque fois que vous criez à lui, il réagit, vient à votre secours , vous relève, vous protège et répond à votre besoin. "Les yeux de l'Eternel sont sur les justes, Et ses oreilles sont attentives à leurs cris." Psaumes 34.15

    Bartimée va voir sa vie toute entière basculer ! La cécité n'altère en rien les yeux de la foi qui sont les siens. "Jésus, prenant la parole, lui dit : Que veux-tu que je te fasse ? Rabbouni, lui répondit l'aveugle, que je recouvre la vue. Et Jésus lui dit : Va, ta foi t'a sauvé." Luc 10.51-52

    Et vous ? Souhaitez-vous que Dieu fasse quelque chose pour vous ? Alors, pourquoi ne pas le lui dire sachant qu'il vous écoute ! "Avant qu'ils m'invoquent, je répondrai ; Avant qu'ils aient cessé de parler, j'exaucerai." Esaïe 65.24

    Une prière pour aujourd'hui :
    Seigneur, je crie à toi ce jour et je sais que tu m'entends. Voici mon besoin que tu connais déjà, je te le présente avec l'intime conviction que tu m'exauce. Amen. 

     

     

     

    Yannis Gautier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature - 2 Corinthiens 5 : 17

     

    Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature - 2 Corinthiens 5 : 17

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    A l'abri dans la fente du rocher

     

    À l'abri dans la fente du rocher

     

     

    Tu as été au misérable… un abri contre l'orage. Ésaïe 25. 4

    Il y aura un homme (Jésus Christ) qui sera comme une protection contre le vent et un abri contre l'orage. Ésaïe 32. 2

    Lui seul (Dieu) est mon rocher et mon salut, ma haute retraite; je ne serai pas beaucoup ébranlé. Psaumes 62. 2


    Alors qu'il voyageait dans la campagne près de Burrington, le poète et pasteur anglais, Augustus Toplady (1740-1778) fut surpris par un orage aussi soudain que violent. Tonnerre, éclairs, trombes d'eau dévalant des falaises, rendaient le lieu particulièrement inhospitalier. Où trouver un abri de fortune? C'est alors qu'il aperçut dans la falaise qu'il longeait, une grande fente dans la roche. Sans hésiter, il se réfugia dans la cavité providentielle (où se trouve à ce jour une plaque commémorative). Ressentant de façon particulièrement intense la valeur de ce refuge, il pensa à celui que tout chrétien trouve dans l'œuvre de Jésus Christ. Cette délivrance lui inspira les paroles du cantique “Rock of Ages” (Éternel rocher), dont voici les paroles traduites en français :

     

    Ô Christ, éternel rocher,

    Je viens en Toi me cacher!

    De ton côté s'écoulèrent

    L'eau, le sang qui régénère:

    Que par ce flot rédempteur

    Du péché je sois vainqueur.


    Tous les travaux de mes mains

    Pour te plaire seraient vains,

    Lors même qu'en ma détresse,

    Mes pleurs couleraient sans cesse,

    Ils ne sauraient me laver:

    Toi seul peux et veux sauver!


    Seigneur, je n'apporte rien,

    Ta croix seule est mon soutien.

    Nu, je viens au sacrifice

    Qui me revêt de justice;

    Souillé, je viens à la croix

    Qui rend pur celui qui croit.


    Dans mon passage en ces lieux

    Et quand, ayant clos mes yeux,

    Je serai devant le maître

    Devant qui je dois paraître,

    Ô Christ, éternel rocher,

    En Toi tu veux me cacher.

     

    Source : labonnesemence.com

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Que tout ce qui respire loue l'Eternel - Psaumes 150 : 6

     

    Que tout ce qui respire loue l'Eternel - Psaumes 150 : 6

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Ronde Versets du coeur 11

     

    Ronde Versets du coeur 11

     

    Ronde Versets du coeur 11

     

    Ronde Versets du coeur 11

     

    Ronde Versets du coeur 11

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire