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    La puissance du pardon

     

    « Soyez bons [...]. Pardonnez-vous les uns aux autres » Ep 4.32, PDV

    Voici quatre choses à savoir sur le pardon :
    1) Le pardon ne répare pas le mal subi mais signifie que vous avez décidé de ne pas le laisser contrôler votre vie. En pardonnant et en allant vers l’autre, vous retrouvez une paix intérieure. Si l'autre refuse de reconnaître ses torts, l'offense peut et doit tout de même être pardonnée. Le pardon ne dépend pas de l'autre ; il dépend de vous.
    2) Le pardon est essentiel, même si l’autre refuse d’admettre sa culpabilité. Si vous attendez que ce soit le cas, vous placez votre avenir entre ses mains. Le pardon est d'abord et avant tout à votre bénéfice, non celui des autres. En pardonnant, vous laissez de côté douleurs et blessures pour avancer.
    3) Votre volonté de pardonner peut amener l'autre au pardon. La personne qui vous a blessé ne ressent peut-être pas le besoin d'être pardonnée. Peut-être sait-elle qu’elle a mal agi mais manque de courage pour aller vers vous et vous demander pardon. Lorsque vous faites le premier pas, vous lui donnez l’occasion de trouver grâce et compréhension.
    4) Le pardon est plus facile quand vous admettez qu'on en a tous besoin. Refuser de pardonner en pensant que les fautes des autres sont pires que les vôtres, c'est de l'orgueil. Or « Dieu résiste aux orgueilleux, mais il donne sa grâce aux humbles » (1P 5.5). La Bible dit : « Soyez bons les uns pour les autres, ayez un cœur plein de tendresse. Pardonnez-vous les uns aux autres, comme Dieu vous a pardonné dans le Christ » (Ep 4.32, PDV). Si vous réalisez la profondeur de la grâce de Dieu envers vous, il devient plus facile de l'étendre aux autres.

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

     

     

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    Tu es toujours mon espérance - Psaumes 25 : 5

     

     

     

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    Le garagiste


     
    On raconte l'histoire d'un garagiste aux Etats-Unis, dont la belle voiture est tombée en panne sur un grand boulevard.
     
    Homme de métier, il descend de l'auto et en soulève le capot afin de trouver la cause de l'arrêt. Après une demi-heure de vains efforts, il constate la présence d'un homme à côté de lui, homme qui offre ses services.
     Le garagiste repousse l'offre et continue à tripoter... mais rien ne marche... puis désespéré, il abandonne le moteur défaillant entre les mains de l'étranger.
    Celui-ci touche quelques vis et modifie certains fils... subitement le moteur récalcitrant ronronne ! Bouleversé, l'expert mécanicien demande à l'homme si bien disposé : " Mais mon cher ami, qui êtes-vous? - Je m'appelle Henry Ford, répond-t-il, c'est moi qui l'ai conçue."
     
    Combien de fois nous tripotons dans nos cœurs en panne au lieu de laisser Dieu prendre la situation en main !
     Il y a un psaume qui dit :" Sache que l'Eternel est Dieu, c'est Lui qui nous a faits."
    Cessez donc de vouloir faire des réparations de fortune dans vos vies mais laissez Dieu agir.
     
    Il veut faire toutes choses nouvelles en vous dans la mesure où vous vous confiez en Lui...


     Mets ta confiance en Lui et Il agira. Psaume 37: 5
     

     

     

    Le garagiste

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    Ronde Versets du coeur 12

     

    Ronde Versets du coeur 12

     

    Ronde Versets du coeur 12

     

    Ronde Versets du coeur 12

     

     

     

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    Il a aussi le moyen de vous combler de toutes sortes de bienfaits - 2 Corinthiens 9 : 8

     

    Il a aussi le moyen de vous combler de toutes sortes de bienfaits - 2 Corinthiens 9 : 8

     

     

     

     

     

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    Quand on vous calmnie (1 et 2)

     

    Quand on vous calomnie (1)

     

     

    « Qui dit du mal des autres divise les amis » Pr 16.28, PDV

     

    Les médias raffolent des rumeurs. Il nous arrive d’en propager ou d’en être victime. Vraies, fausses ou entre les deux, elles n’en sont pas moins blessantes. Si la société n’en fait pas grand cas, Dieu place les racontars au même niveau que la colère ou l’orgueil (2Co 12.20). Alors, quand vous êtes la cible de calomnies, que pouvez-vous faire ?
    1) Si possible, ignorez-les. Les mauvaises langues prennent plaisir à vous énerver. Plus vous vous fâchez, plus ils médisent. Réagir par la colère ne fait que mettre de l’huile sur le feu. « Quand il n'y a plus de bois, le feu s'éteint ; quand il n'y a plus de mauvaise langue, la querelle cesse » (Pr 26.20, BFC).
    2) S’il le faut, rectifiez-les. Les ragots peuvent faire des ravages et briser les cœurs. Si vous pouvez rétablir la vérité, peut-être limiterez-vous les dégâts. Mais surtout ne cherchez pas à vouloir convaincre tout le monde. Vous ne feriez que propager l’incendie, vous exposer, et nourrir des appétits malsains. Salomon a dit : « Les calomnies sont comme des friandises, elles s'insinuent jusqu'au fond de soi-même » (v.22). Prenez du recul, identifiez ceux qui comptent à vos yeux et rétablissez la vérité avec eux. En temps utile, ils vous défendront. Dans bien des cas, leurs propos seront plus objectifs que les vôtres. Si la calomnie est en partie vraie, ne niez pas, et ne vous excusez pas. Les vrais amis pardonnent toujours et défendent les leurs. Les médisants finiront souvent par trouver une rumeur plus juteuse, s’y précipiteront et vous laisseront en paix.

     

     

     

    Quand on vous calmnie (1 et 2)

     

     

     

    Quand on vous calomnie (2)

     

     

    « Quand il n'y a pas de médisant, la dispute se calme » Pr 26.20, NBS

     

    Faites ces trois choses :
    1) Si nécessaire, confrontez la personne médisante. Si l'offenseur est chrétien, appuyez-vous sur ce verset : « Si ton frère a péché, va et reprends-le seul à seul. S'il t'écoute, tu as gagné ton frère » (Mt 18.15). Il ne s'agit pas de prouver que vous avez raison et que les autres ont tort, mais de se réconcilier et de préserver l'unité dans la famille de Dieu. Surveillez vos propos. « Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas » (Ep 4.26). Tenez-vous-en aux faits. Sans les mettre sur la défensive, tâchez de trouver une résolution qui fasse taire les ragots et répare les dommages. S’ils sont prêts à reconnaître leur part de tort, soyez prêt à pardonner. Sinon, pardonnez-leur tout de même, dans votre propre intérêt et celui de Dieu. Et rappelez-vous, ils peuvent toujours rester vos frères ou vos sœurs sans pour autant être des amis de confiance !
    2) Ne laissez pas la médisance troubler votre estime de soi. Si elle dépend de ce que disent les autres, vous vous laisserez facilement abattre. Fondez-la sur ce que dit de vous la Parole de Dieu. Malgré vos imperfections, la Bible dit que vous êtes « les rachetés de l'Éternel » (Ps 107.2), « adoptés, [...] en son bien-aimé » (Ep 1.5-6), « en [Christ] justice de Dieu » (2Co 5.21). Fixez-vous sur l'opinion que Dieu a de vous et « édifiez-vous vous-mêmes sur votre très sainte foi » (Jude.20), en dépit des opinions d'autrui.
    3) Ne jugez pas les autres d'après la rumeur. Qu'elle soit fondée ou non, elle cherche toujours à « détruire » (Jn 10.10). Ne faites pas le travail de Satan à sa place !

     

     

     

    Bob Gass 

     

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    Peur de réussir ? (1)

     

    « Ils recommencèrent à tenter Dieu » Ps 78.41

    Des chercheurs avaient placé une grenouille dans un bocal fermé par un couvercle ajouré pour l'empêcher de fuir. Au début, elle n'arrêtait pas de sauter, cherchant à s'échapper, mais à chaque fois elle se cognait la tête contre le couvercle. Après trente jours, on a ôté le couvercle. Chose étonnante, la grenouille n'a plus jamais sauté alors qu’il lui aurait été facile de le faire. Pourquoi ? Parce qu'elle avait acquis la certitude que le sommet du bocal constituait sa limite. Sa croyance étriquée la gardait prisonnière ! Israël a fait la même chose : « Que de fois ils […]  recommencèrent à tenter Dieu [...]. Ils ne se souvinrent pas de sa puissance » (v.41-42). Restez-vous enfermé dans vos petites certitudes, même si elles n'ont plus raison d'être et qu'elles sabotent votre avenir ? « Je suis trop jeune, trop vieux, je suis une femme, je n’ai pas la bonne nationalité, je n’ai pas d'éducation, pas de talent, je ne connais personne, j'ai lamentablement échoué, etc. » La peur de réussir provient de :
    1) la peur de ne pas mériter le succès,
    2) la peur de ne pas assumer les attentes et les responsabilités qui l'accompagnent,
    3) la peur d'être rejeté par ceux que votre réussite dérange,
    4) la peur de perdre le contrôle de votre vie privée,
    5) la peur de dire non aux amis et à la famille qui se croient permis de vous contrôler. Sortez donc de vos croyances étriquées ! Non seulement Dieu vous donnera le succès, mais aussi le talent et la force de le gérer.

     

     

    Peur de réussir ? (2)

     

    « Le SEIGNEUR est grand, il veut le bonheur de son serviteur » Ps 35.27, PDV

    La peur de réussir se traduit par ces six comportements. Voyez si l'un ou l'autre vous concerne.
    1) Vous remettez tout au lendemain.
    2) Vous manquez d'efficacité.
    3) Vous vous occupez plus de ceux qui vous rejettent que de ceux qui vous acceptent.
    4) Vous vous laissez accaparer par des choses insignifiantes qui vous empêchent de vous consacrer à l'essentiel.
    5) Vous parlez de ce que vous ferez « un jour peut-être ».
    6) Vous pensez que les autres méritent le succès, pas vous. Question : Servez-vous Dieu ? Dans ce cas, vous avez tout pour réussir ! « Le SEIGNEUR est grand, il veut le bonheur de son serviteur ». Oui, Dieu vous aidera dans le besoin. Mais il veut aussi vous voir réussir pour que vous puissiez subvenir aux besoins des autres. Dieu a dit deux choses à Abraham : il lui a promis de le bénir abondamment, et de faire de lui une grande bénédiction pour les autres (Ge 12.2). Et c'est arrivé ! Salomon a écrit : « L'argent répond à tout » (Ec 10.19). Que voulait-il dire ? L'argent bâtit des écoles, des églises et des hôpitaux. Il éradique la misère et l'illettrisme. Il finance la recherche contre les maladies graves. Mais certains d'entre nous ne voient que les rues pavées d'or dans les cieux et oublient les rues pavées de misère et de souffrance sur la terre. Comprenez ceci : Dieu vous récompensera sur la base de votre service pour les autres. « Et le roi leur répondra : [...] dans la mesure où vous avez fait cela à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait » (Mt 25.40). Voilà qui devrait vous donner envie de réussir.

     

     

    Peur de réussir ? (3)

     

    « Là, je donne des biens à ceux qui m'aiment, je remplis leurs maisons d'objets précieux » Pr 8.21, PDV

    Si vous voulez surmonter la peur de réussir et être à même de bénir les autres :
    1) Affrontez votre peur sans détour. La Parole de Dieu dit qu'il veut votre succès (Jos 1.9). Mais êtes-vous prêt à agir selon sa Parole ? Croyez-vous que les autres ont le droit de réussir mais pas vous ? Avez-vous l'impression qu'au-delà d'une certaine limite, votre succès déplairait à Dieu ? Défiez-donc ces croyances infondées !
    2) Trouvez la source des idées fausses que vous vous faites à propos de votre mérite. Voici quelques domaines à considérer de près : le rejet de vos proches ; la comparaison aux autres ; les stéréotypes véhiculés par les médias ; le sentiment d’infériorité qui tourne sans cesse dans votre cerveau comme un disque rayé. La perception de votre valeur va jouer un rôle majeur dans ce que vous accomplirez, alors changez d'opinion sur vous-même ! Comparez-la avec ce que Dieu dit de vous : « Sois sans crainte, car je t'ai racheté, je t'ai appelé par ton nom : Tu es à moi ! […] tu as du prix à mes yeux, [...] tu es honoré et [...] je t'aime, [...]. Sois sans crainte, car je suis avec toi » (Esa 43.1, 4-5). Repérez vos comportements autodestructeurs, engagez-vous à y mettre un terme, et cessez d'attendre une « meilleure occasion » ou un « temps favorable ». Dieu dit : « Je suis avec toi ». Alors faites-lui confiance pour le temps et les circonstances et avancez sans crainte.

     

     

    Peur de réussir ? (4)

     

    « Tout ce qu'il entreprenait, l'Éternel le faisait réussir » Ge 39.3

    Pour vaincre votre peur de réussir, vous devez faire ces six choses :

    1) Donnez-vous le temps de finir les tâches essentielles dont dépend votre succès.

    2) Restez en mode « développement », et ne faites rien qui puisse l'entraver. Par exemple, épargner de l’argent pour votre entreprise et le dépenser en vêtements plutôt qu’en marketing ou publicité.

    3) Gardez le contact avec ceux qui peuvent avoir une influence positive sur votre réussite. Cessez de penser que vous ne méritez pas leur attention, ou qu’ils n’auraient pas de temps à consacrer à quelqu'un comme vous. « Regarde celui qui travaille bien. Il pourra se présenter au service du roi, au lieu de rester parmi les ouvriers qu'on ne connaît pas » (Pr 22.29, PDV). Non seulement Boaz possédait le champ où Ruth glanait le blé, mais il est tombé amoureux d'elle et l'a épousée. Aujourd'hui, il y a des gens qui vous voient et sont capables de vous bénir.

    4) Associez-vous avec ceux qui ont un but, sont efficaces et ont un sens des priorités. Observez comment ils opèrent et imitez tout ce qui, dans leur comportement, honore Dieu.

    5) Pensez au bien que vous pourriez propager ainsi qu’aux ministères et causes que vous pourriez soutenir, si vous en aviez les moyens.

    6) Comprenez que la réussite est une idée de Dieu et qu'il nous l'a donnée pour accomplir ses desseins. Tant que votre motivation est de plaire à Dieu et de faire sa volonté, vous pouvez vous appuyer sur cette Parole : « Tout ce qu'il entreprenait, l'Éternel le faisait réussir ».

     

    Bob Gass 

     

     

     

     

     

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    Mon Dieu est si bon

     

    Mon Dieu est si bon

     

     

    1. Mon Dieu est si bon
    Il prend bien soin de moi,
    Ce Dieu si fidèle
    Sais-tu qu'Il pense à toi.
    Il voudrait t'aider
    Dans tes difficultés ;
    Il faut que tu viennes
    A Lui tel que tu es.

     

    Dieu sait si bien
    Ce qui te semble lourd,
    Qui te fais mal,
    Te troubles chaque jour.
    Il connaît tes besoins,
    Ta peur du lendemain,
    Avec mon Dieu tu sais
    Tout ira bien.

     

    2. Il vit à jamais,
    C'est un Dieu tout-puissant,
    Il te répondra,
    Viens à Lui simplement,
    Quand tout semble noir,
    Triste et désespéré,
    Sais-tu que là-haut,
    tu n'es pas oublié.

     

    3. Mon Dieu t'aidera,
    Il conduira tes pas,
    Si tu veux marcher,
    Te plier à sa loi,
    Alors ne crains plus,
    Tu peux compter sur Lui,
    Il accomplira tout
    Ce qu'Il a promis.

      

     

     

    JEM133

    I.M. HORNBERG © FORLAGET FILADELFIA

     

     

     

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    La peur (1)

     

     

    Lisez | Psaumes 27.1-3


    Il y a presque sept décennies que je marche avec le Seigneur. J’ai lu la Bible en entier de nombreuses fois, prêché des milliers de sermons et rédigé maintes études bibliques. Je dois toutefois vous confesser une chose qui vous surprendra peut-être : malgré tout cela, j’ai parfois peur. Je devine que la crainte vous assaille, vous aussi, à l’occasion. En définitive, nous vivons dans un monde apeurant!

    La peur de l’échec, du ridicule, de la solitude ou autre peut affecter tout un chacun. Un des domaines où je me sens vulnérable est celui de la prédication. Il m’arrive, dès le lundi, d’avoir l’impression tenace que je ne serai pas prêt à prêcher le dimanche, et ce sentiment persiste durant toute la semaine.

    En réaction à cette appréhension, je prie et j’étudie davantage, et je lis la Bible plus attentivement. Je suis poussé à faire tout en mon possible pour réussir à proclamer la parole de Dieu. J’ai décidé il y a longtemps que je ne laisserais pas la frayeur m’empêcher d’obéir à l’appel de Dieu. Avant de résister à mes craintes, je dois cependant avouer que j’en ai. C’est la clé qui permet de les vaincre.

    Il n’est pas honteux d’admettre que l’on a peur. Le roi David l’a souvent fait dans les psaumes (34.5; 55.5,6). Sa confession était toutefois accompagnée de prières, dans lesquelles il reconnaissait que le Seigneur était plus puissant que ses frayeurs et ses ennemis.

    Cette même puissance est à votre disposition. Dieu veut vous libérer de la crainte et des doutes. Entrez dès maintenant dans sa présence et parlez-lui de ce qui vous fait peur.

     

     

     

    La peur (2)

     


    Lisez | 1 Rois 19.1-4


    En général, nous associons la peur à l’échec. Nous avons tendance à craindre quand nous avons connu une défaite et que nous nous sentons incompétents. Nous pouvons aussi être ébranlés et croire que notre jugement est faux lorsque nous avons fait une grande erreur de raisonnement. Alors, nous nous attendons presque à être subjugués par les craintes.

    En 1 Rois 18, la situation est toutefois complètement différente. Élie y vit un des triomphes les plus éclatants de l’Écriture. Ayant pour seule arme sa foi inébranlable dans le Seigneur, il se mesure à 850 sacrificateurs de faux dieux. Le Seigneur intervient avec puissance; il détruit les idolâtres et se glorifie aux yeux de tout Israël. Il s’agit d’une victoire spectaculaire.

    Immédiatement après cet affrontement, Élie, dont la foi exubérante aurait dû être à son zénith, succombe à la peur. En 1 Rois 19, le prophète apprend que la méchante reine Jézabel a prononcé son arrêt de mort. Oubliant en apparence la victoire formidable que Dieu vient de remporter, Élie se sauve. Comment cela peut-il être?

    L’histoire d’Élie nous rappelle que la plus grande menace à notre vie spirituelle n’est peut-être pas nos échecs, mais nos réussites. Lorsque nous sommes très confiants, nous détournons souvent les yeux de celui qui nous fournit les forces nécessaires au combat pour les poser sur nous-mêmes.

    Notre triomphe revient toujours à Dieu. Ne vous y trompez pas : il pourra se servir de vous de différentes manières pour obtenir la victoire, mais elle lui appartiendra invariablement. Le succès vous a-t-il distraits? Regardez de nouveau vers le Seigneur. Il est digne de toute louange et de toute gloire. Quant à vous, vous n’avez rien à craindre.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

     

     

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    N’arrête jamais de chanter

     

    As-tu déjà observé l'attitude des oiseaux face à l'adversité ?

    Pendant des jours et des jours, ils font leur nid, recueillant des matériaux parfois ramenés de très loin.

    Lorsqu'ils ont terminé et sont prêts à déposer les oeufs, il arrive souvent que le nid soit détruit et envoyé au sol par les intempéries, par un humain ou un quelconque animal.

    Que fait l'oiseau ? Il paralyse et abandonne la tâche ?

    En aucune façon...
    Il recommence encore et encore jusqu'à ce que les premiers oeufs apparaissent dans le nid.

    Parfois, très souvent, avant que naissent les oisillons, un animal, un enfant ou une tempête, détruit une fois de plus le nid,
    mais cette fois avec son précieux contenu.

    Cela fait mal de recommencer à zéro, même ainsi, l'oiseau ne se tait jamais, ni ne recule,
    il continue de chanter et de construire, construisant et chantant.

    As-tu parfois le sentiment que ta vie, ton travail, ta famille ne sont pas ce que tu avais rêvé ?

    As-tu parfois envie de dire "assez", l'effort n'en vaut pas la peine. C'est trop pour moi !

    Es-tu fatigué de recommencer, du gaspillage de la lutte quotidienne, de la confiance trahie, des buts manqués quand tu étais sur le point d'y arriver ?

    La vie frappe ainsi parfois, mais ne te rends jamais.
    Dis une prière, mets ton espoir en avant et fonce.

    Ne te préoccupe pas si dans la bataille, tu reçois une blessure, il faut s'y attendre.
    Réunis les morceaux de ton espérance, reconstruis-la et fonce de nouveau.

    Peu importe ce qui se passe, ne faiblis pas, va de l'avant.

    La vie est un défi constant mais cela vaut la peine de l'accepter et surtout n'arrête jamais de chanter.

     

    Auteur inconnu

     

     

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    Je rêve d'un monde

     

     

     

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    Je chanterai toujours les bontés de l'Eternel - Psaumes 89 : 1

     

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