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    Il m'a répondu, il m'a délivré - Psaumes 34 : 4-5

     

    Il m'a répondu, il m'a délivré - Psaumes 34 : 4-5

     

     

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    Affrontez la solitude

     

    Affrontez la solitude



    « Je suis comme l’oiseau solitaire sur un toit. » (Psaumes : 102 / 8)

    Que la solitude soit le résultat du deuil, d’une cruelle séparation, ou de l’orgueil, elle n’est jamais facile à vivre ; nous la subissons toujours, et la plupart du temps sans que nous le voulions ! L’orgueil peut vous mener à penser que vous avez toujours raison, et qu’il est impossible que vous vous dédisiez sur tel ou tel point, alors vous vous retrouvez seul ; parce qu’il est impossible de travailler avec vous ! Ou bien le deuil, le divorce ou encore la dispute, la fâcherie avec les enfants qui dure et qui dure ! Vous ressentez comme une blessure cette solitude, et vous pleurez, et c’est bien légitime !

    Combattez ce terrible sentiment de solitude en mettant votre foi en action !

    Je ne vais pas vous dire, au nom de principes impitoyables, que vous devez accepter cette solitude sans rien dire ; non, je voudrais simplement vous rappeler que la solitude, Jésus l’a connue bien des fois, et qu’il comprend ceux et celles qui passent par là ! La solitude c’est aussi, après une vie d’activité, une retraite ou l’on reste sans projet, sans coup de téléphone, sans les collègues, et ce n’est pas aussi facile que vous l’imaginiez. Il y a également la solitude du malade dans sa chambre d’hôpital, malgré les visites amicales ! On peut aussi être seul au milieu de la foule des autres qui ne vous regardent même pas ! C’est terrible mais ce n’est pas définitif !

    Affrontez votre solitude en venant dans la présence de Dieu ; cessez de regarder aux absents, ils ne reviendront plus, et laissez le Dieu de l’Évangile, Jésus de Nazareth, rebâtir votre existence à partir de plus rien ! Lui sait comment relever ce défi-là, vous non ! Lamentez-vous encore et encore si vous le voulez, après tout c’est votre droit, et c’est humainement parlant légitime ; vivez avec vos souvenirs, vos photos, votre passé heureux définitivement révolu, mais là, vous ne risquez pas de sortir de votre solitude intérieure ! Combattez ce terrible sentiment de solitude en mettant votre foi en action ! Vous vivez aujourd’hui et vous avez le droit de refuser la solitude de votre cœur ! Vous vivrez bien mieux vos "aujourd’hui" sans elle !

    Une prière pour aujourd’hui :
    Seigneur, au nom de Jésus, je viens répandre mes larmes de solitude à tes pieds ; je veux, avec ton aide, sortir de ce caveau–là, et te laisser remplir ma vie tout à nouveau ! Au nom de Jésus j’ai prié. Amen.

    Samuel Foucart

     

     

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    Affronter la mort sans crainte

     

    « Réveillez-vous et tressaillez de joie, habitants de la poussière ! 

    Pour Aristote, la mort est la chose la plus à craindre. Pour Sartre, elle ôte tout sens à la vie. Robert Ingersoll, fervent agnostique, a dit : « La vie est une étroite vallée entre les sommets froids et arides de deux éternités. Nous tentons en vain de regarder au-delà de ces hauteurs ». Les dernières paroles de Rabelais ont été : « Tirez le rideau, la farce est terminée ». Dans Hamlet, Shakespeare décrit l’au-delà comme « la crainte de quelque chose après la mort, le pays inconnu dont nul voyageur ne revient ». Clairement, être incroyant n’est pas qu’une façon misérable de vivre ; c’est une façon tragique de mourir. Un acteur a dit un jour avec malice : « J’ai l’intention de vivre éternellement… jusque-là, tout va bien ». Et si la mort était différente de ce qu’en pensent les philosophes ? Non une malédiction mais une passerelle ? Non une crise à éviter mais un virage à négocier ? Et si le cimetière n’était pas le domaine de la grande faucheuse, mais le territoire du gardien des âmes qui viendra bientôt annoncer : « Réveillez-vous et tressaillez de joie, habitants de la poussière » ? Paul écrit : « Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes. Mais maintenant, Christ est ressuscité d'entre les morts, il est les prémices de ceux qui sont décédés. Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts » (1Co 15:19-21). La mort n’est pas un rideau tiré. Votre dernier jour sur terre n’est qu’un début !

     

     

     

    Bob Gass 

     

     

     

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    Ouvrir les yeux avec le coeur

     

    Ouvrir les yeux avec le coeur


    Les recettes de beauté d'Audrey Hepburn



     

    Pour avoir de belles lèvres, dites des mots gentils.

    Pour avoir de beaux yeux, cherchez ce qu'il y a de bon chez autrui.

    Pour avoir une belle silhouette, partagez vos repas avec ceux qui ont faim.

    Pour avoir de beaux cheveux, laissez un enfant y passer sa main une fois par jour.

    Pour avoir de l'assurance, soyez assurée que vous ne resterez jamais seule.

    Les gens, plus encore que les objets, ont besoin d'être restaurés, réparés et rachetés : n'en jetez jamais aucun.

    N'oubliez pas : si vous avez besoin d'une main secourable, vous en trouverez une au bout de chacun de vos bras. En vieillissant, vous découvrirez que vous avez deux mains, l'une pour vous aider vous-même et l'autre pour aider autrui.

    La beauté d'une femme ne réside pas dans les vêtements, le visage ou la coiffure.

    Elle doit être sensible dans ses yeux - qui sont la porte du cœur, là où se trouve l'âme.

    La beauté du visage d'une femme ne dépend pas du maquillage mais de l'âme qu'il reflète.
    La beauté d'une femme croît avec les années.
     

     

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    Le Seigneur est mon aide - Hébreux 13 : 6

     

    Le Seigneur est mon aide - Hébreux 13 : 6

     

     

     

     

     

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    Les interférences de Dieu

     

    Les interférences de Dieu

     

     

    "Cette nuit-là, le roi ne put pas dormir, et il se fit apporter le livre des annales, les Chroniques. On les lut devant le roi." Esther 6.1

     
    Dans un ouvrage récent, le docteur David Neubauer rapporte que près d'un adulte sur deux souffre d'insomnie, alors que 10 à 15 pour cent connaissent des troubles du sommeil sévères ou chroniques. Pourquoi l'insomnie constitue-t-elle un si grand problème ? Les études ont prouvé que les causes sont multiples et incluent le manque d'exercice, la mauvaise alimentation, la maladie, les problèmes mentaux ou émotionnels, les inquiétudes et les anxiétés.

    Dieu peut utiliser une insomnie – ou tout autre chose – pour réaliser ses plans.

     
    Cependant les chrétiens doivent comprendre que Dieu réalise parfois ses plans en interférant dans le cours de notre vie ordinaire, même par des événements tels que des nuits blanches. Peut-être désire-t-il nous parler, attirer notre attention, nous amener à réfléchir sur une chose en particulier ou nous placer dans une position telle que nous sommes obligés d'agir : comme par exemple prier ou lire sa Parole.

    Ce fut lors d'une nuit d'insomnie qu'Assuérus fit une découverte qui changea le cours de l'histoire. Cette nuit-là, alors qu'il lisait les annales de son royaume, il réalisa que Mardochée n'avait pas été récompensé pour lui avoir sauvé la vie. Suite à cette découverte, Mardochée fut élevé. Quant à Haman, qui avait cherché à tuer les Juifs, il fut puni et les Juifs furent sauvés. Tout cela parce qu'Assuérus ne parvenait pas à dormir.

    Souvenez-vous que Dieu peut utiliser une insomnie – ou tout autre chose – pour réaliser ses plans. La prochaine fois que vous ne parviendrez pas à dormir – ou que les événements de votre vie seront interrompus – regardez à Dieu. Demandez-lui s'il n'est pas en train d'essayer d'accomplir quelque chose, d'attirer votre attention. Soyez à son écoute et toujours prêt à ce qu'il interfère dans votre emploi du temps. Permettez-lui de vous surprendre, de vous parler, de vous mettre au défi, de vous enseigner, de vous donner une nouvelle direction, en un mot de vous changer.

    Une prière pour aujourd'hui :
    Seigneur, je te soumets ma vie. Tu es le potier, je suis l'argile. Donne une forme à ma vie. Façonne-moi comme le vase que tu désires que je sois et utilise-moi pour ton royaume. Au nom de Jésus. Amen.

     

     

     

    John Roos

     

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

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    Sois tranquille, ne crains point - Esaïe 7 : 4

     

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    En avant, chrétien !

     

    En avant, chrétien !

     

     

    Comment continuer à avancer dans les moments difficiles.


    Je n’en peux plus.

    Jusqu’à quand Dieu s’attend-il à ce que je supporte ma situation? Pourquoi ne m’aide-t-il pas? Avez-vous déjà pensé ainsi? Pression du travail, tensions à l’église, conflits relationnels, problèmes de santé, familiaux et financiers : la liste des difficultés écrasantes est infinie. Il est difficile de voir la lumière au bout du tunnel, encore plus de saisir comment vous pourriez le traverser victorieusement. Où pouvez-vous trouver la force de poursuivre votre route lorsque vous êtes si épuisé?

    Heureusement, Dieu nous fait une promesse incroyable : « Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent leur vol comme les aigles; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point » (És 40.31). Ce verset ne parle pas seulement de la faiblesse physique, car l’épuisement émotionnel peut être encore pire. Quand nous sommes crevés, une bonne nuit de sommeil renouvelle normalement nos forces, mais la fatigue émotionnelle peut nous mettre complètement à plat, nous envahir de craintes et de doutes. Comment vais-je affronter le lendemain? Seigneur, où es-tu?

    C’est exactement ainsi que les Israélites se sont sentis quand le Seigneur leur a parlé par le prophète Ésaïe : « Pourquoi dis-tu, Jacob, pourquoi dis-tu, Israël : Ma destinée est cachée devant l’Éternel, mon droit passe inaperçu devant mon Dieu? » (És 40.27.) Nos circonstances nous donnent parfois l’impression que le Seigneur nous a complètement oubliés. Si nous sommes ses enfants, ne devrait-il pas nous épargner des difficultés et rendre notre vie plaisante et facile? Pas nécessairement.

    Une telle réflexion indique que nous oublions que la souffrance et les épreuves font partie intégrante de la vie, même de celle des croyants. Quand Adam et Ève ont choisi de suivre Satan plutôt que Dieu, les conséquences de leur péché se sont étendues au monde entier, et personne n’en a jamais été exempté. Même si le Seigneur règne toujours sur sa création, il accomplit maintenant ses desseins parfaits dans le contexte d’un environnement déchu.

    La clé pour remporter la victoire dans les épreuves consiste à bien y réagir, sans tenter de les fuir. N’importe qui peut continuer d’avancer quand il est déchargé de ses fardeaux, mais celui qui fait confiance au Seigneur malgré les difficultés persévérera. Cependant, ce type de confiance entière n’est possible que si nous connaissons le caractère de Dieu et comprenons ses objectifs.


    SAVOIR QUI EST DIEU

    Ésaïe a décrit le Seigneur comme le Dieu d’éternité et le Créateur, qui ne se fatigue jamais et dont on ne peut sonder l’intelligence (És 40.28). Considérons donc comment ces attributs divins peuvent augmenter notre confiance en lui alors que nous traversons des épreuves. Tandis que nous ne voyons que nos besoins immédiats, Dieu a une perspective éternelle de notre situation. Puisqu’il est notre Créateur, il a conçu des projets pour notre vie qui s’accomplissent soigneusement au moyen de chacune de nos circonstances. De plus, il ne nous perd jamais de vue parce qu’il pense toujours à nous. Finalement, Dieu est omniscient, ce qui veut dire que les raisons pour lesquelles il permet les épreuves dans notre vie peuvent dépasser notre compréhension, mais elles sont toujours pour notre bien.

    Dans le même chapitre, Ésaïe décrit le Seigneur comme un berger qui prend soin de ses brebis, les rassemble et les guide (És 40.11). Dans ce verset, nous voyons la grandeur de l’amour et de la miséricorde de Dieu. Il s’occupe de nous, pourvoit à nos besoins, nous porte quand nous sommes trop faibles pour marcher et nous guide aimablement lorsque nous ne savons où aller. Toutes ces qualités devraient nous motiver à lui faire confiance.


    COMPRENDRE CE QUE DIEU VEUT FAIRE

    Si nous avons déjà été tentés d’abandonner la partie ou de nous plaindre au Seigneur, c’est peut-être parce que nous ne comprenons pas à quel point il veut nous aider. « Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance » (És 40.29). Dieu ne veut jamais que nous vivions par nos propres forces; c’est pourquoi il permettra parfois que nous traversions des moments de faiblesse. Il veut nous montrer que nous avons besoin d’échanger notre minuscule force terrestre contre sa puissance céleste. Que nous éprouvions un besoin physique ou émotionnel, il peut nous remplir de nouveau de son énergie divine.


    ESPÉRER DANS LE SEIGNEUR

    Puisque Dieu détient toute la puissance dont nous pourrions avoir besoin et qu’il désire la partager avec nous, nous devons comprendre comment en bénéficier. Ésaïe dit que la clé consiste à nous confier en l’Éternel (És 40.31). C’est probablement la dernière chose que nous voulons entendre quand nous sommes accablés et abattus. Nous voulons un soulagement sur-le-champ, et non plus tard! Espérer dans le Seigneur n’est pourtant pas la même chose qu’espérer la fin d’une période difficile.

    Le mot hébreu traduit par « espérer » véhicule l’idée d’espoir et d’anticipation. Puisque nous ne savons pas automatiquement à quoi nous attendre de Dieu ou comment il agira dans notre vie, nous devons passer du temps avec lui, lui faire part de nos sentiments et examiner l’Écriture pour comprendre ce qu’il désire accomplir en nous et par nous. Nous devrions ensuite anticiper, dans le silence, sa réponse. Si nous comptons sur ses promesses, sa paix remplacera notre anxiété.

    Le meilleur exemple que j’aie vu d’une personne qui savait comment vivre par la force de Dieu est peut-être celui d’une femme appelée Bertha avec qui j’ai travaillé lors d’un congrès. Même si elle avait 97 ans, cette ancienne missionnaire en Chine a travaillé sans relâche durant la semaine en priant pour les gens et en discutant avec eux jusque tard dans la soirée. Le lendemain, elle se levait tôt et s’astreignait de nouveau à la même routine. Après avoir connu une journée particulièrement longue et épuisante, je me suis traîné jusqu’au centre des congrès, et j'y ai vu Bertha qui travaillait toujours. Je lui ai demandé : « Comment pouvez-vous garder ce rythme, jour après jour? » En me faisant un large sourire, elle m’a répondu : « Je n’utilise pas mon énergie. Je me sers de celle du Seigneur. »

    Je n’ai pas vraiment compris ce qu’elle voulait dire à ce moment-là, mais je savais que c’était une leçon que j’avais besoin d’apprendre. En son temps, Dieu me l’a enseignée, mais je l’ai apprise à la dure : par l’échec. Je pensais que Dieu et moi pouvions accomplir n’importe quoi, et je me suis donné corps et âme à son service. Je n’avais cependant pas compris que je courais selon mon plan et avec mes propres forces, et non la sienne. Pendant un certain temps, cela a fonctionné, mais un jour le Seigneur m’a mis à l'écart. Durant trois mois, il m’a imposé un « temps d’arrêt » pour attirer mon attention. Pendant cette période, j’ai appris que nous ne pouvons pas nous attendre à tracer notre propre sentier, en pensant que Dieu nous dépannera si nous sommes dans le pétrin. Il nous donne la force de porter les fardeaux qu’il permet, mais pas ceux dont nous nous chargeons et qui ne s’alignent pas sur sa volonté.

    Pendant ma période d’inactivité, j’ai fait l’expérience de la vérité qui se trouve en Galates 2.20 et qui a transformé ma vie : « J’ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. » La seule manière de persévérer dans les moments difficiles consiste à laisser Christ vivre sa vie en nous. Quand nous sommes au bout du rouleau et acceptons la vérité qu’il nous soutiendra, peu importe la situation, nous pouvons accomplir tout ce qu’il nous appelle à faire.

    Le Seigneur ne promet jamais de nous soustraire aux difficultés, mais nous pouvons être assurés que si nous devons courir, il nous fortifiera à mesure que nous avancerons. Et si la route est longue, il nous aidera à la parcourir sans perdre courage. Quand nous espérons en lui, en croyant qu’il peut et veut venir à notre aide, tout est possible.


    Connaissez-vous Dieu?
    Si vous traversez un moment difficile et que vous ne connaissez pas Jésus-Christ, vous pouvez changer cette situation dès aujourd’hui. Il vous aime tant qu’il est mort à votre place pour subir le châtiment que méritaient vos péchés. Jésus veut vous accompagner dans tout ce que vous vivez. Tout ce que vous devez faire est de croire en lui et d’accepter son salut (Actes 16.30,31). Vous pouvez formuler votre propre prière ou vous servir de celle qui suit :

    Seigneur Jésus, je crois que tu es vraiment le Fils de Dieu. Je confesse avoir péché contre toi en pensées, en paroles et en actions. Je te demande de me pardonner mes fautes pour que je puisse désormais vivre en relation avec toi. Je te reconnais comme mon Sauveur et j’accepte l’œuvre de la croix que tu as accomplie pour moi une fois pour toutes. Merci de m’avoir sauvé. Aide-moi à mener une vie qui te soit agréable. Amen.

     

    Charles F. Stanley
    Source : encontact.org

     

    En avant, chrétien !

     

     

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    Il garde les âmes de ses fidèles - Psaumes 87 : 10

     

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    Un abri sûr en toutes circonstances !

     

     

    Un abri sûr en toutes circonstances !

     

     

    "Ô Dieu ! écoute mes cris, sois attentif à ma prière ! Du bout de la terre je crie à toi, le cœur abattu ; conduis-moi sur le rocher que je ne puis atteindre ! Car tu es pour moi un refuge, une tour forte en face de l’ennemi. Je voudrais séjourner éternellement dans ta tente, me réfugier à l’abri de tes ailes." Psaume 61.2-5


    Une enquête menée en 2009 par le Wall Street Journal Europe a révélé que la moitié des Européens interrogés estimaient que l'état de la société au niveau mondial empirait. Vingt et un pour cent trouvaient même cette dégradation significative. Bon nombre de nos contemporains vivent dans la peur, notamment du fait du terrorisme et de la guerre. De la délinquance et des problèmes familiaux. De la maladie et des catastrophes.

    David a souvent connu la peur dans sa vie.

    Mais il a aussi pris conscience que son seul espoir était de se tourner vers Dieu.


    Malgré ces craintes, beaucoup ont reconnu ne rien faire pour tenter de remédier à la situation. Si 34% ont déclaré qu'ils essayaient de rendre le monde meilleur en "menant une vie morale et droite", seuls 3% des personnes interrogées de la tranche d'âge entre 15 et 29 ans (et 8% des plus de 50 ans) ont dit chercher une aide du côté de Dieu ou de la religion.

    Les chrétiens savent pourquoi le monde est en proie à la peur. La Bible annonce des temps difficiles. Une tempête est imminente. Cependant, même ceux qui connaissent Dieu doivent faire face à la réalité de l'inquiétude et de la peur.

    David a souvent connu la peur dans sa vie. Mais il a aussi pris conscience que son seul espoir était de se tourner vers Dieu. Il pouvait l'invoquer n'importe où, même "du bout de la terre". Il le priait quand son cœur était abattu, lui demandant de le conduire sur le rocher qu'il ne pouvait atteindre. Il savait qu'il pouvait compter sur Dieu, qui était pour lui "un refuge, une tour forte en face de l'ennemi".

    Aujourd'hui, y a-t-il des peurs dans votre vie ? Êtes-vous en proie à l'inquiétude ? Faites comme David. Criez à Dieu. Réfugiez-vous en lui.

    Une prière pour aujourd'hui :
    Père, je te remets ma situation. Merci pour ton aide et ta délivrance, ta sagesse et ta direction. Tu es mon refuge et ma force. J'ai confiance en toi. Au nom de Jésus. Amen.

     

    John Roos

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Il en a pris soin - Deutéronome 32 : 10

     

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    Prie pour moi !

     

     

    (Jésus dit:) Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent. Matthieu 5. 44

     

     

    En Amérique, au temps de l'esclavage, un fermier dur et sans cœur avait un esclave chrétien. Un jour, il lui dit:

    – Soko, je ne veux pas que quelqu'un prie encore dans mon domaine. Si tu ne m'obéis pas, je te ferai fouetter.

    – Mais, Massa, je ne peux pas arrêter de prier.

    Soko fut lié et battu, mais malgré ses souffrances, il ne poussa pas un cri. Mécontent, son maître rentra à la maison.

    – Pourquoi Soko ne peut-il donc pas prier dans sa hutte? lui demanda sa femme. Il ne nous fait quand même pas de mal!

    – Je ne veux pas qu'on prie dans mon domaine.

    Le fermier alla se coucher, mais l'attitude calme et courageuse de son esclave l'avait fortement impressionné et l'empêchait de trouver le sommeil. Sa conscience l'accusait de cette violence inhumaine et gratuite. Un jour, ne devrait-il pas en rendre compte à Dieu? À minuit, il réveilla sa femme et lui demanda de l'apaiser: Prie pour moi!

    – Quelle idée! Je n'ai jamais prié de ma vie! s'exclama-t-elle.

    – Je suis tourmenté en pensant à ce que j'ai fait. Y a-t-il quelqu'un qui pourrait demander pour moi la grâce de Dieu?

    – Je ne connais que Soko.

    – Alors, faisons-le appeler! Il faut que quelqu'un prie pour moi!

    Lorsque l'esclave arriva, son maître lui demanda instamment de prier pour lui. Soko lui fit cette réponse émouvante:

    – Massa, depuis que tu m'as fait fouetter, je n'ai pas arrêté de prier pour toi…

     

    (Source : labonnesemence.com)

     

     

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