•  

    Je dis merci à la vie

     

    Je dis merci à la vie

     

     

    Je marchais à l’épicerie, je n'étais pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture. Je n’avais pas faim. La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive. Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs.

     

    Il venait souvent avec moi et presque à chaque fois, il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose. Je savais ce qu’il planifiait. Tout à coup, je l’apercevais marchant dans l’allée avec trois roses jaunes dans ses mains. Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes.

     

    Subitement, le coeur rempli de chagrin, je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir. Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant.

     

    Magasiner pour un prenait du temps… Un peu plus qu’il n’en prenait pour deux ! Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait et je me suis souvenu à quel point il aimait son steak.

     

    Soudainement, une femme approcha tout près de moi. Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte. Je la regardais alors qu’elle prenait dans ses mains un gros paquet de T-bones, le déposa dans son panier… hésita et le remit dans le comptoir. Elle se tourna pour partir, mais décida de reprendre le paquet de steak.

    Elle s’aperçut alors que je la regardais, en souriant elle me dit : "Mon mari adore les T-bones, mais honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine !"

     

    Ravalant l’émotion, je rejoignis ses yeux bleus et lui dit : "Mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours. Achetez-lui les steaks ! Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble !"

     

    Elle secoua la tête. Lisant l’émotion dans mes yeux, elle reprit le paquet, le déposa dans son panier et partit.

     

    Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers. J’étais là, me demandant quel format me procurer.

     

    Je me décidai pour le demi-litre et ensuite poussai le panier vers l’allée de la crème glacée. S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée.

     

    Je déposai la crème glacée dans mon panier et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses. J’ai vu en premier la robe verte, puis reconnu la jolie femme s’approchant vers moi. Dans ses bras elle portait un paquet. Son visage affichait un sourire magnifique. J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds.

     

    Alors qu’elle s’approchait de moi, j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains, et mes yeux ne purent s’empêcher de se remplir d’eau. "Ceci est pour vous, me dit-elle, en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras. Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées". Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau. J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire, ce que les roses représentaient.

     

    Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner les larmes brouillant ma vision…

     

    J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert les trouvant presque irréelles. Comment pouvait-elle savoir ?

     

    Soudainement, la réponse m’apparut clairement. Je n’étais pas seule.

     

    "Oh, tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas ?" J’ai chuchoté, les larmes aux yeux. Il était encore ici avec moi et elle était son ange.

     

    Tous les jours, remercies ce que tu es et ce que tu as !

     

    Quand le matin j’étreins ma couverture et proteste lorsque mon réveille-matin sonne. Merci : Je peux entendre. Plusieurs sont sourds.

     

    Lorsque je garde mes yeux fermés afin d’éviter la lumière du matin le plus longtemps possible. Merci : Je peux voir. Plusieurs sont aveugles.

     

    Lorsque je m’emmitoufle dans mon lit retardant ainsi la levée de mon corps. Merci : J’ai la force de me lever. Plusieurs sont alités.

     

    Lorsque la première heure de ma journée est bousculée, bas perdus, rôties brûlées, que la zizanie est dans la maison et que les enfants sont trop bruyants. Merci : J’ai une famille. Plusieurs sont seuls.

     

    Si pour le déjeuner la table ne ressemble en rien aux photos dans les magazines et que le menu n’est parfois pas équilibré. Merci : Pour la nourriture que nous avons. Plusieurs ont faim.

     

    Lorsque je trouve que la routine de mon travail est souvent monotone. Merci : J’ai l’opportunité de travailler. Plusieurs n’ont pas de travail.

     

    Même lorsque je bougonne et me plains de mon sort de temps à autre et souhaite que mes moyens ne soient pas si modestes. Merci : je suis en vie !

     

     

    Je dis merci à la vie

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Le marchand de bonheur

     

     

    Il y a plus de joie à donner qu’à recevoir.

     

    C’est l’histoire d’un homme qui était fatigué de pleurer.

    Il regarda autour de lui, et voyant que le bonheur était là, il étendit la main pour le saisir.

     

    C’était une fleur :

    il la cueillit, mais à peine dans sa main, elle s’effeuilla.

    C’était un rayon de soleil :

    il leva les yeux pour en être éclairé, et la lumière derrière un nuage s’éteignit.

    C’était une guitare :

    il la caressa de doigts.  Elle grinça.

     

    Ce soir-là, en rentrant, l’homme pleurait encore.

     

    Le lendemain, il recommença.

    Sur le chemin, un petit enfant gémissait.

    Il voulut le consoler, prit une fleur et la lui donna.

    Et le parfum de la fleur l’embauma aussi.

    Une pauvre femme grelottait sous ses haillons.  

    Il la conduisit au soleil et lui aussi s’y réchauffa.

    Un groupe de jeunes chantait.

    De sa guitare il les soutint, et lui-même fut bercé par la mélodie.

     

    Ce soir-là, en rentrant, cet homme souriait.

     

     

    J. de Vietinghoff 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Est-ce que Dieu a créé tout

     

    Est-ce que Dieu a créé tout ?

     

     

    Un professeur universitaire défia ses étudiants avec cette question :

     

    « Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ?

     

    Un étudiant répondit bravement : - Oui, Il l'a fait !

     

    Le professeur dit : « Dieu a tout créé ? »

     

    - Oui, Monsieur, répliqua l'étudiant.

     

    Le professeur répondit :

     

    « Si Dieu a tout créé, Il a donc aussi créé le mal puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais ».

     

     

     

    L'étudiant fut silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même et il se vantait devant les étudiants d'avoir su prouver encore une fois que la foi en un dieu était un mythe.

     

    Un autre étudiant leva sa main et dit : « Puis-je vous poser une question professeur ?»

     

    - Bien sûr, répondit le professeur.

     

    L'étudiant répliqua: « Professeur, le froid existe-t-il ? »

     

    - Quel genre de question est-ce cela ? Bien sûr qu'il existe. Vous n'avez jamais eu froid ? dit le professeur.

     

    Le jeune homme dit :

     

    « En fait monsieur, le froid n'existe pas. Selon la loi de physique, ce que nous considérons être le froid est en réalité l'absence de chaleur.

     

    Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l'ÉNERGIE. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l'ÉNERGIE.

     

    Le zéro Absolu ( -460°F ) est l'absence totale de chaleur; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température. Le Froid n'existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur. »

     

    L'étudiant continua... « Professeur, l'obscurité existe-t-elle ? »

     

    Le professeur répondit : - Bien sûr qu'elle existe !

     

    L'étudiant : « Vous avez encore tort Monsieur, l'obscurité n'existe pas non plus. L'obscurité est en réalité l'absence de LUMIÈRE. Nous pouvons étudier la LUMIÈRE, mais pas l'obscurité. En fait, nous

     

    pouvons utiliser le prisme de Newton pour faire augmenter la LUMIÈRE blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité.

     

    Un simple rayon de LUMIÈRE peut faire irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer. Comment pouvez-vous savoir l'espace qu'occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de LUMIÈRE présente. N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé par l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de LUMIÈRE. »

     

    Finalement, le jeune homme demanda au professeur : « Monsieur, le mal existe-t-il ?»

     

    Maintenant incertain, le professeur répondit :

     

    - Bien sûr, comme je l'ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour. C'est dans les exemples quotidiens de l'inhumanité de l'homme envers l'homme. C'est dans la multitude des crimes et des violences partout

     

    dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d'autre que du mal !

     

    L'étudiant répondit :

     

    « le Mal n'existe pas Monsieur, ou au moins il n'existe pas de lui-même. Le Mal est simplement l'absence de Dieu. Il est comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour décrire l'absence de Dieu. Dieu n'a pas créé le mal. Le Mal n'est pas comme la foi, ou l'AMOUR qui existe tout comme la LUMIÈRE et la chaleur. Le

     

    Mal est le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'AMOUR de Dieu dans son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n'y a aucune chaleur ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune LUMIÈRE. »

     

    Le professeur s'assoit, abasourdit d'une telle réponse.

     

    Le nom du jeune étudiant ? Albert Einstein

     

     

    Auteur : inconnu

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Votre situation n’est point à la mort

     

    "Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra quand même il serait mort." Jean 11.25


    Dieu, créateur de toutes choses, appelle à l’existence ce qui n’existe pas, il apporte la vie là où il y a la mort. « ll parle et la chose arrive ; il ordonne, et elle existe » (Psaumes 33.9).

    C’est à votre tour à présent de faire un pas de foi…


    Il se peut que vous ayez "enterré" un pan de votre vie, un souhait qui vous est cher que vous considériez comme révolu ; potentiellement, ce désir peut concerner la conversion d'une personne que vous aimez, la naissance d'un bébé ou votre désir de recouvrer la santé...

    Le temps qui passe n'arrange rien à votre état, bien au contraire il ne fait qu'empirer, au point que vous vous dites que ce n'est plus la peine d'espérer, cela n'arrivera pas.

    "C'est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles" (Hébreux 11.3).

    Croire que Dieu peut encore agir en votre faveur alors qu'à vos yeux c'est le néant total, semble peut-être un dilemme pour vous ? Pourtant, votre foi dans ce cas est d'une importance capitale, elle a un rôle prépondérant dans la manifestation de la puissance de Dieu dans votre vie.

    Marthe, ballottée entre l'incrédulité et l'agitation va voir le Seigneur la replacer sur le chemin créateur de la foi : "Ne t'ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ?" (Jean 11.40).

    Et la parole du Tout-Puissant va se faire entendre ce jour-là, elle va apporter la vie là où il y a la mort. "Il cria d'une voix forte : Lazare, sors ! Et le mort sortit..." (Jean11.43-44). 

    C'est à votre tour à présent de faire un pas de foi en lui confiant ce que vous avez enfoui tout au fond de votre cœur. Vous pouvez être certain que votre situation "n'est point à la mort ; mais elle est pour la gloire de Dieu" (Jean 11.40).
     

    Une proclamation aujourd'hui :
    Seigneur, parce que je crois en toi, je sais que je vais voir ta gloire dans ma vie! Amen.

     

    Yannis Gautier

    (Source : TopChrétien)

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Regardez dans le bon miroir

     

    Regardez dans le bon miroir !

     

     

    « N'ayez pas pour parure ce qui est extérieur » 1P 3.3

     

    Les grands stylistes s’occupent de chaque détail des mannequins qui défilent pour eux. Les bijoux, la coiffure, le maquillage, tout doit être parfait. Et c’est pareil avec Dieu. Il vous a crée, avec vos composants spécifiques, vos traits de caractère et vos capacités émotionnelles. Il a conçu en vous un être pensant, vibrant, en parfait état de marche, et possédant une séduction propre. Il vous a doté de plus qu’une simple apparence physique. Il vous a donné aussi des talents et des dons spirituels, qualités qu’il désire vous voir développer et utiliser pour ses desseins.

     

    Ce que vous êtes à l’intérieur détermine la façon dont vous vous percevez à l’extérieur. Si vous attachez de la valeur à votre apparence, quelques kilos en trop peuvent vous anéantir, comme le font ces couvertures de magazines qui vantent des beautés sans âme. Vous regardez dans le mauvais miroir ! La Bible dit : « N'ayez pas pour parure ce qui est extérieur : cheveux tressés, ornements d'or, manteaux élégants, mais la parure cachée du cœur » (1P 3.3-4). Si vous vous estimez à travers Dieu plutôt qu’à travers les hommes, qu’importe le prix de vos vêtements. Dans une veste d’occasion comme dans un manteau de luxe, vous savez que votre apparence ne détermine ni ce que vous êtes, ni votre valeur aux yeux de Dieu. La beauté intérieure ne s’achète pas en magasin, ne s’applique pas comme un fond de teint, ne s’enfile pas comme un costume neuf. C’est un « travail intime ».

     

    Alors aujourd’hui, regardez-vous dans le miroir de Dieu et tâchez de voir ce qui lui importe le plus : la beauté intérieure.

     

     

     

    Bob Gass 

     

     

    Regardez dans le bon miroir

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    La réponse de Dieu à l'épuisement

     

    La réponse de Dieu à l’épuisement

      

    "Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l’abondance." Jean 10.10

     
    Viktor Frankl, un survivant de l'Holocauste, a eu cette parole : "La seule chose que vous ne pouvez pas m'enlever, c'est la façon dont je choisis de réagir à ce que vous me faites subir. La dernière liberté qui reste à un homme est de décider de son attitude dans n'importe quelle circonstance."

    Dieu a parlé à mon cœur et m'a dit : "Joyce, c'est ton approche qui doit être différente."

     
    Lorsque l'on connaît le vécu de Frankl, cette affirmation ne manque pas de force. Le fait est que personne ne peut vous obliger à avoir une mauvaise attitude si vous avez décidé du contraire. Cette vérité est importante à comprendre pour qui veut avoir la vie, et l'avoir en abondance (Jean 10.10).

    À une époque, j'étais un bourreau de travail. Je ne profitais pas beaucoup de l'existence et j'avais souvent une attitude négative. Ma vie obéissait au cycle suivant : je travaillais trop et trop longtemps jusqu'à l'épuisement, je finissais par me reposer un peu, puis je travaillais de plus belle jusqu'à ce que je craque à nouveau… Ce mode de vie m'épuisait.

    Il arrive à chacun d'être fatigué. Parfois c'est à cause d'un déséquilibre dans un domaine de notre vie, comme dans mon cas. D'autres fois, c'est parce que nous refusons de demander de l'aide et essayons de tout faire nous-mêmes. Quelle que soit la raison, Dieu ne veut pas que nous vivions ainsi.

    J'ai constaté que lorsque j'étais épuisée, je perdais facilement le contrôle de mes pensées, de mes paroles et de mes émotions. J'ai aussi tendance à me décourager facilement. Sous l'effet de la fatigue, nous pouvons manger à l'excès ou dépenser plus que de raison ; nous nous apitoyons davantage sur notre sort et nous sommes plus faibles face à la tentation.

    Peut-être pensons-nous que ce sont les circonstances de la vie qui nous fatiguent. Or, le problème ne vient pas de la vie, mais de la façon dont nous l'abordons ou la gérons. En d'autres termes, c'est notre attitude qui n'est pas bonne.

    Je me souviens avoir prié pour que les choses changent… les circonstances, les gens, tout ce qui me rendait malheureuse. Je l'ai fait pendant des années, jusqu'à ce que Dieu m'ouvre les yeux. Il m'a révélé que ce qui me contrariait n'allait pas forcément disparaître et que c'était donc à moi de changer. Dieu a parlé à mon cœur et m'a dit : "Joyce, c'est ton approche qui doit être différente."

    Jésus ne nous a jamais promis une vie facile, mais il a affirmé que nous pourrions vivre au-dessus des événements. Avec sa grâce, sa sagesse, sa paix et sa force, nous pouvons gérer les problèmes et le stress, et conserver une bonne attitude. Le repos qu'il nous promet est celui de nos âmes – de notre esprit, de notre volonté et de nos émotions. Jouir de ce repos, c'est en quelque sorte donner des vacances à son âme. Cela veut dire que quel que soit le problème qui survient, vous ne vous inquiétez pas et ne cherchez pas à le résoudre par vous-même. Vous demandez à Dieu de vous donner sa sagesse, vous faites ce qui est en votre pouvoir et vous vous attendez à lui pour le reste. Il n'y a pas de meilleure position pour un chrétien.

    Une action pour aujourd'hui :
    Rappelez-vous que Dieu n'est jamais fatigué et qu'il veut vous aider quand vous n'en pouvez plus. Il veut vous donner sa puissance, afin que votre vie de tous les jours se déroule dans la paix et la joie. Apprenez à vous attendre à lui et choisissez de vivre dans une attitude de foi.

     

     

    Joyce Meyer

    (Source : TopChrétien)

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    L'Eternel, notre chemin et notre joie - Actes 2 : 28

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    L'Eternel, notre soutien - Psaumes 145 : 14

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Seigneur, apprends-moi

     

    Seigneur, apprends-moi

     

    Apprends-moi la douceur, 

     

    cette vertu aimable  

     

    dans les peines comme dans les joies, 

     

    dans l'amitié blessée 

     

    comme dans la fidélité heureuse. 

     

     

     

    Ouvre-moi les yeux. 

     

    Ouvre-moi le cœur. 

     

    pour que je puisse voir et aimer 

     

    Tous ceux et celles que je rencontre 

     

    et qui auraient besoin 

     

    de mon amitié,  

     

    de mon sourire. 

     

     

     

    Inspire-moi la douce parole 

     

    qui ranime,  

     

    qui relève, 

     

    qui console, 

     

    qui encourage,

     

    qui fortifie...

     

     

     

    Aide-moi à fermer les yeux 

     

    devant toutes ingratitude. 

     

     

     

    Apprends-moi la bienveillance qui voit le bien avant tout,  

     

    la patience qui sait attendre et pardonner, 

     

    la prévenance attentive qui court au-devant 

     

    des désirs et devance les demandes. 

     

     

     

    Fais que mon influence entraîne` 

     

    à la vérité, à la bonté et à la beauté 

     

    ceux et celles qui font route avec moi sur le chemin. 

     

     

     

    Que ma vie unie à la tienne témoigne de ton bonheur... 

     

    AMEN.

     

     

     

    Auteur inconnu 

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    La chaise vide

     

    La chaise vide

     

     

     

    La fille d'un homme avait demandé au pasteur de sa localité de venir prier avec son père.

     

    Lorsque le pasteur arriva, il trouva l'homme étendu dans son lit avec sa tête soulevée par deux oreillers. Il y avait une chaise vide à côté de son lit.

     

     

     

    Le pasteur assumant que le vieil homme savait qu'il venait et attendait sa visite, dit :

     

    « J'imagine que vous m'attendiez. »

     

    « Mais non, mais qui êtes vous ? » dit le père.

     

    Le pasteur lui dit son nom, puis il fit la remarque :

     

    « J'ai vu la chaise vide, alors j'en ai déduit que vous saviez que j'allais venir ! »

     

    « Ah oui… la chaise. » dit l'homme dans le lit. « Pourriez-vous fermer la porte s'il vous plaît ? »

     

    Un peu confus, le pasteur ferma la porte.

     

    « Je n'avais jamais dit cela à personne, même pas à ma fille. » dit l'homme. «

     

    Mais durant toute ma vie, j'ai jamais su comment prier. À l'église j'avais l'habitude d'entendre le pasteur parler de la prière, mais cela me passait par dessus la tête. J'ai abandonné toute tentative de prière, » continua le vieil homme, « jusqu'au jour où, il y a à peu près 4 ans, mon meilleur ami me dit :

     

    « Jean, la prière c'est simplement une question d'avoir une conversation avec Jésus. Voici ce que je te suggère : Assieds-toi sur une chaise, et mets une chaise vide en face de toi, et dans la foi, vois Jésus assis sur la chaise. Ce n'est pas effrayant ou étrange, parce qu'il a fait cette promesse en disant : « Je serai toujours avec vous.» Puis parles-Lui de la même manière que tu le fais avec moi maintenant.»

     

    « Alors j'ai essayé, et j'ai tellement aimé ça, que maintenant je le fais quelques heures chaque jour. Je fais très attention par contre. Si ma fille me voyait parler à une chaise vide, soit elle ferait une dépression, soit elle m'enverrait à la maison de fous. »

     

    Le pasteur était si profondément touché par l'histoire qu'il encouragea le vieil homme de continuer son voyage de cette façon. Alors il pria avec lui, l’oint d'huile, et retourna à l'église.

     

    Deux soirs plus tard, la fille du vieil homme appela le pasteur pour lui dire que son papa était mort cet après-midi là.

     

    « Est-il mort en paix ? »

     

    « Oui, et lorsque j'ai quitté la maison vers 2 heures, il m'a appelé près de son lit, il m'a dit qu'il m'aimait, et m'a embrassé sur la joue. Lorsque je suis revenue du magasin, une heure plus tard, je l'ai trouvé mort. »

     

    Et elle continua :

     

    « Mais il y avait quelque chose d'étrange à sa mort. Apparemment, juste avant de mourir, papa s'est penché et s'est appuyé la tête sur la chaise près de son lit.

     

    Que déduisez-vous de cela ? »

     

    Le pasteur essuya une larme de son oeil, et dit :

     

    « J'aimerais tellement qu'on puisse tous partir de cette manière. »

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Exprimez votre peine au Seigneur

     

    Exprimez votre peine au Seigneur

     

    "Es-tu le seul qui, séjournant à Jérusalem ne sache pas ce qui y est arrivé ces jours-ci ?" Luc 24.17-18


    Avec du recul, cette scène peut sembler risible. Deux hommes quittent Jérusalem pour aller à Emmaüs. Pour eux cette route est synonyme de déception. Ils avaient mis leur espoir en Jésus ; mais celui-ci est mort sur la croix. C'est fini. Enfin c'est du moins ce qu'ils croient ! Jésus, qu'ils ne reconnaissent pas, les rejoint. L'un d'eux du nom de Clopas, se tourne vers le Seigneur et lui dit : "Es-tu le seul qui, séjournant à Jérusalem ne sache pas ce qui y est arrivé ces jours-ci ?" Drôle non ? Si une personne comprenait ce qui s'était passé, c'était bien Jésus ! Et si une personne était totalement égarée, c'était bien Clopas… Pourtant à sa question le Seigneur va répondre : "Quoi ?"

     

    Parfois, il est bon de "vider son sac" et de d'exprimer ses incompréhensions.

     

    Exprimez votre peine au Seigneur


    Quelle délicatesse… Plutôt que de les humilier ou les réprimander, le Seigneur va les faire parler. Par ce "Quoi ?", Jésus les invite à exprimer leur peine. Le Seigneur ne rejette pas et ne condamne pas ceux qui souffrent. "Heureux ceux qui pleurent", dit-il dans son sermon sur la montagne. Jésus ne méprise pas ceux qui pleurent mais il comprend leur peine. Puis, il les aide à relever la tête.

    Jésus vous invite à lui partager la souffrance ou l'incompréhension à laquelle vous faites face, peut être dûe à l'épreuve que vous traversez. N'ayez pas peur, il n'est pas un homme pour vous faire la morale ou vous sermonner sur votre manque de foi. Au contraire, il va vous aider à redémarrer.

    Parfois, il est bon de "vider son sac" et de d'exprimer ses incompréhensions. Votre Dieu a un cœur et lorsqu'un malheureux crie, il l'entend. Même vos larmes sont des prières pour lui. A votre question : "Pourquoi cela arrive-t-il ?", même si le Seigneur connaît la réponse, il vous répond : "Quoi ?"

     

    Une action pour aujourd'hui :
    Par la prière, venez devant Dieu pour lui exprimer votre souffrance et votre incompréhension. Et laissez-le vous aider à relever la tête.

     

      

    Patrice Martorano

    (Source : TopChrétien)

     

     

    Exprimez votre peine au Seigneur

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire