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    Rejeter sur lui nos soucis

     

     

     

    Rejeter sur lui nos soucis

     

     

     

    PSAUME 55.17‑23

    Dieu a les épaules assez larges pour porter nos fardeaux. Puisqu’il est le Souverain de l’univers, il peut résoudre nos problèmes et pourvoir à nos besoins. Effectuons un exercice qui nous aidera à nous décharger sur lui, de façon pratique, de tous nos soucis.

    D’abord, prenons une feuille de papier et inscrivons‑y toutes nos inquiétudes. Nous découvrirons peut‑être toute une liste de choses qui nous dérobent notre paix.

    Ensuite, prions Dieu au sujet de chaque élément de la liste. Rappelons‑nous le Psaume 18.36, où nous lisons que sa droite nous soutient.

    Enfin, en priant, imaginons‑nous en train de déposer ces situations dans les mains toutes‑puissantes de Dieu. Par exemple, nous pourrions nous voir lui remettre nos dettes en lui disant : « Père, je te confie mon angoisse au sujet de mes finances. Je sais que tu vas m’indiquer comment me sortir d’embarras. En toi se trouve tout le nécessaire pour régler cette affaire; je compte donc sur ta direction. »

    Certaines personnes résisteront à cette suggestion, en raison de la visualisation que préconisent certains mouvements pseudo‑spirituels. Visualiser, dans ce contexte, c’est se représenter les images que Dieu nous a laissées dans la Bible. Ce genre de visualisation nous fait nous imaginer Dieu en train d’accomplir ses promesses (Ps 55.23; Mt 6.25,26).

    Après avoir déposé toutes nos inquiétudes aux pieds de Dieu, froissons notre feuille de papier et détruisons‑la. Ce geste symbolise la transaction qui s’est effectuée. Nos soucis ne nous appartiennent plus, ils retombent maintenant sur le Seigneur. Puis repartons en paix.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

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    Bouclez votre ceinture

     

     

    Bouclez votre ceinture

     

     

    Lecture proposée : Hébreux 4.11-16

     

    Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins. (V. 16)

     

     « Après avoir allumé le voyant indiquant qu’il fallait boucler notre ceinture, car nous allions entrer dans une zone de turbulence, le commandant de bord a annoncé : ‟Veuillez retourner à votre siège immédiatement et bien boucler votre ceinture.ˮ » Les agents de bord donnent cette consigne lorsque nécessaire parce qu’en zone de turbulence, les passagers ayant négligé de s’attacher risquent de se faire blesser. Bien en sécurité dans leur siège, ils peuvent traverser en sûreté cette zone.

     

    La vie nous prévient rarement des expériences troublantes qui nous attendent. Par contre, notre Père céleste connaît nos combats, s’en soucie et nous invite à lui soumettre nos inquiétudes, nos souffrances et nos craintes. La Bible nous dit : « Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses ; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché. Approchons‑nous donc avec assurance du trône de la grâce afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins » (HÉ 4.15,16).

     

    Précieux Père, la vie me dépasse parfois.
    Aide-moi à te faire confiance dans les turbulences de ma vie

     

    En période de turbulence, nous présenter à notre Père en prière est le mieux que nous puissions faire. L’expression « trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins » signifie qu’en sa présence, nous pouvons rester bien « attachés » en périodes de danger, car nous offrons nos préoccupations à celui qui transcende tout ! Si nous nous sentons dépassés, nous pouvons prier. Dieu nous aidera à traverser la tempête.

     

     

    Prions toujours notre Père, qui connaît déjà nos futures épreuves.

     

     

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

    Bouclez votre ceinture

     

     

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    Vous allez bientôt percer

     

     

    Vous allez bientôt percer

     

     

     

     

    “Ils montèrent à Baal-Peratsim, où David les battit... C’est pourquoi l’on a donné à cet endroit le nom Baal Peratsim, le “Maître de la percée” 1 Ch 14. 11

    Nous avons tous au cours de notre vie, des batailles à livrer. Pour remporter la victoire, nous devons un jour ou l’autre effectuer une percée, une brèche dans les rangs ennemis.

    Si aujourd’hui vous vous trouvez face à une telle situation, considérez ce que fit David, face à une armée numériquement plus importante que la sienne.

    1- Il se rappela que c’était Dieu qui “l’avait affermi comme roi en Israël” (v. 2). De même, reconnaissez de qui vous êtes l’enfant, quel Esprit habite en vous et qui est Celui dont vous lisez la parole chaque jour et à qui vous obéissez ! David n’est pas le seul roi soutenu parDieu. En vous aussi Il a imparti une certaine autorité en tant que l’un de Ses fils ou l’une de Ses filles. N’acceptez pas d’être bousculé par un ennemi qui ne vous respecte pas. “Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'Agneau et à cause de la parole de leur témoignage”(Ap 12.11).

    2- David consulta Dieu: “Monterai-je contre les Philistins?” (v. 10). Avez-vous discuté de vos batailles avec votre Père céleste ? Etes-vous resté assez de temps dans Sa présence pour entendre ce qu’Il avait à vous dire ? Dieu répond avant tout à votre obéissance. Quand vous Lui obéissez vous devenez invincible.

    3- David déclara: “Dieu a dispersé mes ennemis par ma main !”Parfois Dieu agit directement, parfois Il se servira de vous pour apporter votre délivrance. Aussi votre obéissance est-elle importante. Il produira les moissons à condition que vous ayez planté les graines. Aucun d’entre nous ne peut jouer le rôle de Dieu. L’important n’est pas de faire quelque chose pour Lui, c’est de faire ce qu’Il nous commande de faire. Dès que vous agirez selon Ses directives, vous découvrirez qu’Il marche devant vous et que la percée dans les rangs ennemis est déjà prévue!

    Vous n’avez qu’à imiter David et prêter l’oreille: “Quand tu entendras un bruit de pas sur les cimes des mûriers, alors tu engageras le combat, car c’est Dieu qui se met en campagne devant toi pour battre les troupes des Philistins” (v. 15).

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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    Attendez-vous un exaucement ?

     

     

     

    Attendez-vous un exaucement ?

     

     

    "Il resta deux jours encore dans le lieu où Il était." - Jean 11:6

     

    Le Seigneur savait que Lazare était malade, même mourant... Lui qui avait guéri tant de malades ne l'ignorait pas. Il attendit deux jours... puis Lazare mourut sans qu'Il ne soit intervenu! Le Seigneur cependant aimait Marthe, et sa soeur, et Lazare. C'étaient Ses amis; et quand la maladie de leur frère était devenue si grave, les deux soeurs s'étaient adressées au bon endroit, elles avaient confié leur douleur à leur Maître. Et pourtant, c'est seulement après quatre jours que le Seigneur vint à leur secours. Quelle en est donc la raison?

     

    Comme Messie, Jésus avait guéri toutes sortes de maladies, même mortelles. Mais à Béthanie, Il voulait Se révéler non seulement comme Messie, mais comme Fils de Dieu qui est la Résurrection et la Vie. Si Jésus avait rejoint les soeurs à temps pour empêcher la mort de Lazare, Il n'aurait pas pu Se manifester comme tel, et la famille de Béthanie serait restée dans les limites du messianisme, sans connaître ce chef-d'oeuvre du christianisme pré-figuré par la résurrection de Lazare: la vie éternelle qui ressuscite l'homme mort dans ses fautes et ses péchés. "Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort." Jean 11:25. Ces deux jours d'apparent retard étaient donc nécessaires pour manifester la gloire de Dieu.

     

    Attendez-vous un exaucement à votre prière – une prière qui est selon la volonté de Dieu? Vous avez répandu votre coeur devant Dieu comme les soeurs de Béthanie, et les choses sont restées comme elles étaient, ou bien elles ont même empiré. Ne doutez pas, n'écoutez pas les raisonnements des "amis" qui ont soin de vous rappeler toutes les impossibilités qui sont devant vous. Ne vous livrez pas au désespoir comme Thomas qui, en voyant Jésus partir pour Jérusalem, dit: "Allons aussi, afin de mourir avec Lui." Non! ces "deux jours" ne sont pas inutiles. Le Seigneur a accueilli votre demande, soyez-en certains, mais Il a Son moment pour accomplir Ses promesses et réaliser Son plan exactement comme Il le veut. Et dans ce cas désespéré, Il va prouver qu'Il est la Résurrection et la Vie!

     

     

    H.E. Alexander
    (Source : Manne du matin / bible-ouverte.ch)

     

     

     

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    Attendez-vous au meilleur

     

     

    Attendez-vous au meilleur

     

     

     

    "Quoique nous parlions ainsi, bien-aimés, nous attendons, pour ce qui vous concerne, des choses meilleures et favorables au salut." Hébreux 6.9

     

    L’auteur de l’épître aux Hébreux nous communique une espérance extraordinaire lorsqu’il écrit : "Nous attendons pour ce qui vous concerne des choses meilleures."

     

    Craindre le pire, c’est s’exposer au malheur...
    S’attendre au meilleur, c’est tendre vers les projets de bénédiction que Dieu a pour nous.

     

    L’auteur veut mettre en évidence que l’avertissement lancé précédemment n’a pas pour but de décourager et paralyser, mais qu’il vise à éveiller l’attention, et stimuler le désir de s’enraciner dans la grâce. C’est comme s’il leur avait dit : "Alors que vous avez goûté à toutes les dimensions de la grâce, il n’est pas possible que vous sortiez de cette voie pour tomber dans la voie des œuvres où il n’y a pas de place pour le relèvement et le progrès. Nous nous attendons à ce que vous alliez plus loin dans la découverte de cette grâce, sur laquelle repose votre salut."

     

    L’auteur rappelle que le progrès est possible et qu’il doit être envisagé uniquement sur la base de la foi, comme le fit Abraham.

     

    Parfois, certaines situations peuvent nous paraître désespérées, sans issue, et pourtant, même dans de telles situations, nous pouvons nous attendre au meilleur. La situation du peuple d’Israël face à la mer Rouge, ayant le désert à droite et à gauche, les armées de Pharaon dans leur dos, était désespérée, et pourtant le meilleur était devant eux. Dieu ouvrit une route au milieu de la mer.

     

    La situation d’Elie fuyant Jézabel était dramatique, et pourtant le meilleur était devant lui à Horeb. Nous pourrions multiplier les exemples dans la Bible, mais expérimentez vous-mêmes cette vérité. Faîtes confiance à Dieu, reposez-vous sur la grâce qui est en Jésus-Christ.

     

    Craindre le pire, c’est s’exposer au malheur, comme le dit Job : "Ce que je crains, c’est ce qui m’arrive ; ce que je redoute, c’est ce qui m’atteint. " Job 3.25. A contrario, s’attendre au meilleur, c’est tendre vers les projets de bénédiction que Dieu a pour nous : "Je connais les projets que j’ai formé sur vous, dit l’Eternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance" (Jérémie 29.11).

     

    Un encouragement pour aujourd’hui :
    Attendez-vous à des choses meilleures dans votre vie, et dans la vie de ceux qui vous entourent. Attendez-vous à ce que des changements positifs se produisent en vous et autour de vous, par la grâce de Dieu.

     

     

    Paul Calzada
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Notre Père céleste

     

     

     

    Notre Père céleste

     

     

     

    MATTHIEU 6.9‑13

    Quand Christ a enseigné à ses disciples à prier, il leur a dit de s’adresser à Dieu en ces termes : « Notre Père ». C’est ce qu’il avait souvent fait lui‑même, mais désormais, les siens étaient aussi intégrés à sa famille. Comme tous ceux qui sont nés de nouveau font partie de la maison de Dieu, ils jouissent de ce droit.

    Pensons à certaines des façons dont notre Père céleste s’occupe de nous, ses enfants.

    Il nous aime. L’amour de Dieu est inconditionnel, puisqu’il se fonde sur sa nature et non sur nos œuvres (1 Jn 4.16).

    Il écoute. Quand nous le prions, il nous écoute attentivement (Ps 55.17,18).

    Il pourvoit. Notre Père assume la responsabilité de répondre à tous nos besoins (Ph 4.19).

    Il nous guide. Il nous dirige quand nous nous confions en lui (Pr 3.5,6).

    Il nous protège. Dieu nous garde sur les plans spirituel, émotionnel et physique. Il permet chacune des expériences que nous vivons (Ps 121).

    Il est présent. Il n’est pas un parent absent, parce qu’il a promis de ne jamais nous délaisser ou nous abandonner (De 31.8).

    Il nous corrige. C’est pour notre bien et afin de nous faire participer à sa sainteté qu’il nous corrige (Hé 12.5‑11).

    Il est possible que notre relation avec notre père terrestre ait faussé notre perspective de notre Père céleste, mais nous pouvons apprendre à le connaître tel qu’il est. En le considérant par la lentille de l’Écriture plutôt que par nos idées préconçues, nous constaterons qu’il nous aime et nous sentirons en sécurité comme jamais auparavant.

     

     

    (Source : encontact.org)

     

     

     

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    Qu'est-ce que Dieu vous dit ?

     

     

     

    Qu'est-ce que Dieu vous dit ?

     

     

     

     

    « Toutes choses coopèrent au bien de ceux qui aiment Dieu » Ro 8.28

     

    A. J. Cronin est médecin depuis près de dix ans lorsqu’il est atteint d’un ulcère à l’estomac qui l’oblige à un repos total. Alors il se rend dans une ferme isolée des Highlands écossais pour retrouver la santé. Il raconte : « Les premiers jours de loisirs étaient assez agréables, mais bientôt l’oisiveté forcée à la ferme était devenue insupportable…Souvent, dans un coin de ma tête, je nourrissais la vague illusion de pouvoir écrire. J’avais même déjà pensé au thème d’un roman : le récit tragique d’un homme égoïste et orgueilleux…Dans ma chambre froide et austère trônait un simple bureau et une chaise très inconfortable. Le lendemain matin, assis sur cette chaise, face à un cahier neuf ouvert sur la table, j’ai lentement pris conscience qu’en dehors de mes ordonnances en latin, je n’avais jamais de ma vie composé une phrase qui ait du sens. C’était une pensée décourageante au moment de saisir ma plume. Malgré tout, j’ai commencé. »

     

    Même si Cronin doit se battre pour écrire cinq cents mots par jour et jeter sa première version à la poubelle, il achève enfin son manuscrit : Le chapelier et son château. Traduit en 22 langues et porté à l’écran, ce livre s’est vendu à près de cinq millions d’exemplaires. Le monde a perdu un médecin, mais gagné un romancier. Lorsque Dieu vous donne un rêve, les événements parfois nécessaires pour l’accomplir peuvent ne pas vous plaire. Pour Joseph, c’était une trahison et un emprisonnement injuste. Mais c’est ce qui l’a mené près du trône d’Égypte.

     

    Aujourd’hui, demandez à Dieu : « Que veux-tu me dire, ou tenter de me montrer, dans la situation où je suis ? »

     

     

    Bob Gass

     

     

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    Partout et nulle part

     

     

    Partout et nulle part

     

     

     

    Lecture proposée : Psaume 139.7-12

    Où irais-je loin de ton esprit, et où fuirais-je loin de ta face ? (V. 7)

     

    Une amie de la famille qui, comme nous, a perdu une adolescente dans un accident de voiture a écrit un hommage à sa fille, Lindsay, dans le journal local. Voici l’une des images les plus marquantes de son essai : Après avoir mentionné de nombreux souvenirs et photos de Lindsay qu’elle avait placés autour de sa maison, elle avait écrit : « Elle est partout, mais nulle part. »

     

    Même si nos filles nous rendent encore nos sourires sur leurs photos, les personnalités pleines d’esprit qui éclairaient ces sourires ne sont néanmoins nulle part. Nos filles sont partout – dans notre cœur, nos pensées et toutes ces photos –, mais nulle part en même temps.

     

    Merci, Seigneur, de ta présence auprès de moi et en moi à l’instant même.
    Apprends-moi à m’appuyer sur toi

     

    La Bible nous dit toutefois qu’en Christ, Lindsay et Melissa ne sont pas véritablement nulle part. Elles se trouvent en présence de Jésus, « auprès du Seigneur » (2 CO 5.8). Elles sont avec celui qui, dans un sens, est « nulle part, mais partout ». En définitive, nous ne voyons pas Dieu sous sa forme physique. Nous n’avons certainement pas de photos de lui, en train de nous sourire, sur le manteau de la cheminée. En fait, si vous regardez autour de votre maison, vous pourriez croire qu’il n’est nulle part, bien que ce soit tout le contraire, car il est partout !

    Où que nous allions ici‑bas, Dieu est là pour nous guider, nous affermir et nous consoler. Nous ne pouvons aller là où il n’est pas. Nous ne le voyons pas, mais il n’en est pas moins partout, même dans chacune de nos épreuves. Quelle formidable nouvelle !

      

    Notre meilleur réconfort dans le chagrin tient à la présence de Dieu.

     

     

    Dave Branon

    (Source : Notre Pain Quotidien)

     

     

     

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    Attribuez-vous les promesses de Dieu

     

     

     

    Attribuez-vous les promesses de Dieu

     

     

     

     

    « Le jour où je suis dans la crainte, en toi je me confie » Ps 56.4

     

    Derrière vos peurs les plus profondes se cachent vos pensées. Vous pouvez les exprimer publiquement ou les garder pour vous. Dans un cas comme dans l’autre, vous devez les faire cesser et en changer. Sinon, elle vont vous emprisonner et vous contrôler.

     

    Dieu nous a donné une arme puissante pour vaincre la peur et l’angoisse : la capacité à nous attribuer ses promesses.

    En voici quelquesunes : « Sois sans crainte […] tu es à moi ! Si tu traverses les eaux, je serai avec toi, et les fleuves, ils ne te submergeront pas ; si tu marches dans le feu, tu ne brûleras pas, et la flamme ne te consumera pas. Car je suis l’Éternel, ton Dieu » (Esa 43.1–3).

     

    Comment réagir aux promesses de Dieu ? En étant fort et courageux. « Je ne crains rien car partout où je vais, Dieu est avec moi » (voir Jos 1:9). « Voici que l’œil de l’Éternel est sur ceux qui le craignent, sur ceux qui s’attendent à sa bienveillance » (Ps 33.18). « Dites à ceux dont le cœur palpite : Fortifiezvous, soyez sans crainte ; voici votre Dieu, […] il viendra luimême et vous sauvera » (Esa 35.4). « L’Éternel est ma lumière et mon salut […] de qui auraisje peur ? […] Au jour du malheur, il me cachera sous l’abri de sa tente ; il m’élèvera sur un rocher […]. Je chanterai, je psalmodierai en l’honneur de l’Éternel » (Ps 27.1, 5–6).

     

     

    Voulezvous vaincre vos peurs et vos inquiétudes ? Attribuezvous les promesses de Dieu !

     

     

    Bob Gass

     

     

     

     

     

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    C'est une bonne chose que d'être faible

     

     

     

    C'est une bonne chose que d'être faible

     

     

     

     

    “Dieu se plaît à utiliser les faibles pour confondre les forts.” 1 Corinthiens 1.27

     

    Avez-vous, comme moi, le sentiment d'entrer dans la catégorie des gens ordinaires, peu capables, incompétents, voire même médiocres ? J'ai une bonne nouvelle pour vous : votre faiblesse vous qualifie justement pour l'extraordinaire !

     

    Jetez le filet sur la Parole de Jésus ! Attendez-vous à lui au cours de cette journée.

     

    Depuis ma conversion, j'ai appris plusieurs fois cette leçon : Dieu peut faire des choses extraordinaires avec des gens ordinaires.

     

    Regardez Gédéon : il se considérait comme le plus petit de tous (Juges 6.15), et pourtant il délivra son pays de l'ennemi. Ou bien encore Moïse, qui, doutant de ses capacités demanda à Dieu : “Qui suis-je, moi, pour faire ce que tu demandes ?” (Exode 3.11). Il y a aussi David, qui fut appelé par Dieu pour combattre le peuple ennemi, alors qu'il n'était qu'un simple berger ! (Psaumes 78.70-72).

     

    Pourtant, tous les trois ont été extraordinairement utilisés par Dieu pour libérer leur peuple. Et l'on pourrait encore citer bien d'autres exemples !

     

    Si vous vous sentez faible aujourd'hui, soyez assuré(e) que le miracle est encore possible. Il est d'autant plus possible QUE VOUS ETES FAIBLE et que vous ne pouvez rien faire de vous-même ! Dieu aime utiliser les faibles pour confondre les forts. Ayez confiance qu'il vous utilisera, avec vos faiblesses, pour montrer au travers de votre vie combien il est grand et puissant.

     

    Quelle est la chose qui vous semble impossible et que Dieu vous demande de faire ? Ayez confiance en lui… Et lancez-vous : avancez vers votre miracle !

     

    Une action pour aujourd'hui :
    Aujourd'hui, avancez en pleine eau ! Jetez le filet sur la Parole de Jésus ! Attendez-vous à lui au cours de cette journée. L'extraordinaire vous attend !

     

     

     

     

     

     

     

    Eric Célérier
    (Source : TopChrétien)

     

     

     

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    Ca s'arrête avec moi !

     

     

     

    Ca s'arrête avec moi !

     

     

     

    « Démolis l'autel de Baal qui est à ton père » Jug 6.25

     

    Quand l’ange de l’Éternel appelle Gédéon, celuici est en train de battre le froment au pressoir pour le mettre à l’abri des Madianites. (voir v.11). C’est drôle car justement Dieu voulait utiliser Gédéon pour anéantir les forces de Madian et délivrer Israël.

     

    Mais il fallait d’abord régler quelques différends familiaux comme l’autel dédié à Baal que son père avait fait ériger et qui était dans la famille depuis des années. Alors Dieu dit : « Démolis l’autel de Baal qui est à ton père […]. Tu bâtiras ensuite […] un autel à l’Éternel, ton Dieu » (v.25–26).

     

    Comprenez bien que des choses comme la colère, les addictions, les abus, la maltraitance peuvent faire partie de votre histoire familiale, mais qu’elles n’ont pas à influer sur votre avenir. Dieu veut non seulement guérir votre cœur et vos blessures, mais il veut vous utiliser pour préserver vos enfants.

     

    La boue du passé peut être lavée sans attendre. Vous n’êtes pas obligé(e) de transmettre à vos enfants ce que vos ancêtres vous ont transmis. Dévoilezle au grand jour et placezle devant le Seigneur. La mise en lumière mène à la guérison. Demandez l’aide d’un conseiller chrétien aguerri. Les choses ne se feront pas du jour au lendemain. Les dommages subis pendant vos années de croissance mettent du temps à se réparer. Dieu agira avec vous jour après jour jusqu’à votre guérison. Laissez le processus s’enclencher.

     

    Levezvous avec confiance, prenez le contrôle de votre vie et dites : « Ça s’arrête avec moi, ici et maintenant. »

     

     

    Bob Gass

     

     

     

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