• Lorsqu’on s’abandonne

     

    Lorsqu’on s’abandonne

     

     

    Lorsqu’on s’abandonne

     

     

    Lorsque l'on s'abandonne, on libère le meilleur de soi. 
    Tout ce qui était contraint s'élance harmonieusement, 
    on s'ouvre à la vie, on se sent délivré.

    C'est la puissance du dedans qui va forcer tous les obstacles, 
    comme un torrent qui jaillit, que rien ne peut arrêter 
    et qui se nourrit de son abondance... 
    L'abandon amène l'abondance, abondance perpétuelle.

    Si tu comptes sur ta petite volonté, 
    c'est comme si tu tournais de manière calculée 
    un robinet qui va libérer un petit ruisselet d'énergie : 
    à force d'économiser, ton cœur est menacé de sécheresse : 
    plus rien n'y pousse, ni le succès, ni les projets, 
    ni la tendresse, ni rien qui vaille de vivre.

    Moi, j'ai compris un grand secret... 
    je vais te le glisser dans le creux de l'oreille... 
    là où il y a de l'abandon, il y a de l'amour, il y a Dieu.

    Il faut savoir choisir, et puis tout donner, sans se retenir, 
    s'abandonner au courant, se laisser porter par son propre élan, 
    sentir le rythme, l'équilibre et l'harmonie, 
    savourer le goût de la vie, 
    et dans un grand soleil de tendresse, 
    dire merci à Dieu, 
    merci de nous guider vers des mondes inconnus 
    et de nous porter sans se lasser, sans se fatiguer, 
    sans ralentir sa course, loin, loin, loin...

    Laisser Dieu couler en nous comme une source. 
    Tout simplement. 
    Quand tu auras compris ça, tu verras : 
    la vie, ça coule de source...

     

     

    François Garagnon

     

     

     

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